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Jonatan, salut ça, ça va bien, toi, ça va, ça va tranquillement, je suis super retorse à voir aujourd'hui. Pour rappel, dessine moi un produit. C'est un podcast dans lequel on décortique des aventures entrepreneuriales d'un point de vue produit à monter un super produit qui est swallow. Et du coup, peut être est ce que tu peux te présenter et pitché ton produit en même temps puisque globalement, les aventures des entrepreneurs produits sont très reliées, totalement en ligne.

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Déjà, merci beaucoup pour l'invitation. Moi aussi, je suis extrêmement content d'être là. Je m'appelle Jonatan, j'ai 25 ans et j'ai eu l'occasion de la chance d'avoir une idée à un moment donné. Un peu rigolote au début, mais qui aujourd'hui, du coup, est devenu une boîte. C'est qu'à l'époque, quand j'étais encore au collège, j'avais un blog, un blog WordPress où je parlais des nouveautés un peu social media, iPhone, etc. Donc, c'était un blog WordPress et j'avais remarqué qu'en journée, mes tweets sur Tweeter avaient beaucoup plus d'impact qu'en soirée.

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Et du coup, j'ai cherché sur Google. Et s'il n'y a pas une application qui permet de programmer des tweet, ça n'existait pas. J'ai publié sur Twitter parce que j'étais sur Twitter et à tout le monde m'a dit non, sauf une seule personne qui m'a dit Moi, je ne connais pas, ça n'existe pas, mais je peux créer un petit bout de code. Je te le passe et après tu en fais ce que tu veux. Et c'est là que, du coup, le projet a commencé.

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Et donc, aujourd'hui, qu'est ce que c'est, Swallow? C'est une plateforme qui permet aux communicants à gérer au mieux leurs réseaux sociaux. Ils vont pouvoir faire de la veille de la programmation et de l'analyse. Sur Twitter, Facebook, LinkedIn, Instagram. De la curation de contenu. Être au courant quand est ce qu'on parle de sa marque ou pas de la programmation? Programmer un poste dans le temps, par exemple. Là, je suis avec vous.

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Mais peut être il y a des posts qui sont en train de se publier automatiquement et après de l'analyse statistique pour s'améliorer sur ce qu'on a pu faire auparavant en fonction des réactions de nos communautés. Démarrage, c'est vraiment quelque chose que tu as, un problème que tu as, toi, complètement, qui est suis un gamin de 15 ans. J'ai besoin de poster sur mon blog, de poster mes articles de vos blogs sur Twitter. C'est ça en journée.

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Et donc là, il y a quelqu'un qui t'a fait un bout de code. Oui, il m'a fait un bout de code et qui était vraiment là. On était plus basique, c'est à dire que pour juste contextualisés, je ne suis pas développeur dans ma formation. J'ai pu apprendre à développer, mais ne suis pas développeur. Je suis plutôt être designer intégrateur, donc vais faire la beauté d'un site et je vais le rendre cliquable, mais non fonctionnel.

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Et une passe, un bout de code. Donc dev 1min. Et ce bout de code, qu'est ce qu'il fait? En fait, il recharge une page web toutes les secondes pour vérifier si, dans une base de données, il n'y a pas des posts à publier. Il n'y a pas des tweet à l'époque à publier. Faut quand même se rendre compte que mon ordinateur était un serveur. En fait, toutes les 30 secondes ou toutes les minutes plus tôt, toutes les minutes, ça a regardé s'il n'y avait pas un poste.

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Au début, je fais un design extrêmement moche en marron qui fait le design marron. Personne. Et donc je fais le design, je l'intègre, je prends mon bout de code et on le met en ligne. Alors je dis non. Pourquoi? Parce que cette personne que son pseudo qui s'appelait Sans comme je l'avais jamais rangée au Canada et l'habitaient au Canada, y habite toujours. Je pense, et on s'est jamais rencontrés. D'ailleurs, on ne sait plus trop parler après.

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Je te le passe temps, fait ce que tu veux et j'ai pris un bout de code. Et après? Ben moi, j'étais tout seul, entre guillemets. Donc j'ai cherché un autre développeur. Et c'est là qu'une personne d'un an de moins que moi qui avais 14 ans me dit Moi, je Chucho pour qu'on développe le projet tous les deux. Cette personne s'appelle Lancelot Hardel. Il s'appelle Lancelot Hardel et aujourd'hui la tête de liste. Donc, quand je vois un avion parce que du coup, ça bosse pour lui, pour les billets d'avion, etc.

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Sachez que même s'il était stationné, il détestations exactement. Et avant lui, il était aussi à la belle vie. Donc, du coup, il a fait pas mal de choses. Et donc, au tout début, il y a maintenant 10 ans, il a commencé ce boulot avec moi. On a bossé 222 ans, c'est vraiment ensemble. C'est vraiment un projet vraiment qui, au début, a pas vraiment de grandes ambitions.

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Pas du tout, parce que l'idée, c'était juste pour nous. Donc on l'a mis en ligne grâce à Lancelot. On l'a mis en ligne, il a pris le bout de code. Moi, j'ai mis le design, on a fait tout ça et on l'a mis en ligne le 17 octobre. Pour l'année 2010, 2010 avait donc vraiment idéalisant en disant aiguisant la anniversairede. Et ensuite, dès la première semaine, il y a l'équipe Journal L'équipe qui l'utilise.

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Après, on passe à autre chose. Donc OK, donc ça, c'est 2010 2010. Vous avez ce bout de code là. Vous avez cette petite solution qui tourne que vous avez fait vous même. J'imagine qu'elle est complètement buggé. Il y a des trucs qui ne marchent pas totalement, totalement comme eux.

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De toute façon, les premières versions Comment vous faites là? Vous êtes encore étudiant? Je suis passé en lycée français, en collégien. Ça dépend. Lycée, voilà. Justement, vous êtes lycéen. J'imagine que vous n'avez pas monté une boite tout de suite. Ce c'était même pas l'idée. C'était même pas l'idée. Et du coup, comment? En gros, si tu peux nous faire un très rapide, en gros. Quelles sont les grandes étapes qui amènent un projet de deux gamins à 15 ans en 2010 à une boite qui tourne?

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Et vous avez jusqu'à maintenant en 2020? C'est quoi les grands jalons, les grosses étapes dans le développement produit? Pourquoi donc y a 2010 création? Ça, c'est sûr. Après la grosse étape. Jour où j'ai dit à mes parents Je vais arrêter mes études. Je m'arrête vraiment débuté pour monter la boîte. C'était en 2015 2015. Fin 2015 2016, donc pendant 5 ans. Oui, vous avez un produit qui tourne, mais pas de boite. Oui, donc pas du visiteur payé en plus.

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C'était que du gratuit. Au bout de deux ans, il m'a dit Moi, je vais partir, je vais faire autre chose. Donc, ça veut dire que les deux premières années avec Lancelot, les 3 3 années, pardon, 3 années d'après, je suis seul et à ce moment là. Après, je fais une alternance en d'eviter mamy métiers du multimédia et de l'internet. Et donc, j'étais chez Taupont comme j'étais web, designer, intégrateur et à ce moment là, donc, le premier jalon, c'est je vais voir mes parents, mes proches, mes profs, etc.

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Pour leur dire ce que j'arrête ou pas pour monter leur boite. La réponse est oui. L'autre jalon, c'est du coup.

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Au même moment, je rencontre mon associé qui est le meilleur ami de mon frère, qui est développeur. On s'associe, on est vraiment complémentaires, on fait un accélérateur. C'est le deuxième jalon. Ensuite, on faisait quoi comme accélérateur, alors? C'est l'accélérateur de TVT Technologies. Ensuite, parce qu'on vient de Toulon et c'était la première saison. Et on a été sélectionnés pour faire cette première saison pendant quatre à cinq mois. Et du coup, à la fin, l'accélérateur.

[00:06:21]

On monte la boîte légalement le 29 février 2016. 2016, donc, aurait il n'y a pas si longtemps que ça? Il y a quatre ans de ton aventure. C'est ça. Et c'est là où, juste avant. Enfin, en décembre 2015. Et là, on réfléchit donc au modèle payant freemium Ahmôsis. Mais c'est tout tout en même temps créationde la société accélérateur modèle freemium. Ensuite, via notre premier employé, juste après notre levée de fonds et le dernier jalon, j'y reste.

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Aujourd'hui, le produit est vraiment mature. Ce n'est pas quelque chose d'officiel, etc.

[00:06:52]

Mais on a quand même mis dix ans à avoir ton idée. C'est un produit mature. Là, tu considères en gros. Même si le développement produit, c'est jamais fini, il y a toujours des améliorations à faire. Mais là, tu dis OK, j'ai un truc qui tient la route est à le faire. OK, OK, super cool. J'ai plusieurs questions là, justement, sur ce truc là. Comment au démarrage, vous avez le dev, j'imagine?

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Vous l'avez fait vous même? Oui, il y a vraiment la première version. Elle est développée par vous même. Vous apprenez sur le tas au fur et à mesure que vous développez.

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Mais comment vous financer puisque vous avez quand même des coûts de serveur? J'imagine que vous avez pas mal d'utilisateurs quand même sur ces ans. Si tu me dis qu'au bout d'une semaine, l'équipe qui utilise votre produit, vous avez dû avoir un petit paquet d'utilisateurs. Ouais, quand on est entré dans un accélérateur, on avait entre 15 et 20000 15 et jamais de l'ordinateur. OK en mode SLI qui revenait tous les mois. Pas forcément tous les mois, mais qui revenaient assez souvent.

[00:07:50]

C'était plus souvent, c'était plus sur le total. En utilisateurs actifs, on montait à plusieurs milliers. Ouais, enfin, vraiment. Entre 5 et 8000, je pense. Entre 5 et 8 millions. Au total, on était à 20 000 il y a un moment, juste avant, justement, qu'on lance la boite. Il y a un moment où ça a pris énormément d'ampleur. En 2015, on a eu toutes les chaînes de la TNT, toutes les chaînes de radio, des YouTubeurs vendant beaucoup, beaucoup de marques et pas que des petites d'éclairement, des grosses marques.

[00:08:19]

Et c'est là où on s'est dit c'est au moment où je me suis dit Est ce que je m'arrête ou est ce que je me lance? Et au regard de tout ça, j'ai bon. Au pire, je reprends mes études l'année prochaine si elle a peu de peu de risques. Et là, vous étiez à cette époque là, vous avez une image d'utilisateur tt seul. On avait 8000 et quelqu'un qui venait tous les jours ou les mois. Toujours pas d'utilisateurs qui payent dapproche.

[00:08:47]

J'imagine vraiment ton serveurs. Tout ça reste à démonter. Ça commence. On est toujours un petit PC dans ta chambre qui, depuis très longtemps d'ailleurs, on s'appelle Thibaut. Comme c'est le meilleur ami de mon frère, il m'a quand même sauvé la vie deux fois avant qu'il ne devienne mon associé. On s'associe notamment Un jour était la veille de mon bac blanc français où les serveurs crachent. Je ne sais pas redémarrer. J'arrive pas parce que j'ai des petites bases à gérer des cas et je n'arrivais pas à redémarrer.

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Et c'était une heure du matin et dans la journée, ça faisait déjà déjà toute la journée ou c'était down. Et il y avait une grosse grosse marque de radio qui m'a appelé à ce moment là et qui m'a dit en fait, on a vraiment besoin que ça fonctionne demain. Donc, un petit coup de pression. Sauf que je ne sais pas le faire. J'appelle les mecs qui appellent leurs services support et l'aide totale du site permuté. Un produit gratuit.

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Mais en fait, à l'époque, il n'y avait que nous. C'est à dire qu'il faut savoir que nos concurrents sont créés. En 2010, également le même mois, il y a un nouveau concurrent juste avant, mais un autre vraiment le même mois qu'en France. Surtout, il n'y avait rien, y'a rien d'autre. Et donc, du coup, c'est pour ça aussi. Je pense que ça a bien fonctionné. C'est qu'il n'y avait pas d'autres outils, les marques.

[00:09:56]

En plus, c'était gratuit, donc les marques sont arrivées, etc. Etc. Ils ne nous ont pas mis la pression de fou, mais nous ont dit ce serait vraiment cool si ça continue demain parce qu'on a prévu une campagne, etc. Donc là, j'appelle Thibeau dans la journée et à une heure du matin, tout est réglé. Encourrait, assure de son côté Il faut savoir que Tibo, il a cinq ans de plus que moi. Du coup, le meilleur ami de mon grand frère, il est ingénieur et développeur.

[00:10:17]

C'est pour ça qu'on est hyper complémentaires, autant au niveau produit est développeur, web, designer, intégrateur, autant au niveau caractère.

[00:10:24]

Moi, j'adore parler parce que ça fait moins aimer ça. Donc, au final, quand on s'est associé, c'était parfait, sûr. C'était vraiment l'idéal. Et ça, cette association là. Elle arrive quand même six ans après. Elle arrive, vous connaissez? En 2015, vous connaissez? Mais en fait, c'est tout naturel que vous associez comment ça se fait. Cette association là, le produit, c'est lui qui dit J'ai envie de rejoindre parce que tu l'avais déjà rentré un peu dans le truc.

[00:10:46]

Ça, c'est un petit peu ça l'histoire, mais c'est assez drôle puisque le jour, mais non, pas le jour où je dis à ma mère et à mon père que je souhaiterai arrêter l'école pour me lancer dans ce vélo. Je reçois un mail au même moment. J'entends le petit biotine. Vous êtes au même moment de Thibault qui me dit Ecoute, je reviens de Berlin, je t'avais promis égalité des deux semaines quand je reviendrai. Voilà, je suis de retour sur bosser pendant deux semaines sur ce vélo.

[00:11:11]

C'était les vacances. Je suis avec grand plaisir. Du coup, ça fait 5 ans, mais ça s'est fait petit à petit. Il y a une réflexion. On s'est dit on allait et on a eu un rendez vous avec Tweeter France. À l'époque, on n'était que sur Tweeter. A l'époque, ton produit s'appelait Claude. Twittent. Si je me trompe pas. Twitter Claremont de 2010 à 2016.

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Quand est ce que tu diversifie justement l'accélérateur, même juste après? Parce qu'en fait, pendant l'accélérateur, on est, on se dit que c'était une bêtise. On se dit non, non, non, mais nous, notre particularité, c'est d'être sur Twitter. Donc on va rester sur Twitter. On va pas aller sur les réseaux sociaux et il s'avère qu'après, on dit on est bête. Du coup, on va dire pendant la levée, pendant que ça a duré huit mois, où on discute beaucoup avec nos futurs investisseurs.

[00:11:55]

Ils nous disent ce serait cool d'aller sur d'autres réseaux sociaux. Nous aussi, en interne, on s'était dit OK, ça peut être cool et c'est là qu'on ajoute Facebook. Et donc, c'est dans l'année 2017 16 2016. OK, Facebook, est ce que vous avez levé en 2016? On a levé en 2017. Mais du coup, la levée avait commencé en 2016. On a levé en juin 2017. OK, donc là, tu avais déjà une première version qui tourne sur ta première version, qui tourne sur Twitter.

[00:12:22]

Tu lèves pourquoi? Pour aller plus vite, pour aller plus vite? C'est un constat, mais disons que quand j'ai commencé, les concurrents avaient l'âge que j'ai aujourd'hui. Ce qui fait que du coup, j'avais 15 ans. Moi, j'avais juste mes cours. Spylo, c'était une heure par semaine, par mois et par jour. Eux, c'était du full time, vraiment temps plein et ils étaient plusieurs. Et ça a explosé de plus en plus. Nous, quand on arrive au moment où on lève 22, je crois 1 2 ans, il faut rattraper un retard qui était là, un retard technique, un produit et un retard au niveau du produit, mais aussi un retard sur le marché.

[00:12:54]

Les deux Larrouy, j'allais dire oui l'un et l'autre, mais disons que on restait quand même présent. On était quand même là après le jour de la levée. On change aussi notre nom puisque du coup, on passe vraiment. On veut enlever de la tête de nos utilisateurs que du coup, tu sais ce que c'est que 8 heures. Puis après, il y a eu d'autres. D'autres raisons pour lesquelles on a changé de nom. C'était très long. C'était un peu tu clock, c'était un peu pas très doux, alors que silhouette et doux, etc.

[00:13:21]

Il y a plein de raisons, mais du coup, on a voulu tout changer. C'est quand on a annoncé la levée qu'on a changé de nom.

[00:13:27]

Mais oui, et donc? Du coup, vous l'avez compris, en termes de montant, on lève 465 000 465 00 auprès de 4 fonds et non par business angels.

[00:13:40]

Les business angels Guillaume Massalia, qui a fondé le site VDM Garde, qui est aussi de ma région du Sud. Et on s'est rencontré un peu avant et il m'avait dit Si un jour vous levez, vous m'appelez, on l'appelait. Du coup, ça s'est fait petit à petit. Et après? Du coup, on a eu une B.A. À la région PACA, on a créé un fonds d'investissement du Crédit Agricole et un fonds d'investissement de la Ville qui, à côté de chez nous, qui est basé à Hyères.

[00:14:06]

Il s'appelle Holbein. Et donc, du coup, eux, ils investissent chez toi. Donc ils investissent 465 mille euros. Toi, quand tu choisis de lever ça, donc c'est vraiment pour le produit. On avait déjà passé six ans sur un produit à deux. Globalement, on résume six ans sur un produit à deux. Et là, tu dis pour avoir un produit bien, il faut encore que je relève. Il faut que je mette 460.000 euros en plus.

[00:14:34]

OK, donc là dessus. Une fois que tu as levé, tu recrute une équipe. J'imagine complètement remplacer deux profils 3 à 6. C'est donc après l'accélérateur. On recrute notre premier stagiaire qui devient le premier employé et après, donc on fait la levée. On recrute trois autres personnes. Au total, il y avait trois développeurs, un commercial marketing et moi, ça, c'était à l'époque. Et là, au niveau de ton produit, tu fais quoi?

[00:15:00]

Parce que tu avais du coup cette partie tweeter qui marchait déjà bien? Oui, tu defacto tout ça ou tu récupères vraiment?

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Récupères été vraiment, est ce que depuis le début, au niveau de ton produit, il y a une grosse cassure en terme de développement ou je change complètement de technologie? Ou est ce que c'est quelque chose qui se fait de façon itérative, de petites étapes par petites étapes, pendant 10 ans? Petite étape par étape pendant 10 ans, il y aura un jour un je pense, une version 3 entre guillemets, version 4, peu importe. Mais non, on a été sur Twitter.

[00:15:33]

Est ce qu'on a fait ça? Après? On allait sur Facebook, puis après sur l'indigne, puis après sur Instagram. On a vraiment fait petit à petit. En fait, on a rajouté des rajouter des fidèles. Mais en fait, stacks techniques, depuis Davoine, c'est la même evolué.

[00:15:45]

Elle a évolué, n'est pas repartie. Non, n'en est pas reparti. 2 000 pour dire allez, on repart sur une nouvelle version. Ça, on l'a fait au moment où Thibault est arrivé, c'est à dire que j'avais une version boîte de 5 ans 2015/2016, 2015, 2016, mais depuis le moment où il n'était pas encore associé avec toi. LAICITE Voilà, c'était mon pote. Là, c'était du PHP, c'était des pages. Je me souviens sur mon serveur, il avait 10 pages PHP, CSS, HTML.

[00:16:08]

C'est fini quoi? Après tout, le PHP, ça va à la poubelle.

[00:16:12]

Après tout, je ne rentre pas dans ce débat.

[00:16:15]

Mais au fait de quoi? Il y a quand même une cassure à cet endroit là? Oui, au moment ou juste au moment où Thibault rentre. Mais une techno après, c'est lui l'expert, du coup. Mais du coup, lui, il met les bons choix techno il y a six ans. Moi, j'ai envie de dire oui, après, ils vont sûrement dire peut être qu'on aurait pu faire ça ça. Aujourd'hui, ça tourne, ça fonctionne bien.

[00:16:36]

On arrive à avancer, avancer, avancer. Mais toi, en termes de produits, ça tourne. Et toi, tu le ressent. Pas d'un point de vue utilisateur. C'est ça qui est important. C'est peu importe si il y a souvent ces débats de la techno de machin de carrière. Il y a souvent, bien souvent, 10 façons de faire quelque chose. Il faut juste quelque chose qui tourne et qui tourne bien avec ce qu'elle est. Et globalement, s'il a posé cette stacks là il y a 6 ans et qu'elle est encore présente maintenant, ça veut dire que c'est un beau challenge.

[00:17:03]

C'est quoi un peu les gros? Ping pointe dans le développement en termes de produits. Vous avez, j'imagine, Defacto là, le premier pas une pointe m'inquiéterais. Ouais, logique. Tu sent pas. Parce que c'est le démarrage. J'imagine que vous allez dire que vous avez dû avoir des gros, vraiment des gros trucs pendant une heure. Si on prend 2016 2020 a 44 ans, il a dû s'en passer des choses. C'est quoi les gros points que vous avez à ce moment là?

[00:17:27]

Il a pas, c'est rigolo, mais il n'a pas si gros que ça. Moi, je dirais la difficulté dans notre projet. En général, ce n'est pas forcément une difficulté à un instant T. C'est en général. C'est qu'on est dépendant, dépendant des réseaux sociaux. Ce qui fait que des fois, même si on a de très bonnes relations avec eux, d'ailleurs, c'est même pas viser contre nous. Mais des fois, ils vont faire un changement sur une API parce que du coup, on dépend de avis en nous disant ou pas et on s'en rend compte le matin, on est là et du coup, il y a une fonctionnalité qui a été coupée ou une, et on doit redemander un accès pour x raisons.

[00:18:00]

Et c'est vrai qu'ils ont encore beaucoup de choses à faire.

[00:18:02]

Mais si un jour je refais un autre projet, je vais peut être éviter d'être dépendant de ce truc là. En gros, toi, clairement, si demain Facebook tweeter, ils te disent plus d'accès API, c'est fini pour toi comme pour un concurrent. Comme tous ceux qui dépendent d'un autre service. Mais effectivement, ça se passe vous interfacer par des API. Il y a d'autres jours, je sais qui s'interface plus sauvage, en mode avec des outils type et pas avec des sélénium et autres qui font des espèces de script, d'automatisation et qui ouvrent des pages recos.

[00:18:40]

Ça, c'est légal, c'est absolument pas légal. Mais justement, toi qui a pris la part de vraiment dans la légalité est vraiment une relation jusqu'au bout. Elle a créé une relation partenariale avec ces plateformes jusqu'au bout et ça peut nous. Mais du coup, ça fait ça. Ça répond à ta question. Ça peut nous poser des soucis entre guillemets, à un moment donné, c'est sûr. Surtout quand on voit là. C'est le cas actuellement. Il y a une fonctionnalité qu'on souhaite absolument, qui n'est pas encore disponible en API et en fait, il n'y a pas nos concurrents.

[00:19:07]

Mais il y a d'autres plateformes qui se créent tous les jours qui vont avoir cette fonctionnalité là. Mais comment elles l'ont fait? En demandant le mail et le mot de passe des utilisateurs, ce qui est interdit. Et nous, on a fait le choix depuis 10 ans, de tout le temps, c'est aussi. Ça fait partie de nos valeurs. Jamais dans la vie, on est comme ça, mais on a fait le choix de ne pas pouvoir faire certaines choses, mais de rester dans la légalité.

[00:19:27]

T'es un pirate, mais pas trop con. Bah ouais, en fait, c'est tout bête. Mais c'est comme ça que tu crées une relation de confiance et que derrière ça, c'est toi. Ce que tu crées, c'est la relation de confiance avec, bien sûr, bien sûr.

[00:19:38]

Et en terme de produits, ces plateformes là, elles t'écoute. Est ce que tu arrives à remonter des choses? Est ce que tu arrives à parce que l'on parle quand même de géants de la tech? On parle moins, on parle de Facebook, Facebook, Instagram. C'est le même. C'est le même groupe. Mais vous êtes interpretation. Vous êtes sur ces trois services Twitter, Facebook, LinkedIn, Instagram et Tic-Tac. Là, on est les premiers partenaires en France depuis janvier.

[00:20:00]

Alors, il n'y a pas de fonctionnalité encore. Mais du coup, on est partenaires et on fait des événements avec eux. On a analysé leur algorithme récemment. On a fait Pooling. Ils l'ont publié le même jour. En fait, on a fait un webinaire avec eux et avec Tik Tok France TQS, qui a parlé de son Sinagots le même jour. Donc oui, on est sur ces quatre réseaux sociaux aujourd'hui, plus Tic-Tac entre parenthèses.

[00:20:21]

Et oui, on leur parle, on nous donne la possibilité, alors on a des interlocuteurs qu'on connaît bien depuis des années. On a également la possibilité d'avoir accès à des salons de développeurs pour faire remonter des besoins. Et des fois, ça fonctionne et ça fonctionne pas. Après, on n'a jamais eu de manque. Donc, il y a quand même un produit. En fait, elle est influencée à mort par Isou sur leur API. Alors, une partie, oui, surtout au début.

[00:20:49]

Aujourd'hui, peut être un peu moins, puisque après l'avantage de Swallow, c'est aussi d'avoir une plateforme collaborative avec des outils qui n'existent pas ailleurs. Et donc, du coup, ça aussi, ça dépend de nous parce qu'il y a cette partie. Parce qu'en fait, vous êtes quand même pas mal diversifié en termes de produits? Oui, puisque je crois que c'est un peu ta vision à toi depuis le début. C'est dire voilà, on est entré par tweeter.

[00:21:07]

Après, on a fait tout à l'heure Facebook et autres, mais par contre, vous avez aussi développé des outils qui ne vous rendent pas entre guillemets. Pas juste dépendant. J'ai envie de te dire, mais en gros, des outils qui permettent de faciliter la vie de vos utilisateurs. J'ai l'impression que c'est sympa quand on regarde un peu ton histoire. Les utilisateurs, ça a été ton truc le plus important dans le développement. Ça l'est toujours. Et en gros, ces fonctionnalités là, tu les développe pourquoi?

[00:21:33]

Parce que tu as une vision ou parce que tu as écouté des gens et des gens, te dit ça une vision, non pas s'emballer, mais s'était levé un matin eliminés et c'est déjà arrivé.

[00:21:42]

Sur certaines choses, on se dit ça, on peut le faire comme Sagres. Mais nous, ce qu'on fait, c'est qu'on pose beaucoup de questions à nos utilisateurs, à nos clients. Quand on co-construire la plateforme, c'est vraiment ça. C'est à dire que on a une redevable qui est pleine. On peut faire deux ans vraiment. Après, c'est une histoire de priorisation. Comment priorisent tel ou tel futur? C'est très simple en fonction de la demande. Après ça, c'est un classique de l'argent qui rapporte ça.

[00:22:06]

Mais c'est vrai que du coup, étant un outil de productivité parce que j'ai déjà eu cette question. Oui, mais regardez sur Facebook, on peut programmer des postes. Oui, OK, mais est ce que tu a trouvé une plateforme? Est ce que Facebook le fera un jour? La réponse est non. D'assembler Twitter, Facebook, Instagram. Faut pas oublier que son concurrent n'a de valeur ajoutée. C'est qu'on globalise tous ses réseaux au même endroit. Et par dessus qu'on rajoute la couche 2, il y a un calendrier éditorial.

[00:22:29]

Il y a un réducteur de lien personnalisable. Il y a un coach qui va analyser ton contenu en live pour te dire Tamayo. Erreur, c'est cette erreur, ces mots là, faut les utiliser, etc. Etc. Par rapport à ta communauté. Je pourrais citer toutes, mais il y a une couche supplémentaire pour faire ligne du temps pour gagner de la pertinence. Mais c'est là dessus que tu places. En fait, c'est comme ça qu'il faut.

[00:22:47]

Bien sûr que non, bien sûr. Ou des concurrents. Et il se dit OK, je peux, tu fais de la programmation, alors il n'y a pas que ça.

[00:22:52]

Parce que ça, c'est que du technique. Et donc, tu sais, on a souvent du technique, Jean-Jo 3D. De plus, je devais afficher et c'est fini. Il n'y a pas que ça. Je pense que c'est un ensemble Swallow. Nous, on a essayé de créer un écosystème, mais je trouve qu'on commence à y arriver, c'est à dire que nous, en tant qu'équipe française et c'est très important aujourd'hui, ce mot équipe française.

[00:23:10]

C'est important parce qu'en fait, vous n'avez que des clients français? Non, on a des clients partout dans le monde, mais notre majorité, il y a 80 à 95 des Français qui n'est pas francophone parce que les produits français, non. Il est également dispo en anglais depuis des années, mais c'est parce que nos efforts aujourd'hui se concentrent vraiment sur les pays francophones. D'autant plus que quand tu vas voir au niveau au monde US, c'est très, très gros acteurs aussi.

[00:23:36]

Donc, on n'y va pas comme ça en mode Halys et on va voir si ça fonctionne. Qu'est ce qui empêche de la stratégie y aller? Ce qui empêche. Il y a encore beaucoup de choses à faire aujourd'hui en France et dans les pays francophones et en Europe.

[00:23:45]

Mais c'est dans notre tête une donnée sur un produit digital. l'Europe, l'Europe, le monde, les U.S. Oui, vérité sur le pays qu'est Internet.

[00:23:55]

Tu n'as pas complètement et c'est pour ça qu'on a des clients qui viennent de partout dans le monde. Mais en terme d'efforts marketing, dans un effort de contenus commerciaux qui lui restent, pour l'instant, c'est francophone. Et c'est ça aussi qui peut faire notre différence entre guillemets. C'est donc à nous. On a la plateforme et on a un véritable écosystème avec un blog, un podcast, un groupe Facebook et webinaires des livres blancs. On veut faire monter en compétence nos clients et nos utilisateurs et co-construire la plateforme ensemble.

[00:24:19]

Et aujourd'hui, c'est avant. Je n'y croyais pas trop pendant l'accélérateur qui nous a dit oui, mais le made in France, c'est un vrai argument, etc. Oui, j'entendais, mais de là le mettre en avant à chaque présentation, etc. Je n'étais pas non plus hyper motivé et aujourd'hui, on a tous nos serveurs en France. On a au niveau de la sécurité, on a fait un audit, tout est nickel. Tu va apporter de la sécurité et que c'est en France, dire qu'on bosse avec des prestataires français, qu'on est français et basé à Toulon, à Nantes, à Paris.

[00:24:44]

On peut également gagner un contrat sur cet argument, non? Glatt tentera de me dire parce que moi, j'y croyais pas forcément à ces histoires de. Je ne savais pas non plus que l'argent est en train de me dire qu'en gros, le made in France sur le digital est un outil commercial. Oui, c'est fou, c'est fou. Mais je te le dis il y a quatre ans, en 2016, je n'y croyais pas à mesure.

[00:25:07]

On a essayé au et ça change plein de choses, justement, tout ce qui est, tout ce qu'on dit sur la souveraineté numérique et autres. Mais ce qui est rigolo, c'est que le fait qu'on ait nos serveurs en France et autres. Mais en fait, d'après Dervaux Data, au final, elles partent sur les crevettes, elles partent sur des plateformes plateformes.

[00:25:23]

Donc clairement OK, OK, et un gros point sur lequel je vous poser des questions. Il y en a deux, mais on va les faire un par un. Premièrement, c'est comment tu passes de G. Pas d'utilisateurs qui payent a des gens qui payent, comment tu le fais parce que j'imagine. J'ai l'impression en tout cas de nos discussions que vous avez été beau, très focus sur le produit et qu'en gros, c'est juste le fait d'avoir. Est ce que c'est juste le fait d'avoir un produit qualité et qu'on vous avait dit Oh les gars, le business bisounours, c'est fini.

[00:25:55]

Maintenant, on paye tout le monde a payer. Ou est ce que t'as vraiment de poser la. Stripe Pour changer ça, on a dû se poser la question. C'est comme ça comment ça s'est passé? C'était pendant l'accélérateur. C'était le 17 décembre 2015 et du coup, on s'était dit avec Thibault, il faut qu'on sorte une nouvelle version. Et dans cette nouvelle version, autant le site, la plateforme. Il faut également qu'on mette en place notre business model en forme de business model.

[00:26:21]

C'est un business model.

[00:26:21]

Stace Selon le service, on a besoin d'abonnement. Exactement par mois et par année était une réduction d'un mois exactement chez nous. Mais c'est exactement ça.

[00:26:31]

Et tout en gardant un plan gratuit parce qu'on ne voulait pas décevoir notre communauté qui était là depuis depuis des années. D'autant plus qu'on on avait augmenté plan gratuit avec des nouvelles fonctionnalités qui n'existait pas auparavant. Et donc on a fait ça. Et donc, le 17 décembre, on fait une nuit blanche parce qu'on est en retard en classic classique. Et à 6 heures 15 du matin, il y a Thibault qui met en prod tout et qui dit Je vais tester le module de paiement.

[00:26:54]

La première fois, on avait des affaires. On a toujours des abonnements qui sont à 9 euros. Et si on prend ce plan là, celui à 9 euros 11 euros, on passe à 142 O à l'année. Et là, du coup, Thibault teste. C'était sur Strape un autre système de paiement. C'est strap, donc dès qu'il y a une vente, je reçois un mail. Et là, je reçois un mail et je vois un premier achat de 142 euros.

[00:27:15]

Thibault abusé. Tu peux te payer avec 15 euros. Tu n'as pas du tout ces 3 minutes après notre premier client qui est arrivé et qui était un investisseur marseillais qui a pris une année directe. Alors là, vous, c'est à vous? Pas du tout. Mais je le connais pas. Et qui sait rien. Invests sur Marseille et cris de joie, forcément. Franchement, on se dit 3 minutes avant, il y a déjà un client. Alors ça ne veut pas dire que tout est réussi et que ça y est produit génial, etc.

[00:27:40]

Mais premier client du propositionnelle est là, c'est ça.

[00:27:44]

Et tu t'es un peu dans le truc. En gros, tu sais qu'il y a des mecs qui vont me payer parce que c'est démontré.

[00:27:49]

On en a un qui puisse dire oui et après, c'est justement après. On a fait une erreur. Tu sais que les premiers mois, tout n'est pas arrivé tout de suite. Sur les premiers mois, ça arrive, mais petit à petit, des nouveaux clients. Mais en fait, ce qui s'est passé, c'est qu'on était tellement dans l'euphorie de tout ça. On était fatigué également. C'est qu'on a oublié de communiquer. Alors qu'est ce que ça a fait?

[00:28:08]

C'est que notre visiteur gratuit sont arrivés. Ils se sont retrouvés limités en main, sans être prévenus. Et là, je reçois un mail que j'ai pris personnellement et ça m'a appris du coup d'acheter et de prendre personnellement ce genre de chose. Ou quelqu'un nous a dit Vous pensez qu'à l'argent, ça, je déteste ou vous savez quoi? Je me marre. Je reçois ce mail là, j'étais fatigué, etc. Je le lis et je prends totalement pour moi.

[00:28:28]

Je fais, mais qu'est ce qu'on a fait? Une grosse erreur, etc. J'appelle notre mentor qui était à l'époque qui était lié à l'accélérateur. En fait, on avait des mentors et elle me dit non, mais vous inquiétez pas, ça arrive, etc. Revenez en arrière, vous préparez un petit peu votre communication et après, vous communiquez. Vous expliquez à vos utilisateurs pourquoi vous passez un modèle payant. Ils vont comprendre ce qu'on a fait. C'est pourquoi c'est parce qu'avant le plan gratuit et en illimité en terme de poste programmables, on va passer à 40.

[00:28:54]

Notre concurrence était identique, mais c'est plus que ben on les a pas prévenus. Et au final, on est revenu à la Roma. Possible parce que c'est ça. Tu leur t'amène des fonctionnalités, t'amène le fait que ces terminaux leur. Je pense que c'est quelque chose où des utilisateurs sont un peu sur le côté. C'est quoi ce bordel? Ils qu'il y avait des bagnoles, mais ils savaient qu'il y avait des nouveautés, mais ils ne savaient pas forcément que ça allait arriver ce jour là.

[00:29:21]

Et donc, on a enlevé la limitation des 40 postes. On a fait un boulot, mon message. On a mis tout le monde, tout le monde a compris. On a même eu des commentaires ultra positifs. On avait reçu un mail de toute façon et on a limité deux semaines après. Et au final, tout s'est bien passé, etc. Mais ça nous a appris dès le début. Déjà de pas faire les malins et de communiquer avec moi.

[00:29:39]

Et donc là, c'était avant ou après le lever instamment avant de lever, lever la levée.

[00:29:45]

Et c'était bien après puisque là, c'était décembre 2015 à 2017 et fin novembre 2016 exactement. On a commencé à ce moment là, OK. Et donc, du coup, en gros, pendant ce moment où vous passez, donc vous décidez que vous passez en payant. Oui, ta courbe de croissance au niveau utilisateur, elle fait quoi? Ça monte d'un coup? Ça, c'est progressif, c'est progressif en terme d'utilisateurs parce que je fais bien une différence entre utilisateurs ayant utilisé dans l'alliance qu'utilisateur, elle continue.

[00:30:12]

En terme de clients, au début, c'est un peu timide, voire un peu timide.

[00:30:16]

Mais je commence à poster ça. Comment fait on?

[00:30:18]

Les futures sur le produit wine nouvelle future surtout. Et c'est là où on prend de plus en plus. On le faisait déjà avant, mais on prend de plus en plus de nouvelles de nos utilisateurs et nos clients. Qu'est ce que vous voulez? Ce qui nous permettrait de prioriser? Et il faut regarder aussi les concurrents. Pourquoi des personnes qui sont chez nos concurrents vont venir chez nous? Pour quelles raisons? Tu vois, et on se différencie sur un très, très, très gros point qui est encore aujourd'hui très fort.

[00:30:43]

Je dirais 2 points, c'est l'ergonomie. On a réussi à créer une ergonomie très, très simple d'utilisation. Que tu sois expert ou non des réseaux sociaux, ça fonctionne de la même façon pour chaque réseau social et ce sera simple. Deuxième point, c'est qu'on prend soin de nos clients et nos utilisateurs.

[00:31:00]

Ça, ça vient de toi secoue l'ergonomie au démarrage. Non pas que ça vienne également, mon frère, parce que mon frère et directeur artistique.

[00:31:08]

Ah oui, donc, c'est une affaire de famille. On est tous entrepreneurs sur différents thèmes. MACSF, la cuisine. Rien à voir avec les gâteaux. Mais quoi qu'il en soit, mon frère, un jour, comme Sémiramis de Thibault, vient cette idée. Écoutez, je vous fais un petit truc. Papy fait l'interface. Je l'intègre, en fait. Moi, j'ai toujours trouvé.

[00:31:26]

Je pensais que c'était si tu me disais que si j'avais fait des études webdesign, je me disais Baaba, effectivement, le produit, le produit, c'est toi qui la poncée entre guillemets, qui aller taper tous les athées avec tous les utilisateurs PSDC. OK, c'est ca. C'est juste avant cette étape. C'est au moment où on refaisons. Alors moi, je me suis coupé de tout. Le site me s'est occupé de toutes les autres pages, mais juste la page de programmation, c'est mon frère qui est certain, point le gros du travail.

[00:31:49]

Après, on l'a amélioré. Ça fait cinq ans. D'ailleurs, on réfléchit aussi à une nouvelle version. À un moment donné, ça fait pas 5 ans, mais ça fait 4 ans. Mais c'est vrai que la première page, tu vois la page de programmation principale qui nous fait beaucoup la différence par rapport à nos concurrents. C'est mon frère qui nous l'a amené. Moi, je pense que ça, ça peut être cool avec plein d'idées et les choses, on a dit oui, une chose dit non.

[00:32:07]

On l'a intégré et je pense que j'en suis certain. C'est un gros point fort. Et toi, c'est ta. Si tu devais avoir les trucs qui font la différence de ton produit. Cette page de la page de programmation, c'est le top 1. C'est la future prémium que je mettrais. Je t'en taupins au dessus. Prendre soin de nos utilisateurs. Sincèrement, si on parle du produit, oui, oui, bien sûr.

[00:32:33]

OK, donc, vous vous mettez Payan. Enfin, vous avez votre mot, vous vous commencez à rentrer des utilisateurs payants. C'est quoi un peu la courbe de progression en termes de revenus? Et ces revenus là, tu en fais quoi? Tu leur investit direct dans le dev?

[00:32:48]

Alors oui, puisqu'en fait, on est pas à l'équilibre. Quand est ce que tu risque l'équilibre?

[00:32:57]

Quand est ce que toi t'es arrivé à avoir parce que t'as levé 465 000 il y a 5 ans? Il y a 3 ans, il y a 3 ans, il y a 3 ans? Désolé, il y a 3 ans en général, des gens qui font comme ça en général, c'est pour tenir un an. Tu vois ce que je veux dire? Lève toi, ça fait trois ans que t'es dessus. Du coup, ça vient du riche.

[00:33:15]

l'Equilibre un moment ou pas loin, ou t'as quand même dû avoir pas mal de revenus pour arriver à faire ton Equidia parce que tu as quand même 10 personnes. On est 9, dont 2 stagiaires du CDI et des stagiaires, même si je n'aime pas le terme stagiaire pendant 9 membres d'équipe. Mais effectivement, on est en téméraire, ça, ce qu'il faut rentrer, en tout cas tous les mois, c'est quand même assez conséquent pour te répondre. On a jamais, n'a jamais sur du long terme, n'a jamais atteint l'équilibre d'amères.

[00:33:46]

Ce qu'il faut bien faire, la différence entre le chiffre d'affaires, l'argent qu'on rentre tous les mois et MRM. Donc revenus récurrents mensuels pour un exemple. Par exemple, si je prends un abonnement annuel à 142 euros, cela nous apporte 9 euros tous les mois. En clair, ce RR, à quel moment on dit on est à l'équilibre, mais on regarde nos charges et une fois qu'on est jamais à l'équilibre, on l'a été sans l'être. Parce que c'est ce que je disais.

[00:34:13]

La dernière fois, c'est qu'à chaque fois, on a pu recruter et on a fait une nouvelle dépense, etc. Donc tu vois le téméraire qu'on voulait atteindre il y a 2 ans. C'est plutôt la qu'on doit, qu'on doit et qu'on veut atteindre aujourd'hui. Donc, au final, c'est moi Bellegueule plus haut, peut être à tous les 6 mois, mais tu as déjà une action concrète. Quelqu'un qui fait une action particulière, ça va faire augmenter nos charges, forcément augmente.

[00:34:35]

Mais au début, au tout début, avant la levée, pour être hyper sincère et pas les. C'est dire qu'on avait une grosse base utilisateur et c'est comme ça qu'on l'a présenté aux investisseurs. C'est qu'on leur a dit non à une équipe qui est prête. On a des convictions et des valeurs, nous a été est déjà à fond. On a beaucoup d'utilisateurs et maintenant, c'est à nous de les transformer en payant. Et du coup, d'ailleurs, pour la levée, on est arrivé, on avait demandé 300 000 et les invest nous ont dit non.

[00:34:59]

Il faut viser 500.000 par rapport à ce que vous comptez faire. Ans, on arrive au final. Après, ça a duré 8 mois. Qui ne s'est pas fait du jour en main. Une fois qu'on a eu l'argent. Donc on a recruté tout de suite. Fait, on avait recruté un mois avant parce qu'on savait qu'on allait signer. Puis, du coup, on assiste tout de suite. On a amélioré, amélioré, amélioré, produit. Et là, le chiffre d'affaires a commencé à évoluer.

[00:35:18]

Petit à petit, notre amerrir a évolué petit à petit. Après la première année, après la levée de 2017 à 2018 de fin 2018, le chiffre atteint le chiffre d'affaires. Pardon, il n'était pas fou. Par contre, là, du coup, l'année dernière, on a fait 3 4 par rapport à l'année d'avant. Et cette année, malgré tout ce qui se passe, ça devrait aussi être une belle année.

[00:35:39]

Mais oui, parce qu'en fait, cet alignement qui se fait entre ton produit au marché, toi et bien moi. Ce que je veux dire, c'est que tout ce qui se cache derrière Mathur. En gros, c'est ce que les gens disent souvent, c'est le produit par Tout le monde en parle. Mais tu le sais que quand tu vois ce que tu fais, toi, tu tu commences à avoir des débuts de leurs actes. C'est là qu'on est bien.

[00:36:04]

On avait de grosses marques et il y a des gens qui arrivent tout le temps sans avoir besoin de faire un énorme effort. En fait, tu vois une scalabilité en cours de croissance d'utilisateurs et donc ça, t'as mis 10 ans à le faire. Oui, Shiba, je ne sais pas combien d'années les premières années, mais oui, on a mis du temps, mais c'est important à parce qu'il y a beaucoup de gens qui pensent qu'ils vont avoir leur première version de leurs produits.

[00:36:27]

Et bah, ils vont être foudroyés par le Product Market Fit et après, ils vont s'accroître. Il y a beaucoup de gens qui sont quand ils se lancent dans le développement, produit ils, alors qu'en réalité, bien souvent et jamais, ça prend du temps, beaucoup de temps, ça prend du temps, mais en sur gratos, même si on retire ses 5 premières années. Ça fait quand même 50, bien sûr. Et donc, c'est pas un overnight.

[00:36:46]

C'est que c'est le deuxième point sur lequel je voudrais revenir avec toi. C'est un peu l'équipe. Comment tu gères ton équipe? Tu me dis que t'es à Toulon? Non, Paris arrête pas de faire des allers retours entre Paris et Paris. Ton équipe est organisée. Comment travailler en remote? Comment vous organisez pour dev le produit? A l'heure actuelle, la majorité, ton équipe, c'est d'aider des gens qui sont sur le produit. Oui. Comment vous organisez?

[00:37:13]

C'est quoi et comment vous marcher?

[00:37:16]

Alors déjà que notre siège social est à Toulon, je connais pratiquement tous Toulonnais de la région toulonnaise. Donc il y a trois développeurs qui sont tous les trois à Toulon. Il y a trois commerciaux, dont un stagiaire, qui devrait donc partir dans quelques semaines, dont un commercial. C'est tout nouveau qui mène à Nantes avec 3 semaines. Pourquoi? Parce que c'est lui qui voulait aller à Nantes, c'est là là, rien que ça, c'est un sacré écosystème, sinon carrément.

[00:37:44]

Du coup. Il voulait y aller, mais mauvais. Je vois beaucoup, beaucoup de boites qui vont à Nantes. Je crois que d'Autolib, ils ont débarqué là bas. Non, ils font un effort justement pour devenir devenir une marque entre guillemets sur le digital en France. Et donc, toi, c'est juste parce que là, c'est quand même pas mal l'écosystème nantais. Mais là, c'est vraiment lui qui nous a dit Voilà, ça fait deux ans que je vis à Toulon avec vous.

[00:38:11]

Là, maintenant, il y a. En fait, pour être très sincère, il souhaitait passer à autre chose quelque part d'autre, mais pas par rapport à l'équipe, par rapport au produit, juste par rapport à la ville à bord, à Toulon. Et c'est là où le confinement a discuté. On s'est dit mais en fait, c'est juste la ville qui pose problème. Pourquoi pas faire pareil là où tu souhaites? Et voilà. Et au final, il est hyper épanoui et c'est reparti de plus belle.

[00:38:33]

Donc, on a 3 commerciaux en support et en marketing communication. Quelqu'un en 8/8, mais qui a un stagiaire et qui partira également dans quelques semaines et après moi. Et ce qu'il faut bien garder en tête, c'est que du coup, chacun est meilleur que moi dans son domaine. Et moi, ma façon de faire, c'est qu'il faut qu'ils puissent travailler dans les meilleures conditions. Donc, je vais faire tout le reste. Tu n'as pas raison. Au tout début, c'était ça.

[00:38:58]

C'est Tibo fait le développement. Moi, je fais le reste, tout le reste. Avocats, comptables, investisseurs supportent tout et tout le reste. Mais je veux vraiment qu'ils soient focus, produits d'une boite. C'est le mec qui fait les livraisons Vanbelle au démarrage.

[00:39:13]

Et voilà comment est organisé en termes d'équipe. Moi, effectivement, je suis Paris deux fois par semaine lundi, mardi, mercredi à Toulon, jeudi et vendredi. Vous avez des bureaux à Toulon? Oui, oui, c'est notre siège social. 100 mètres carrés avec fenêtres et à 150 mètres du port sur haut. Moi, je fais les allers retours entre Toulouse et Paris pour se faire des rendez vous, pour leur faire des rendez vous avec des bateaux des grandes marques sur Paris.

[00:39:37]

Les commerciaux? Parce que du coup, dans la partie commerciale, on fonctionne de cette façon là. Il y a une personne qui fait de la prospection et une autre personne qui fait de la conversion et de la rétention. Donc, moins il fait la prospection également pour Paris. Et quand c'est physique, je vais dans les locaux des grands groupes sur Paris le jeudi et le vendredi. Donc tu vas voir des clients pour voir des prospects, etc. Et ça, ça fait.

[00:39:56]

Du coup, ça va faire un an et demi. Et ça a porté ses fruits puisque le soir, on a pu bosser avec des grandes marques comme Disney, TF1 ou autres grâce à Paris. J'ai pu rencontrer Tok Bareil grâce à Paris.

[00:40:06]

Ça s'est fait petit à petit et je pense que c'est quelque chose d'important dans notre cas en France, sans parler du marché français. On parle un peu moins du marché français. Je pense que encore, beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses qui se passent. Ce qui se passe à Paris? Ecoute, moi, je n'y croyais pas. Un jour, on a eu ce fameux rendez vous avec Twitter, le dg de Twitter de l'époque, il y a quatre ou cinq ans, qui nous a dit Vous devriez venir à Paris parce que tout le monde s'est enflammé.

[00:40:29]

Mais non, avec le digital, c'est plutôt tu. Je vais revenir en me disant ce qu'il a dit et au final, tu vois.

[00:40:36]

Alors oui, avec le digital, on peut toucher tout le monde. Par contre, on a remarqué que quand on rencontre une personne physique, la conversion était closing où il était démultiplié et la conversion était démultipliée. Des grands groupes, des choses comme ça, c'est ça, c'est ça.

[00:40:48]

Et du coup, là bas, en une année et demie, on a pu rencontrer. Je ne sais pas. Je sais que j'ai fait une centaine de rendez vous manqués et ça a vraiment porté ses fruits. Mais grâce à toute l'équipe. Et c'est pour ça, pour nous, sans développeurs, pas de produits commerciaux, pas le vendre sans m'arrêter comme ça. C'est intéressant, le produit, le produit et le développement du produit. Mais il y a surtout aussi la distrib aussi.

[00:41:10]

Et chaque chaque produit, entre guillemets, son schéma de distrib. Et ça, c'est 2 points qu'il ne faut jamais oublier puisque bien souvent, les gens sont plus âgés, vont plutôt se focus sur la partie de développement, plutôt technique plutôt. Vont plutôt dire on fera un bon produit et ouatée voir ce qui va se passer. De toute façon, si on a un bon produit, il va bien se développer. Il va bien se vendre, mais en fait, avoir un bon produit, c'est un prérequis pour avoir un bon schéma de distrib après ça.

[00:41:34]

Et si t'as une bonne distrib? Mais un produit de merde, ça marche pas. Il faut les deux quatuors, OK. Et du coup, peut être est ce que tu peux nous livrer la méthode. Je n'attends pour développer un produit de fou. C'est quoi un peu les trucs qui ont fait votre succès? Parce que c'est encore un peu tôt. Mais vraiment, en tout cas, vous avez quand même une histoire qui est quand même vraiment sympa.

[00:41:58]

Comment? A quoi tu attribue ces choses là d'un point de vue produits?

[00:42:02]

Justement, effectivement, je suis totalement d'accord avec toi. Pour nous, on n'a pas encore réussi. Très clairement, il y a encore beaucoup de choses à faire et un jour, son. Ce qu'un aussi se dit. J'ai réussi, tu? J'en sais rien. Mais ce qui est sûr, c'est que je pense qu'à un moment donné, il faudra se poser, regarder derrière nous et se dire on est fiers de ce qu'on a fait et de ce qu'on a réussi à faire.

[00:42:21]

Et ça pourrait être une réussite un jour ou l'autre, je le pense. Mais bon, c'est pas encore le cas aujourd'hui. Écoute au niveau du produit, voilà quelque chose que j'ai appris grâce à Nicolas de Tutto, qui était mon patron à l'époque. On était en train de développer cette fameuse version qu'on a mise en ligne le 17 décembre et qu'on voulait. Très, très loin dans une fonctionnalité, vraiment, on s'est dit ça, c'est que j'ai été.

[00:42:43]

Qui va faire la différence? Etc. Etc. Ça faisait une semaine. C'est pour ça qu'on était en retard à cause de cette mesure. Et Nicolas est arrivé et nous a dit franchement, arrêtez, arrêtez de la développer parce que là, vous avez répondu à 80% des besoins. Si vous continuez les 20 derniers, c'est au point de 80% de votre temps. Effectivement, c'était le cas. On était en train de bouffer notre temps sur cette figure.

[00:43:05]

On l'a écouté et c'est là où le principe de MVP prend toute sa splendeur puisqu'on l'a jamais retouché, cette figure depuis GMR développé, alors, on l'a mis en ligne tel quel. Là, on s'était arrêté, mais on n'est jamais allé aussi loin. Qu'on désiriez là où on voulait aller, quoi. En fait, vous avez arrêté Lovering, Janowicz et vous avez juste Schipper.

[00:43:25]

En fait, c'est la première chose. Que faire pour répondre à ta question? C'est faut tester, mettre en ligne, voir avec les utilisateurs un MVP. Vraiment, tu vas pas attendre 3 mois avant de mettre une future en ligne. Vraiment attendre une semaine et puis faire des itérations jusqu'à avoir l'actualité souhaitée.

[00:43:39]

C'est la première chose après. La deuxième chose par rapport au produit, c'est croire en son produit. J'ai beaucoup discuté avec les commerciaux ne sais pas dans le Sud, mais en tout cas pas ici.

[00:43:49]

Mais dans le Sud, c'est assez. C'est pas facile de trouver des bons commerciaux. Pour moi, le bon commercial, j'entends pas forcément en compétences, mais aussi humainement.

[00:43:56]

Mais comme dans tous les postes, tu n'as pas d'explication.

[00:44:01]

Non, mais je veux dire une offre d'emploi pour dev, pour de la com, etc. On a quand même pas mal de candidats pour les commerciaux. On va en avoir un peu moins. Les dev un peu moi aussi, mais un peu moins. Et surtout sur la short list finale. Il reste un, alors d'habitude, il y en a deux ou trois. Là, il en reste un à chaque fois, il y a quelque chose qui ne va pas.

[00:44:18]

Je dire qu'il y a un manque de talent entre guillemets. Je ne sais quel talent, mais pour faire un truc dans le digital. Ouais, ouais, oui, peut être peut être, et du coup, je pense que il faut croire en son produit parce que quand j'ai discuté avec mes commerciaux actuels, on a beaucoup parlé.

[00:44:37]

Si eux mêmes n'y croient pas, c'est surement pas avant. Et du coup, je pense que c'est un truc un peu basique, un que je dis. Mais c'est vrai que j'ai vu beaucoup d'entrepreneurs qui ont présenté leurs produits, qui présentaient leurs services, etc.

[00:44:47]

Mais bon, ce n'était pas non plus les classes. C'était pas non plus.

[00:44:50]

Ils n'y croyaient pas. Et je pense que ça, c'est vraiment un truc important. Tu as dit, quoi qu'il en soit, pas persuadé de son produit. C'est ça qui se passe après. D'un autre côté, faut aussi ouvrir les yeux. Enfin, il faut voir ce truc là. Mais je suis d'accord. Je suis très, très d'accord avec le fait de dire il faut croire en son produit. Moi, j'ai des gens justement qui venait me voir et qui croient à mort.

[00:45:12]

Leur truc l'énergie. En fait, elle se transmet ça et en fait, ça fait. Ça fait aussi beaucoup de choses et c'est comme ça. Je pense que tu crées des ambassadeurs de ta market, ton produit et donc du coup, ça va faire d'Anvers une Janowicz, juste envoyer les trucs, les envoyer aux firmes, en tester, récupérer du feedback. Ça, c'est la première fois et tester récupère du feed back. Le deuxième point, c'est du coup ce que tu viens de me dire.

[00:45:38]

Croiserait croire en son produit. Le troisième point à un autre. Le troisième point, oui, mais moins orienté produits. Mais quoi qu'il en soit, ça a toujours une incidence dessus. C'est être accompagné par être entouré parce qu'il est accompagné, entouré. C'est pas pareil. Être entouré. Moi, je pense que ce qu'il a fait aussi, quand on en arrive là aujourd'hui, c'est parce qu'on a eu des mentors qui ne sont pas passés par quatre chemins pour dire que ça, c'était nul et que ça, c'était bien.

[00:46:01]

On a des familles qui nous soutiennent, proches, soit nos copains, notre famille vraiment proche.

[00:46:08]

On a des investisseurs qui sont extrêmement bienveillants quand ça va ou quand ça ne va pas. Et d'un côté, nous, on est extrêmement transparent aussi. C'est bien s'entourer et avocat bon comptable. Ce que j'appelle le théorème ABC, c'est avocats, banques, comptables. Ça a été complexe de trouver une comptable qui comprenait une comptable dans ce cas là, qui comprenait ce que c'était une levée de fonds parce que c'était un erreur. C'était extrêmement compliqué. Et si on n'a pas des bonnes personnes autour de nous, on va se prendre la tête avec ça et du coup, on sera plus focus produit.

[00:46:37]

Et ça, je l'ai appris à un moment donné où je me suis dit pour réduire les coûts. J'ai fait un peu de compta, non, non, mais grosse erreur. Moi, mon métier, c'est pas de faire de la compta. Donc, il faut un conseil d'entrepreneurs, mais du coup, qui a totalement sa place par rapport aux produits, c'est rester focus produits et ne faites pas tout ce qu'il y a à côté. Et d'un autre côté, ça contredit.

[00:46:57]

Mais d'un autre côté, il faut aussi savoir sortir la tête de l'eau pour voir un peu son produit et pourquoi pas se faire critiquer par des proches ou alors des gens qui s'y connaissent tellement, les mentors. C'est intéressant, le coup des mentors. Toi, tu les a rencontrés comment? Parce que tu m'as parlé plusieurs fois de d'accélérateurs. Moi, globalement, les accélérateurs, je n'y crois pas, peuvent vraiment changer. Je n'ai jamais été très convaincu par les modèles encore en France.

[00:47:23]

Et toi, c'est des gens que t'as rencontrés dans cet accélérateur? C'était game changer pour toi.

[00:47:28]

Alors, ces personnes là, oui, l'accélérateur. L'accélérateur aussi. Parce que ce n'était pas inquiet. C'était la première saison. Ce n'était pas fin. C'est quand même assez particulier parce qu'on construisait le programme un peu avec ça, qu'on a eu des ateliers collectifs, des ateliers individuels. On avait un budget qui nous était attribué. Il y a aussi une partie de comme autour du ça, vu que c'était la première année. Il y a eu d'autres mentors pour te répondre.

[00:47:50]

Du coup, on a plusieurs mentors.

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Il y a donc Nicolas Chenut, qui était mon ancien patron. À la fin de mon alternance, il nous a dit Thibault, si vous voulait rester ici, dans nos locaux, il y a de la place. Vous restez est resté un an. Super bien, finalement. Rester entrepreneur? Voilà, on est resté un an et c'est hyper stylé. Parce que quand on a fait la levée, lui a déjà levé des fonds.

[00:48:08]

Il nous a un peu dit activer ce contact. Maintenant, allez voir. Et du coup, comme il est passé par là, on passe. C'est extrêmement simple d'avancer. Ensuite, il y a eu Matilde, dont t il le Rosicky. Et si Aude Bloquèrent connaissait bien avant la femme de Nicolas, mais qu'on connaissait bien avant, qu'est qui elle aussi était entrepreneur et qui était mentor dans l'accélérateur. Donc, on la connaissait avant. C'est elle qui nous a dit Vous devriez y aller, vous y allez, on a été sélectionnés et après on nous a dit voilà.

[00:48:36]

En fait, il y avait. Je me souviens de ce moment là, il y avait 25 personnes qui pouvaient être mentors, dont elle s'est dirigée naturellement vers elle. Donc, il y a eu Matilde. Après, il y a tous nos investisseurs, Battaglia qui est pas mal de conseils, et même des amis à moi qui ne savent même pas qui sont des mentors et qui sont là. Je pense notamment à Joseph Auriane avec des fleurs. Et après?

[00:48:56]

Dans ma famille également, j'imagine. OK, OK, je pense qu'on a fait un peu le tour de son aventure. On m'a parlé des choses à rajouter, des trucs que les gens doivent absolument savoir. Si je fais un coup de pub ici, c'est maintenant chose que les gens doivent savoir que je pense aussi. Pour faire un bon produit, il faut beaucoup passer du temps avec les utilisateurs. Après les chouchouter, etc. Nous. Le top du top 1 dans nos valeurs, etc.

[00:49:24]

Autant au niveau de l'équipe que des personnes, mais je pense que ce soir, on est resté avec des comités managers. On va voir comment ils ont bossé avec notre outil ou avec un autre outil, voir ce qu'il adore chez les autres.

[00:49:35]

Ça nous plaît et ça peut prendre des idées des fois et voir ce qu'ils apprennent en termes de pub. N'hésitez pas à utiliser Swallow si vous voulez gérer au mieux vos réseaux sociaux. Et puis après, on a un blog, un podcast, on a un groupe Facebook privé où on parle vraiment de réseaux sociaux, de stratégie, de nouveauté. Dans notre groupe, on est 400 ou 500, alors c'est généralement des séniors ou des social media manager séniors.

[00:50:00]

Parce qu'en fait, il y a d'autres groupes que je connais très bien et qui sont vraiment géniaux ou plus généralistes. On a voulu créer quelque chose.

[00:50:07]

On n'a pas forcément parlé de la taille de la bannière Facebook, puisse parler de stratégie, de nouveautés, etc. Donc voilà. Mais ça rentre toujours dans l'idée de prendre soin de ses utilisateurs pour créer une communauté autour d'un produit.

[00:50:18]

On essaie. En tout cas, je pense que tu l'a créé quand même. OK, merci Jonatan et merci. Merci à vous et à une prochaine bientôt. Salut!