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Salue t il. Salut! Je suis très heureux de recevoir sur ce podcast des ciments produits pour Apple. C'est un podcast dans lequel on décortique les aventures entrepreneuriales du produit beauté situé au joli mois. Le produit connaît très rapidement. Tu peux présenter un peu présentés, présentés par des experts lancés par les producteurs, développer les produits que j'ai développé.

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J'ai Vival de conseils, donc je n'étais pas vraiment des produits très spécifiques. Quand j'étais, quand j'étais jeune, je suis sortie d'école. Après, au niveau du produit, j'ai bossé sur une start up dans la Silicon Valley qui faisait du cash. Distribuer le cash, en fait, c'est quelque chose qui permet d'accélérer les traitements de données avec des énormes, avec des énormes. Des gens qui j'ai beaucoup donné. Et notre idée, c'était juste de les rendre beaucoup plus rapides en faite sur des optimisations de 1000 millisecondes.

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Donc ça, c'était plutôt cool. Et après, j'ai eu ma première aventure. J'en ai eu deux en même temps. J'en ai eu une où j'ai des enfants et j'avais envie de faire un truc un week end. J'avais envie de faire un truc et je me suis dit Tiens, si je apprenais les couleurs de deux autres comme ça, j'ai fait une petite application mobile où ils pouvaient cliquer. Tu vois, je lui disais oui, le bleu. Ils devaient cliquer sur le blanc et je me suis bien éclaté à faire ça.

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C'était plutôt cool. Et en plus, mes enfants qui fait que je me suis dit tiens tout. Donc après, ils ont un peu grandi et je me suis dit Tiens, je vais prendre le truc. Et puis ils avaient changé. Et Venel? J'ai monté un petit studio de jeux ludo éducatifs. J'ai arrêté par la suite. Mais si tu veux qui visait le milieu de gamme, tu vois pas le truc hyper bien ni machin et tout ce que j'étais toute seule.

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Et je bosse avec des free.

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Par contre, je sortais du Gecas, les laisse filer la sortie. Combien de pas une trentaine, je pense.

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En même temps, franchement, hyper rapidement, je vais en faire une par mois, par mois, à peu près. C'est vrai. Une fois que j'ai fait mon moteur, je pouvais changer. Tu vois, après, c'est apprenais le vocabulaire sur les Châteaufort. Après? Apprenez le vocabulaire sur les animaux. Donc, en fait, je sortais plein de trucs. L'idée, c'était vraiment de sentir plein plein de trucs et de voir ce qui marchait. C'était vraiment vraiment aller vite sur le marché et tester le truc si besoin.

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Je recréées. Donc moi, je bossais surtout sur le moteur. Donc ça, c'était plutôt cool. C'était pas forcément pourrait être mon job principal essential business side business. Mais je ne m'étais quand même arrêté quelques mois, histoire de faire le moteur parce que ça prend un peu de temps, puis que je connaissais. Je suis joueuse de base, mais sur des jeux ludo éducatifs, les mécanismes. Comment est ce que tu construit un niveau? Comment est ce que tu mets ta gamification?

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Tu vas pouvoir travailler là dessus. Je suis un peu accompagnantes. Tu vas faire des niveaux qui avaient une histoire du storytelling. Après, j'ai du chemin. Il y a une sorcière qui voulait les bonbons et l'enfant devait résoudre des énigmes, des énigmes pour gagner, pour regagner les bonbons que j'avais demandé à une petite fille de faire les voix. Moi, je faisais la voix de la sorcière. C'était assez, c'était assez marrant. C'était moi, c'était assez marrant.

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Après, j'ai laissé le truc vivoter, mais j'avoue que ça, c'était c'était assez. C'était assez marrant et c'était une bonne expérience, vraiment une belle expérience. J'ai appris plein de choses, bien bosser avec des Fricke. Moi, c'est plein. C'est plein de choses de base, mais en fait, être très précis dans ce que tu dis, bien les choisir. Savoir dire stop dès que ça commence, dès que tu vois que ça commence à aller, pas attendre que ça se passe mal.

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Au début, ça se passe très mal. Quand tu va, c'est plein de petits trucs que j'ai appris. Forte de ça, j'ai lancé un deuxième business qui a pas mal évolué. Donc, la boite à la tenue de deux ans et en fait, l'aster différent. Donc le produit, c'était enfin. Le besoin que moi j'avais, c'était de trouver des gens pour faire du sport et je voulais trouver d'autres filles pour faire du sport. Je voulais vraiment que ce soit avec le temps, mais je voulais plutôt des filles pour courir, faire du tennis.

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Et tout ça, c'était plus sympa. Ne voulait pas forcément de mecs parce que parce qu'on s'est rendu compte que les bus étaient mixtes et qu'en fait, on avait beaucoup de gens de mecs. Le vendredi, vers 3h du matin, on avait des gens qui s'inscrivaient, des mecs qui étaient en recherche de plus de tennis, mais aussi du hockey. Un truc pour que les femmes sappelait suffisent et c'était plutôt cool puisqu'on a vraiment vraiment. Au début, on avait une idée finalement vachement dévier de ce qu'on a fait, mais c'était plutôt pas mal.

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Ça marchait bien à prendre. Le gros problème, c'est que ça marchait bien. C'était vraiment sympa. Les gens étaient contents. Ils revenaient parce qu'on faisait des sorties théâtre, de sorties dans des bars, des sorties au resto, du sport. Pas mal de sport. Mais en fait, qui paye?

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C'est bien d'avoir une start up, un truc que les gens aiment, mais il n'y avait pas de business model et on avait regardé un peu ce qui se faisait. Et le truc le plus gros en France qui fait ça, c'est qu'on va sortir vs et leur business model n'a pas l'air d'être d'être. Ça marche parce qu'ils sont très gros et que c'était les premiers vrais hélitreuillage. Ils font de la pub exactement avec des marques.

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Et puis voilà exactement. Alors que nous, on était beaucoup plus petit, plus on était vraiment sur une niche. Que les femmes tuent les femmes pour le sport. En plus, on faisait d'autres choses, on allait en boite, on avait plein de partenariats, donc pas mal de boites parisiennes. Plutôt très, très cool. Mais ils étaient prêt à nous rincer en et en invitation. En fait, on avait des invitations sur toutes les soirées. Ça, c'était cool, mais il n'y avait pas de Coray.

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C'était très cool qu'on n'avait pas un truc. Même les théâtres, les théâtres, ils étaient contents parce qu'après, on est un peu, on a un peu tourné vers de l'influence ou en fait, on faisait des soirées pour les marques et on faisait venir des filles, pas des influences françaises. Mais juste madame Tout le monde doit madame Tout le monde, sur l'influence. Elle touche bien plus sa communauté proche, même si on en a beaucoup moins qu'une grosse influence, ce qui ne va pas pour être très proche.

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Moi, quand je poste un truc, Basser, c'est ma famille, mes amis directs. Donc quand je commande quelque chose, ça a beaucoup de poids, entre guillemets, que qu'une fille que tu connais. C'est très bien qu'elle fait de la promo, donc c'est très différent. Et ça, ça marchait bien. C'était juste que l'application marchait. Le business model, on avait trouvé un truc qui marche était ça gagnait. Pas assez pour l'impact sur ma vie, jusqu'à organiser des soirées.

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Moi, j'ai fait une école d'ingénieur en informatique, ce que je sais coder, et tu vas organiser des soirées pour des gens.

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Ça ne s'est pas forcément fait après la boîte. On est arrivé à trouver un business model qui, pour le coup, a marché. Mais par contre, l'investissement, quand, quand faire de l'événementiel, c'est pas ce qui te plaît vraiment? C'est un peu compliqué. D'un, je me suis dit fais ma vie, elle est très compliquée et finalement, je m'éclate vraiment. Donc, on a juste arrêté. On s'est dit en fait, on pourrait faire un truc mieux et continuer à le porter.

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Mais en fait, le projet n'était plus en phase avec courage. En plus, je me reconnaissais plus dans ce qu'est exactement ce vers quoi vous avez voulu de chercher à trouver un business model.

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Mais le business model a pris un tournant et on n'était pas là.

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La boîte fait partie de la boite et la boite a fini ou on a fini parce que c'était moi qui avais eu l'idée. Donc on a closet la boite, on a osé. Mon associé est parti dans une autre boite et après moi, par hasard, non pas par hasard. Je ne savais pas trop ce que je voulais faire. J'ai quand même toujours été. Est ce que même quand je suis sorti d'école, au bout de six mois, je me suis lancé en tant que freelance?

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Ça me faisait pas peur, donc je faisais. J'étais sur la Stagg Java et je me suis dit tous les films que je voyais, c'était vachement vieux machin et tout vendu avec mon expérience. En fait, je me suis dit pourquoi pas? En fait, j'ai GST. C'était vraiment mon premier truc et j'ai vraiment lancé CV pour voir si ça pouvait marcher au pas. Et j'en passe trois, quatre jours. J'ai trouvé un client, une grosse banque, mais l'équipe avait l'air plutôt cool.

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Je ne dis pas que j'arrive, les gars.

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J'ai toujours eu envie, ce truc là, un peu entrepreneur, même si t'étais que de vouloir aller plus loin.

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Ce n'est pas forcément l'idée d'être mon seul patron ou autre. Parce que tu vois, là, on est dans une boîte, on est être quasiment une vingtaine. Maintenant qu'en fait, il est de se dire je veux lancer ma boite pour être mon propre patron, ça ne marche pas parce qu'on va compter plus quand tu fondes vraiment quelque chose de tellement de contraintes, quand tu tu résous juste des contraintes et quand il y a un gros problème. En fait, même si tu avait décidé d'aller faire du tennis mort sacerdotaux, Berthé est moins de liberté quand tu montes ta boite que quand tu rejoint un projet dans lequel il y a de la liberté dans le projet.

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Tu fais ce que je veux exactement. Tu vois souvent, je vois des gens qu'ils soient, mais je vais être mon seul patron.

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Oui, oui, oui, c'est vrai, c'est pas son patron. Mais en fait, au bout d'un moment, on a besoin de manger à la fin du mois. Donc, t'as besoin que les gens qui bossent avec toi, que soit t'es partenaires, tes clients ou autres, soient satisfaits de ton travail autrement.

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Donc si on résume, donc, t'as fait des sorties d'école pour cette boite dans la Silicon Valley?

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Non, j'ai fait du free lance en France.

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La boite dans la Silicon Valley prête à monter un studio de jeux éducatifs pour des enfants. Et objets. Après, tout est rentré chez moi.

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C'est exactement ce joli mois. Je ne savais pas ce que je voulais faire. Après, c'est quand même dur de fermer ta boite. Parce que j'ai investi des tonnes d'or. J'ai investi mes économies aussi. Donc au bout d'un mois, tu dis il faut que ça s'arrête. C'est pas facile à vivre un peu son deuil quand c'est même pas à faire ça. En fait, c'est carrément deuil et c'est vraiment dur. Moi, j'ai eu vraiment un moment où c'était un peu dur.

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Résultat je me suis dit mais en fait, je sais pas quoi faire. Est ce que je veux retourner? Est ce que je vais retourner? Free lance? Est ce que je suis prête à Morace aussi? À mon projet? Parce que c'est énormément d'énergie, un projet dont je ne savais pas trop. J'ai posté sur Twitter. J'ai dit si quelqu'un a un truc sympa à me proposer. Et là, il leur nommé qui était la City de Mango Pay, une solution rachetée par les Chinois.

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C'est monté. Les qualités étaient situés des deux côtés. En fait, elle m'a dit Ecoute, je connais quelqu'un, je connais un tuyau, elle est top. Elle cherche quelqu'un dans la beauté. Le truc, c'est que moi, la beauté, ça me parlait pas du tout. Je voulais faire de la fintech. Je sais pas pourquoi j'ai deja bossé dans la banque et j'aimais bien ça. Je voulais faire la fintech et la Wetter, ce n'est pas vraiment un truc qui me faisait rêver.

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Non, non, ça ne m'a jamais intéressé vraiment. Ça ne m'a jamais intéressé. Je ne sais pas mettre une crème, fallait sidèrent. Mais par contre, j'ai rencontré Isabelle et là, tu as été vraiment. Elle est la crèche, je dirais oui. Franchement, si quelqu'un a envie de suivre. Je ne savais pas trop. Le projet était vraiment minuscule. J'étais la troisième à la rejoindre et il y avait Isabelle, Jennifer et moi au départ à trois.

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Puis après, il y a Aurélia, la quatrième aussi, qui nous a rejoints en début de soirée avec quasiment rien. Mais Isabelle, elle, est solaire et je sais ce que j'ai vu après les trois ans qu'on voit ensemble. J'ai eu l'occasion de voir que tu as mon feeling du départ. Ils étaient bons parce qu'en fait, elle est vraiment efficace. Et en plus, l'autre associé aussi. Là où tu vois Isabelle et solaire énormément d'énergie. L'autre associée, elle était pleine d'énergie aussi, mais c'est vraiment plus carré.

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Et ça, des cultures, très exactement. Je me suis dit en fait, elles ont déjà un super binôme toutes les deux.

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Toi, tu kouté rentrante au cofondatrices et je suis en 30 ans cofondatrices et leur projet m'a parlé parce qu'en fait, elle n'avait pas de l'influence. Mais elle bossait vraiment à créer un nouveau métier. Une nouvelle. Une nouvelle façon de consommer la beauté par une hyper personnalisation. Doncaster coup pour moi, parce que forcément, il y a des algos de recommandations assez poussées. C'est cool d'un point de vue technique. Mais derrière, sur le produit, c'est que ce conseil personnalisé est donné par des indépendantes qu'on appelle des six beautés.

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Résultat moi, quand je me lève le matin, je sais que mon job, mon produit, tout ce que je fais, ça va permettre à des femmes, essentiellement des femmes. On a quelques hommes, essentiellement des femmes, de créer leur business. Et tu vois autant. Pendant longtemps, on avait écrit ce qui se dégageait des tout petits salaires. Autant maintenant là, depuis quelques mois, il y en a qui gagnent vraiment très, très bien leur vie et ça me donne.

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C'est sûr que ça me donne la balade. J'ai un impact sur la société. Tu vois par exemple typiquement le qu'applique. Moi, je préfère traquer. C'est celui là.

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C'est à dire combien ont la moyenne leur a permis de gagner quoi? Tu vois ce que je veux, je suis. Je suis féministe et je trouve que l'argent, c'est essentiellement le moteur. Parce qu'une fois qu'une femme a l'indépendance financière, tu peux faire beaucoup de choses. C'est le nerf de la guerre. Si t'es dépendant de quelqu'un, c'est très compliqué et on a des histoires, des fois, deux femmes qui ont eu des histoires plus compliquées. Et moi, ça, c'est ce qui me touche.

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Moi, c'est de me dire Bah voilà, va, on va les aider. Après, c'est un business où le business peut marcher, pas marcher. Notre business, c'est pas se dire reste dans ton canapé, tu vas te faire 10.000 euros à la fin du mois.

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C'est elle qui apporte des outils à elle. Ces femmes et ces hommes aussi, d'utiliser votre outil un joli mois pour après tout chez Ferland. Résultat c'est hyper intéressant parce que du niveau du produit, on a plein de produits, parce qu'on a un produit bitte aussi pour nos utilisateurs finaux, donc les clients, pour aller vite aussi webpart business to customer.

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Donc, c'est vrai que monsieur et madame Tout le monde, madame Tout le monde qui eux vont se connecter sur Jaulny, moi, comme ils vont pouvoir avoir une expérience digitale pour, va leur falloir proposer des produits. Puisqu'on bosse avec une quarantaine de marques telles que les crèmes hydratantes, on en a 15, on va être capable de leur dire de manière algorithmique qu'elles krämer bien pour eux. Ça fait tout en tout produit et tout un mindset. Et de l'autre côté, on a les stylistes et Serma complètement différent.

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Parce que là, c'est plus en mode SaaS, soit une application vraiment be between de business business is business, puisque des stylistes sont eBusiness Ouest du business.

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Et après? Ce qui est marrant, c'est qu'on est encore plus compliqué parce qu'on fait nouille quelques fois. Je dis moi, c'est vraiment cool parce que c'est extrêmement complexe. Les clients, les stylistes, mais aussi les marques. Tu vois, les marques sont là parce que typiquement, je ne suis pas demari à ta boulangère qui dit ouais, je vais tester, je vais tester Géodis. Moi, je vais, je me lance dans l'aventure Comment tu fais pour qu'une personne en deux jours, elle te soit capable de donner un bon conseil beauté?

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Comment tu fais? Qu'est ce que tu mets en place? Qu'on a mis en place de leader? Niclas On va essayer de le personnaliser parce que les filles, elles, vont de 18 à 75 ans, je crois. Et il y en a qui sont des esthéticiennes ou des méca artistes. Il y en a qui sont vraiment, qui, Iquique, n'ont jamais fait, qui aiment juste ça. Et résultat, comment tu construit ton produit pour pouvoir matché toutes ces personnes qui sont radicalement différents.

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Et ça, franchement, c'est hyper agréable.

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Et comment? Si on reprend juste un tout petit peu sur son joli mois. Donc toi, tu arrives chez moi 3 3 avec les 2 personnes. C'est quoi ton premier job? C'est j'imagine. N'y a pas de produit, y'a rien. Ca peut être une plate forme PrestaShop? Shopify. Il y a déjà cédé quand c'était il y a combien de temps pour Gouget en 2009?

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En septembre 2017. S'achevaient, a fermé.

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J'ai fermé 3 ans, donc ça fait trois ans, donc 3 ans que je voudrais. Au début, je croyais Shopify qui était fait.

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Il y a un geste, H.F. Qui a été fait par une agence avec une. Qui a été fait par d'autres gens et encore d'autres gens est encore dedans quand je rentre chez moi, tu mets à la poubelle et tu recommence donc le premier. Le premier truc, c'est que je suis arrivé à l'application. Il y avait des Fingal. S'il n'y avait pas d'application à l'époque, c'était un site web genre. Il y avait des grosses pages blanches. Et ça, c'était tout.

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Si c'était, c'était le site entier, tandis que tout était. Tout cela dans un produit que j'avais, tout ce que tout avait été fait dans PrestaShop. Et les agences avaient rajouté des choses dans PrestaShop. Et donc d'avoir mon premier point, c'était déjà de comprendre vraiment l'ADN de la boite, de résoudre les problèmes. Pour plus avoir de sites qui soit plus disponible et après, c'était de commencer à se dire en fait, on a PrestaShop qui finalement fait bien ce pourquoi il est censé faire, c'est à dire la prise de commande.

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Tu es derrière tout ce qui est plastie, tout ce qui est la gestion des stylistes, leur administration, les outils qu'on leur fait. Il faut faire quelque chose de radicalement différent. On a cassé, cassé, cassé et on a reconstruit. On a juste mis Duclert. Tout ça au démarrage. Je te dis je vais contre l'archi, entre guillemets. Je vais me dire donc, en gros, j'ai plusieurs sujets à adresser. J'ai un consommateur direct qui achète Tronjoly, moi, comme il pourra acheter.

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Tu me dis si je dis une bêtise moyenne pour acheter sur un site e-commerce de beauté classique. Ouais, donc, ça passe, promet City Commerce. Et après? T'as justement toute la gestion avec un canal de distribution pour les stylistes qui en fait les stylistes. Elles achètent des produits locaux. C'est comment? Comment va t elle? Agel Pas les produits et pourquoi c'est de l'affiliation. Oui, ça ressemble plus à de l'affiliation.

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Pourquoi, puisque côté entrepreneur, c'est prendre des risques et n'est pas forcément sur une population qui a beaucoup de cash. Donc, on a des cadres sup, donc c'est très varié. Mais tu vois la logistique, le savez, les stocks, donc c'est hyper couteux. Et en fait, nous, on préfère le gérer aujourd'hui. Ça permet de mutualiser les coûts et donc c'est nous qui gérons. Par exemple, s'il y a une case sur un produit, c'est nous qui, si nous renvoyons la styliste, ça touche pas, ça touche pas du tout à ses revenus.

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Elle ne paie rien pour ça. Tu vois, et c'est pareil sur le stock quand tu demandes à quelqu'un d'acheter. Je ne sais pas, moi, 20. Créé avec la personne, elle est un peu un peu ambitieuse, mais ca va acheter les 20 qu'il y a derrière.

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On va pas les revendre, mais en fait, elle se retrouve avec un stock sur la main et en fait, tu vois pour mettre un tout petit peu de clients, du coup, sur ton business. Joli mois. En gros, donc, vous vendez des produits à deux canaux de distribution en direct directement jusqu'à des consommateurs. Donc, par exemple, moi, je pourrais aller acheter si je voulais directement sur ton site. Et après, tu le vend quand même à des utilisateurs finaux via des stylistes.

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Ça, c'est ça. Et donc, les stylistes, en gros, le font dans un système de filiation. Wattebled, et ça, ça passe par là. Elle touche entre autres si elle touche entre 20 à 30 pourcents, mais un peu plus. Ces pièces ont beaucoup de cadeaux et de trucs gratos quand elles ont une rémunération en fonction en fonction de leur conseil. Mais non, ce qu'on fait vraiment, ce qu'on essaie de se différencier, c'est qu'on ne considère pas qu'on fait de la vente.

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On considère qu'on fait du conseil. Et justement, on va repenser le joli mois comme pour vraiment tourner ça, puisque si tu veux faire de la vente, tu peux faire. Il y a plein d'autres endroits qui sont spécifiés, non? S'adresse vraiment aux gens qui veulent du conseil, c'est à dire moi, t'es un homme, t'as peut être un peu ne sais pas trop où aller cette branche. Pas d'aller chez Sephora en. On va leur prendre, puiseront.

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Tu vois une discussion one to one avec leur stylistes et mais on est vraiment basé sur conseils. Notre force, c'est le conseil.

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Et donc là, maintenant, au niveau tech, vous avez une vingtaine de personnes à la tête. Vous êtes, vous avez une vingtaine de points. Une dizaine de personnes au niveau tech, j'imagine.

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Oui, on a un petit peu moins, mais on est là. On arrive à 10. Comment tu fais pour passer au moment où t'arrive toi dans la boite? Donc il y a 3 ans maintenant. C'est quoi, globalement, ton job? À la fois au niveau technique et au niveau management d'entrepreneur.

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Parce que tu dois passer d'une équipe, toi à toi à 10 personnes et d'un produit ou au début d'un rien obligatoire. Raconte moi un peu comment tu fais sur ces deux aspects là. En gros, au fur et à mesure, est ce que ça implique quels sont les jalons que tu fasses? J'imagine que au démarrage, quand tu t'imagines l'architecture de jolis mots, tu dois la mettre en place quand tu la met en place. C'est quoi ce challenge? C'est quoi, les jaloux?

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Tu dis je continue, j'y vais pas. En fait, comment arbitraux, tout ça? Et quel est ton rôle vis à vis de l'équipe qui était déjà là puisque j'imagine que même si toi, tu a apporté ta vision au produit, a quand même dû prendre la vision qui était existante. Si tu m'expliquer un peu tout ça, alors sur comment est ce qu'on a fait sur l'architecture? En fait, tout ce qu'on fait, on fait vraiment. On est MVP à fond, c'est à dire on fait des tout petits trucs et on est comme dans ton studio exactement.

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Regarde un autre long et on regarde même pas parce que c'est. C'est ça qui marche, surtout dans la tête. Tu vois ce que moi j'ai fait beaucoup de qualité et de test et c'est des choses que j'adore. Mais tu vas sur un produit que tu dois sortir comme ça à l'arrache. Contre City tombe tout le temps. Tu fais juste des rustines. Tu vois, d'abord tu patche, tu fais, tu fais un truc qui tient un peu et après tu dis OK.

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Donc en fait, j'ai un métier. En fait, j'ai deux métiers. En fait, j'ai mon client, j'ai mon produit client et tout ça, c'est deux produits. Donc en fait, je vais faire deux archi différentes parce que ce n'est pas la même chose et qu'ils n'ont pas les mêmes besoins. Par exemple, tu vois, là, on commence à fond, on a une bonne, très bonne croissance. Ensuite, je les vois pas comme ils commencent à avoir peu de charges, mais sur mes stylist.

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Aujourd'hui, c'est no no no no free lance. On en a beaucoup plus qu'avant, mais je n'en ai pas diminuerait les chargements. Quand tu vois, je me dis Bah voilà, en fait, j'ai deux systèmes. Donc on va faire deux archi séparées. Donc je prends la première, je la classe 2 et là, ça arrive. En fait, qu'est ce qui se passe? C'est qu'il y avait une version déjà pour les stylistes dans le site principal.

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La question, là, c'est. J'ai un existant avec plein de fonctionnalités. Moi, je veux lancer une application mobile beaucoup plus mieux design et mieux pensée, mieux mieux structurée et mieux conçue d'un point de vue d'architecture. Mais fait, qu'est ce que je fais? Est ce que je recode exactement le même nombre de fonctionnalités? Et comme ça, j'en une et je crée l'autre. Ou est ce que j'ai les deux en parallèle pendant un moment, ce qui est plus simple parce que comme ça, j'ai directement métaphysicien.

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Mais d'un autre côté, mes utilisatrices, mes utilisateurs stylist. Quand ils viennent sur l'application, ils ont deux systèmes à gérer, ce qui est pas hyper simple. Donc, on a beaucoup réfléchi et en fait, on a pris la décision ensemble qu'on allait maintenir les deux systèmes en parallèle en sachant que ça allait avoir un novads pour nos journaux, pour nos stylistes. On avait estimé que ça allait quand même prendre six à huit mois parce qu'il y avait quand même pas mal de fonctionnalités et qu'on allait avoir ces deux systèmes pendant 6 à 8 mois.

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En fait, c'est ce qu'on a fait. Nous, on a sorti l'application mobile, il y avait une page, il y avait vraiment juste une page, mais c'est quand tu sors, on assume.

[00:21:51]

Vis à vis, oui, on l'a fait.

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On leur dit, on leur dit c'est comme ça. Je n'ai pas vu en avoir une deuxième. Mais en fait, comme on a des cycles de release assez rapidement 2 semaines après, il y avait une deuxième page et deux semaines après, il y avait une troisième page très intéressante.

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C'est qu'on a préféré mettre quelque chose en prod de vraiment très petit, mais minimal.

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Après d'Obwald, dessus, avant, c'est exactement ça. C'est très intéressant. C'est un peu la même approche que tu avec des Web-TV, avec des jeux vidéo. C'est vraiment de commencer petit et de faire grossir son produit.

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Et donc, au bout de 6 mois à peu près, on a réussi à tenir les traces qu'on s'était fixé ou Tu suis moi, on a tué l'ancienne application Stylist.

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Et après? Voilà, il y a des trucs ou des choix qu'on avait fait. On avait décidé de reprendre des fonctionnalités, donc tu vois, là, c'est pareil quand ils passent d'un truc et tu refais tout et tu fais tout différemment. Ça peut créer un peu de frictions. Et puis après, on est hyper transparent. C'est une de nos valeurs, quoi fait. On a juste expliqué pourquoi est ce qu'on avait changé? Pourquoi est ce que c'est important?

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Et on a bossé pour prendre en compte toutes leurs remarques et faire un truc qui soit bien, sachant qu'ils ont vraiment. On considère pas qu'on fait un produit chez moi. On se constat qu'au co-construire un produit avec nos utilisateurs, c'est à dire qu'elles sont parties vraiment importantes. Même quand on était tout petit, on faisait pas mal d'interviews utilisateurs, on leur faisait faire des tests, même si on a eu des périodes où on était un peu chargé. On a essayé de toujours garder ça et ça, pour nous, c'est hyper important parce qu'en fait, on pense comprendre leur business.

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Mais elles, elles le vivent au quotidien et il y a une grosse différence.

[00:23:21]

Et du coup, je récupère tout ce feedback là. Ouais, c'est toi qui récupère et qui gère ça. C'est pas quelqu'un dans ton équipe, mais maintenant, j'ai quelqu'un dans mon équipe qui gère ça.

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Et là, j'ai une autre personne aussi qui va arriver pour encore aller. Mais Adwan, toi qu'il faisait. Tu construit comme ça? Et qu'est ce que vous faites? Vous faites tout ce que vos utilisateurs vous demandent de faire. Vous choisissez en fonction. Voilà, vous récupérez, vous ratissaient le feed back. Et après Darian, c'est ça, oratrice, le feedback.

[00:23:46]

L'idée, c'est on prend, on prend leurs idées aussi, mais surtout, on essaie de comprendre leurs problème. Parce qu'une fois qu'on a bien compris leur problème, on se rend compte qu'en fait, ils ont plein de bonnes idées. Mais elles voient qu'elles même. Tu vas voir mon produit. C'est ce que j'ai vu, des gens qui ont 18 ans et qui ont 75 ans. En fait, chacune va voir le produit par son prisme. Moi, je vois qu'on sera en produit pour la majorité, pour la majorité et résultat, on ne peut pas prendre les feedback comme ça.

[00:24:09]

Donc, en fait, on les prend vraiment. Le feedback, c'est vraiment essayer de trouver. C'est quoi leur problème? Qu'est ce qu'elle cherche à atteindre? Qu'est ce qu'il est et qu'est ce qui les frustre? Et on prend cette frustration et la frustration. On réfléchit, on essaie de proposer des solutions et ensuite, on va leur montrer la solution pour essayer de voir. En fait, voilà, c'était pas exactement ce dont la musique était. Mais est ce que ça?

[00:24:27]

Qu'est ce que tu en penses? Et là, on va essayer de prendre justement des stylistes qui ont des profils différents pour leur montrer accusateurs et qui a été appréhendé.

[00:24:39]

Et après, on dev assez vite et dans le dev. En gros, donc, là, quand tu coorganise toute seule, j'imagine qu'on va en compter toute seule. Tu qui fait le test commence là. En gros, c'est quoi un peu, en fait, au fur et à mesure de tes 3 ans chez Joli Mois? C'est quoi l'organisation en terme de produits? Vraiment, le truc organisationnel? Vous faites quoi, vous? C'est quoi votre process, en fait, pour développer le.

[00:25:04]

Est ce que vous faites des sprints toutes les semaines? Quelles méthodes vous utilisez? Comment vous vous organisez vous pour développer votre produit?

[00:25:12]

Le premier truc qu'on a mis en place, c'était vraiment tout petit, c'est de bosser avec despionnage. J'ai été un pseudo coach agile dans une autre vie. J'en suis revenu un petit peu.

[00:25:22]

J'ai grandi à Atlanta. J'ai appris, j'ai appris que je ne vais pas balancer une méthode Scrum avec tous les riders. Une équipe de trois personnes, c'est juste pas possible. Par contre, le truc dont j'avais besoin, c'est des sprints carrés. Pourquoi? Parce que Termote Start, ça bouge dans tous les sens. Et moi, quand je construis un truc, que soit un produit en produits genre qu'est ce qu'on va faire? J'ai besoin que ça change pas en permanence.

[00:25:50]

Depuis le début, on est assez pointilleux là dessus sur le fait que l'on fait un sprint. Ça dure deux semaines. Bien sûr, s'il y a une urgence, on aucun problème. Mais en fait, on arrive plutôt bien à gérer nos sprints et faire en sorte que nos sprints, une fois qu'on a défini ce qu'on faisait sur les deux prochaines, sur les deux semaines qui arrivent, on sait ce qu'on va faire. Donc, on sait qu'elle ont un utilisateur ou à faire.

[00:26:07]

On sait le contexte des produits. On a bossé en amont sur ce qu'on cherche. C'est bien de faire des acteurs utilisateurs, mais qu'est ce que tu cherches? Qu'est ce que tu cherches? Et ce qui te prend plus de temps dessus avec eux? Vraiment? Avec une méthode Trécarré sur aller chercher le feedback des utilisateurs et du coup, organiser ce samedi en fonction de ça. Ça, c'est une méthode qui est très carrée, shido.

[00:26:28]

Après, on est en train de l'approcher. Tu vas te faire vraiment un geste plus détaillé, mais grosso modo, ça d'abord, on met le contexte, on explique c'est quoi, pourquoi on explique pourquoi est ce qu'on le fait maintenant? Tu as aussi un impact puisqu'on pourrait faire plein de choses. Mais pourquoi est ce qu'on fait ça maintenant? Et pourquoi, a priori, ça plutôt qu'autre chose?

[00:26:45]

Je dis pourquoi explique c'est expliqué qui est un type de dev où tout le monde a toujours été très transparent.

[00:26:52]

C'est très transparent pour l'équipe de dev, pour tout le monde. Je lis moi et pour tes viateur, peut être detransparence par OMAP et le public du Nord.

[00:27:00]

Pour l'instant, on le fait pas, mais on va, on va mieux leur montrer. Pour l'instant, on n'est pas nombreux, donc il y a plein de choses qu'on aimerait améliorer. Et là, moi, je vais renforcer l'équipe produit. Mais il y a des choses sur lesquelles on s'améliore. C'est que pendant qu'on fait des trucs super, donc on va faire un super truc, qu'on va faire des interviews comme il faut. On retrouve le problème. On va proposer une solution flux.

[00:27:20]

On va, on va la tester, ça va passer, on va couler le truc, on va le sortir et en fait, personne, a prévenu les utilisateurs. D'accord. Et en fait, ça, c'est bien. Mais on se rend compte que quand on sort, on est, on est, on est. Le code, même à base de code est là. C'est propre, vraiment. On a pas de problème de technique ou autre. On avance.

[00:27:40]

Mais je déteste les techniques pour expliquer la technique. En gros, c'est qu'on peut prendre du retard sur ton business et qu'en fait, parce qu'à force de faire des pages et des pages et des pages des patchs, en gros, tu te retrouves avec une stack technique bancale qui est beaucoup trop vieille. Globalement, si on faisait un parallèle, c'est comme si tu avais. J'en sais rien, moi, une Clio des années 90 que t'as fixe FX s'est fixé, mais ce qu'on fait en face de toi et des mecs, qui confèrerait au bout d'un moment, ça marche plus et ça tient plus.

[00:28:08]

Et ça pète. Et quand ça pète, c'est très, très mal. On fait des investissements à très court terme, à très court terme. Mais par contre, on fait derrière. Et puis après, on reprend et on arrive assez vite. Mais c'est vrai que tu vois sur la fin, tu vois. On a identifié que là, on recrute quelqu'un qui va justement faire plus de lien et mieux expliqué, même même même pour la team.

[00:28:29]

Tu vois, des fois, on fait pareil le truc, mais en fait quelque chose que l'on avait mal anticipé, mais qu'en fait, on produit de bons produits. Il est très large, mais d'autres produits, même à 4 4 4 4, que la 4ème, c'est l'équipe en place. Au tout début, quand on avait 10 stylistes, ça a marché de faire des trucs manuellement. Quand tu dépasse un certain volume, tu peux pas faire moins de.

[00:28:52]

Si c'est pas indiscret, je ne sais pas si je peux aider Christian. Peux tu me donner un ordre d'un ordre de grandeur ou pas?

[00:28:59]

Je ne sais pas, mais on couvre toute la France et on a bien la pensée de la France et la Corse, et aussi la Belgique.

[00:29:10]

Mais puisque tu me disais justement que en gros, tu avais 4K de produits. Ouais, en fait, le truc qu'on n'avait pas anticipé, c'est que au début, tu cherches donc le product market fit le truc qui va marcher. Donc, au tout début, ça prend du temps parce que surtout, c'est de l'humain. Donc il faut vraiment comprendre. C'est quoi leur problème? Donc, je dis ça à prix coûtant. On trouve maintenant que c'est en train vraiment d'exploser et devenir quelque chose de beaucoup plus grand.

[00:29:34]

Mais en fait, le premier point de déchec, c'est pas d'échec, mais de trucs à prendre en compte. C'est ton équipe, en fait, c'est si les gens autour de En on s'est rendu compte qu'en fait, c'était super bien qu'on sortait plein de figures. Son utilisateur était hyper content qu'on progressait bien et c'était sympa. Mais en fait, les équipes à côté, elles étaient en train de souffrir parce qu'elles n'avaient plus géré. Et résultat, le point est là dessus.

[00:30:02]

J'espère que. L'année prochaine, on va mettre un gros focus dessus. C'est juste d'aider et d'automatiser. On a déjà beaucoup automatisé et on est arrivé à un bon point, ce qui fait que c'est grâce à ça qu'on a pu supporter qu'on a pu avoir cette croissance là. Mais là, il faut carrément, je pense qu'une équipe quasiment dédiée ou vraiment que ça prenne un jour peut être 30 de notre temps, juste à créer le produit en interne de gestion.

[00:30:27]

Parce qu'en fait, je te permet de gagner du temps des Fêtes. Parce que tu as quelle est ta base, parce qu'elle était styliste, parce qu'elle est tout ça, mais pas toujours une machine. Et donc, du coup, il faut toujours que quelqu'un. Et c'est quoi ton rapport à l'erreur, toi, en tant que citoyen, à la fois vis à vis de toi et vis à vis des équipes et des gens? C'est quoi? C'est quoi?

[00:30:46]

C'est quoi, ton rapport? Ou est ce que est ce que tu forces? Les gens aiment bien que les gens fassent des erreurs.

[00:30:51]

Est ce que tu vois mes équipes me charrier un peu parce que dès qu'on fait un truc qui est pas très cool, mais en fait, on a appris quelque chose et en général, en vrai, on a rarement fait des grosses erreurs et en plus, ça comme on est. En fait, on est en mode startup. Il y a certains trucs sur lesquels on est assez carré. Tu as totalement toutes nos sauvegardes Lakotas. On me raconte que ça a l'air d'être très, très bref.

[00:31:16]

Carré le dans tout ça? Ouais, mais en même temps, c'est verdures, c'est Byzance. Mais tu vois, par exemple. Résultat même si quelqu'un crache la base et on a eu un crash de base de données en 3 ans, c'était pas grave. En fait, on avait toutes les données de la veille. On avait la veille, tout était bien fait. On est sur Amazon. Tout, tout est bien classé, bien bien rangé. Donc, en fait, je vais te dire même si aujourd'hui, tout plante, c'est OK, c'est OK, il faut peut être oui, OK, il me faut 15, 20 minutes, peut être pour tourmenter.

[00:31:43]

Peut être qu'on va travailler un peu à ça, mais tu vois. Depuis hier, il y a eu un redémarrage serveur qui n'était pas prévu. Le serveur est mis 45 secondes à redémarrer. Il est redémarré. Tout, tout, tout est bien configuré. Donc en fait, tout s'est bien relancé. En fait, l'aperçu, car démarrer le serveur ne savait pas que ce qu'elle avait fait. Ça, je lui dis maintenant ça, c'est gravé dans ta tête n'oubliera plus jamais.

[00:32:05]

Il faut bien cocher la petite case quand tu fais une image et c'est comme ça. Et c'est pas grave, en fait. Et on essaye d'être Web, d'être pas bienveillant. J'aime pas trop le terme bienveillance. C'est un peu galvaudé et même pas du tout là dessus. En effet, d'être vraiment au niveau de l'erreur, c'est normal, en fait. Moi, je sais ce que c'est, ce que j'ai, mais c'est aussi ce que j'aime. Mes enfants, c'est que les celles qui ne font pas d'erreur sont ceux qui font ce choix sur le diabète étant très dangereux, la vaisselle du casse en verre a cassé un verre, certes, mais bon, je ne fera pas la prochaine fois et était en train de faire quelque chose, d'arrêter un process de process et de e-learning dans ton équipe.

[00:32:45]

En gros, justement, de transmission de ces erreurs, par exemple. Là, tu vois, tu disais qu'à faire démarrer le serveur. Comment est ce que tu fais en sorte que toute ton équipe le sache ou que tout le monde fasse l'erreur ou il s'est passé? Ça, ça va faire démarrer le serveur, non pas le refaire. On en parle après. C'est des choses que j'aimerais bien mettre en place. Plus de poisson. On parle plutôt du genre de bonne là.

[00:33:10]

C'est à dire que le midi, on se fait des petites sessions. Mais si des thèmes très variés, c'est pas forcément les thèmes de texte, ça peut être pas comme sur le sketch Cardiac, qui est sympa à sa prise de réunion. Et voilà, on va voir ça pour l'apprentissage de l'équipe. Après, sur les erreurs, on en fait pas tant que ça et en fait, on en discute beaucoup pendant nos rétrospectives. Je n'ai pas pris tout le truc Scrum, mais j'ai pris les sprints, les rétrospectives et là, on va mettre en place les démos, les rétrospectives.

[00:33:34]

Elles sont hyper intéressantes. Et avant le Kovy par mois et depuis qu'on est tous en Rémo, tout peut être possible parce qu'on a quand même pas mal grandi avec là, on va vraiment mal. Pas mal coursière jusqu'à la fin d'année, ce que nous recrutons, c'est quasiment fini. Voilà les rétrospectifs, c'est pas mal et c'est là où on va en parler.

[00:33:52]

Et juste là pour remettre un petit truc. Scrum, c'est une méthode de développement agile qui fonctionne sur un rythme de 1, sur un rythme, sur quelque chose qui est rythmé, avec des sprints, des sprints ou une taille fixe. Une semaine, deux semaines, trois semaines et tu fais tourner, s'exprime dans le temps. T'as un backlog dans lequel tu viens ajouter au fur à mesure de tes sprints dans ton backlog. C'est vraiment tout ce que tu dois développer sur ton produit.

[00:34:15]

Toutes les fonctionnalités que tu nourris via des utilisateurs. Et après, derrière, tu gères ça avec d'idéaliste Windaube tous les jours, des un producteur et un scrum master le master qui s'occupe des détails. Donc tout ça, c'est Scrum, Scrum en general. Les gens se rendent pas compte que c'est très rigide, comme ils appellent ça des méthodes agiles. Moi, ça me fait toujours rire quand on appelle le scrum méthodes agiles. Combattre, c'est super rigide et c'est beaucoup plus rigide que toutes les méthodes.

[00:34:40]

Du coup, c'est intéressant. Alors tu disais j'ai grandi avant, j'étais coach agile, j'ai un peu grandi. C'est quoi, en fait? T'as vu là dessus sur cette méthode de développement? Pas dans le but de cracher sur Scrum ou whatever, mais juste de nous dire voilà ce que je faisais là. Mais en allant un peu plus loin, qu'est ce que tu trouves bien et pas bien? Et qu'est ce qu'il faut retenir? Moi, je pense à titre perso que il y a une bonne méthode de développement pour une bonne équipe et un bon produit.

[00:35:04]

Et quand il faut arriver à aligner tout, mais toujours demander à des mecs qui font de l'industrie et qui développent des bagnoles de développer des bagnoles en méthode Scrum. Mais c'est exactement ça. C'est à dire que dans tout ce qu'on fait en fait le premier conflit d'introspection, donc, on voit quand on doit rajouter des choses pareilles. Au tout début, on ne sait pas de one to one où on en faisait pas de manière très fixe. Maintenant, ils sont fixes et c'est toutes les deux semaines ou toutes les semaines.

[00:35:32]

Ça dépend des personnes et ça dépend aussi du contexte. Quand on met en place le travail, on peut en urgence.

[00:35:38]

Toutes les semaines spamming le disent merci aux médias et ça n'avait pas le besoin. Et en fait, c'est la capacité à être capable de voir que ben en fait, on a changé. Et c'est pour ça que si au début, les démos, on n'avait pas le temps, c'était pas le moment là. Maintenant, on est. On est assez mature pour voir s'il y avait en fait. Ouais, on va, on va trouver, donc on va discuter avec les gens.

[00:35:57]

Qu'est ce qu'ils veulent comme démo? Quelle fréquence? On va demander un peu à l'équipe также et l'ensemble de la boite. Comment est ce qu'on va mettre ça? Et on va éventuellement aussi demander aussi. Voilà comment est ce qu'elle aimerait qu'on communique sur nos nouveautés? Comment est ce qu'elle? Qu'est ce qu'elles veulent? Elles veulent des vidéos, des PDF, des petits trucs dans l'application, des tutos, dans l'application TU, on peut faire plein de choses et en fait, c'est qu'à chaque fois, on construit vraiment pas à pas et donc on évite de prendre des méthodes, d'autres non.

[00:36:22]

On considère qu'on parle de rien et on ajoute des trucs à droite comme sur mesure et à vapeur.

[00:36:27]

Tu j'imagine que tu me dis j'ai l'impression de comprendre ça et tu fais aussi sortir des choses, t'en ajoute, me fait aussi sortir. Quand tu restes ou tu gardes, tu gardes tout ce que tu décides, que tu dois sortir un process ou une future ou quelque chose comme ça, tu dois le mettre à la poubelle. C'est quoi tes la méthode, la tu? Tu fais ça surement au feeling ou dans un truc un peu.

[00:36:47]

En fait, ça se fait naturellement comme on discute de tout au bout d'un an. Qui va dire bon, ce truc là, ça rame.

[00:36:53]

Et une fois que quelqu'un a fait, on va en discuter. Et quand tout le monde est OK sur le fait que ça ne sert à rien, ou tu vois qu'il y a une discussion parce qu'en général pas, ça sert à rien, parce que si ça a été mis en place, c'est qu'il y avait une problématique derrière. C'est juste que l'outil qu'on a choisi pour résoudre cette problématique est juste plus adapté et donc on va juste le faire évoluer. On va juste le changer.

[00:37:13]

Des fois, c'est dur. C'est juste des toutes petites choses que l'on base beaucoup sur notre processus de recrutement. Parce qu'avant les gens, on voyait une candidature et moi, je mettais 2 semaines à répondre parce que j'étais en mode à droite, à gauche. Et maintenant, tu vois la preuve pour le coup. Sur les derniers, je pense qu'on peut être assez content de ce qu'on a fait. On essaie vraiment d'être carré. On essaie de dire aux gens Bah, on revient vers vous telle date et on revient à la bonne date et on essaie de Karosa.

[00:37:35]

Après, c'était impossible de mettre ce process quand j'étais toute seule. Ce n'était pas possible, même quand on était 2 ou 3 humains.

[00:37:43]

Quand tu as, par exemple, l'aster de reprendre la main. Qu'est ce qui est important pour nous? C'est que le candidat, quand ils viennent chez nous, ils apprennent des choses. Quand on nous rend un test, qu'on soit capable de dire. Mais en fait, ça a fait ton truc. C'est joli, moi, mais en fait, t'as pas pensé à des tests. Tes variables, elles sont mal nommées. Ton code est trop compliqué. On n'arrive pas à lire.

[00:38:02]

Mais c'est vraiment d'essayer de donner du feedback. Et ça, c'était au début. Avant, on faisait une méthode. Puis on s'est rendu compte qu'avec la méthode, maintenant, on avait plus de temps. Et comme on est aussi en architecture, un peu flatte, tout le monde fait un peu tout le monde participer.

[00:38:16]

Moi, je kiffe les process de recrutement, j'ai envie de j'ai envie d'essayer de voir et tester des trucs. Et tu vois, il apporte énormément d'énergie et autres résultats grâce à lui. Maintenant, on est 2 et les autres aussi participent. Quand tu veux, tu as une énergie qui lui a permis de faire un process qui marchait plus, a quelque chose qui marche bien et qui nous correspond.

[00:38:34]

Et comment te voilà dans la gestion puisque c'est une part très importante du produit, puisqu'en fait, le produit se construit sur les gens qui sont derrière. Comment fais tu par. Mon rapport à l'erreur? Ton rapport à l'initiative? C'est très lié à l'initiative de Taizé des équipes. Comment tu fais pour créer un environnement où des gens ont envie de prendre des initiatives, ont envie, n'ont pas peur de faire des heures parce que c'est très lié. Si tu dis si tu engueule tout le monde à chaque fois qu'il y a une erreur, à la fin, personne va prendre d'initiative.

[00:39:01]

C'est juste parce que tu pense que c'est juste sur ce rapport à l'erreur que tu dis c'est pas grave, c'est un leurre. Du coup, tout le monde a intégré tout le monde, tente des trucs et fait des faits comme ça. Ou c'est des choses que je fais des choses différentes parce que moi, je pense que c'est juste de dire aux gens qu'ils pouvaient faire plein de choses et tester plein de trucs, que ça allait suffire. Ça marche pas du tout.

[00:39:18]

En tout cas, moi, ça n'a pas marché. En fait, moi, mon but et jusqu'à la fin de l'année, même l'année prochaine, c'est vraiment de rendre mon équipe autonome, c'est à dire que je veux que si je ne sais pas, je ne suis pas disponible qui sache exactement quoi faire. Ils ont compris le 27. Cet Thézac important, c'est que s'ils ont compris le message, ils peuvent prendre des initiatives. Fait, ce qu'ils savent, c'est qu'ils resteront dans les limites et je leur fais vraiment toute confiance.

[00:39:41]

Par contre, s'ils n'ont pas compris ça, ça peut être compliqué. Ce n'est pas le cas. Donc, juste dire aux gens allez y, vous va proposer des choses faite d'initiatives. Peut être ça a marché. Certains ont juste de dire ça. Moi, ce que j'ai vu dans mes expériences, c'est qu'en fait, il faut l'accompagner parce qu'il faut que les gens se sentent. Oui, même si tu le dis, il faut le montrer et ça marche beaucoup plus.

[00:40:04]

Quand moi je dis tiens, qui veut m'aider à faire ça et en fait laisser la personne lâcher, tu vas lâcher, laisser la personne faire comme elle veut dire. Ben ouais, beaucoup trop vite contestable. Tu vois passer des choses simples, mais par exemple, pour les recrutements, est ce que tu mets une note? Tu mets la liste de ce que tu attends dans le test et tu mets 1, 0, 1 ou au contraire, tu prends ça par Jaurès qui maîtrise tel techno et tu mets une note de 0 à 5 avec un peu, tu vois, c'est des détails.

[00:40:29]

Mais dire OK, OK, on va prendre ta solution, c'est plus comme ça, je pense, et ça marche mieux de les aborder avec moi, de On va faire un truc ensemble. Et quand ils prennent le point bas de l'édifice, et même si moi je pense que bla bla bla bla bla bla bla bla, je commence à faire quelque chose et quelque chose qui ne ressemble pas à moi parce qu'il n'y avait pas que moi, mais ça doit ressembler à tout le monde.

[00:40:52]

Ça, c'est important. Donc il faut. Et pour ça, il faut fofo lâcher. C'est pas grave, ça ne s'est pas fait comme je voulais que ça soit, ça sera fait. Mais d'une manière, ça aurait peut être fait mieux parce que je n'avais pas la science infuse. L'important, c'est que les gens mettent de l'énergie et les gens mettront toujours plus d'énergie. C'est quelque chose qu'ils ont décidé que quelque chose que tu adécidé parce que tu pensais, en tant que City aussi, que c'était mieux.

[00:41:14]

Et c'est ça que tu voyais. Au début, je me suis dis juste leur disait Tu vas juste dire c'est pas grave, tu a appris machin tout. Bah voilà, sur l'initiative, ça ne marchait pas vraiment se dire qu'ils savaient qu'ils pouvaient le faire, mais ils le faisaient pas pour autant. Je pense que ça peut marcher ou ne pas marcher dessus, mais pour l'instant, ce que j'essaye de faire, ça a l'air de plutôt bien marcher. Résultat j'ai l'impression que les gens se challenge un peu plus à prendre des responsabilités.

[00:41:38]

Après ceci, le fait qu'on se structure, structurer tout ça, c'est important d'arriver à garder en plus. Plus tu grossit, plus c'est dur de garder cet esprit d'initiative parce qu'on fait vraiment des procès. C'est en fait la gestion à la fois de la communication, de tout ça. C'est un petit, c'est un petit sujet. C'est super intéressant que tu arrives à garder ce truc là au fur et à mesure. Et de dire que parce que tu dis je trouve ça au fait, c'est vraiment génial.

[00:42:00]

Je pense qu'il y a beaucoup de gens qui devraient l'entendre, beaucoup de City ou qui devraient l'entendre dire qu'il vaut mieux que les gens fassent les choses plutôt que le font que ça soit fait. Ce que donne Isba dans un Perfecta et Kango à la fin de la journée. Ce qui compte, ce que tu as fait, c'est pas comment tu l'as fait. On s'en fout. Si tu l'as fait avec telle méthode, de telles méthodes, c'est juste avoir fait.

[00:42:17]

Je parlais du Mindset, je suis très d'accord avec toi sur le maintien de moi. Je pense très, très fort que Le Mans, c'était la façon dont on approche. Le développement de produits, c'est beaucoup plus important que les outils. Il est toujours dispo. C'est d'ailleurs pour ça que tu vois dans un post comme ça, on ne parle pas de on parle, pas de tout, on parle pas de télé qu'on ne parle pas, on parle de tech, mais on ne parle pas vraiment concrètement de la solution finale de la solution finale et 10000 solution de faire une télé.

[00:42:38]

Et c'est là aussi le but d'un texte. Savoir justement quelle technologie. C'est super intéressant. Est ce que, peut être pour clore un peu le podcast, on peut revenir un tout petit peu? Comment il y a cette histoire de studio, de jeu, de développement qui me trotte dans la tête. On peut revenir un peu là dessus très rapidement et aussi que tu m'expliques un peu. C'est quoi la méthode Matilde l'Aimé pour développer un produit? C'est quoi vraiment, les trucs les plus importants?

[00:43:02]

Comment on fait pour aller vite, pour développer les produits vides? Et qu'est ce qui fait le succès d'un bon produit? En fait, c'est quoi ta méthode pour dessiner un produit?

[00:43:10]

Ouais, je sais, c'est très différent sur jeux ludo éducatifs parce que sur jeux éducatifs, je crois que c'est pas vrai. J'avais des serveurs à des utilisateurs. En fait, chez moi, au début, j'avais mes cobayes à la maison. Il était petit, mais tu vas une tonalité. Si tu vois les couleurs, c'était peut être une erreur, mais peut être un peu trop tôt sur la tablette, sans autre sujet. Mais tu restes. Et de se dire Tiens, je voulais apprendre les couleurs.

[00:43:41]

Et moi, je suis dev. Qu'est ce que je fais? C'est par le jeu. C'est un peu par le jeu, mais même dans tous les produits, c'est qu'il y a un côté où il faut s'inquiéter de gamification à créer un produit. C'est fait. C'est marrant de créer un produit en vrai.

[00:43:54]

C'est marrant les états des niveaux et du coup, ce qui est important, c'est lui qui s'en fait.

[00:44:00]

L'idée du produit, c'est y a Luise du produit. Le fait de pas chercher la perfection. Franchement, quand tu fais un jeu qui est semi gratuit ou qui coute vraiment pas cher les gens et c'est pas grave si un pixel n'est pas bon ou un bouton qui n'est pas joli, moi, j'imagine que tu as même cette même approche.

[00:44:16]

Impression jolie. Moi, c'est une question de maturité. Là, on arrive à un certain niveau de maturité où il va falloir être maintenant plus carré et faire les choses vraiment bien avec une mix parfaite et autres. Parce que Luyckx, c'est aussi un luxe. Et lui, je ne peux parler de lui. C'est quand même ce qui va rassurer l'utilisateur. Franchement, si tu vas sur un site et tout est un peu mal aligné, machin et tout, je suis pas sûr qu'il ait vraiment envie de mettre ta carte bleue à la fin.

[00:44:38]

Et tu as pas forcément le voir, mais tu vas le ressentir sur l'encensoir et tu vois. Donc, il faut faire attention parce que ce que l'on peut penser être pas très important finalement par beaucoup d'importance. Mais tu as quoi encore en train de chercher ton marché? C'est pas très important. Il vaut mieux faire un truc, mais le lancer et voir que plutôt ne rien faire et attendre la perfection, nous. Si on avait attendu 6 mois avant de lancer l'application sur un joli mois, ça n'aurait pas marché.

[00:45:03]

Si j'avais voulu créer un jeu parfait, j'aurais j'aurais pas pu et surtout, ça aurait été très long. Résultat le fait que ce soit fun d'avoir à 18 heures des retours utilisateurs du Challenge Digital, un challenge? Énormément. Et c'est ça. C'est ça qui est sympa. En fait, le produit, c'est que Challenger en fait en permanence l'utilisateur qui dit ça. Mais j'aimerais ça, mais j'aimerais ça, mais j'aimerais ça. Mais chez moi, comment je frigoriste?

[00:45:27]

Qu'est ce que je fais? Qu'est ce que je peux faire? Est ce que je peux faire des solutions? Et ça, c'est important. Et ça vient en fait en vrai de l'utilisateur final. Après a quand même une vision à moi, par exemple sur Mr. Ludo, éducatif ou même joli aujourd'hui. Yehya sur iOS, c'était moi qui avais la vision sur moi. C'est Isabelle Rabier, la Célio. Elle a une vision et on va aller dans la tête.

[00:45:47]

Le rôle de la tech, c'est de concrétiser la vision d'un CIO. Mais c'est important de jouer ça entre des utilisateurs de pays tiers qui mangent des trucs trop compliqués. En fait, c'est pas la peine puisque moi, je suis sur du jeu, lui, Dioclée, et je vais en sortir beaucoup. Je ne veux pas une grosse qualité, mais tu vois, tu fais les gens qui me demandent trop de choses compliquées, mais en fait, c'est juste pas possible et ça correspond à ma vision de mon produit d'en être utilisateur.

[00:46:12]

Pas de perfection et bien être sûr qu'on est toujours aligné avec sa vision de la cohérence.

[00:46:18]

OK, OK, je pense que c'est le. Je suis très d'accord avec toi. Je pense que c'est vraiment ça qui fait le succès dans le développement d'un produit. Est ce que t'as quelque chose à rajouter, que tu voudrais ajouter si tu veux faire un instant plus pour moi, tu peux y aller et là, j'ai pas trop trop d'instant FIVB.

[00:46:36]

Moi, je pense juste qu'il faut. Il faut se lancer et il faut tenter des trucs. Il faut essayer des trucs si c'est la boite plus, si j'avais tout faux. Il faut tenter une nouvelle chose après la situation. Elle est un peu compliquée économiquement.

[00:46:47]

C'est la meilleure situation pour tenter, c'est le meilleur. C'est plein d'opportunités.

[00:46:51]

Quand femme a deux enfants, il faut quand même que j'ai nourri. Ça vous dérange? Et ça fait quand même une grosse différence quand on a une famille en crédit, je pense. Mais il n'empêche que faut tenter. En fait, on se construit vraiment notre vie et que ce soit dans le produit ou dans la taxe, quand même des milieux qui bougent énormément. Et moi, un autre truc que je conseillerai, c'est que moi, ce que j'ai fait beaucoup et dont on n'a pas parlé, c'est comment est ce que je prends mes impôts?

[00:47:13]

Tu vois comment est ce que je m'inspire? Et en fait, je fais énormément de conférences, je fais énormément de conférences et là, je sais plus quoi. C'est en octobre, en novembre, Yella, Flocons qui va sortir et qui est une conférence qui est gratuite en ligne en général, c'est de très bonne qualité. Et pour ceux qui aiment les process, produits et autres, je conseille vraiment de s'y mettre. Et pour moi, les conférences, aller chercher les gens, discuter avec des vraies personnes et c'est bien de lire sur le médium des trucs.

[00:47:37]

Mais quand tu discutes aux gens, quand tu discute avec toi, je suis dans plein de réseau de réseaux sociaux et c'est hyper agréable.

[00:47:43]

Mais tu crois que c'est le buzz des vestes?

[00:47:46]

Et moi, je trouve ça très, très utile parce que face à des problématiques et à des gens qui sont au stade d'après, qui les ont résolus et je fais ça station l'an dernier, je n'ai pas pu aller.

[00:47:58]

L'année d'avant, j'y suis allé. C'était absolument génial, je crois. De toutes les conférences, je me suis fait un paquet de références. Je crois que c'est la conférence la plus schalit. Jamais je n'ai jamais assisté vraiment. Toutes les conférences, toutes les interventions que j'ai vu dans Stevin étaient vraiment d'une qualité exceptionnelle. Je pense que c'est un peu leur truc, de dire no bullshit. Il sélectionne qui à l'entrée. Tu peux pas en rester positif. C'était pathétique.

[00:48:21]

C'était pas un chantier, une qualité des gens à l'intérieur qui fait ça.

[00:48:24]

Pour moi, c'est très important. C'est d'aller trouver des gens qui font des mêmes, des produits différents. C'est pas grave d'aller parler avec des gens, mais d'aller parler supps et pas pour réseauter, pas pour faire du business. Vraiment parler pour découvrir, poser des questions, voir comment les autres ont résolu les problématiques. Ça permet vraiment de s'ouvrir et de challenger énormément sur ce que tu fais au quotidien et ce que tu mets. C'est. Bon, super cool, merci Massip T'as rien à voir dans le podcast.

[00:48:48]

Merci A+.