Salut Pierre! Salut, je suis super content de t'avoir aujourd'hui, du coup, pour appeler rapidement et dans décimant produits. Décidement, un produit, c'est un podcast dans lequel on décortique des aventures entrepreneuriales plus d'un point de vue produit, d'un point de vue business et autres. Toi, es le CEO de Flight que tu peux présenter un peu flight rapidement le produit que vous avez construit? Caramon et profiter pour te présenter, toi. Et comment t'es arrivé à monter?

Flight, en fait. Déjà, merci beaucoup de m'avoir invité. Ça me fait plaisir. Donc, Flight. En quelques mots, c'est historiquement le Google Documents des partitions de musique. Qu'est ce qu'on a vraiment voulu créer? Et à partir de là, ça a été drivée parce que je suis musicien, etc. Envie de créer un truc simple dans l'écriture des partitions de musique? Mes associés sont tous musiciens aussi et on est des développeurs. Le site était là et au fur à mesure où Flight a grossi, on s'est diversifié dans l'éducation de la musique.

On s'est étendu, Tatsuya, diversifier son produit, l'éducation, le e-learning. On a tout étendu. Toujours basé sur Google Docs, des partitions musicales d'un point de vue produits. Comment en est on arrivé à l'idée du Google Docs? Des partitions de musique? C'est quelque chose que tu avais depuis longtemps ou tu me disais il y a une Hippone pour toi dans la création des partitions qu'en tant que musicien. Moi, j'ai un groupe étaux quand j'étais plus jeune groupe de rock.

On a un peu écrit, on a un petit peu, on est un petit peu poussé. On a rêvé un grand grand musicien, comme tous les groupes. Ouais, ouais, très gros, il y en a. Il y en a plusieurs qui, aujourd'hui, vivent d'ailleurs avec histoire. Énormément motivé. Quand je les ai vu réussir Styler, on a écrit un petit peu et moi, j'ai une formation classique, conservatoire, etc. La partition, j'en ai bouffé sa version papier horrible et à l'époque, Battut, tu voulais écrire une partition.

Tu tombé sur ce qui était dans le monde de la partition, le Microsoft Hartl iar d'option. Tu peux sortir des trucs classiques hyper. Tu n'arrives plus rien à faire. C'est comme le mythe des puces dans des produits qui devaient, qui valaient cher en plus, hors de prix. T'imagine! C'était l'époque des mules. Ouais, mais tout le monde trouvait ça, mais c'était l'enfer.

Et là, j'avais été hyper frustré à vouloir écrire des partitions à l'époque. Et ensuite, la vie faisant, je fais mes études, etc. Epitech et à la fin, pour valider ton titre, tu dois présenter un projet de fin d'études. Et là, on est arrivé avec cette idée avec un associé. Aujourd'hui, mon associé Vincent, on s'est dit mais ça pourrait être super fun de faire le Google des partitions de musique. Il faut se reprocher.

À l'époque, Google était hyper trendy et entrain de tout casser avec Gmail, Google Docs qu'arrivait, etc. C'était au niveau date. Là, on était quand tu commences ton IP, ça, c'est lui. IP quand tu commensal, êtes à quelle date? Mon début? Début 2012, un truc comme ça, on commence un peu à se projeter dessus. On nous demande d'imaginer un truc et nous, on a cette excitation de Google Docs des parties en musique n'existe pas.

On a ce travers. En même temps de se dire ça n'a jamais été fait. C'est une superbe idée et on démarre là dessus en passant par là dessus et on présente ça dans le flot. Donc on explique qu'on veut créer une nouvelle partition. Musique Cyril et Corentin arrivent. Qui sont les deux autres associés? Eux n'ont pas fait de conservatoire. Ils sont juste passionnés du sujet aussi. Et ils disent C'est génial! On veut en être. Et même si on se connaissait parce qu'on a la même promo, il n'y avait pas, on n'avait pas d'affinités particulières, etc.

On était juste tous les quatre vraiment animés, drivée par ce truc. Ça peut être super fun de faire de Google Music, donc là, on est en 2012. Vous vous lancez là dedans? Le HiPay, je crois. Epitech, c'est quelque chose genre 18 mois comme ça, c'est à dire une phase de conception entre une année où tu tu réfléchis, plus tu réfléchis et ensuite, c'était très clair. Google Docs, des partitions de musique qui n'avaient pas besoin de recevoir, tu auras, mais en gros, on a pas après, tu pars et tu fais 18 mois.

Donc on a fait 18 mois comme des étudiants, donc plutôt ça, comme un project que des mecs énervés, etc. Mais on est partis dessus, on a regardé un peu ce qui se faisait et on a commencé à coder des trucs, etc. Pendant 18 mois, le temps de finir les études. Vraiment, tu sais dans ce travers. Ce cliché du développeur, c'est à dire qu'on était enfermé. On codets à éviter des partitions de musique, on les suivit étant ce qu'ils sont.

On n'a jamais réellement confronté quoi que ce soit. En plus, quand on confronte, on confond techniquement, jamais en termes de business, on ne produit rien. Tu la marge. Les mecs qui ne sont pas les mecs sont pas musiciens. Il en savait rien de la structure. Dire ça marche. Tu vois ce que je, bien sûr. Sans le vouloir, tu les enfume parce que je suis un peu aussi parce que les étudiants ont tant de choses à faire.

Tu vois et. Des fois, on relit ce cahier des charges qu'on a dû écrire, c'était stellaire. Ça a des noms musiciens qui nous ont demandé des trucs stratosphériques qu'on n'a toujours pas fait aujourd'hui. Vous aviez écrit un cahier des charges? Oui, c'était l'exercice industriel. Ce que tu veux écrire? Un cahier des charges. Ce que vous voulez faire, c'était rêver. Je sais que très bien en terme de produits, ça, c'est parce qu'à chaque fois, ils nous disaient Mais ça va être trop simple, alors que tu vois qu'au final, même la première version qu'on a présentée, on y arrive à peine aujourd'hui.

Il nous disait là la version du cahier des charges est arrivée, alors que là, vous êtes à six ans, cinq mois en comptant le HiPay en plus de six ans. Bref, oui, on développe ça pendant les études et à la fin des études arrivent la fameuse soutenance et donc soutenance publique à l'époque. On se retrouve.

Il y a un peu de gérants d'une Humann et des connaissances, etc. Qui étaient là dans la pièce et qui regardaient un peu les projets présentés. Et moi, je fais la presse, ça se passe super bien. Donc tu vois, en plus, ça varie un peu. Généralement, dans une école comme Epitech, on présentera toujours la plate forme de Machin, le prochain Facebook Sharing Binage, et nous, je dis nous, c'est Google Docs, des parties de musique.

Tout le monde est un peu intrigué. Écoute tout ce qu'on explique enfin, écoute tout ce que j'ai à dire et en fait, t'as plein de gens qui me posent des questions. J'étais un peu, je n'étais pas prêt à ça. Et donc, une question qui est disponible ou. Merde, c'est pas disponible! Le domaine Jim Messina, mais rien, il n'y avait rien du tout, même pas de nom, si. Non, ça s'appelait même pas Flynt.

À l'époque, ça s'appelait MusicMe Musique avec un batteur, notre guitare, sans chercher bien loin. Et hé oui, on m'a assez disponible. Comment je peux l'utiliser? Vous ne pouvez pas, mais on va bientôt le mettre en ligne puisque c'est une tournée, ça quand même. Et on était hyper intrigué et on s'est dit ça, ça a l'air de vraiment parler. Plein de gens viennent nous voir après les questions. Tu sais à la française que les questions soient finies et saute dessus.

C'est tu. Les gens nous disent c'est super bien, on a des projets qui ressemble un peu à ça, qui sont rentrés chez nous. Il y a du potentiel. Si cela intéresse, ça intéresse vraiment tout le monde, alors que nous, on n'avait pas été fait du dev quatuor, justement. Et juste si on revient un peu en termes de dev, vous, quand vous vous êtes des trois associés, toi plus d'autres gens, j'imagine, plus d'autres personnes de l'école ou d'autres personnes.

Comment vous répartissez le dev? Si j'imagine que c'est super décousu, il y a aucune méthode et non Iossif précis. Vous fixez des Machtens, des dates en se disant Jiminy, la date de la soutenance. Il faut avoir un truc? Non, on essaye de cadrer un peu. C'est assez et ça s'est imposé. Fait avec toi. On est un peu dans le sprint dans ces trucs là. Faut fixer un objectif à ce temps.

C'est peut être du mois ou du triage nous déjà en cours. Quand on y repense, on a vraiment passé beaucoup de temps à se rendre compte du challenge technique à comprendre. On a commencé par s'appuyer sur une libre open source de dessins, de symboles, de musique. On s'est rendu compte que c'était pas la bonne solution. Il y avait 6 mois de taf. On est revenu dessus en mode et en fait, on a vraiment appris à comprendre dans quoi on mettait.

On est en train de mettre les pieds. Parce que vraiment, on pensait qu'on allait juste pisser du code et que ça allait faire faire n'importe quelle plateforme web. Mais en fait. Mais là, c'est le même, même pour moi. Tu sais, moi, je n'avais jamais fait des web avant. C'est pas vraiment un sujet qu'on aborde beaucoup à Epitech. Et là, tout de suite, j'étais dans le bain. JavaScript ne va pas faire du JavaScript pour faire changer la couleur d'un bouton.

Vrai métier, faudra être solide, tout. Et comment vous êtes tourné vers JavaScript via revisited techno. Vous avez benchmarking? Oui et non. Implicitement, oui. C'est à dire que c'est pour ça qu'aujourd'hui, Vincent Tuot et qu'il n'y a pas eu aucun doute là dessus. Vincent est arrivé, lui. Il avait voulu faire une plateforme web, il avait l'expérience. Il avait beaucoup travaillé dans ce milieu là. Il a dit On fait JavaScript, les gars sur cette question, c'est notre JS en backend.

C'est mon gout pour les DB, on maitrise. Le sujet est saturé et personne ne l'a contredit. D'ailleurs, personne ne l'a contredit. Parce que là, aujourd'hui, ça ressemble un peu, un peu. C'est normal, entre guillemets, derrière une plateforme web. JS Si tu reviens en 2012 1012, c'était pas ça? Non. Comment vous avez stance de dire on va se mettre à rester sur NetJets pour préciser un petit peu. C'est des gens qui sont pas techniques pour que tu veux.

Moi, j'ai pas fait beaucoup de Web, mais j'en ai fait un peu le PHP. Je vois et on avait ce sentiment que le PHP, même si ça continue d'évoluer, je ne vais pas me mettre une communauté ado, mais dire qu'on est arrivé à une limite. Et c'est surtout qu'en fait, Vincent est très doué, avait déjà cette projection de se dire qu'il faut qu'on fasse du JavaScript parce qu'il y a des parties qu'on va obligatoirement réutiliser dans le back end.

Donc, si on met du notre JS en backend, on garde du JavaScript en métier fronte. Ce sera beaucoup plus simple pour être capable de Doral des deux côtés. Et il a eu cette projection dès ce moment là. Et après l'histoire? Oui, l'histoire nous donne raison. On n'a jamais rien pu faire en PHP. On ne serait pas allé, bien sûr.

Et donc, du coup, vous avez développé ce truc là, vous sortez cette version qu'il a fonctionnelle. Vous avez déjà à ce moment là. Vous savez, j'ai juste vous, vos trois potes qui utilisent des trucs éducatifs, faisant des tests, qui sommes assez fiers de ce qu'on a accompli d'un point de vue technique. Mais y'a Wall-E où il n'y a personne. Et c'est justement on se retrouver dans cette phase où tout le monde nous dit c'est génial, etc.

l'École voit aussi un belle opportunité de communication autour de ça parce que, comme je te dis, c'est un peu rafraichissant par rapport à ce qu'on a l'habitude de voir dans les écoles d'ingénieurs et nous positionne sur des petits salons à droite, à gauche. Et nous, ça nous a, par la force des choses, poussé un peu. En fait, si vous pousseurs inconsciemment, ils vous ont poussé hors les murs des utilisateurs. Exact, votre. J'avais fait un très bon vecteur de com.

Et nous, par la force des choses, s'est retrouvé à montrer quelque chose dont on était fier. En fait, je ne sais pas pourquoi, mais jamais on n'avait jamais eu la démarche de le mettre en ligne. Et en fait, à chaque fois qu'on présentait ça, on était donc. C'étaient souvent des thématiques musique bien et plein de produits hyper matures autour de nous. Et l'intérêt était sur nous. Mais c'est génial. Je peux utiliser un clavier midi, c'est écrit.

Et en plus, c'est en temps réel sur iPad à côté. Il manque plein de trucs, mais l'idée est top. J'adore. Et nous, on s'est tellement fait matraquer à coup de j'adore. On s'est dit on va peut être continuer en Sails tranquille et on verra plus tard ce qu'on en fait, etc. Mais mettons le en ligne et voyons, voyons. Donc, là, tu le mets en ligne, tu trouves le nom flatte, encore musical.

Alors on se pose les bonnes questions. C'était encore musique ont présenté ont présenté MusicMe encore à ce moment là. Si je te dis pas de bêtises, c'est juste que là, à cette époque là, Sam Sung tente de percer dans la musique digital déposes, déposes.

Et on se dit on ne va pas voir, va, on va recycler. Non. On va trouver un autre truc. Et puis voilà, on a cherché un autre nom. On s'est dit on veut une syllabe, on a dit OK, c'est quoi les noms en musique qui ont une syllabe et pas 12 sharp. Ça faisait vraiment un peu bourrin. On d'ailleurs à mettre, c'est joli bémol, c'est harmonieux, etc. Et voilà, on est arrivé avec Flight et on a dit Bon bah, qu'est ce qui est dispo?

Flattr, Poyau, terminus. C'est marrant, histoire de dire à l'époque où a créé ta boite, de même dit qu'elle a été créée à Ouagadougou et les promos sur les points à yo yo yo yo et que c'est énorme. Et donc, du coup d'éclat, vous faites ça? Vous commencez à avoir quelques utilisateurs. On met en ligne une landing en se disant et on se dit bon, redéfinissant un petit peu ce qu'on veut quand même. Parce que bon, bah ouais, on a un pote, mais tu vois bien, la démo est un peu cadrée.

On en est les gens. On avait envie de les emmener aussi quand même et on se dit bon bah, définition. Ce qu'on veut mettre en ligne en premier. Faisons une landing, voyons et on rasch un peu en Cyd, etc. Pour avoir un truc qui tient la route. Et dès lundi, on commence à voir des images qui tombent, mais pas à pas. Ma mère, pas papa, l'oncle. Non, vraiment, on a des images de gens qu'on ne connait pas, qui s'inscrivent et qui sont choqués.

On a vraiment du monde, donc on bosse en salle, donc on avait tous un job à ce moment là sont des olympiades financées anglo. Globalement, que vous avez un peu que vous n'avez pas le coût de développement de votre produit, vu que c'est vous qui l'avez dépeint exactement. Mais comment vous êtes vous financez? Quand êtes vous à côté? Bien sûr, on avait tous un job et on rentrait le soir et on codets où le week end ou quand on avait envie.

Et vous arrivez à avancer assez vite, selon toi, à ce moment là, alors on n'avait pas de notion d'urgence, si tu veux, c'est juste que. Ah ouais, ça nous étriper? Et on voyait que ça progressait. On voyait surtout que ça m'intéressait déjà.

En fait, dans le cadre de Epitech, on n'a jamais rien confronté à la personne de qui tu défends ton projet. C'est hyper grisant. Tu te dilatations après, tu te projette en 18 mois, là et là, dans la communication, vous êtes toutes en anglais.

Déjà, non?

À ce moment là, on était en mode, on faisait les Anglais et Français, vous êtes tout en double et on avait un blog, des développeurs et j'écrivais. On écrivait d'ailleurs chaque article en français et en anglais. Ça ressemble pas à grand chose. Et oui, on a avancé là dessus comme ça et on s'est dit il faut le mettre live, c'est bon. Faut, lâchons les gens dessus, voyons ce qu'ils nous disent. Donc, on a mis.

La première version disponible était très Masih. C'est quoi la date? C'est quoi la date? C'est quoi la date? Ça va être tout. Fin 2013, début 2014. Fin 2013, début 2014. Non, mais en deux ans, c'est le moment où vous commencez à le développer, ou même presque un peu plus. Et on met ça en ligne. C'est même écrit en clair de la lune. C'était compliqué, mais on s'est dit là, il faut confronter, il faut l'affronter.

On a, on a poussé et et d'autres personnes reviennent. Comment continuer de s'inscrire? Comment utiliser l'idée? Il n'y a rien en terme d'acquisition, non? Il y a un site web qui dit vous avez à la limite un peu devotio, qui se fait naturellement avec le peu de texte que vous avez et votre blog et whatever. Mais après, par contre, vous avez aucune acquisition, aucune technique de grosse, rien du tout. Vous mettez le truc et votre seule stratégie marketing, c'est d'avoir un bon produit ou c'est d'avoir un bon produit.

On avait quand même pas mal bossé dans le studio avec Vincent, donc on ne faisait pas n'importe quoi sur comment décrivait le produit comme on en parlait et comment gérer tout l'aspect technique du Assiout. Mais c'est tout, ça s'arrête là, et pas un discours très marketing, très percutant. Et donc, on met en ligne et j'en arrive. Évidemment, tout le monde dit Bah, c'est dommage, il manque plein de trucs. Oui, certes, mais l'idée est trop bien.

J'adore.

Franchement, si vous pouvez pousser ça et tout en continuant, ça est tranquille, etc. Tout le monde avait son, tout le monde avait son job.

Et on arrive l'été 2014. On compte, on se dit bon, ça continue de grossir quand même. On passe les 100.000 personnes inscrites et on se dit bon, qu'est ce qu'on en fait, tout ce truc là? Parce que ça continue de grossir. On faisait des petits salons, toujours à droite, à gauche, etc. Et puis on se dit Bon bah, moi, je trouve que ça commence à devenir quand même assez intéressant, assez sérieux.

Moi, j'arrête mon job, mon contrat s'unissaient. Un CDD finissait 31 août, Juraj. Après, je reprends rien. Je ne trouve rien. Je vais avoir une rupture conventionnelle et j'ai négocié. Au chômage, allez, je m'y mets full time et je me laisse un an nous emmener joint. L'année prochaine, donc, je passe le temps dessus. Comment je compte dev? La direction. On avait les interactions. C'est assez naturel. C'était déjà assez.

Il n'y avait pas eu de toi et qui doit être tel ou tel rôle, tel titre sur la carte? Rien, mais juste. C'était naturel, c'était naturel et ça s'est fait la légitimité. Bien sûr, ça faisait tellement de temps qu'on travaille ensemble, si tu veux. Tu n'as pas de doutes sur qui et qui allait sur connerie. On continue dev. On interagit énormément avec les utilisateurs à ce moment là, quand même. Questions réponses tout en email.

Bonjour, on avait énormément d'interaction avec des interactions qui sont lancées par toi ou des interactions que c'est eux qui posent des questions. Les deux qui te font des remarques. Les deux, c'était vraiment les deux stagiaires qu'on avait, sétonne Boarding. Bonjour, bienvenue, merci quand même. On ne sait pas d'où tu sors, mais tu nous utilises et nous fait plaisir. Et après, c'était vraiment. Tu sais, on insistait sur la moindre remarque. Contactez nous.

Et ça peut paraitre bête. Mais nous contacter avant ça, c'est super important. C'est que vous n'avez pas eu, entre guillemets, le travers des ingénieurs persuadés que votre produit est magnifique et que c'est le meilleur produit du monde et qu'il faut quand même avoir le feedback des USA. Moi, je n'étais pas hyper accroché à ça et ça nous a mis dans une position qui est assez géniale, c'est à dire qu'on n'avait pas besoin de faire de réunion sur dev.

Tu vois ce que ça viendrait par rapport à tous les messages qu'on recevait. On en recevait beaucoup parce que je pense que c'est ce qui a poussé. Quoi à peu près comme volume MS? Imagine, on avait à l'époque, je faisais tout à la main, donc on avait 100 155e par jour et j'écrivais tous les messages à la main. Et il y en avait qu'écrivait. Bonjour, merci. Et selon la personne personnalisée, etc. Et je voulais absolument que 150 par jour.

Développez déjà un peu moins que les autres, mais ça me tenait vraiment à coeur de comprendre qui était où on avait ce côté français. Tu sais, nous, en France, on voit ça. C'est conservatoire, mais tu te dis mais comment? Il peut y avoir 150 mètres par jour qui viennent chez moi? Tu vois que toi, t'es complètement obtus dans ta vision de ce que c'est, que la composition, la musique, etc. Comment est venue tout ça, ce truc de dire il faut que je me tourne vers les utilisateurs?

C'était naturel chez toi? Ouais, ouais, mais je sais pas. Je n'ai pas souvenir d'avoir fait une formation.

Un machin truc, non, mais même pas une formation, je sais pas. Tu vois à quelle date la on est 2014 et 2014. On est en 2014 2015. Bah, c'est une vidéo d'Oussama qui se lance ou une humeur ou même pas pour avoir un peu de vidéos sur YouTube. Vous savez qu'il faut écouter téléviseurs?

Oui, mais là, à ce moment là, le plus drôle, c'est que je ne savais pas qu'il existait ce bouquin.

Nous, on grossissait. On avait bien ce sentiment que quatre développeurs dans la nature, il fallait prendre une décision s'entourait. Mais on était vraiment drivée juste par OK, on dev et moi, je parle beaucoup avec les utilisateurs et tout le monde parle un peu, beaucoup avec les utilisateurs, etc. C'est assez fou parce que c'est pas naturel. Ben non, mais c'est ce qui nous a sauvé ça. C'est parce que ça fait partie de la culture toujours aujourd'hui, et c'est ce qui fait que c'est ce qui fait que flatter flatte exactement, et c'est quelque chose de vraiment super intéressant.

Faites aussi que vous déposez un peu votre ego de côté en disant on n'en sait rien, on va apprendre de ce que nos utilisateurs veulent et autres. C'est ça, c'est intéressant. OK, et donc là, vous avez une beta qui tourne. Pas mal de gens qui l'utilisent. Ils galèrent à écrire de la ligne. Que ça s'arrange rapidement, rapidement. Non, mais ça, ça va s'arranger. OK, là, j'imagine que toi en arrive à la fin.

Un an de chômage à ce moment là, alors non. Là, on arrive à un moment où on postule à sa famille. Je découvre Oussama, on rentre à The Family et là, on se fait drivée de changer. Y a vraiment cette étape. Si tu de d'ouverture et de compréhension, nous, on était tout fier, justement d'avoir on se pointe. Évidemment, les chiffres étaient cool, mais quand on dit oui, on a train de famili.

On avait 300, 300 mètres par jour qui s'inscrivaient, c'est pas mal. Et en volume complet d'utilisateurs, Brett a une idée. Là, on avait dépassé les 100 millions 100 mille utilisateurs. Comment vous faisiez pour financer les coûts de serveurs? Ça coûte. Cuendet fait tout se passe dans le navigateur. En fait, nous, à l'époque, on avait cette blague. C'était la prod à 2 balles parce qu'on était encore sur un VPS à 2 euros.

Ça fait 2 euros par mois et on avait commencé à tirer la langue et je disais c'est vraiment une prod à deux balles et je pensais qu'à un moment, on avait justement Graide. Vincent m'a dit Tu vas rire, mais on est toujours sur la même VPS à 2 euros.

On peut mettre 10 balles et un gros coup. C'est vraiment fou, ça. Et oui, en gros, votre moteur étant directement dans les genoux, on reçoit une requête, on dit Platon design et tout. Qu'on nous sert un design, un peu de JavaScript et pas tant que ça, que ça se passe quasiment rien. Et si vous avez un beau stade de Bâle 3 à VH? Et d'ailleurs, comment vous étonner? Survirage vous avez benchmark pour les plateformes où vous avez Dieu, OVH et les Français, on y va au Nord.

A l'époque, à l'époque, Vincent travaille chez OVH et travaille chez OVH. Et puis ça s'est fait à WS. Il était hors de question qu'on mette le pognon qu'ils demandent et on a dû batailler. On prend un DPS chez OVH.

C'est simple, on n'a pas de l'ennemi particulier, du pseudo Claude Savaria, etc. Après, on a évolué et on est parti vers le et ça tournait bien parce que j'imagine que ça tournait. Mais ça tournait comme ça tournait, j'imagine. Mais tu avais t'avais 5000 balles, t'avais sans multi-utilisateurs. Qui te richel l'international, j'imagine. Il n'y avait pas des temps de malades, c'est pareil. En fait, si tu veux accélérer tout. C'était transparent parce que une fois qu'ils ont Loder, le fait que vous avez Loder, le moteur, c'était assez bon.

OVH Ils ont quand même peering. Bon, qu'est ce que ça sert? Et après, on leur dit Tu sais pas les derniers touristes Duclaux? Non? Non, bien sûr. Kanan et non cocaine. Donc là, vous faites challengé par TDF. Grosse placedans de votre produit. Moi, le produit en lui même. Non, ils vous ont jamais le niveau produits.

Ben non, ça aurait été malvenu dans le sens où ça n'était pas musicien, pas du pas du tout. Ils auraient pu, en termes de développement de produits, vous changer sur les méthodes que vous utilisiez n'en ont pas du tout. Et c'est pour ça que c'est pour ça que moi, j'étais attiré justement par eux, c'est à dire qu'ils avaient ce discours qu'ils ont toujours de dire on ne va pas, on ne va pas te dire quoi faire. On va t'aider à prendre les décisions, à prendre les bonnes décisions.

Et moi, j'étais hyper friand de cette façon de faire là. Donc, si tu veux sur le produit fait le meilleur produit, c'est la musique partoche. Je comprends rien, mais il y a une telle croissance. Une façon de faire qui est complètement bénévole. La timidité à 150, 200, 300 mètres par jour. Mais reviens me parler quand on a mis une toile et quand t'es dev comme nous autres, le. Mais hors de question. Moi, je vais revenir la semaine prochaine avec mes amis et là, on est rentré dans une dynamique.

OK, comment on fait plus de croissance quand on va faire plus de ratio? OK, on va commencer à vraiment s'énerver, etc. Donc là, vous êtes plus fin 2014. Boitte n'en a toujours rien. Toujours pas de cash qui rendent le produit toujours gratuit. Et là, vous faites, vous avez 1000, 1000 utilisateurs par jour. L'objectif, c'est d'aider l'huile et en arrive à une marque de commerce. Mars 2000 lors d'une rencontre avec Oussama en novembre 2014 et mars mars 2015, je reviens et on à la limite, on peut parler, regarder les A.

Cemil de la musique et je me suis dit alors on attend ta famille, tu peux faire demi merde ailleurs et je dis aux gars je dis bon bah, il veut qu'on fasse de trouver une solution.

On va faire 2 minutes et là, vous écoutez tous sans rien vous dire. Vous dites OK, mais il faut faire demi. Je fais des adieux et de qui tu veux. Les gars, vous chauffer, vous faites un truc bien aller. Montas 2000 vous avez fait 1000 en 3 4 mois. Ça veut dire que vous pouvez faire demi? Ah, tu crois? Bien sûr, 2003, c'est donc vraiment vraiment discipliné là dessus, vous dites OK, on fait 2000, vous atteignez demi d'une heure et demie par jour.

Ah non, on n'est pas allé jusqu'à 2000 à ce moment là. Là, on est, donc on est en mars. Vois, on a quand même cette position. De fait, la deadline s'est joint les pinottes. Tout le monde a quitté son job quand même, mais on était face à l'inévitable fin.

C'était évident qu'on allait droit dans le mur. D'un point de vue financier, en tout cas. Même j'en avais même croissancede que j'étais là où ça va, l'argent, comment on fait. On va lever une belle croissance à quelqu'un qui va amener de l'argent Okanagan.

Et là, tu réfléchis pas à dire juste.

Je vais faire payer les gens que j'ai sur la plateforme. Non, pas on y pense un peu, mais on. Comme c'est un sujet qu'on n'avait jamais fait et qu'on ne maîtrisait pas, si tu veux, on était plutôt en train de regarder à côté que l'évidence même, j'invitais. C'était une zone complètement floue pour nous. On n'était pas à l'aise là dessus alors que le produit, ça se passait bien. Il avançait et on était assez dans la dynamique.

Si tu fais un très bon produit, il se passera un jour un truc. Tu sais pas trop ce qui va se passer, mais il y a peut être un élément qui peut sortir. Justement, vous étiez en mode. Vous savez qu'il est un truc de ouf qui va arriver, mais vous ne savez pas quand on voit comment vous essayez de survivre jusqu'à ce que stripe vous exactement. Donc, on se rapproche de la deadline. On arrive en juin, en juin et Azeroth?

Pognon, tout le monde fait le point. Qu'est ce qu'on fait là bas? Ecoutez, est ce qu'on fait un dernier rush final? On s'enferme dans le garage de ma mère et on tabasse. Et on avait cette croissance. On avait, on avait spotter qu'on avait fait et qu'on avait spotter dans nos Yusei. On avait de plus en plus de profs qui venaient avec leurs étudiants utilisé pour faciliter l'apprentissage. Je dis attendez, on peut peut être faire un produit dans les DUT et le vendre aux écoles.

Ça fait plus de sens que d'essayer de faire du buzz, de faire du. Du coup, je suis perdu. Je vais faire du be to be saturante par la case du be en disant Je n'ai jamais fait de business to be, c'est à peu près ça. Mais je sais, c'est la légende de tous les gens qui vivent ici et qui s'en sortent, pas les gens qui finissent en Be2bill. On est en train d'écrire la même histoire. Et si on revient en gros, donc là, il y a 3 ans, 4 ans, quasi quasiment 4 ans de dev pour 4 ingénieurs à quasi plein temps puisque je pense que même quand vous aviez des jobs, c'était quasi du plateau.

J'imagine que Transdev, vous avez une version qui est utilisable, qui marche, mais vous n'avez toujours pas de gens qui vous payent. Quatre ans après ça, c'est ouf! Et vous survivons encore. Vous êtes arrivés par ceux qui vous font qui vous dis je veux continuer à développer ce produit.

Bah, c'est vraiment le volume de gens qui m'a tôlier. Des gens vivant avait vraiment des messages qui disaient cette idée géniale ne lâchez pas ça, c'était hyper galvanisant. En fait, ce qu'on avait vraiment recevait de la lave tous les jours ou tous les utilisateurs d'hépatites. Je reçois tellement de l'offre qui s'est makela. Ils vont être obligés. Il faut être capable de payer. Ben ouais, non, tu dis t'étais de leur amour. C'est assez compliqué de revenir dessus.

Et puis, aujourd'hui encore, jamais je demande comment on a fait, pourquoi on n'a pas de plutôt tu, mais à un amant. On était là. Bon bah, ça grossit. Et puis tu étais dans le monde des startup et baigné par la croissance à tout prix. Moi, je prépare la croissance de la croissance à tout prix. De toute façon, c'est normal de payer comptant. Comment moi est un cliché à moitié des billets comme ça et là, à ce moment là, Kazi, tu dois avoir 150'000, quelque chose comme ça.

Tu as d'Ailly Active ou Ciergnon après? Tu sais on avec un charme qui est assez important, c'est et qui avait de l'excitation qui revient. Et on active à peu près tout. Si on avait 2000 3000 Minke par jour qui venaient vraiment écrire, travailler avec Hacking, j'ai vraiment écrit. Et après ça, ça tournait, ça tournait et je n'écris pas tous les jours. J'imagine. Alors, mettons un truc par mois à 10 balles par mois. Bien sûr, mais vous auriez fait 20, 30 milles de RER et ça aurait pu le faire.

Vous vous payez juste là, ça, ça suffisait. Au moins, vous financez complètement et donc là, vous prenez une décision. On se dit qu'on rejoint dans le garage, on fait ce qu'on peut à la fin de l'été, on voit, on en rêve, ce qui était un peu un cri de désespoir. Qu'est ce qui va se passer dans un garage? C'est pas à pas grand chose sur le papier. On retravaille l'identité du site. On se dit un vrai problème avec l'identité du site et l'identité du site complet.

On change le logo, on change tout seul, alors on fait avec un design qui m'a énormément aidé sur le sujet. J'imagine que nous n'avons aucune prétention là dessus. On a une vraie prétention sur les produits et sur le produit Luyckx. On est très, très fier de ce qu'on est capable de faire de nous mêmes, mais à l'endroit parfait, on n'était pas en place, etc. Et donc on travaille tout ça et c'est le premier truc. La première action qu'on mène pendant l'été, on y fait toute l'identité, on voit et on publie.

On cherche sur les réseaux sociaux, enfin un article de blog, etc. Et là, l'improbable se passe. On se fait hantés par Chris Messina, un grand grand designer. Enter Surproductions entraîne sur Productivite. Gros débat. Ouais, attendez. Qu'est ce que c'est que ça? Qu'est ce qu'ils font? Etc. Etc. Et qu'on finit sur Hacker News. Ça repose sur un karniewicz débat entre les puristes barbus de la composition, les développeurs. Débat c'était la guerre.

C'était avant la guerre. Donc on passe plus de 24 heures sur la première page, ce qui fait un pic d'activité. Plein de gens s'inscrivent, reçoit plein de messages, etc. Dont un dans les messages. Jean-David Blanc, Allociné. Qui dit C'est génial, je n'avais pas monté Modelo toi, c'est de. Je crois Ouest-Est 2017. À l'époque, moi d'ailleurs, je ne savais même pas qui c'était, en toute honnêteté. Il envoie super produit.

Vous êtes à Paris, je me dis pourquoi pas moi? Je dis bah oui et non, on n'est pas à Paris. Merci beaucoup. Bonne journée.

Et tu sais, dans Intercoms, à l'époque, on utilisait intercoms sur la partie de la droite et 7/7 tumbling que les profils des réseaux sociaux. Il est tout à fait le lien. Ça marche ou je clique.

Putain, ça me va bien et je réponds Ben ouais, je suis quand même assez souvent à Paris peut se rencontrer et donc tu vois énormément de chance, rien du tout.

On rentre en contact avec ce qui deviendra après nos premiers business angels qui mettront un peu d'argent et qui nous aideront à avancer. Et donc là, on est autour de août, septembre ou limette, mais plus tard, ce sera un mois plus tard. Ça prend un petit peu de temps à négocier, etc. Mais en gros, on finit sur un 250.000 250.000 euros qui est mis à peu près en décembre, en décembre, décembre. Là, dans ces six mois là, il n'y a pas de négo où on sait que l'argent va arriver.

Et là, on antigang 15 2015, donc 250.000 en France sur la place parisienne en 2015.

C'est déjà un beau truc, moi, et c'est cool. Et là, ça vous permet vous?

Ça vous dit? On a un. C'est quoi? L'objectif de cette levée? C'est de survivre encore pendant un an en espérant qu'il y a un chemin de banque qui arrive. C'est marrant parce que franchement, je ne sais même pas comment j'ai commencé à l'écrire. Comment a pu convaincre quelqu'un de l'argent? Il n'y avait aucune projection. Il y avait un beau produit qui générait beaucoup de choses. Juste ça, oui, mais bien sûr. Bien sûr, tout ça, c'est le produit et les.

Je me souviens très bien, Jean David. Il m'a dit C'est génial de commencer comme ça.

C'est génial ce que vous faites, ok. Et on a bouclé en rond sur ces Jina, ce que vous faites jusqu'à ce qu'on arrive à la question de l'argent et que moi, développeur qui sait faire du produit, mais rien d'autre, lui disent on aimerait bien un peu de sous aussi être cool. OK, vous voulez combien? Pour faire quoi? Comment? Je ne suis pas allé un peu plus loin, tu verras. Et oui, il y a une naïveté, une inexpérience.

C'est ouf! Parce que les gens en général, l'EFT pour financer le développement de leurs produits. Ils vont lever les yeux. On s'est empressé de lever 3 slight pour Line, un bout de pub pour financer le développement de leur produit. Et vous, vous aviez déjà un produit et vous bois? Je ne sais pas trop où on va aller plus loin. On ne savait pas où on allait. En toute honnêteté, on ne savait pas vraiment où on allait.

On y allait, on y allait. Et là, vous êtes toujours là. On est toujours que 4. Plus le design qui les accompagne sur Illico. Il est en free lance, les salariés aussi. On met en salariat parce qu'en fait, on investit. Si on se dit même si on lève, même si on se plante au moins derrière, tout le monde peut récupérer du chômage parce qu'on a liquidé la boite.

Et du coup, là, vous avez, tu sais, 250.000 balles de vos B-A. Vous n'avez jamais pris de subventions, jamais pris de prêt et en plus, nous nous grossissaient beaucoup à l'étranger. On a même pas su a la boite directement à Londres pour que ça nous fasse gagner sur le marché américain. Soyons clair, on ferme la porte. Mais c'est intéressant. Dans ce cas, beaucoup de gens sur place parisienne qui sont là avec beaucoup de subventions des pays, fait de mal à démarrer.

Vous avez juste skip de système et c'est pas ça qui a fait le succès. On était, on était, on avait intelligent, vraiment guerrier. À la place de Familie, on se disait ça sert à rien. Si ça doit marcher, ça marchera avec ça. Ça fait toujours du bien, un peu d'argent, réaligner. Mais là, il y a eu des périodes où on n'aurait pas craché sur l'emploi. Et c'est sûr, c'est sûr, c'est sûr, même si on a fait ça, c'est ça le principal.

Et donc, vous avez là où vous avez embauché un peu de monde. Vous êtes passé en CDI, j'imagine, j'imagine. Vous sortez les SMIC ou Whatever +15 8, le minimum syndical minimum syndical. Vous passez ça? J'imagine que vous j'imagine que vous vous êtes pas encore profitable à la fin de 250000. Vous avez pas de 250 000? On albert-rené très, très vite les 250 mille. Parce que là, vous commencez à faire payer vos Dusart. Alors, on travaille le sujet, c'est à dire qu'on se dit timidement il va falloir qu'on gagne de l'argent quand même.

Au début, non. Endébut, on prend 200 000. On se dit c'est très simple, on a une belle croissance, on ferme, on améliore le produit à mort, on va avoir une meilleure croissance, on fait une seria et là, on se posera les questions d'argent avec des gens mieux que nous sur le sujet. Et l'inévitable arrivera à ce qu'on crame l'argent. L'argent comme l'argent, ça fait 10 mois qu'on dépense de l'argent et en fait, bah moi je commence à préparer dès que la croissance est belle, etc.

Préparez un peu les rendez vous. Je fais mes premiers rendez vous. Ça se passe bien, mais ça, je vois quand les question on va dans le mur dans le sens où, mais comment on va gagner de l'argent avec votre truc à la fin? Et là, vous grossissait bien. C'est impressionnant, c'est génial. 3 ans débarquait en rendez vous. Je disais mon. d'Utilisateurs à plus de 150.000, mais qui écrivent du contenu tous les mois, on a des consommateurs qui viennent voir ce que les autres ont écrit.

On est en place, Tura et n'aimer.

On glissait petit à petit sur Bon les gars.

Comment? C'est quoi? C'est quoi le l'obsèdent? Comment un Exide? Comment ça, c'est une boite rentable qui va cracher beaucoup de cash. Moi, j'étais à poil sur ce sujet. Ouais, ouais. Qu'est ce qui fait la question? Est ce que ça marche pas comme ça survient? Peut on vraiment purement produit là? Votre stat qui se passe Couvain, vous en est tout. Comment est ce que le process de développement de produits chez Flight, ça a été très naturel?

Parce que vous êtes développeur, mais j'imagine un peu de structure qui se met en place au fur et à mesure que vous avancez. Bien sûr, mais il y a aussi ceux qui lisent le truc un peu plus que les autres. Comment est ce que vous organisez en terme de développement de produits? Quelle approche vous avez?

Vous avez une approche de tester des trucs alors que vous 12heures et vous demande et vous écoutez les. On nourrit notre nmap avec les diffuseurs. Par contre, on ne fait pas tout ce que veulent nos yasar. Il faut bien distinguer les deux. On ne fait pas de façon aveugle, on veut tout ça. Il y a des trucs qui nous manquent depuis 3 ans. On n'a pas toujours pas fait et on ne fera pas ça. C'est qui qui décide?

Moi, c'est toi qui décide. C'est la vision. Après, tu auras joué avec le temps. Maintenant, je dis que je suis moins alimenté que si Shinshū. J'ai beaucoup moins de connaissances que Cyril sur les notations de musique, etc. Non, évidemment, c'est une discussion à quatre, mais à la main, celui qui tranche sur la radio, etc. Donc non, non. On était dans un dynamique du code, etc. A fond les ballons.

Après, c'est vrai qu'au bout d'un moment, il y avait un débat en interne à quel point on fait des tests unitaires, par exemple, des trucs comme ça. Mais Cyril voulait vraiment appliquer la méthode TDD. Et moi, je disais mais c'est une perte de temps. Jusqu'à ce qu'au bout d'un an et demi, on passe tellement de temps à tester nos parties quand lui cliquée, se barrer parce qu'il savait que ça marchait ou ça marchait pas. Ben, on était en mode.

Moi, j'étais en train. Elle a peut être raison que j'ai fait un meilleur, mais à Koopa, on est revenu dessus. Vous êtes revenu dessus. Là, c'est foutu.

C'est pas la TDG dans son sens littéral, j'imagine, vu qu'on a de plus en plus de realise et que l'équipe grossit toujours, grossit au fur et à mesure. Mais Vincent, il est de plus en plus juste de lire les tests et même pas regarder le code ou quand c'est junior, il va quand même regarder le code pour les aider à apprendre, etc. Vous n'avez pas ou vous avez un process de quadrivium est toujours entre nous. Y'a toujours Vincent qui passera.

Juste un petit coup d'oeil qui est toujours intéressant et on se réveille. Mettre en place des tests. @Antoine qu'on a fini par mettre en place des mi mi 2018 mi 2018.

On a essayé plein de framework qu'on a galéré après le début de Meutois, mais là, c'était différent. Parce qu'il n'y avait vraiment pas de solution qui tenait la route sur un truc aussi complexe que ça. Et là, en terme de là, vous avez toujours. Ça a changé. Morlende Un peu quand même. On a commencé à bosser avec Digital Ocean. Pourquoi le choix de Digital Chaîne vis à vis de déjà? Parce qu'il avait commencé chez SWS, parce qu'il y avait des crédits offerts par la famille.

Carte de crédit. On les a tous cramé. L'encellulement va chez Digital Ocean parce qu'il y avait aussi du crédit. Exact, mais complètement. Un sous bois, ça fait des années que t'as pas de sous.

Je l'ai fait un an et donc du coup, on passe chez Digital Ocean. C'était le tout début de Digital Ocean. C'était vraiment dans leur phase de croissance, etc. En fait, on se plaît chez eux. On trouve que c'est bien, c'est cadré. C'est vraiment abordable en terme de prix. Ils ont une vraie proximité malgré qu'ils soient très gros avec leurs utilisateurs. N'avaient pas de questions, etc. Je voyais qu'on mettait en place une offre qui n'était pas juste à l'arrache et qu'on on était vraiment en train de tenir une prod.

Donc, on se dit Barakason à utiliser Digital Ocean et une fois que les crédits ont été épuisés, on a pu l'apprendre à 2 balles. La prendre nous coûte toujours pas très cher et nous coûte en tout et pour tout, en comptant les gros serveurs pour générer du son, etc. On est à 900 balles par mois et c'est très, très honnête.

C'est ça qui est fou chez vous. C'est quand c'est votre métier? Là où les gens se paient la tête, en fait. En général, quand les gens développent un produit, Speight, la tête une première fois sur le développement du produit, une deuxième fois sur la conversation, vous a dû se péter la tête sur le commercial. Vous vous êtes pété la tête pendant 50 ans. On a beaucoup terrae si on veut garder cela positif. Mais oui, et voilà le produit, on améliore, on améliore.

On a toujours de plus en plus de gens qui ont été. On est ingénieur, on est très, très factuel, très cartésien. Et Shulgi, Capilla et tout ça? Et vous dire vous savez vous dire que à un moment, ça ne marche pas? Il faut le faire. On avait beaucoup de maîtrise d'usage chez ça qui étaient là, qu'on surveillait tout ce que les USA faisaient sur la plateforme. Ce qu'on allait faire, comment améliorer, quoi améliorer, comment plomber encore un peu manuel aussi, j'imagine.

Alors, c'était manuel? Oui et non. Mais en tout cas, il y avait le doute la récupération de la data épaté par Manuel, mais en tout cas le reporting. J'imagine que c'est toi qui, oui, toujours. C'est toi qui salpétrière dans les noms de fichiers Excel à chercher. Non, même pas. On est dans la DB et je faisais une requête Mangot comme un grand qui était là. Mais ça a toujours été comme ça chez nous, mais ça l'est encore aujourd'hui.

A0 Houtis. Je suis complètement anti outil. On n'a pas de potes, pas de CRM. Mais si j'étais tellement frustré par la data et un bout à droite, un bout à gauche, il faut aller en haut, en bas, à ma charge. Bien n'interroge moi. J'en ai marre qu'on a un super back office qu'on a développé avec les premiers services qu'on a fait rentrer début 2017, quand on était un peu désespéré parce qu'on est arrivé à ce point où on disait bah, pour gagner plus d'argent, mais on n'y arrive pas.

Ce qu'on essayé? Pas vraiment, en fait. Et on s'est dit si on prend ses aises et que ça ne marche pas, c'est comme ça que je le vois aujourd'hui. Si on prend ses aises avec lui ce soir, ce ne sera pas de notre faute. C'est la sienne. Et ça, c'est l'état d'esprit dans lequel t'étais à l'époque. Non? Oui, disons que c'est la rétrospective que je te donne, pourrait nous on dire dit, c'est pour gagner de l'argent.

La vérité, c'est que tu dis toi, tu dis en tant qu'ingénieur, tu dis 16 putain de job, c'est vendre. Va pas. Tu sais pas que c'est plus compliqué que ça? Complètement. Je découvre le métier et on lui dit Vas tu a vendre? Le problème, c'est que tu vas sur un marché comme le nôtre. Y'a pas d'exemple de qui s'inspirer. C'est hyper compliqué, etc. Bon, bref, les mecs, c'est la galère.

On en prend deux différents chaque fois. C'est une catastrophe. Et il y a une une. On est début 2017. On a toujours une communauté qui grossit. Tout le monde est impressionné par la croissance, mais personnes venues donner de pognon, c'est assez fou maintenant, car c'est fou que personne ne veut vous donner de pognon. Mais c'est 6 ans, 7 ans après le démarrage de votre produit, il n'y ait pas de fin que vous n'avez toujours pas trouvé de commercialisation entre guillemets de votre produit, que vous tâtonné, testé, mais gagné ont gagné peanuts, ont gagné un peu d'argent.

On quand même un petit peu à l'idée qu'on avait vu sur les écoles il y avait. Il y avait un début de quelque chose. On arrivait un petit peu à vendre aussi aux particuliers. Sauf que là, il n'y avait pas de quoi faire vivre une boite. A l'époque, on était 7 8, même pas 8 personnes, mais moi. C'est donc galère, galère et bref, on avance.

2017, c'est le fiasco complet. On a vu le terme shide, mais ça tombe à l'eau, etc. Donc on est vraiment ruedo au mur. On arrive à quand même prendre 150.000 euros avec kima pompiers, les pompiers, les policiers et les pompiers. Là, c'était l'Amazonie qui cramés sur un sujet, le nôtre. On les remerciera jamais assez. On est encore là après, mais c'est vrai qu'à l'époque, c'était un peu inespéré pour nous. Et là, du coup, on vire tout le monde.

On vient à 4 là et on se dit Bon bah là, maintenant, il faut de l'argent, il faut qu'on fasse les choses sérieusement.

On y va plein de bonne volonté, on gagne de l'argent, on signe des beaux contrats sur les DUT. L'idée, c'était vraiment de trouver le modèle de l'éducation. Donc, on fait rentrer 40, 50 mille balles sur la rentrée scolaire. Évidemment, c'est quand même pas bien loin, mais c'est un peu ça. Un peu de fraîcheur quand même. A côté de ça, on avait mines, 12000 balles qui rentraient droite gauche lundi. Vous mélangez clairement des miettes.

Pareil, ça faisait un peu Rochdi. Quand tu dis 10, 12 000, c'est vraiment parce que des mecs ont payé en moyenne time. Il y avait du Wanita sur l'éducation. Tu sais, quand c'était une école privée, par exemple, il n'y a pas de problème de budget, donc le Gaï, mais ça s'est bien fait. Une note de frais avec son école sur les individualités, il y avait alors il y avait beaucoup de nanas, mais c'était plutôt du henaff.

Il va payer 2 mois, il arrête a un autre qui vient à la place. Si vous n'avez pas d'engagement, vous n'avez rien. On a de l'engagement au sens communauté du terme. Si vous n'avez pas d'engagement dans le sens que commercialement, non, mais pas un truc de salarié, pas de job d'un si tu payes, si tu payes un an, tu, si tu peux payer un peu moins cher. Tu perds un peu moins cher. Si tu payes à l'année, vas y avait cette pseudo incitation qu'on a fait parce que tu le vois partout où tu le dis.

Mais c'est tout. C'est tout. C'est tout.

Et en termes de produits, à ce moment là, donc là, vous avez lu 58 des climats. En termes de produits, le produit évolue beaucoup au fur à mesure à Black Bloc. Vraiment, vous êtes vraiment? Vous êtes vraiment dans une logique, j'imagine, de déploiement continu tout en vous déployez. Vous avez une nouvelle figure, vous la déployez. En fait, c'est Calista qu'apporte votre croissance. C'est ce qu'a aussi fait des ça, ça, ça, la croissance et ça aussi fédérer une partie de la communauté.

Un peu sceptique, mais qui, quand on leur disait ça arrive en fin de semaine. C'est arrivé vraiment en fin de semaine et ça s'est fait. Les mecs sentaient vraiment la communauté santé qu'elle était vraiment impliquée. J'ai publié d'aromates. On n'a jamais fait de Rona plus. N'ai pas fait de rumeur, il y a déjà eu, il n'y a pas une vraie grosse roadmap au sens très théorique du terme. On sait où l'on va et c'était très compliqué parce que le propre fin.

On l'a fait un moment. On a essayé vite fait et le problème, c'est que là, tu te mets un pied sur une communauté. Bitte aussi. Apparemment, tout le monde qui donne son avis, ça devient foire. Et du coup, c'était moins khali pour nous d'avoir une Rauma publique où les gens peuvent réagir que de juste parler avec eux et de com. De notre côté, discrètement, c'est toujours pareil. Fait, c'est un rapport d'échelle.

Tu commences à dire à tout le monde, tu peux commenter alors que si les gens doivent écrire, il y a une petite pudeur, il y a une petite barrière. Donc déjà, c'est un peu plus Calico. C'est pour ça qu'on est vite revenu dessus et on a jamais. On a souvent la demande, mais on n'est jamais revenu sur notre public parce qu'on n'est pas à l'aise avec ça et d'autant plus aujourd'hui. Maintenant, on a vraiment un jeu plus commercial stratégie vis à vis de nos concurrents et en termes de produits.

Est ce que là, à ce moment là, dans votre tête, vous vous êtes, vous êtes dessus, étant amène des erreurs dans le développement de produits en mode. On teste des trucs, ça marche pas qu'il met vraiment en termes de produits. Ce que vous lancez des futures, ce que vous voulez lancer en beta test sur une dizaine de personnes, une vingtaine de personnes, une trentaine de personnes voulaient qu'il est prêt à nous restituer. On était vraiment dans une position hyper de luxe.

D'un point de vue produits développeurs, c'est à dire Bentégeat, il n'y a pas mieux truc à faire dans la musique. A l'époque, on était très, très loin d'avoir dépouillé toute la liste. Qu'en fait, si tu veux tout ce qu'on faisait, on savait pertinemment que ça allait être utilisé pour écrire de la musique. Donc, il y avait les plates formes où tu vas.

On nous disait ouais, ça serait bien de commenter des machins, mais c'était hyper gadget. En fait, les gens venaient pas, ils allaient encore moins payer. Pour quoi mettre des like sur Facebook? On a mis un bon ami quand même le pied dedans a introduire une notion de social et aujourd'hui, on galère. Quand est ce que ça a explosé? Il y a beaucoup d'interaction vu qu'on est gros. Il y a des problèmes de harcèlement, des problèmes de photos de mineurs qui tombent, tu vois.

Et c'est ça le problème d'une communauté qui grossit à tout moment. J'aime bien les travers qui arrivent et c'est pas moi. Ça me fait rire. Maintenant, on comprend vraiment ce que c'est que de lancer une communauté et de la gérer et d'être laissé libre de faire ce qu'elle veut. Et les emmerdes? En gros, vous êtes arrivé, donc?

Climat et les 150 000 climats et vous saurez vous virer tout le monde, en fait, à la fin de mille balles, vous arrivez à faire du cash, on arrive à faire du cash, on vivote. Vous vous êtes début 2019? Non, non, c'était avril 2017. On fait un an comme ça sur les 150000. Avec l'argent qui rentre à côté, on arrive à être tiré au possible. Le truc on arrive en 2018. Je te dis une bêtise avec toujours un employé qui est resté, qui y croyait mort et qui est resté.

Les autres sont partis d'eux mêmes comme un corps lui est resté la. J'y crois, j'ai envie d'aller plus loin. Je sens qu'il y a un truc en train de se passer. Sont peut être les choses mieux que moi, d'ailleurs. Bref, Mareil 2018. On continue de faire des salons U.S. On continue de rencontrer du monde et aux U.S. Comme ça faisait déjà quelques années qu'on venait quand même. Donc, tu Lacen de l'éducation est beaucoup plus développé vu qu'on avait signé un partenariat avec Google Microsoft.

J'arrive à pouvoir parler avec des partenaires qu'ils avaient été partenaires Google pour éduquer chez Microsoft. Quand on avait vu qu'on avait un super produit, tout le monde voulait bosser avec nous. Ça a aidé ça dans le développement. Ça a apporté ta taper sur ces communautés là, alors il y a communauté et communauté. C'est d'ailleurs sur l'aspect vente en soi mauvais en vente. Tabora Le meilleur des partenaires en vente, tu vends pas. Après, ça nous a donné accès à des gens qui étaient très intéressants et notamment en 2018 qui s'est passé.

C'est comme on n'arrive toujours pas à vendre, etc. Je vais parler avec un partenaire d'une grosse boîte high tech américaine et Judit, mais il avait travaillé chez Google avant de parler bien, je lui dis je explique moi vient acheter, je te file toutes les métriques. Dis moi où je merde parce que je ne fais pas de Tùng. Pas suffisamment par rapport à tout le monde. Regarde de Capilla. Il me dit Mais tu sais que ton ton est une bonne naturelle.

Nous, on a 5 mecs full time et on a moins que toi. Vous savez ce que vous avez fait comme Fondacio, des produits Tchamba et que le produit, en fait, il excitait tout le monde et tout le monde en parlait avec un vrai Cisco ou chez vous, c'est que c'est le produit qui a t'arriver. Toute la croissance, tout le temps, tout, tout, tout s'arrête. Vous êtes des ingénieurs, vous étalez Oleane dans vos formes, développer un produit.

Ne vous êtes pas posé la question? Non, non. Et on n'a pas pris le travers sur marqueté. Le truc, en fait, parce qu'on a cette pudeur de dev de dire on ne va pas marcher avec un truc qui arrive là aujourd'hui. C'est un peu plus cliché parce que j'ai pris une position de CL. Donc on retombe sur des trucs un peu marrants que tu veux avoir sur les caricatures sur Facebook. Mais voilà. Et à ce moment là, le mec me dit Mais te rends bien compte que nous, on a moins d'une bande que toi.

Des gens full time qui sont censés montrer plus de cash et ils me disent Je vais te montrer comment vendre ton produit parce qu'il est simple à vendre. Il se met devant notre stand et je te jure. Il me fait un one man show est cool les Flyers. C'est une vitesse dingue et tout le monde comprend. Il m'a dit C'est quoi 3 3 valeurs ajoutées de ouf sur ce produit? Donnez moi, je lui donne pas, tabassent et il est bon et montre en gros que le mec me montre que je suis un gros tocard.

Toi, je prends une claque et je me dis bon, je vais me poser, mais en fait, c'est hyper bizarre. Déjà, il y a cette pudeur française en plus d'être dev retrait sur tout ça et je suis en mode. Mais en même temps, ils viennent vraiment me démontrer qu'on est et on a tout quoi. Et je m'y mets. Je commence à rentrer dans le cliché et je dis je dis aux gars Bah ouais, on se moque d'eux, les Ricains et tout.

Mais en fait, c'est eux qui tomberont et on va faire comme eux. Et on va commencer à se comporter comme on commence à rentrer un peu plus dans une dynamique de On va vendre mieux, mais en restant avec Vincent qui est toujours très produit. Les gags sont très produits, ça rester complètement contre intuitif pour tout le monde. Moi, je commençais vraiment. Il y avait cette fatigue, s'installait. Ce moment, c'est le ras le bol de dire on a un super produit pour qu'on n'arrive pas à faire craquer les gens de chez toi.

Et on avance dans l'année 2018 Approche Life. La fin 2018 approche. On refait un salon, on l'a. Lemployé nous dit j'arrête. L'histoire est trop bien, mais juste. En fait, je vais aller sur d'autres sujets. C'est pas un problème d'argent avec les revenus. Monter un peu, on est bien correct. Et là, début 2019, je retourne au U.S. Tout seul sur un autre salon, beaucoup plus mainstream. Je laisse et là, je parle avec plein de mecs.

Je fais évidemment des soirées parce que c'est là où les gens parlent trop et j'apprends encore plein de trucs sur le marché et je me dis putain, on est encore à des années lumières de l'opportunité. On a produit pour et là, vraiment, je me dis on a vraiment tout pour. La pub de n'a même pas besoin de dafür. C'était vraiment. Je me suis dit Y'a rien à. C'est juste que l'opération, toi, tu considères que ton produit est bien en avance sur le marché, devant tout le monde.

T'es devant toi à 6 ans de dev et à supposer que tu considères qu'on produit. Donc vous avez quand même 6 en 4 dev. C'est énorme, mais c'est parallèle à nous. Il y a eu Y'a une boite financée par Yamaha qui a relancé un nouvel éditeur pro. C'est quatre ans de dev, 40 ingénieurs. Et là, ils sont devant nous, évidemment. Mais un jour, cette notion de Web Google Docs, des partitions de musique, on a fait un truc et à des années lumière devant tout le monde.

Mais c'est quand même assez, quand même pas si c'est intéressant de donner des idées. Entre le moment où vous sortez, vous Bouvry Pour sortir, pour sortir entre guillemets, est ce qu'on pourrait appeler un protos sorti de HiPay qui a 18 mois? Quatre, tu mets six ans derrière moi. Et encore, vous avez une version qui tient la route. Et après des années de galère, plus pour faire des trucs de ouf, c'est impressionnant. C'est impressionnant ce qui arrive à écrire.

Et du coup, la momon début 2019, vous vous prenez le pas de dire OK, on va être profitable, on va faire du cash. Ben moi, je reviens là, toi, je reviens de Los Angeles. Je me souviens d'ailleurs, je sors de soirée. C'était tellement gros, tout ce qu'il m'avait raconté. Je me dis que j'appelle les gars tout de suite que c'était. C'était la nuit pour moi dans un Starbucks. J'appel dégage. Bon, là, je suis un peu cramé, mais je vous débriefe parce que demain, je vais me dire que j'ai halluciné avec l'alcool qui était là.

C'est pas possible. Ici, je joue sur le trésor de guerre et encore plus gros que ce qu'on pensait, c'est ouf! Et toute l'attaque est en place. Et en fait, c'est juste de Lopez. Il faut qu'on arrive juste. Ah mais là, on peut réutiliser le produit et ce qui nous a été d'ailleurs. Et c'est ce qu'on avait commencé à faire implicitement. Si tu veux, si tu organo comment nos produits sont construits, la tech du milieu.

Ce qui est arrivé par le Hipper, etc. S'est basé sur l'éditeur et apparaît. On a pris une dimension. On a juste changé le packaging.

À chaque fois, on réutilise la texture, mais c'est la m'intègre. C'est toujours maintenu et on produit éducations.

C'est la même telex. J'ai juste changé la plateforme et là, on revient sur du dev entre guillemets, qui est techniquement beaucoup plus simple, c'est à dire faire une plateforme où les gens interagissent, bien qu'il soit joli, intuitif. On revient sur des trucs beaucoup plus, beaucoup plus simples, beaucoup plus l'INE, beaucoup plus linéaires à développer comparé à l'éditeur de partition qui est hyper complexe, etc. Etc.

Donc là, vous, à ce moment là. Là, je reviens. Je suis choqué et je dis en fait les croquait les opportunités, fait office savoir TF ou Family ou je dis voilà, voilà tout ce que j'ai appris. Il faut qu'on y arrive. Et là, ils me disent Ben ouais, vous avez pas les trucs pour faire tout ça, les gars? C'est bien beau d'être ambitieux, mais sans argent, on fait pas, on fait rien.

Oui, c'est vrai. Et là, il y a rupture dans ma tête, je me dis mais il a raison, on ne va rien faire si on n'a pas le pognon. Donc, en fait. De toute façon, je commence à être fatigué et ça me frustre de ne pas pouvoir croquer toutes les opportunités. Donc, on se dit on va faire un énorme changement, on va arrêter d'être généreux sur le gratuit du tout aussi. On va être et on va dire maintenant vous payez ou vous êtes frustré, vous allez voir ailleurs et on fait le switch juste avant ça.

Deux heures. Oui, c'est exactement ce que je voulais dire.

Une page avec écrit ces 999 purement et simplement d'Infiniti, on en fait. On avait des déboulés déjà partout pour dire ça. C'est gratuit, ça s'est pas traduite. C'est pas gratuit, donc tu vois. On change l'offre, Xavier, tu avez faire ça. C'est ça qui fait d'ailleurs qu'on avait déjà pensé qu'un jour, on ferait payer. Mais on s'est jamais dit allez, on le fait. Et du coup, ou juste avant. Vous aviez combien Montilly?

Juste avant cette époque là, on avait un peu plus de 220.000 compositeure. On fait vraiment indifférenciation entre les gens qui écrivent et qui créent du contenu qui a une valeur énorme et les gens qui 220000 220000. Vous passez en payant combien? Qui reste? Tout le reste, tout le monde reste, tout le monde reste. Y'en a qui se mettent à payer. Il y en a qui se mettent à faire le même pourcentage qui converti. On va convertir pas loin de 20% des actifs en Moi&cie ou en one to one time.

Donc ça se met à convertir. Et après? Mécaniquement, tu sais, il y a quand même cette rotation des gens, etc. Et là, les revenus décollent, c'est sûr. Il est revenu à %2, mais tu reçois quand même pas comme on avait et on avait les Mikey. Ou bien on va leur demander de payer. Et là, on prend une énorme leçon quand on produit les tops et que, comme tu disais juste avant, il est à des années lumière de tout ce qui se fait à côté.

Ah bah, si tu veux, quand il est utilisé, tu payes et en fait, quand tu demandes sept balles aux jambes, les gens, c'est pas énorme. Là, c'est sûr, et ça crée plus d'engagement. Là, c'est sûr, mais à payer pour des choses en plus. Déjà, tu crées ta plus d'engagement. Toi, tu as du feedback et beaucoup plus khali parce que les mecs payent et c'est pas moi. Ils auraient dû et comme ça, c'est ouf.

Et donc là, en gros, vous vous résolvez un peu vos problèmes. Le bigbang que T'attendais et moi est le bigbang que j'attendais. Il est là et c'est surtout même au delà de ça. On rentre dans une nouvelle phase où on se retrouve à avoir des moyens. On se retrouve à se dire ayant une boite saine qui grossit avec de l'argile avant d'être rentable. Là bas, on était déjà plus ou moins tombé à 4 4 Micral. Mais rentable, vraiment rentable, vraiment?

Avec on peut se projeter. Moi, je me mets à faire des Excel pour savoir ce que je veux faire et essayer de dire voilà, je vais investir dans Je vais prendre un mec génial, ces gens là. Là, on rentre en mode vénère, on se met à tabasser sur les du pardon, sur l'endive. Tous les six mois, on resserre la vie. Lavisse Encore un coup en termes de prix? Non, le prix ne bouge pas.

Mais par contre, on dit il y a encore moins de trucs gratuits, les gars et basta! Fait à chaque fois pas pour convertir encore un peu plus à convertis. Si ça continue. Et du coup, ton produit change beau, ne change pas beaucoup. Alors là, on est dans une nouvelle phase, c'est à dire qu'on n'est plus dans. Il manque des figures, mais maintenant, il faut vraiment le réviser, l'optimiser. Il faut faire une meilleure est fait.

Tout le taf de futur est déjà fait. Maintenant, c'est de l'optimisation. C'est faire que ça romieu pas quand tu lançons un Chromebook. Tous ces projets d'optimisation?

Hé hé! Et après? Tu sais, ça paraît simple. Mais toi, t'as Corentin qui est full time. Faire que la génération de son aura quand tu joues ta partition en Syrie, du fait que du full time a désigné les partitions et la maintenance, c'est bien là maintenant. Les 9, 9, 9 full time tourne, ça tourne, j'en attends un peu depuis là. Vous êtes bien bien profitable, sachant que vous avez du coup, depuis le début le 4 février, Balcaen.

Ouais, c'est net, presque mendiait, mais vous les avez grandi et vous, vous avez 400000 balles. Vous avez fait 8 ans de dev pour avoir une boite rentable. Est ce que vous y êtes et vous êtes bien? Et ça, c'est ouf! Les choses prennent du temps. Vous? Vous avez pris le temps de faire les choses, en fait, au fur et à mesure. Oui, on a pris le temps de faire les choses. On a peut être un peu trop avancé.

Mais oui, mais. Même si le dev en tant que tel du produit n'est pas beaucoup plus compressible que sur l'aspect exécution, on aurait pu gagner plein de temps. Changer cracking? Plutôt ça, mais tout ce qu'on a appris, toute cette expertise sur comment tu dessine une partition dans un contexte, ouais. Comment le format marche? Comment le standard marche, comment l'industrie est structurée, etc.

Parce que la structure de l'industrie décline. En découle les standards hyper l'aubier. Ça en fait pas beaucoup. On a fait trois erreurs, mais de toute façon, on devrait être obligé d'y passer car technologiquement parlant, on devrait y passer. Et oui, ça a été fait seulement à 4 et je pense qu'au final, qui nous a sauvés, ce qui nous a sauvés? Non. Mais ce qui nous a permis de survivre plutôt, c'est qu'on a jamais par la force des choses.

On n'a jamais été trop agressif sur le marketing. Ce y a plein de boites qui ont été hyper agressives en marketing pour justifier des levées de fonds et qui, à la fin, sont morts.

Et en plus de vous là, les choix que vous avez posés techniquement, même techniquement, en terme de produits, n'a jamais mis à part ces changements de pricing. Il y a jamais eu des grosses ruptures. Vous avez eu un truc qui était itératifs, non? On a eu quand même en 2019 la phase avant. Oui, 2019. On a eu une énorme phase où on a changé beaucoup d'aspects tech. On était des mauvais choix. On est passé.

On était tous basé sur Gula. On en est revenu avec pertes et fracas. On a basculé sur Vu. Ça a été hyper après quasiment un an. Virer les GASSY d'en revenir et c'était très, très dur. Beaucoup écouta faisaient partie de AngularJS à cause des changements de version à chaque fois. Non, non, même pas. C'est à dire que c'était pour dire de lui que c'est de l'interaction utilisateur aussi vivante. Bah regula avec tous les cycles.

Et toi, tu aller Falémé? Y'a du SVG. Y'a des boutons qui sont dynamiques par rapport au SVG Machin et avec les cycles. À un moment, j'étais là. Gars, on en est arrivé au spaghetti code. Là, il a partout, ça envoie des signaux. C'est pire que la Bible. Ici, tu vois, tu dis Vincent, faut trouver une solution. On imagine la joie vu qui monte. Ça m'a l'air super. C'est la même chose, mais sans les problèmes, j'ai dit Abbasi.

Mais là, c'est une décision qui est importante. Je rend bien compte que 4 ans de taf, on va revenir dessus et c'est là où c'est marrant. On sait qu'avec tout ce qu'on avait appris, parce qu'on a vraiment tout repris, on a refait 4 ans de taff en un an. Mais après, c'est là où, justement, c'est moi. J'ai un truc que je dis beaucoup ici dans la team, c'est l'approche. Et le mindset prévaut bien sûr sur les outils et les process.

En fait, et en fait, juste lorsqu'il est en, c'est pas l'utilisation de l'outil. Vous avez galéré, c'est 4 ans, c'est comprendre votre produit faute d'un produit clair dans ma tête que ça déroule sur sedéroule, sur un ou sur vu. Franchement, vous auriez pu passer sur autre chose, ça aurait fait la même chose. Et ok, ça, c'est un peu fou. Et tiens, juste à date là, vous avez combien de code sur votre produit?

Alors on compte juste le générateur de parva, la surgénérateur de partition. C'est un peu plus de 2 millions 4 lignes JavaScript déjà. Tout le mérite retourne à Siri. Et ça, ça jusqu'à un moment où vous aviez pas de destinataire ni rien. Et tout ce qui va se passer, c'est la partie de Siri. Ça a toujours été le et heureusement parce que locateurs n'est pas tombé dans le spaghetti code pour maintenir un truc comme ça. On a cette chance.

C'est ce qui fait toute la légitimité de Siri chez nous, c'est que lui, il est très, très, très rigoureux et il l'a toujours été. Et ça a été d'ailleurs la partie la mieux encadrer, la mieux gérée du début à la fin de flash en termes de régularité. Après, on s'est mis à niveau et on a commencé à faire. L'intégration continue. Sidi Yahia, c'est ici et on s'est vraiment mis à niveau et après on a, au delà de comprendre la théorie, on a compris dans l'aspect pratique à quel point ce truc là pouvait aider Vincent à mieux dormir.

Parce que Vincent, ladette situé, c'est lui aussi qui gère la prod. Et c'est Vincent Morvan qui en avait marre de se lever la nuit pour sauver avant la prod à deux balles, puis après les machines de Digital Ocean et Casino. Mais là, on va commencer à faire de la sieste parce que l'appuyant, je pense qu'on a fait un peu un peu le tour complet de l'aventure. Peut être s'il y avait un truc, la méthode Pierre pour développer un produit, c'est quoi?

C'est quoi, le truc? Le truc qui fait que votre produit était fou et qu'il est fou et que tout le monde l'utilise? Le truc que vous avez craqué dans le développement de produits divers? Faut faire les choses avec plein d'intensité à fond. Et surtout, il y a trois points. Il y a vraiment y aller avec énormément d'intensité. Jamais trop réfléchir est très, très intense sur ce que tu fais comme ça. Très vite, des retours négatifs utilisateurs parlait énormément avec ses utilisateurs.

Nous, utilisateurs, comme je le raconte au début, on leur a littéralement fait l'amour pour avoir un maximum de d'eux. Et le troisième point, c'est de travailler énormément sur prendre du recul sur ce que disent les utilisateurs. C'est bien beau de leur parler, de les écouter, mais y'a des moments. Tu envie de te dire, mais il se fout de ma gueule, c'est pas possible. Et là, en fait. Et moi, nous, on est toujours parti du principe que si quelqu'un prenait le temps de nous écrire, c'est qu'il y avait quand même un petit problème quelque part.

Kimmy Peut être que oui. Effectivement, à 65 ans, avec des lunettes pas trop adaptées, ça devient un gros problème. Donc ça, ça va vraiment être les 3 points qu'on a appliqué à fond. Et donc, là dessus, je me dis pas écouter les utilisateurs. Tout juste petite question. Tous ces trucs là de design thinking. C'est un truc que vous avez appliqué? Idéologie de développement. Vous avez écouté des bibles, des mecs qui n'ont enivrer?

Oui et non. C'est à dire que moi, je suis vraiment anti. Je déteste lire un bouquin de méthodes, mais j'en ai lu un peu en RH. Des trucs comme ça, tu vas quand même. Mais sur ces méthodes de travail là, je vais être beaucoup plus. Ouais, c'est notre côté. Je vais dans le factuel. Maintenant, on a un système de codes, on a plein de petits trucs, mais c'est pas drivée par la méthode agile de Monsieur X, le lean de Mr.

Mme Madame, c'est juste un point super important, c'est que les gens se mettent à développer un produit essaie de rentrer dans les cases de machin truc. Chaque bonne méthode est adaptée à l'équipe adaptée aux produits, culturellement adaptée à la culture. En fait, vous êtes à l'aise avec quelque chose comme ça et d'autres moins. Les autres, moins ça. Mais il ne faut pas essayer d'appliquer des méthodes non plus sur un moteur Eamonn dans plein de fuseaux, différent que le côté synchrones du Stanhope du sprint.

Ça ne marche même pas dans ce marelles, évidemment, et qu'il faut s'adapter à la culture de la boite et son identité la synchronisant. Personne n'est censé avoir besoin d'attendre qui que ce soit d'autre dans la voiture. Bon, bah, super cool. Moi, je pense que j'ai un peu gt poser toutes les questions que autres faisaient état des choses à rajouter que tu voudrais? Non, je pense qu'on a un bouton. On a fait un très beau tour de tout ce qu'on a pu faire, etc.

Donc j'ai pas grand chose de bon. Super cool, merci. Pierre a grand plaisir. Tcha tcha.