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[00:00:12]

Ça les yeux, ça viendra, ça va ça. Je suis super content de te recevoir sur décimant produit pour Apple, dessine moi un produit. C'est un peu Decazes dans lequel on va décortiquer des aventures entrepreneuriales, mais d'un point de vue un peu produit, donc, on va mélanger le business et la tech. A toi du côté des cofondateurs de Wembley. Télé City aussi. Est ce que tu peux nous présenter et nous présenter Wembley et te présenter aussi par la même occasion?

[00:00:37]

Parce que je suis intimement convaincu que les profils des entrepreneurs sont intimement liés à leurs produits. Merci de l'avoir invité dans ta salle d'escalade au bureau. On dirait pas comme ça. Ouais, ben, une boite que j'ai fondé, cofondée il y a 10 ans et demi maintenant à la sortie d'école. Moi, j'étais un geek un peu à tout faire dans le web. Je suis tombé très tôt dans le monde des ordinateurs et j'avais comme ambition de monter, monter, monter une boite.

[00:01:12]

Je suis assez un maker. J'aime bien faire des trucs un peu fast and dirty, mais sortir des choses et du coup, de dés les 12 ans, je faisais pas mal de Proto. C'est quoi comme truc? J'ai fait un un site d'énigme, un site communautaire. C'était le c'était le plus grand en France francophone. Tranquillement? Non, j'ai fait un jeu sur iPhone sur iOS quand il est sorti sur iPhone 3 ou 3G.

[00:01:34]

Papy blues explosé des piles avec de l'électricité externe.

[00:01:39]

Martial est cool et du coup, et du coup, j'avais une forte conviction qui était de commencer à travailler dans un des boites dans les grands groupes et de déceler les peines et ensuite d'aller monter une boite qui résolvez ces pays dès le début. Donc là, quand j'avais 16 17 ans, tu te dis avais ce truc là un peu entrepreneur, de dire en gros, je vais trouver un problème et je vais le résoudre. Je vais d'abord aller observé pour trouver le problème et je vais acheter une boite.

[00:02:09]

C'est tu ne voulais pas le résoudre en interne possible.

[00:02:12]

Mouais. Non, je ne suis pas assez une conviction que c'était plus facile d'avoir les coudées franches, mais ça ne me correspondait pas.

[00:02:22]

Et du coup, à la sortie de mes études, j'avais trouvé un job de consultant dans la tech, dans une grosse boîte de consultants et de consultant défense. J'avais signé, ça avait négocié 2 mois de vacances. Qu'est ce que j'ai signé en juin, donc? Je prenais mon poste en septembre et c'est là que mes amis, des potes déchaussé. Moi, on a fait 6 mois qu'on prototype un truc. Notre geek en chef s'en va. Toi qui bidouille, est ce que tu pourrais pas nous aider pour continuer le truc?

[00:02:55]

Et voilà, nous, on fait. On fait une espèce de tweet rouelle pour les conférences via SMS pour permettre sur des évènements physiques et des ennemis dans des amphis, ou même de participer avec téléphone. Poser des questions, réagir au choix, c'est génial. Concept. J'ai des mois de vacances, on regarde ce qu'on peut faire. Du coup, j'ai recommencé un truc. From scratch, première erreur de débutant. Et puis, au bout des deux mois de vacances, on a eu l'université d'été du Medef où on avait mis ça sur toutes les salles de conf et compagnie.

[00:03:28]

Ça ultramarine, bien marché, ça cartonnait, ont achoppé. Splendide. On parle de ça, on a été incubée.

[00:03:34]

Et là, vous êtes un peu 2017/2018, septembre 2010. Ca s'est achevé. Franchement, c'est cool. Première. Un truc que je fais avec deux associés à des usages. Vraiment, il y a de la théorie de l'attraction.

[00:03:54]

On est validé puisqu'on est incubée. C'est bon, c'est cool pour toi, c'était important?

[00:04:00]

Cuba HC Non. Soit je sais, outre le fait d'être incubées, venaient rajouter un tampon de plus que CA. C'est un projet viable. Et cerise sur le gâteau, on avait aussi chopé 2 premiers clients de Premier Tech 2000 à l'époque.

[00:04:16]

Là, dans ta réflexion. Être incubée, ça valide ton peu ton projet. Maintenant, j'imagine que être incubée, t'as pas forcément la même vision là dessus.

[00:04:24]

Si tu reviens sur ce sujet parce que c'est souvent un, c'est souvent une question que les entrepreneurs se posent. En fait, ils ont souvent, quand on est entrepreneur et le fait d'être incubées par tel ou tel incubateur, ça, ça valine. Moi, personnellement, à titre perso, je pense que incubé ça, valideurs rien. Mais du coup, j'aimerais avoir un très bon.

[00:04:48]

Ouais, moi, j'ai eu vraiment cette conviction. Y'a des mecs qui valident quand même. On est à peu près dans les clous.

[00:04:56]

Et moi, j'ai bien aimé. Après, je pense que ça dépend vraiment de l'incubateur et du monde, torturait. Voir Guillaume Tôlé, qui écrit qu'il est pas mal de trucs sur les start up qu'il avait lui aussi monté. Et puis, on avait pas mal d'autres boites acculées avec nous, donc c'est assez. Une espèce de creuset où tu pouvais confronter des problèmes similaires. Et puis surtout avec des gens qui ont les mêmes problèmes que toi. Voilà donc je pense que maintenant, c'est encore plus facile avec les Slack et compagnie.

[00:05:22]

Je crois que les échanges ont compressibles à l'époque n'était pas arrivé. Tout ça, c'était l'époque de Yammer Ouest.

[00:05:28]

C'était bien et du coup, je fais mon fac. Le premier jour, en septembre, je suis arrivé au troisième étage de ma boite à la défense, l'aérage qui me donnait mon carnet et mon stylo. Et je suis désolé. Je me suis posé un lapin. J'ai eu l'opportunité de monter une boite, de rejoindre un projet entrepreneurial. Je vais le saisir.

[00:05:50]

Donc, en gros, tu t'es quand même pointé, tu l'ARPA?

[00:05:52]

Ouais, ouais, ouais. Mais je suis là au milieu de la décence. C'est de venir vous le dire en personne et franchement, c'est emmerdant. Vous faites pas venir, on va faire comme si vous LGBTI dans les registres, c'est plus facile de faire. Si vous recruter, que faire? Au bout de 17 minutes, le il y a la carrière la plus courte dans le corps. J'ai eu assez de 17 minutes et puis j'ai monté où il habite.

[00:06:16]

Donc voilà, c'est un peu à mon image, pas mal d'expérimentations.

[00:06:19]

Au début, on a eu une grosse pas une grosse phase de bootstrap ou à trois, on a couvert pas mal d'évènements digitaux.

[00:06:28]

A l'époque, c'était le web TechCrunch et pas mal de trucs comme ça où on mettait ses outils d'interactivité sur scène. On a fait aussi le forum de l'Unesco. Pas de gros truc avec pas mal de participants. Et donc là, d'un point de vue produit tech, on n'avait pas beaucoup de moyens. C'était pour se taper, on se payait encore et recruter du stagiaire. Donc, il y a eu pas mal de stagiaires qui se sont déroulés que je n'ai pas, malgré le fait que Geist a fait pas mal l'user pour faire ça.

[00:06:58]

Et puis on a fait. J'ai fait 5 versions de l'application en deux ans et demi.

[00:07:02]

Oui, avec une équipe et des stagiaires, une équipe qui roulait, ça, c'était parce qu'en fait, j'apprenais sur le tard. Comment, comment, comment gérer, comment gérer des gens comme on gère pas mal de choses, dont on a fait beaucoup d'itération, beaucoup trop de sessions.

[00:07:20]

Et ensuite, voilà le modèle. On a des corporate, des grands comptes qui fait ça sur tout ce qu'il fallait, sur les ventes. Moi, je fais masse de réunions avec mes équipes. On est 50/60 sans qu'on fait des séminaires, on fait des Titoff Machin. En fait, j'ai besoin de votre solution en interne. Nous, on n'avait jamais vraiment travaillé dans Corporate. Moi, je n'imagine même pas qu'il y avait des réunions à 100 personnes tous les jours dans ce genre de boite.

[00:07:45]

Du coup, on a commencé à le vendre et on l'a vendu en abonnement. Donc on a switché d'un business model, de one shot, d'évènements d'événementiels, a une solution digitale, de communication interne, de formation en interactivité d'entreprise axée sur cette thèse là qu'on a levé en 2014. C'était un gros tour à l'époque. Un 1.004 fait, ça fait sourire.

[00:08:08]

Oui, c'est toujours ça et là. Déconnant encore à l'époque, ça devrait être. Ça avait été dans l'écosystème.

[00:08:12]

À l'époque, c'était assez cool et donc on avait levé sur cette thèse là pour Thèze là, et pas pour.

[00:08:21]

Ben voilà pour pour signer plus de grands comptes et déployer notre solution juste juste avant que tu lève en gros, donc entre guillemets, fait ton poke en deux ans et demi, sortit 5 versions avec des stagiaires qui défilent. Tu travailles toujours? Pas si on s'est payé Hurghada au bout du paquet. C'est quoi un peu ton produit?

[00:08:46]

Si tu peux démystifiant ce que les gens en général, ils vont se comparer à ce qui est maintenant. Mais en fait, au démarrage, vous faites du cash avec quoi? En fait, un peu de transparence accrue. C'est quoi les technos que vous avez commencé, j'imagine? Tu me dis que c'est vous trapper, mais j'imagine que vous avez des trucs trapper.

[00:09:02]

Si tu peux être transparent, alors quand on a levé, on avait quand même rationalisé ça. On était passé sous le framework PHP Symphonie Symphonie 2, qui venait de sortir. Mais juste avant ça, on était en ro php sans framework framework maison Trémeur Gabby Framework 12 stagiaires qui était en fait on a, on a fait, on a fait 2 3 framework avait un stagiaire qui connait bien un code inhalateur, donc on avait fait un truc qui ressemblait co-animateur à notre il connaissait bien de PHP.

[00:09:30]

On a fait un truc qui ont l'enfer.

[00:09:33]

On était sur du J Query Spaghetti Fronte et et on n'avait pas trop de méthodologie au test du guide en push force en veux tu?

[00:09:46]

En voilà, Wineland, c'était vraiment. Pendant un an ou deux, on était glisser des fichiers FTP sur des serveurs prod. Non, vraiment, vraiment, vraiment. Suis je suis parti. J'avais un background d'ingénieur qui fait du système embarqué du bas niveau itou. Mais dans le web, je faisais vraiment n'importe quoi. Vous en fait dans le Web que j'adorais, c'est que en une soirée, je sortais un truc qui était utilisé. Rigolo. Et c'était ça qui me plaisait.

[00:10:13]

En fait, si je recrée un truc, je mettrai un peu plus de rigueur. Oui, c'est sûr, c'est sûr, mais mais. Mais en fait, à l'époque, ça ne m'a pas empêché de signer des clients après mon associé de ciné client. Moi n'ai la mode, mais ne pas vendre ça comme ça, des gens, pas le vendre si cher. Donc pas le vendre. En fait, c'était donc ça. C'était une partie qui était bien mon à, en association avec deux autres confondateur.

[00:10:37]

Moi, je me concentrer sur le produit, la tech et eux, ils sont chargés de vendre, de marketer le sport. Ouais, clairement. Mais bon, même si c'est pas toi, ça ne vous a pas empêché, en tout cas, de vendre ce truc là. Et en fait, vous n'avez pas attendu d'avoir la version sur laquelle on est 100% cette. Quand on est entrepreneur, on n'est jamais satisfait de son produit. Et vous n'avez pas attendu ça?

[00:10:59]

Vous l'avez vendu. Ça vous a aussi permis de lever? Exactement.

[00:11:02]

Exact. Nous, on s'est vraiment dit que le meilleur argent, c'est celui de nos clients.

[00:11:08]

Du coup, plutôt que de chercher des subventions, des fonds et compagnie, on était vraiment conscients qu'ils allaient faire ça. Et puis, même en discutant avec pas mal de personnes, on se rend compte, on démystifie les produits parfaits. De même, dans les grosses banques, ils ont des soft qui tournent sous Excel, VBA sur des laptop perso. Enfin, c'est du truc ubuesque, c'est sûr.

[00:11:28]

Donc, je pense qu'il ne faut pas faire beaucoup de open source.

[00:11:34]

J'adore le monde de l'open source où l'art va vraiment faire de la documentation, faire des tests et on va être TDD. On va d'abord tester des banques ou des compagnies. C'est génial, mais je pense que c'est pas adapté à une boite, surtout quand elle produit. Il est vachement mouvant au début. Sauf si t'as vraiment un truc. Vraiment, Straub, tu sais que c'est ça le faire a des mecs, car ils ont une vision des rôles des 30.

[00:11:55]

Quand au début, nous, on a senti un marché, en fait. Si tu fais un truc trop rigide, tu passes ton temps à chaque fois à casser les tests récréa tests. Il faut essayer de trouver une de flexibilité parce que ton produit est un peu métamorphe. Au début, c'est vraiment trouvé, le marché.

[00:12:10]

Le client, as tu de ta ligne? Et tu dois trouver cette bonne adéquation entre à la fois ton produit, ton marché et ton équipe. Et ça, c'est super important puisque tu biocide toi. Je pense que tu étais très à l'aise avec Bootstrap et autres machins, mais à des équipes d'entrepreneurs et des sites qui ne sont pas à l'aise avec ça. Des fois, il faut trouver la bonne adéquation entre les droits. Et donc, tu dois tester, tu peux essayer, tu dois, tu dois avancer.

[00:12:32]

Mais le plus important, c'est d'avancer au fur et à mesure. Donc là, vous devez.

[00:12:37]

J'imagine que vous recrutez une équipe parce qu'avec un million 4 oui, là, on lève.

[00:12:41]

On était 18 à ce moment là avant de lever un quelconque effet de 3 à 18.

[00:12:46]

Et là, on se prend les fahed locaux en plein centre du marais Klass à Berne. Et là, ça prend du mobilier italien où chaque vert est important.

[00:13:02]

Et oui, du coup, on embauche, on embauche une RH. Pour le coup, notre investisseur qui a notre board nous distillers pas mal de trucs qu'il voyait dans les autres boites be tobby comme nous dans le sas, qui avaient plus ou moins 6 mois d'avance ou de moins que nous. Donc il faut vraiment structurer ce machin. Donc, on a vraiment écouté ces trucs qu'on a essayé de toutes les offres qu'on pouvait faire. Donc, on a pas fait celle ci, on en a fait plein d'autres.

[00:13:29]

Mais voilà, on apprend, on a recruté une DRH et on a essayé de bien recruter. Donc on a fait les équipes, ça a fait les équipes Success Staffel, produits. Et du coup, de 2014 à 2016, on est passé à 45 pipole d'être une quinzaine dans mon département produits et c'était 30, 30, 30. Et comment tu gère? Comment tu gère, toi, de passer de une armée de stagiaires à 15 pipole département 40 People.com?

[00:13:58]

Alors comment vous organisez aussi avec les associés, ne serait ce qu'en fait? Comment ça se répercute sur la tech? Parce que j'imagine que tu prends des séniors, tu prends des gens encore un peu plus d'expérience que tes stagiaires qui sortaient d'école à cette époque là qu'on recrutait. On est passé de 12 stagiaires quand même à 3 4 cd-i s. Et donc je m'étais amélioré recrutement parce que c'est très important de recrutement. C'est quoi des critères quand tu recrute un agent?

[00:14:24]

J'imagine que les critères échange dans le temps. Ouais, mais si tu peux me le faire, je n'ai pas de 2 0 à 0 à 10, de 10 à 20. Tu vois ce que je veux dire?

[00:14:34]

Je pense que j'aime bien les mecs. J'aime bien le mec passionné. J'essaye de déceler une passion pour le code. La tech, ça va de soi. Mais voir si il aime le sport, la photo, d'autres trucs genre. Je trouve que les gens passionnés ont tendance à plus creuser le problème. Ils sont mieux dans leur boulot.

[00:14:57]

J'en suis revenu un peu. J'aime bien, j'aimais regarder les profils, Geeta. Mais bon, maintenant que je suis un peu, que j'ai deux gamins, j'ai une boite, je fais plus rien sur GitHub, donc je ne fais pas juger un mec. Tu peux pas attendre qu'un mec qui y travaille, tu vas pas demander à une infirmière si elle. Wikango, donc je suis un peu rendu là dessus et j'ai eu des très bons dev, des papas, des pères de famille qui donnaient vraiment le maximum pendant 7 8.

[00:15:22]

Rouvrais ils décrocher leur vie? En fait, c'est ce qui est le plus équilibré.

[00:15:29]

Quelqu'un de quelqu'un, de gens, rigoureux, rigoureux, qui qui comprennent ce qu'ils font, qui comprennent ce qu'il faut faire et comprennent qu'ils font trop souvent. J'ai vu des juniors ou pas forcément des juniors qui prenaient un framework, qui regardaient la doc à config, qui bidouillés, qui tester jusqu'à ce que ça marche, sans trop chercher à comprendre le pourquoi du comment. Comment ça marche derrière sous le capot. C'est aussi une curiosité, donc, ce passionné curieux et curieux.

[00:15:56]

Et là, je ne me parlais qu'avec des montées et départementales. C'était un département qui produit, où il c'était vraiment séparé. C'était c'était ensemble. Qu'a t il produit? Donc, quand tu recrute, est ce que ça, ça se ressentait quand tu recrutait sur tes 1g parce que tu recruté juste des bêtes à code? Où est ce que tu recrute? Il y a des gens qui avaient un peu plus cette vision là et qui étaient capables de comprendre la vision de l'entreprise et de la transférer sur le produit.

[00:16:20]

Alors, à cette époque là, j'étais ultra persuadé qu'il fallait recruter des experts et j'avais vraiment scindées bâtiments en trois profils. Profils backend, donc, le gros geek des cavernes, le fan de bref, le mec à la rigueur et comprenais pas grand chose aux produits. Mais ça ne me gênait pas trop, car il devait gérer la sécurité et la stabilité, la scalabilité. J'avais une équipe Frontline qui gérait l'applicatif JavaScripts. Là, il fallait effectivement que j'ai des mecs sensibles aux produits et l'interface, surtout à Unix.

[00:16:56]

Et puis, j'avais une team fronte qui faisait que du HTML, du CSS qui nous faisait l'équivalent twittant Bootstrap interne, notre notre librairie Twitter Bootstrap. On peut détailler pour les gens. Ouais, c'est une librairie de composants CSS et qui, en gros, te permet de se baser sur les tweeter. Qu'a ça? Ça te permet de faire des interfaces relativement rapidement et de les faire joli entre guillemets.

[00:17:19]

Ça donne des briques de Lego avec tous les gros boutons. Ton Lego modales d'oligo Majapahit. Du coup, tu fais face plus facilement et cohérente. Vous avez développé en interne? Ouais, ouais. Ouais, ouais, c'était une époque où on était nombreux projets cool en interne. On l'a mis en open source. Et puis on avait. On avait un ou deux chefs de projets, on avait un ou deux designers. Et du coup, on avait pas là.

[00:17:44]

On a tout testé, on a testé le scrub, on a testé Kanban, c'est le malécot, on a tout fait, on voit qu'il marche un mix de Kanban, de Gantt et de balais.

[00:17:55]

Il faut vraiment une bonne dose d'échec qui a été énorme, énorme, énorme. Les tarifs avaient la même organisation pour tout type de 15 personnes. En gros, peut être au niveau des organisations, ce que tu peux expliquer un process qui avait entre moment où tu j'imagine, quand il un peu une rupture. J'imagine qu'avant, entre guillemets, on bat les couilles comme tu dis avant le lever et du coup, tu dois structurer ce qu'on appelle le process de structuration.

[00:18:21]

Et si tu veux revenir là dessus, qu'est ce que tu ferais là maintenant? En ayant vécu ça? Qu'est ce que tu ferais en termes d'organisation si tu devais parler au Guillaume dès 2016?

[00:18:35]

C'est une question piège.

[00:18:37]

Je n'ai pas réfléchi, pas un script qui est dans le script ici. Il n'y a pas de script, non.

[00:18:46]

Je pense que non. Avant, avant ce qui est avant, on avait quand même structurait. On avait mis en place les processus de collaboration sur guide avec le guide branches, les machines, les pull request. On avait mis en place quand même l'intégration continue des tests automatiques et ça, ça a été vraiment salvateur puisque empilent les mecs. Les tests, ça servent dans l'idéal de Nirvana. C'est ça, ça sert à développer plus vite. Dans l'idéal, tu dois faire une espèce de boite noire.

[00:19:13]

Tu donnes un truc, commenterait. J'attends que ça fasse un truc en sortie. Tu veux d'abord coder le test, tu auras idée qui marche pas habituent code du code. Puis, dès que ça marche, c'est bon.

[00:19:21]

Mais ça sert surtout à percevoir. Avoir un dev qui va reprendre une figure développée par un collègue et qui va pouvoir mettre les pieds dedans sereinement en se disant si jamais je n'ai pas à me soucier des effets de bord impactés par les tests, donc avez quand même mis en place des processus de guide.

[00:19:35]

On avait mis en place les tests, on avait déjà coupé notre application monolithique en un bac en fronte. On avait déjà des mecs full stack qui étaient partis plus vers le bas. Accomplissez vers le front, donc on avait déjà fait cette espèce d'embryon d'équipe et donc ça a été c'était facile. Je ne n'ai pas trop de souci. Je vois pas trop de conseils à donner là dessus. Je pense que peut être, on s'est un peu perdu en route sur les séries Facto et ReactOS, la perf machin.

[00:20:07]

On s'est dit Voilà, on a du monde, on a de l'argent. ReactOS pour expliquer aux gens c'est en gros quand tu reprends ton produit, tu fais un gros step en arrière et tu dis OK, je vais reconstruire ça avec les technologies les plus modernes pour éviter de l'avoir dads technique. Fait, ça s'est passé lors. D'un point de vue utilisateur, ça change quasiment. À la rigueur, ce sera un peu plus rapide, un peu plus fluide.

[00:20:28]

Ça, c'est le but. Parce que derrière toi, j'ai eu moins de moulinette. Pis parfois, c'est la même chose et c'est juste plus facile. Ensuite, un intérêt à faire de nouvelles fonctionnalités. Tu connais rien. Du coup, je pense que ouais. On a passé une année et on peut être un peu trop complaisant.

[00:20:43]

Et on voit en laissant peut être un peu le produit fini sur cette essai. C'est ça? C'est toujours un équilibre à trouver sur le ratio nouvelles fonctionnalités que tu va développer, tu m'as schipper versus amélioré. L'existant stabilisé améliore l'existant. C'est vraiment le combat du quotidien. Et donc, on l'a tassé de 40 personnes dans SIM. C'est quoi un peu? Les n'excédait pas Prayssas. Alors là, justement, quand on a ça, pour l'instant, tous les marqueurs sont verdes, de croissance, de chiffre, le recrutement et on est dans les clous.

[00:21:17]

Et là, on se dit bon, mais maintenant, on va ouvrir un bureau à l'international, on choisit Londres, on se dit à côté et l'Eurostar. On va pouvoir faire des allers retours rapides dans la journée ou dans la semaine. C'est cool. Ensuite, le marché anglais, c'est bien du Belge Jacques. Tout le monde parle anglais dans la boite. Puis, en plus, c'est peut être un pied vers les Etats-Unis. Ensuite, on peut imaginer les en ans steps.

[00:21:43]

Grosse erreur, donc.

[00:21:45]

Ça, on se dit aussi bon. Mais voilà, on continue la croissance. Puis Qatargate, 130 104 1% de croissance et on continue à être annuel alors qu'on continue à être agressif là dessus. Et puis, on se dit aussi on va, on va nous notre. Notre expertise, notre vision, c'est d'améliorer les réunions. On est très forts sur les grosses réunions stratégiques et en interne qui Quickoffice, c'est bien la charge, mais non. Est ce qu'on ne pourrait pas améliorer la réunion du quotidien?

[00:22:11]

N'irions à deux, trois, à quatre personnes. Et on se dit tiens, il faut qu'on essaye. On a commencé sur des gros événements 10 dix personnes, juste du tweet Wawel. Ensuite, là, on faisait des réunions stratégiques à 50, 100 personnes. Là, il faut vraiment qu'on essaye d'aller sur la réunion de tous les jours. C'est la suite. Le volume des réunions, c'est là le plus gros marché. Allons y! Là dessus, faisons en sorte que oui.

[00:22:33]

Amelie soit la boite experte dans les réunions entreprises. Et du coup, on réfléchit, on attend beaucoup et en fait, bon, voilà. En fait, il faut un autre futur 7 que celui qu'on a. Quand on est 4 5, on ne va pas libérer.

[00:22:46]

La parole ne va pas permettre à des stagiaires de postes anonymisé anonymement pour se faire entendre dans un grand groupe, on ne va pas créer l'interactivité. Voilà, les gens, ils sont là. En fait, il leur faut de la productivité. Voir les réunions du quotidien. C'est souvent des réunions projets qui font avancer des projets et sorti de là un second produit qui était le produit ploguer à ton agenda, qui a récupéré toutes emitting toutes les réunions et qui proposait un éditeur collaboratif puisqu'on restait quand même sur le site collaboratif de notes pour prendre des notes de réunion.

[00:23:19]

Qu'est ce qui a été dit? Qu'est ce qui a été décidé? Comment faire? A partir de là, on a scindé l'équipe, celle entre France et Londres. On a scindé l'équipe produit tech entre Oyem, libre, l'historique et le nouveau produit qui s'appelait Solives à l'époque.

[00:23:32]

Et c'est là que les problèmes ont commencé. Quand elle explique un peu les problèmes de régler les problèmes, qu'il y en ait. Donc, on a essayé de faire ça de façon débile dans une matière. On va mutualiser le backend, donc on va garder le même socle technique à payday. Comme ça, on va faire un nouvel applicatif Fronte, car on va en profiter pour tester un nouveau framework. À ce moment là, on est parti sur un Burgess.

[00:23:55]

Je suis juste une petite parenthèse qu'on a parlé avant. On a parlé bien technique, mais on a pas expliqué le backend. C'est la partie entre guillemets qui ne voit pas qui posté sur les serveurs toasté, sur la partie qui tourne. En fait, que les gens ne voient pas que l'utilisateur ne voit pas le fonteyne, c'est l'interface sur laquelle il va cliquer. C'est le client. En fait, c'est à la fois une application mobile, c'est à la fois un site web, c'est à la fois un framework.

[00:24:17]

C'est en partant d'un langage de code c'est entre guillemets, des librairies déjà déjà développées dans lequel, en gros. Pour faire simple, je ne sais pas comment expliquer un framework de façon très simple, mais en gros, c'est du code déjà développé avec une certaine philosophie pour permettre de développer plus vite. Pour moi, c'est une sorte de boîte à outils où on l'a déjà coder, les choses que des milliers d'entreprises auraient à faire et qui ne sont pas core business.

[00:24:39]

Par exemple, un système de authentication, un système de logging, un système d'envoi d'email. Tous ces trucs là. Des milliers de boites dans différents secteurs différents. Ça, le framework qui vient de développer ce qui n'est pas important pour toi. Tu dois avoir quel produit ça permet d'avancer plus vite. Il y a aussi des concepts, des philosophies et c'est surtout là dessus qu'il faut juger. Donc, on prend notre framework. Et puis ensuite, il y a aussi la petite guéguerre des développeurs qui va aller sur l'un sur l'autre et se spécialise l'un.

[00:25:06]

Est ce que les développeurs y font l'un et l'autre?

[00:25:12]

Après, il y a eu aussi les guerres d'ego, untel qui voulait devenir lead. Finalement, pour étouffer le conflit, je l'ai dit, cette dernière ligne du nouveau produit qui après à 45 personnes et à 15 après. J'ai fait plein toute mon expérience, mais après, je ne sais pas si je n'ai pas réussi à ce qu'elle est vraiment.

[00:25:33]

On a commencé à sentir un peu les guéguerres politiques, même au niveau de la texture, le produit, le choix, la victime d'un jet de 15 personnes, l'intérêt du politique à l'intérieur?

[00:25:45]

Un petit peu.

[00:25:46]

Parce que parce qu'il y avait deux produits quand il y avait un projet, je pense que sur un seul produit. Ensuite, tu fais des figures. Là, tu veux avoir une équipe qui va émerger sur une fonctionnalité qui va le faire. Ça va, ça va vivre, ça va intégrer. Le truc était sur le même corps. Là, on a eu vraiment ceux qui sont devenus les maîtres de ce produit là, ceux qui sont venus, les mecs de ce produit là.

[00:26:05]

Il y a un truc qui n'est pas forcément pas forcément très sain. Les problèmes sont que politiques. Geico, mais c'est un peu dur. C'est plus compliqué à régler. Qu'est ce qui se passe après? On parle un peu. ROV, c'est un peu la descente aux enfers à partir de ce moment là, mais tu peux nous expliquer un peu ça et après, tu peux avoir un regard critique sur pourquoi ça s'est passé comme ça.

[00:26:31]

Ouais, on arrive à un moment donné où on était plus sur la courbe qu'on peut avoir recours. À un moment donné, on est sur le même compila. On commence à décrocher Décrochements Espada deux mois à 3 mois, à quatre mois, puis 5 mois à 6 mois. On décroche trop. On n'est plus dans les TRAXX, le board avec des investisseurs tous les mois d'hiver. Qui habite ca? Tu ne sais pas trop expliquer la conjoncture. Bon, là, c'est un mauvais recrutement.

[00:26:56]

Machin je n'arrive pas à trouver vraiment le pourquoi du comment est il si on continue comme ça? À un moment donné, je recommanderais cramés 1 million 1 million par an.

[00:27:10]

Si on continue comme ça, on ne pourra même plus faire de plans de licenciement économique.

[00:27:16]

On se dit on a mon avis, on risque de rentrer dans un tunnel et une fois qu'on est dedans, en sortir. Et à la sortie du tunnel, c'est et effectivement ça, ça a été ultra compliqué de dire on est pas encore, on est pas encore perdu, peut être pour reprendre la courbe, mais on y croit pas trop. Il faudrait changer trop de truc un peu structurel, donc là, c'est le moment avant de rentrer dans ce tunnel.

[00:27:35]

On a plus de marge de manoeuvre, on écoutait les gars. Londres Ça fait un an et demi qu'on est dessus. Ça nous a coûté 200.000 balles et ça nous a rapporté 50. Le produit Petite Réunion, qui est un produit marketing sur l'étagère à quatre balles par mois par utilisateur, rapporte 3 milliards, c'est joli fazer.

[00:27:55]

Donc on arrête ce produit, on arrête. Du coup, on restructure. On n'a plus besoin d'autant de développeurs, on a plus de commerciaux et du coup, on est passé de 45 à 45 à 45 à 15 ans en deux plans de licenciements.

[00:28:13]

Le but, c'est de passer de 45 à 27. Justement, à ça, je pense. Je pense qu'on a bien géré en ce moment. Il y a pas mal de trucs. Instagram Balance Tatas, Start Startup qui dénonce pas mal de comportements toxiques dans le bureau. Je pense que moi, on aurait peut être pu être là dedans, mais on a été rapidement appariement. On a su qu'il fallait que l'on largue un peu du lest tout de suite.

[00:28:37]

On a fait une communication de crise avec les équipes en expliquant, en montrant les chiffres. On a toujours été très transparents sur les chiffres.

[00:28:42]

Vous aviez été transparent déjà avec les mois en vous et vous, et tous les mois, vous avez une réunion avec toutes les équipes du royaume qui ont usé leurs propres produits pour montrer, montrer les chiffres des et. Du coup, les employés pouvaient poser leurs questions anonymement ou pas. On avait cette culture de transparence. Ça fait six, huit mois que ce n'est pas mon machin compagnie. Donc voilà, voilà ce qui se passe. On va faire un plan de licenciement économique.

[00:29:09]

Il faut qu'on garde tant de ressources dans chaque truc. Et on avait. On avait à peu près ciblé qui on voulait, qui devait partir et qui devait rester.

[00:29:20]

Ça, des critères? C'est quoi les critères comme critère d'avant passionaria?

[00:29:26]

Non, non, il y a eu. On s'est séparé de dont on s'est séparé. De très bonnes personnes qui, malgré tout les critères, mais qui était son produit solide, par exemple confirmé. Et puis on leur a dit Est ce que tu veux revenir sur amis? Et tout refleurissent? Non. Finalement, je préfère le produit. Bitte aussi. Je ne suis pas trop fan du produit Bentoumi. C'était bien ce qu'on a fait sur ce qu'il faille aller chercher ailleurs.

[00:29:48]

Les critères, c'était vraiment qui qui est utile à ce moment là sur le produit, le commercial marketing, sur ces trucs là.

[00:29:59]

Et du coup, c'est plutôt, je pense, bien bien passé. A comme on était assez connecté via nos investisseurs ou via le monde de la startup. Je crois que tout le monde a retrouvé tous ceux qui voulaient retrouver un boulot, retrouver en 3 à 6 mois, 3 à 6 semaines, un mois, un mois et demi. On a fait des ruptures conventionnelles. Pour ceux qui voulaient justement partir vite et vite, ceux qui voulaient prendre du temps pour souffler, ils ont pu, via le licenciement économique, avoir quasiment leur salaire pendant un an et demi.

[00:30:28]

Et pour ceux qui ont monté les boites, je pense que c'est bien fait. Le seul truc, c'est qu'on mais voilà, on va revenir à 27.

[00:30:37]

Et puis là, comme ça, ça va marcher. Sauf qu'on n'a pas identifié que c'est facile de à peu près manoeuvrer qui va partir. Mais c'est compliqué de faire rester ce qu'on voudrait. Kast.

[00:30:50]

Quand tu passes d'une traque d'une startup qui a levé, qui s'achemine vers une série B avec une grosse croissance, qui a pignon sur rue, tout va bien et on l'a découverte, combattue, décrocher de sa trajectoire après un marché un peu tendu. Il était le vilain petit canard canard.

[00:31:05]

Oui, mais merde, c'est plus si tu fais ce que tu veux, c'est plus aussi fun machin. Et du coup, on a eu de très bons commerciaux qui, suite à ça, se sont barrés pour des raisons personnelles.

[00:31:22]

Il n'y a pas eu de Hardwick, ça a été fait. Là, je vais retourner en province. J'ai monté un truc que jamais ils n'ont pas su garder.

[00:31:30]

Du coup, quand t'as de bons plans, ça tient pas quoi, donc?

[00:31:33]

Du coup, on doit refaire un plan pour revenir à 15/16.

[00:31:38]

Mais du coup, ça a été très, très, très instructif. Et là, on s'est remis dans un mode frugal, dans un mode bootstrap, avec tout ce qu'on avait appris de process. A la fois sur le market, c'est l'attaque et du coup, là, on a fait 2000 2005, c'est très dur. Moi, j'ai eu mon premier gosse, j'ai acheté un appart, donc c'était un total. Cojan licenciements de gosses à partir gÃnÃral.

[00:32:05]

C'était l'année noire, mais après 2017, 2018, 2019, on s'est retransformer en fait une boite athlétic avec une croissance faible mais honorable dans 5, 10 ou 10, 15, %20, une légère croissance, mais surtout une rentabilité. Enfin, on a boosté la rentabilité. On est revenu sur quelque chose bootstrap ou recrutait quand même bon compte. On pouvait l'honorer quand même si t'as beaucoup d'Europe en terme de revenus. Ce que je n'ai pas l'impression que tu me dis, mais pas d'Europe 30 pour s'offrir un Tadros 30 personnes dans ton équipe.

[00:32:39]

En gros, c'est énorme la rentabilité, toute la masse salariale que ce que tu envoies tu pas? Une boite qui est non rentable est une boite qui est super rentable.

[00:32:48]

En fait, je me suis les bureaux et les robes de mariée, ça va être. On devait être à 60, non? En fait, n'importe quoi. En être à 100 000, 100000 balles par étage par an. Et on peut avoir deux étages quand je vois qu'on on a testé le coworking à Brooklyn et c'était bien.

[00:33:06]

Et du coup, ça fait quatre ans. Quatre ans qu'on est toujours chez Mourning Coworking et on est à République, toujours toujours Paris Centre. Et puis surtout, en ce moment maintenant, on est 16 17. Là, on prévoit de remonter à 20 25. Et puis on est la moitié au bureau, la moitié en télétravail en iMode et en plus, on connait sur des nouveaux usages, de nouveaux trucs. Donc on ferait plus, je pense la même, la même bétise de prendre déflore entiers en propre.

[00:33:34]

Si ça a changé, c'est sensation, ok. Et donc du coup, donc là, ta playoff une grosse partie yatim, vous reprenez une croissance, il se passe quoi après? Du coup, on en profite de ce temps là pour refaire des efforts sur le produit. Origamis qu'on avait un peu délaissé au profit du premier produit, le premier produit, le premier qui faisait 95% du chiffre. On a délaissé ce qu'on espérait être la licorne dans la boite.

[00:33:58]

La startup dont la startup, on s'est vraiment focalisée sur certains éléments. On s'est remis à innover, on s'est remis à faire un peu de market et donc, en fait, il y a eu une inertie, une inertie quand même de 2, 6, 6, 8 mois pour commencer, pour chiper ces trucs là et là, on a retrouvé une bonne dynamique. Le taux de satisfaction des clients a remonté au niveau des équipes. Success. On a bien fait du marché, on a bien travaillé la base et tous les voyants sont au vert.

[00:34:28]

Et puis, c'est à ce moment là que, du coup, PME de 8 10 ans qui a une croissance de 10% avec une grosse rentabilité, on a commencé à être, approchait et a ouvert le monde du MNC la revente du rachat. Du coup, on a eu une piste de piste au bon endroit, accompagnée d'un banquier d'affaires. Ça fait quasiment 10 ans qu'on est dessus. On a quand même, je l'avoue, au bout de 10 ans.

[00:34:56]

En tant qu'entrepreneur, vous envisagez la revente au bout de 10 ans.

[00:35:00]

C'est surtout dit. On s'est dit peut être que maintenant, il faudra payer la maison.

[00:35:06]

Non, on s'est aujourd'hui.

[00:35:09]

C'est peut être plus nous qui sommes. On est peut être. On a peut être pris les bonnes idées. On est peut être fatigué. On est peut être plus les bons pour arriver à redresser la boite. On a vécu beaucoup de choses. Ça laisse des séquelles, laisse un peu de séquelles. On s'est dit voilà. En fait, il y a plein de choses à faire. Peut être que c'est le moment de passer le flambeau parce qu'il y a plein de potentialités dans cette boîte là et on a donné notre jus.

[00:35:34]

On a montré aussi peut être qu'on n'était pas capable de faire ce on était très bon trapper. Du coup, on a eu juste une ces réflexions. On s'est dit aussi là, on est en train de croître. Et du coup, souffrait aussi. À nous la question de ce qu'on relève, qu'on repasse par un processus de levée pour compresser le temps et accélérer Rosstat. Faire passer pour ça. Du coup, on savait que c'était un an et demi entre les process.

[00:35:57]

Et puis commencer à faire fructifier. Ou alors, est ce qu'on s'adosse à un gros ou est ce qu'on se fait racheter? Et là, directement, on peut bénéficier de la force commerciale de celui qui nous rachète des dev déjà en place.

[00:36:09]

Du coup, ça nous semblait aussi. On se dit voilà, on a deja fait le levier. On a pas envie de repartir sur un process de 2 3 ans. Si vous faites, ça peut être une bonne opportunité de se faire racheter et de faire intégrer et de continuer dans notre vision, notre produit, mais au sein d'une boîte plus grande et plus de moyens.

[00:36:26]

Et là, ça a été deux années rollercoaster. J'imagine les offres, non des offres non exacto. Exactement. Là, j'ai découvert la brutalité du monde qui a mené les multiples, les ratios, les valeurs, les machins, les audits, l'incendier l'étudient.

[00:36:43]

Là a pris un temps monstre et effectivement, des un jour, c'était super.

[00:36:51]

On avait un Skype avec une grosse boîte ricaine dans l'événementiel avec quasiment 10 mecs du Comex en phase. Un gros truc, un gros truc de deux heures. Tu sors de là lessivées tout à coup de ma chambre ou on ne sait pas trop comment se positionner vraiment. Et puis bon bah, en fait. Puis on a eu des propositions, mais qui n'est pas aussi l'idée qu'on avait de la boite, qu'on avait construite de la valeur qu'on avait sur le marché?

[00:37:17]

Et en 2020, l'année dernière?

[00:37:21]

Monzie Bon bah, je pense qu'on n'aura jamais cette boite. On continuera retrousser les manches. Peut être que sur les 3 associés à chaud parce qu'il y avait pas mal de gens. Franchement, pas un geek insatiable, curieux. Je trouve toujours des trucs à faire un jour. Ben là, on a Jean-Charles, qui a un particulier qui dit Ça fait 20 ans que je bosse dans les telcos.

[00:37:49]

Je rentre de New York pour projet perso, je rentre en France, j'ai envie de reprendre une boite parce que j'ai pas envie d'en créer une. Moi, je suis à l'aise avec des structures de 15, 20 personnes. C'était les structures que je gérait. Dans mes expériences, on discute. Au début, ils venaient juste discuter pour éviter le marché en France. Dans les télécommunications, les machins compagnie n'était pas vraiment axé autour de la vente. Et puis, au final, l'alchimie prend.

[00:38:17]

Je m'entends bien avec lui, ça se passe bien. Et Witches, pas une boite bien bas. Le confinement de tomber. Les humains 8/20 en mars. En fait, on est maudit. On trouver un mec qui est un marchera jamais.

[00:38:31]

Et à ce moment là, tous les corporatismes étaient à faire. Des réunions entre Axon malades?

[00:38:36]

Ouais, ouais, ouais. À ce moment là, en fait, on prend. On prend vraiment 3 mois sur le produit pour dire non, mais en fait, ça fait déjà 2 3 ans qu'on faisait des réunions un peu virtuelles, hybrides en intégrant Zoom WebEx comme ça.

[00:38:50]

Donc là, on n'est pas mort parce que toutes les réunions physiques sont arrêtées de jour. Sauf que tous nos clients ont pu dire voilà, je connecte mon zoom, je connais mon webex.

[00:38:59]

C'est à essayer. Mais il faut vraiment qu'on développe aussi nos propres solutions d'audio vidéo parce que dans le cadre de l'expérience produit, de l'expérience utilisateur de la data qu'on peut récolter. Quelle question était posée? À quel moment? Marchadour une grosse sensibilité data. C'est vrai, il faut vraiment qu'on développe là dessus. Et puis ensuite, on va regarder les clients qui n'est pas équipés non plus. Client, qu'est ce que j'utilise? On se retrouvait alors conseiller. Zoom sans zoom rentrera dans l'ISF et du capital Conz.

[00:39:32]

On pourrait aussi énoncer de mars à mars à juin. On a vraiment bien turbiner. Produits à la Tekki, on a sorti en septembre deux solutions une solution, une solution qu'on appelle Visoko Labs, où tu peux collaborer avec une vingtaine de personnes en temps réel audio video. C'est vraiment un zoom Skype. Et puis, on a sorti aussi une solution de webinaire. Oula, tu auras 2 3 speakers qui enregistre un live.

[00:40:03]

Et ça, on peut le broadcast jusqu'à 10 000 personnes. Quand on a sorti ça et on a vraiment en septembre, on a une solution tout intégrée All in one, qui permet de gérer n'importe Clarion physique, ce qu'on fait depuis 10 ans. Virtuel, ce qu'on fait depuis un an à 100%. Et puis aussi hybride.

[00:40:23]

Et puis, en fait, malgré le confinement de réceptacle, Jean-Charles en a partagé cette vision. Il a suivi ce processus et il a repris la boite en septembre en même temps, en même temps que les nouvelles offres sont sorties. Moi, mes deux associés, mes deux associés ont fait une passation et ils en sont partis avec une sortie cyclines. Les investisseurs qui eux aussi, sont sortis dans la liste de contrats avec une boite qui a failli mettre la clé sous le tapis.

[00:40:53]

Ouais, c'est bon.

[00:40:57]

Voilà reparti comme en 14 sur un marché qui, en ce moment, est juste hallucinant. Donc, je pense qu'il y a aussi une bulle sur l'évènementiel digital très, très trendy. On voit notre petits ami de hoping qui elle est valorisée 2 milliards, qui lève 140 millions la boite la boite en 11 mois boite à 11 mois, ils ont fait 11 millions en 11 mois et ils sont passés de 3 à 200.

[00:41:20]

Mais je ne sais pas comment c'est d'héritière. Eric. Et c'est bon. Voilà, donc on est dans un marché qui coule en ce moment, on fait beaucoup de réunions, on résout vraiment beaucoup de problèmes. Nos clients, qui sont un peu démunis face à la crise, quoi. Leurs employés sont éparpillés partout. Comment tu communique sur la stratégie, les chiffres? Quand tu rassure les clients, c'est principalement des corporate qui n'est pas du tout habituée à ça.

[00:41:52]

J'ai envie de te dire dans le monde de la startup et de la jeune boite s'en fou. Le télétravail, ça s'est plutôt bien passé pour la majorité des gens. Mais moi, quand je vois mes potes qui travaillent incorporait, ils pleurent tous quand ils ont la solution que les corpos avaient pour contrer ça. Ça a été de faire réunion sur réunion et meeting, mais qu'ils passent leurs journées en août, c'est aussi limite le flicage. Comme si j'étais toujours en réunion.

[00:42:13]

Je sais ce que tu fais. Tout n'a pas été affecté. Moi, ça, ça fait déjà pas mal de temps, quand même. Des dev qui étaient full i-Mode à Clermont-Ferrand.

[00:42:22]

Et donc, oui, le foulard foulard s'est bien passé. Et là, effectivement, on a accompagné nos clients dans cette transition là et il des trucs très cool. Et juste pour revenir sur le rachat, pourquoi t'intéresser? Donc, tu dis que t'es toujours cette Niakaté, mais du coup, tes deux associés sont sortis. Comment s'est passée la transition entre les deux anciens associés et Jean-Charles, puisque j'imagine que lui, il arrive dans une boite dans laquelle il est bien sûr nouveau.

[00:42:49]

Mais il prend une position qui est la position du CIO. Toi, t'as déjà ta position, mais a le plus longtemps. Comment ça se passe un peu?

[00:42:54]

Toute cette gestion là, entre vous deux, s'est très bien passé. Je pense qu'on a un caractère qui marche bien. De d'Eschyle, en plus, ça lui aussi. Il y a assez d'ingénieur et je pense que enfin, en tout cas, moi, j'aime bien quand je vais choisir un framework, un truc que je vais regarder ce qui se fait dans le panorama. Je vais peser le pour et le contre moi. Je suis, je suis, je suis un peu typ médiateur, mais aussi, du coup, la collaboration fait vraiment très bien.

[00:43:26]

Ce qui est vraiment cool, c'est que lui, il apporte ses expériences, son expérience de gérer une équipe marketing commerciale. Success co. Il y a plus qu'une seule tête là dessus versus 2. C'est aussi plus simple, plus simple. Mes associés avaient aussi un rôle opérationnel. Parfois, quand tu es dans le rôle opérationnel, t'as du mal à en sortir. Du coup, quand il y a un truc qui passe bien, tu vas avoir tendance à protéger les équipes.

[00:43:50]

Protège toi! Mais ça va mal. Parce que si. Parce que là, quand on a un rôle vraiment au dessus, tu peux dire ça, c'est bien normal. Donc là, ça marche très bien. Moi, je suis resté parce que on a un gros projet super sexy ou on enlève toute la dette technique fontaine, donc tous les jeux bout de code qui reste depuis 2004. Dorze Encore des bouts de code de 2014 en. Il y a encore beaucoup de doutes que 2014 est énorme 40% de l'application qui sont là dessus.

[00:44:18]

Et là, tu peux me lâcher un peu en termes de revenus. Tu fais combien par mois avec des bouts de code 2014? Juste pour remettre ça en perspective? Ouais, en ce moment, on se moque, dit Booking mensuel explose. On est en plus de 100 000, on fait plus de 100.000 euros de booking par mois et on a une année. On doit atterrir sur un chiffre d'affaires d'un million 6 millions 7. Et normalement, le Forecast de cette année, c'est plutôt 2003/2004.

[00:44:44]

Là, tu fais 2 millions 3 2 millions. Tu vas faire de Mélantois des millions CAD avec des bouts de code. 2014, ça arrive en perspective. J'ai envie de remettre en perspective un peu souvent puisque d'un côté, il y a.

[00:44:54]

On a beaucoup de gens qui n'ont pas confiance en leurs produits autres et j'ai envie de leur dire voilà avec des bouts de code de 2014. Vous pouvez faire ça des chiffres et une belle croissance. Si son nom, mais s'ils sont bien agencés, qui sont testés, il y a aussi un travers. De nos jours, c'est pas mal, non? C'est que dans ce produit là, on a peu de librairies tierces. Y'a pas mal de choses qu'on a développé.

[00:45:20]

Nous, il n'y a pas que Backbone sont issus du backbone JS, qui est pas un framework. C'est une librairie, donc c'est un peu plus proche du JavaScript pur. Du coup, tu passes plus de temps à écrire des choses parce que t'as moins d'outils à la disposition, mais tu maîtrises aussi réciproquement. Je maîtrise ce qui se passe derrière et en fait. Maintenant, on a tendance aussi à avoir une dépendance à des projets tiers énormes, pas contrôler ce qui se passe en dessous, à prendre des livres, prendre des rendez vous final, trouver un exécutable qui fait 4 gigas 4 mégas en JavaScript à télécharger chez l'utilisateur.

[00:45:53]

Et il y a aussi dans le monde du dev, un espace de formation système embarqué, bas niveau, ingénieur optimise tout parce qu'on n'a pas de ressources.

[00:46:05]

Peu à peu, de mémoire, il faut que tu es déjà là maintenant dans le dev web. Dans le décompte, t'as besoin de faire un truc, tu vas regarder un package qui va bien. Si tu rajoutes pas la tequila, tu regardes pas ci, fais pas appel lui même à 18 paquets depuis les ordinateurs jaillie et ils ont de plus en plus de performances avec.

[00:46:25]

Tout est doublé et en fait, les performances ne sont pas forcément meilleures. Les CPU, les trucs augmentent et du coup, les développeurs. Il se laisse la possibilité d'être moins perfectionniste.

[00:46:38]

Quand tu sais qu'un jour, ça m'a choqué. Il y a un mec qui est un peu connu, qui s'appelle Jean-François Zobrist. J'ai entendu parler de ce gars là dedans. En fait, les premières, j'aime pas trop ce terme là, mais l'entreprise libérée. En France, il y avait une boite qui faisait du qui s'appelait Favi et du Leyton injectait. Bref, mais en gros, le mec a travaillé à y travailler. Ou à Grenoble, je sais plus dans quelle boite tu faisais des microprocesseurs.

[00:47:04]

Et en fait, un jour, en pleine conf, devant des centaines d'ingénieurs, il a lâché de façon les dev d'aujourd'hui, ils sont moins bons que les dev il y a 10 ans. L'explication est toute simple, c'est qu'on fait aujourd'hui de plus en plus de ressources. Mes applications ne tournent pas mieux. En fait, j'étais là et je me suis dit en fait, ça a résonné dans ma tête et je me suis dit Oh! S'est énervé le mec dit un peu vrai quand même, même si je ne suis pas d'accord sur le fait que les dev d'aujourd'hui sont moins bons que les dev.

[00:47:27]

Mais en fait, à la fin, tu regardes ça. Il y a quand même de la vérité dans le sens où maintenant, on se préoccupe d'optimiser les choses. Après, je ne dis pas qu'il faut faire, mais sur optimisera. Je suis le premier à dire que la sur optimisation, c'est un fléau. Mais il y a des moments où on tombe dans un autre extrême. Que dire? En fait, on a tellement de ressources à notre dispo qu'en fait, c'est toujours plus, toujours plus tôt.

[00:47:46]

Plus nous ramène de trucs qui ne servent pas à grand chose. Et en fait, des fois, trois lignes coder, coder soi même, ça ne vaudra mieux que d'aller chercher un paquet, ce qui fait Dimitri d'agrafes. Réinventer la roue, mais justement, vue. Il ne faut pas avoir honte d'un truc qui a peut être été fait très, très bien en boite. Quand on a une chance de facto, c'est que notre parti backend notre parti.

[00:48:06]

Voilà notre parti API, base de données et compagnie. À un moment donné, comme il y avait 500 personnes là dessus, très talentueuse, qui sont partis dans D. Après moi, j'ai beaucoup d'enfants qui sont partis chez Google, Facebook, Vente-Privée. Ils sont vraiment partis dans temps des belles boites et ils y sont encore. Ils s'épanouissent bien. On est un très bon backend qui fait toujours 4 5 ans. Après, on a pas besoin de le toucher.

[00:48:28]

Ça se cale bien au quotidien. Chaque jour, on a un rayon de 1000 participants en simultané. On doit avoir près de 10.000 personnes sur n'attrape tous les jours. Et tout ça s'est déployé sur quoi?

[00:48:43]

On a une grosse spécificité aussi. Et on est très franco français. Donc, comme on travaille beaucoup avec des grandes entreprises et que souvent, ces réunions là dites stratégiques du Comex, des présentations de résultats des machins, là, tout le monde a peur que Google écoute les produits. Moi, le premier, tu connais la blague ou qui a Google? Admet, m'écoutait Assiri. Qui ailleurs est Alexakis rigole aussi. Quand on est, on est chez un fournisseur français, explique Claranet, fournisseur et infogérance.

[00:49:11]

Ils nous mettent à disposition des super machines dans un super data center en Ile de France et nous aident aussi sur la partie antirouille du conseil consultant du journal chaque mois. Ils nous ont vraiment aidés à mettre en place une architecture haute disponibilité répartie sur deux datacenters physiques, ce qui fait que ça répartit la charge sur un général des deux en même temps. On a depuis 3 ans entre 6 et 20 minutes de time par an et la moitié essaie de le maîtriser parce qu'il faut rebooté.

[00:49:38]

Un truc a une faille de sécu à jour. On a vraiment un time, c'est pas mal de ouf.

[00:49:45]

Ces critiques pendant une réunion comme celle de comptabilité tu sur ton après la pause. Quand vous êtes à une réunion d'une heure et que tu trouves ça mieux technique. Donc, on n'a pas le droit à l'erreur. Et puis, le temps, c'est la valeur la plus précieuse. Et puis, surtout, on a des clients qui mettent un peu en jeu leur talent, leur crédibilité, leur position qu'on a dit. On va faire une réunion sur cet axe stratégique que tu déplace des gens, ça ne marche pas.

[00:50:13]

C'est pas bon pour eux aussi. Quoi donc? Vraiment, le facteur confiance. Et là aussi. Et puis, on a un gros enjeu sur la sécurité pour s'assurer qu'on respecte bien toutes les normes fiabilité, sécurité. C'est un gros travail du quotidien. Mais Claranet, en plus, ils sont connus pour ça et je sais qu'ils ont. Ils ont des accréditations pour les données de santé et les choses comme ça, c'est le top top des accréditations en France là dessus.

[00:50:37]

Ouais, ils ont pas mal la création bancaire médicale. Après un truc bien aussi, on a une partie sur ce qui est loin. Crois que c'est en ces frais on line. C'est Free en plus derrière. Ils ont des boites intercepteur, ils font pas un truc aussi écolo avec du colling adiabatique, des trucs assez sympa. Donc on est pas pas les cool kids sur Azure à WSC. Ce qui pourrait être sur. C'est pas les à WS recoud les cultures.

[00:51:10]

Il y a une chose qu'il y a, je crois. Y a 3 4 épisodes à trouver André Bastié à Visceral, qui est un outil de transcription automatique. Et en gros, on parlait de ça. Il disait visio. Jamais je ne partirai avec beaucoup de visions différentes, mais c'est une c'est intéressant. OK, on a fait le tour de la foule, l'histoire, le fou, l'histoire, mais je me sens un peu annule les hyper.

[00:51:40]

Et en gros, est ce que tu pourrais un peu pour conclure, conclure le podcast, nous donner un peu laméthode? Guillaume Potier Pour dessiner un produit, pour concevoir un produit, pour vraiment créer un produit. C'est quoi les 3 4 trucs les plus importants, selon toi? Si tu veux, tu peux découper en fonction du stade de développement de la boite.

[00:52:01]

Mais je pense que peu importe le stade du développement, c'était vrai pour quand on a commencé au début et c'est vrai pour les nouvelles fonctionnalités qu'on fait. On essaye de penser une fonctionnalité de A à Z et ensuite on essaye de dire ce qu'on ne peut pas. On ne peut pas la livrer. La Schippers en 2 3 livrables. À chaque fois qu'on réfléchit à un produit et une fonctionnalité, on vient penser à plein de choses et j'essaye de toujours isolé.

[00:52:28]

Quelle est la partie de responsabilité qui est la plus critique pour les utilisateurs et qui est celle qui est la plus visible, le plus immédiatement utilisée? Imaginons que tu doive recoder, tweeter. Tu as certainement pensé il faut faire les messages privés. Il faire ces courriers? Non? OK, on le prévoit. On peut le designer. On peut même le chiffrer en dev ou le prévoir dans la conception. Mais on va vraiment s'assurer de chipper le flux, le flux, la dessus, avec peut être juste les bonnes gens et même pas les retweete pour rapidement avoir un truc robuste, bien développé.

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Donc ne pas le faire seulement, ce qui n'était pas le cas au début, de développer proprement. La première brique qui est la plus utile et la plus critique et la plus vue utilisée par les créateurs. Et essayer, on a tendance à toujours. On a un biais. C'est toujours les utilisateurs qui remontent des choses. C'était pour ceux qui utilisent au maximum. Et ils vont dire oui, je reviens ce truc là. Et en fait, quand tu regardes dans ton produit board, nous, on centralise tous nos retours.

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C'est quoi comme produit board, le premier produit en appelant un truc à Raffestin aussi, qui permet de remonter du feedback board. Et on remonte les feedback utilisateurs, les feedback polariseur, les feedback de l'équipe et on essaye de leur mettre justement une espèce de pondération en disant en fait et aussi là, il y en a aussi des feedback de prospects.

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Les commerciaux ne remontent à chaque fois qu'ils ont rendez vous une démo que le mec qui signe ou qui signe pas. Ils remontent tous et toutes les infos, toutes les infos, toutes les objections et les machins. Donc, si on essaye vraiment d'identifier ce qui va servir au plus de monde et ensuite, une fois qu'on fait ça, on va développer le stade 2 Step 3 et on va essayer de profiter de prend tout de suite Téré potentiellement sur le premier step, si on a déjà des pros des premiers retours, donc on essaye et on essaye.

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Et puis on a pas peur de casser les choses. Après, ça fait un peu autantde dans les lieux communs à Facebook Go fast and Boxing, phase 500, Go fast, c'est autre chose.

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C'est un fait. Ceux sud ouest, ça serait ça qui est intéressant. C'est intéressant parce que dans un truc que tu veux rajouter sur un truc qu'on n'a pas mentionné, qui est que tu trouves intéressant qu'il faudra quand même un message pointu pour recruter des tas de gens à recruter.

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Ouais, ouais, c'est vrai en ce moment, mais en ce moment, en ce moment, ça marche bien pour nous. Malheureusement.

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Enfin, contrairement à d'autres, je pense commerce business qui sont affectés moi même ma vision du moment.

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Et on vit une sorte de bulle. Donc je pense que non essaye. Je pense aussi que les gens là dessus doivent pas, à mon avis, faire des plans sur la comète basée sur ce qui se passe en ce moment. Parce que certainement dans un an et demi, deux ans, quand tu auras un retour à la normale, je pense qu'il y a un gros retour aux évènements physiques ou réunions chargeons. On a tous envie d'aller au resto, au cinéma et donc je pense qu'il va y avoir une espèce de backlash ou bien manger du numérique.

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On aura bien mangé de la visio, du machin et on va en revenir.

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Ce qu'on va bien manger au restaurant, au restaurant.

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Je pense qu'il faut. J'ai l'impression qu'il y a beaucoup de trucs qui se font en pensant que ce moment là va être éternel. En revanche, persuadé que ça a changé beaucoup de choses dans nos façons de travailler, aussi bien chez les petites boites que les et surtout les grosses boites ou le télétravail était vraiment un tabou.

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C'était des gens juste et là, on a une de nos banques.

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Une de nos banques a appliqué maintenant de façon définitive et permanente deux jours de télétravail autorisé à tous ses collaborateurs.

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En fait, je souhaite que ces 3 4 années mouvementées qui sont du pain bénit pour tout ce qui est collaboratif et numérique Mireault et doivent se frotter à Amirault.

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Est ce qu'on pourra voir tableau blanc à la Mireault au tableau blanc?

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Mireault d'État de grâce? Le collaboratif et digital. Là dessus, je pense que, mine de rien, ça a 3 ans, on a fait ce qui aurait pris 10 ans sur ce marché en terme d'équipement. Nous, on a des clients maintenant qui font des appels d'offres en disant on veut s'équiper de solutions digitales. On va tester la sécurité, on va tester la scalabilité. En fait, ils vont être équipés et ça sera vachement bien pour nous. Ensuite, c'est la bonne chose.

[00:56:47]

En fait, jusqu'avant, il y avait beaucoup de Shadow Haiti, l'Imec, l'Intermarché qui se structure.

[00:56:52]

Et toi, je pense que c'est vraiment bien pour le marché. C'est bien, c'est entré dans le tertiaire, dans le tertiaire et il va y avoir un changement. C'est une des choses qui fait que je suis toujours curieux et impliqué sur cette boite dans ce produit, ce que je fais parce que je pense qu'on est en train d'assister à des changements organisationnels communicationnel intéressants dans les années à venir. Bon bah, super cool. Merci Guillaume, c'était cool. Merci à une prochaine marée.

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Maintenant, on va passer au mur à mur d'escalade.

[00:57:25]

Tu reste, je te megapixel. Merci Asadho!