Bonjour à tous! Aujourd'hui, nous allons voir quelle est l'origine du salut militaire. Alors la question du jour consiste à se demander d'où vient ce signe de respect et de fraternité qui changent de soldat lorsqu'ils se rencontrent et qui peut être aussi une marque de subordination témoignée par un militaire à son supérieur hiérarchique. C'est le ministère des Armées qui nous en apprend davantage à son sujet. Mais d'abord, en quoi consiste exactement ce geste? Utiliser la main droite doit serrer et paume visible et la porter à hauteur de la tempe.

Voilà le vrai salut militaire, maintenant son origine. Sachez que ce geste date de l'Antiquité, mais à l'origine, il s'agit avant tout d'un signe de paix. Eh bien oui, quand deux guerriers se rencontrer pour indiquer leurs bonnes intentions, ils levaient leur main droite, paume légèrement ouverte, afin tout simplement de montrer qu'ils ne tenaient pas d'arme. Ensuite, au Moyen-Age, de nombreux tournois organisent l'affrontement en duel des chevaliers pour amuser les seigneurs et leur cour. Alors là, vêtu d'une lourde armure et muni d'une lance, les deux cavaliers chargé leurs adversaires afin de le faire tomber.

Et avant de s'élancer dans un geste de respect mutuel et de courtoisie, il relevé la visière de leur casque pour croiser leur regard. Se saluer était alors effectué avec la main droite pour montrer que les deux combattants n'étaient pas armés. Ensuite, ce salut conserve ce caractère de fraternité et de courtoisie jusqu'au 17ème siècle. À cette époque, il est repris par les soldats pour témoigner une fidélité réciproque. Ainsi, lorsque deux militaires se rencontraient, ils levaient leur la main droite vers le ciel en écartant trois doigts, faisant allusion aux trois personnes de la Sainte-Trinité.

Et plus tard, la main sarrêtera à hauteur de la coiffe. Qu'il s'agisse d'un casque, d'une casquette ou d'un béret, vous voyez, à cette époque encore, ce geste ne comporte aucune signification liée à la subordination. En revanche, c'est le cas en France au début du XXe siècle. Aucun doute là dessus. En effet, on trouve dans le livre de l'infanterie de l'armée française datant de 1916, la description suivante tout militaire croisant un supérieur le salut.

Ainsi, quand il en est ainsi pas et conserve l'attitude salus jusqu'à ce qu'il l'ait dépassé s'il dépasse un supérieur. Il le salue en arrivant à sa hauteur et conserve l'attitude du salut jusqu'à ce qu'il l'ait dépassé de deux pas. Enfin, s'il est en armes, il présente l'arme en tournant la tête du côté du supérieur. Pour conclure, sachez qu'aujourd'hui, ce salut est présent dans la majorité des armées du monde, mais avec des spécificités, par exemple aux États-Unis et au Canada.

Il se fait avec la main au niveau de la tempe, la paume cachée.

Pourquoi? Il semblerait que ce soit une tradition née dans la marine dans cette armée. Les hommes d'équipage et les officiers mariniers ont souvent les mains sales. Il a retourné face au sol afin de ne pas les exhiber aux supérieurs.