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9 heures 9 heures 30. Franck Ferrand raconte sur Radio Classique. Dans cinq semaines maintenant, la France va se couvrir d'aigles et d'abeilles, le Hain impérial va faire son retour et le bicorne mythique et la croix de la Légion d'honneur. Dans cinq semaines, ce sera exactement le 5 mai. On va donc célébrer le bicentenaire de la mort de Napoléon 1er, qui a besoin de vous le rappeler, s'était éteint dans l'Atlantique Sud, tout là bas, à Sainte-Hélène, le 5 mai 1821 à 17h49, heure locale.

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Quelques polémiques sont en train de se développer à l'occasion de ce bicentenaire. On reproche à Napoléon d'avoir été le défenseur d'un régime très autoritaire, d'une société très patriarcale, d'un pays très belliciste, lui même ayant fait peu de cas. Somme toute, de l'avis de certains de ses soldats. Et surtout, surtout, on lui reproche alors qu'il n'était encore que le premier consul Bonaparte, d'avoir, le 20 mai 1802, maintenu l'esclavage dans toutes les colonies ou n'avait pu s'appliquer l'abolition de février 1794.

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Et puis, disons le par la suite, il avait poussé au rétablissement de cet esclavage partout où ça pouvait se révéler nécessaire, pour des raisons économiques ou politiques. On oublie au passage de rappeler que le général Bonaparte avait supprimé l'esclavage lors de son passage à Malte et aussi dans plusieurs régions d'Égypte. On oublie de rappeler que l'empereur finissant au moment des Cent-Jours, pendant les quelques semaines où il va revenir au pouvoir avant d'être définitivement vaincu à Waterloo, que l'empereur avait décrété à ce moment là la fin de la traite négrière.

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Passons. Je ne vais pas entrer ce matin dans le débat qui oppose les contempteurs de Napoléon à ses thuriféraires, ces derniers mettant en avant de leur côté les grandes réformes de celui qui a stabilisé l'acquis de la révolution tout en rétablissant la puissance française. Celui qui a fondé les cadres de notre Etat moderne nous rappelle aussi le génie stratégique du conquérant, la puissance visionnaire d'un homme qui pouvait se pencher sur les questions les plus diverses, sur les sujets les plus épineux et, à chaque fois, apporter des solutions qui, avec le recul, aujourd'hui encore, peuvent nous étonner par leur étonnante, leur incroyable pertinence.

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Ce qui m'intéresse davantage, c'est le rayonnement extraordinaire de ce destin sans pareille dans le monde. Napoléon, vous le savez, est adulé dans un certain nombre de pays. C'est le cas en Russie tout particulièrement, mais aussi en Chine, où le nom de Napoléon est un véritable sésame. Et au Japon et dans bien des pays, c'est vrai qu'il est nettement moins apprécié en Allemagne ou en Espagne, pour des raisons historiques évidentes. Le cas est plus intéressant, peut être au Royaume-Uni, où le nom de Napoléon continue de fasciner littéralement les foules tout en les effrayant.

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Peut être encore un peu comme si, comme s'il était survivant de son propre destin. Ce nom, c'est en tout cas le plus connu sur la planète après celui de Jésus. Or, n'oublions pas que Napoléon est français.

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Les circonstances de l'histoire, à peu de choses près, l'ont fait naître français, puisque la Corse venait d'entrer dans le giron du royaume de France au moment de sa naissance. Il a tellement aimé. Il a tellement servi la France qu'il serait inouï. Peut être que la France ne lui rende pas l'hommage que mérite son incomparable importance historique parmi les programmations spéciales que nous propose la télé à l'occasion de ce bicentenaire. Et notamment, je parle notamment des chaînes thématiques qui sont dédiées à l'histoire et qui vont faire beaucoup sur Napoléon.

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Forcément, je voudrais vous citer ce matin l'effort de la chaîne, toute l'histoire qui ouvre le feu dès ce soir et nous propose un documentaire d'Isabelle Gendre sur le trésor de guerre de Napoléon. Un trésor de guerre qui, au printemps 1940, au moment de l'invasion allemande, va subir mauvaise fortune.

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Franck Ferrand sur Radio Classique. Vous savez, au début de la guerre, enfin, en tout cas, plus exactement à la fin de la drôle de guerre vraiment de ligne de l'offensive allemande du 10 mai 1940. Les musées, les grandes collections ont été obligés de prendre des mesures particulières pour mettre à l'abri les objets les plus rares, les plus importants. Et cela a été le cas aux Invalides, où le général Mario, qui dirige à l'époque le Musée de l'armée, va faire quatre pleines caisses remplies des objets importants de Napoléon.

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Dans les caisses en question, il y a plusieurs chapeaux de l'empereur, dont celui qu'il portait à la bataille des loups. Il y a la célèbre épée d'Austerlitz. Il y a la redingote de Marengo, la redingote dont il avait fait don pour, après avoir gagné de façon tout à fait inattendue et au dernier moment, cette bataille dans un retournement extraordinaire. Cette bataille de Marengo, bref, il y a tout ça dans ces quatre caisses et énormément d'armes, de pistolets, de drapeaux qui avaient été prises à l'ennemi par Napoléon.

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Et ces quatre caisses, elles vont prendre la direction de Beynac, où se trouve la résidence secondaire du général Mariaux. Il se trouve que sur la route nationale 20, à peu près à hauteur d'étangs, on est en plein exode. Il faut imaginer les routes remplies d'une foule gigantesque de personnes qui sont en train de fuir le nord de la France en général et la région parisienne tout particulièrement, donc à peu près à hauteur d'Étampes. Bombardements. Le camion qui portait les quatre caisses se retrouve abandonné dans un champ de foire à Étampes.

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Même les caisses en question sont éventrées. Et le 15 juin, un sous officier français qui va se charger de tout cela et qui va emmener ses trésors pas très loin, à quelques à quelques pas. A l'hôpital d'Étampes, exactement à l'Hôtel-Dieu, on prendra contact par la suite avec le maire de Versailles et les objets en question vont se retrouver exposés, si je puis dire. Dans le bureau du maire de Versailles, où viendra les consulter? Où viendra les prendre en charge?

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Le conservateur du château de Versailles, le fameux Pierre Laboué, qui entre parenthèse dans cette période de l'exode, était resté quasiment seul au château. Je crois qu'il y avait avec lui un pompier de service. Et encore, ce pompier n'avait pas pu partir pour l'exode simplement parce qu'il était blessé de guerre et qu'il n'aurait pas pu plus s'en aller. Bref, les fusils, les pistolets, les médailles, les drapeaux. Plus. Parce qu'il y a aussi cet objet incroyable.

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Il y a les clés du sarcophage de l'empereur aux Invalides. Tout cela est expédié à la Malmaison. On ne sait pas exactement ce que c'est devenu à la Malmaison, mais toujours est il que tout ça est rentré aux Invalides, si je puis dire. Et c'est à ce moment là que les Allemands vont s'en emparer parce que les troupes allemandes sont déjà en train d'investir Paris. Étant premier mouvement de la symphonie numéro 6 tragique de Gustav Mahler, l'orchestre du Festival de Lucerne était sous la baguette de Claudio Abbado.

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Franck Ferrand sur Radio Classique. Ce qu'on voit très bien dans le documentaire d'Isabelle Gendre, c'est la fascination qu'éprouvait Hitler pour Napoléon. Une fascination assez remarquable qui d'ailleurs avait fait l'objet en 1943 d'une enquête assez poussée de la CIA qui s'était intéressée aux personnalités qui inspiraient la fureur. Et on savait qu'il avait été pendant longtemps. Lorsqu'il était à Munich, il avait tenu sur son bureau un buste de Napoléon. Il y avait aussi dans son bureau un buste de Frédéric.

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Deux, ça, ça paraît plus logique et un autre de blancheur. Mais Napoléon, c'est assez. C'est assez étonnant et je ne sais pas si vous vous rappelez, mais vous avez raconté il y a quelque temps la visite qu'avait effectuée Hitler au tout début de l'invasion allemande. Il était arrivé à Paris au petit matin du 23 juin 1940. Il avait parcouru Paris d'un pas martial et il s'était retrouvé dans les brumes encore matinales devant les Invalides. Il était entré sous la célèbre coupole.

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Il s'était recueilli devant le tombeau de Napoléon et on acette cette photo qu'on voit dans le documentaire de Hitler en gabardine blanche, qui a retiré sa casquette posée sur sa poitrine et s'incline devant le tombeau de l'empereur. Un peu un peu le répondant, pour ne pas dire le pendant de la célèbre gravure qui montre Napoléon, s'inclinant le chapeau sur la poitrine également, s'inclinant devant le tombeau de Frédéric 2. Dès le lendemain de son passage éclair à Paris, Hitler avait demandé avait ordonné à Cattle de piller le trésor des Invalides.

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Et pour tout vous dire, ce qui intéressait tout particulièrement les Allemands dans cette affaire, c'étaient les trophées que Napoléon avait récupéré en Allemagne. N'oubliez pas que après la volte face de Boulogne, au moment de la de la bataille d'Austerlitz, Napoléon avait investi l'Allemagne.

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Il avait occupé tout le Nord et même enfin, une grande partie de l'Allemagne.

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Et cette occupation, bien sûr, a laissé des traces. Napoléon avait récupéré la plupart des drapeaux pris à l'ennemi prussien et il en avait fait, bien sûr une sorte de collection de trophées exposés bien sûr aux Invalides. Dites vous qu'en 1811, au moment de la plus grande France, sur les 134 départements allemands, français, dont 9 étaient des départements allemands, et à Berlin même, le quadrillage qui figurait sur la porte de Brandebourg avait été démonté, expédié à Paris.

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Il ne rentrera. Ce quadrillage, c'est quatre chevaux ne rentreront à Berlin qu'au moment de l'occupation prussienne de 1814. L'épée de Frédéric également était parti pour Paris. Etc. Etc.

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Donc, vous imaginez bien que Hitler n'allait pas laisser faire tout ça. Ça justifiait d'une certaine façon la spoliation dont il allait lui même se rendre coupable. Il faut vous dire qu'une unité secrète avait été fondée par les nazis à Paris. Ça s'appelait le R. R. Sous la direction Alfred Rosenberg. Le but, c'était de récupérer le plus possible d'objets importants, d'œuvres d'art, etc. Le 24 juin 1940, donc, les trophées militaires allemands, entre guillemets, qui se trouvaient aux Invalides sont rapatriés.

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Enfin, on décide de les ramener à Berlin et celui qui a la liste des objets qu'il faut renvoyer à Berlin. C'est un contre amiral, le contre amiral Hermann Lehrer. Ce contre amiral Leray va s'emparer littéralement de la batterie. Triomphales, vous, toute cet alignement de canons pris à Vienne en 1806 et qui se trouve devant les Invalides, devant les Invalides. Il va remporter, renvoyés comme ça aussi, toutes les grandes bannières, sauf quatre qui ont été oubliées dans son déménagement.

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Il va envoyer également en Allemagne un certain nombre d'objets qui, j'allais dire, n'avaient pas grand chose à faire. Sinon, peut être qu'ils avaient déjà figuré sur des territoires allemands ou autrichiens. C'est le cas, par exemple, pour ce qui est de l'Autriche, de l'armure de François 1er qui avait été récupéré au château, d'embrasser qu'on va renvoyer, qu'on va renvoyer en Allemagne le lendemain de la signature de l'armistice.

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Hitler s'en prend physiquement à la clairière de Retombaient. Par ailleurs, et vous savez qu'il a confié à son architecte fétiche, Albert Speer, qu'il l'avait d'ailleurs accompagné dans sa visite de Paris. Il lui a confié le soin de reconstruire complètement la grande capitale allemande à Berlin, Berlin, qui va devenir Germania. Le projet a commencé dès 1937 avec le percement d'avenue extraordinaires, avec l'organisation du futur gigantesque chantier qui est censé devoir prendre fin en 1950. Il y aura à Germania un grand mémorial du soldat.

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Exposera C'est en tout cas le souhait de Hitler quand on exposera le wagon de Bretons de ce wagon où avait été signé l'armistice du 11 novembre 1918, avant qu'on ne signe l'armistice de 1940. Réponse du berger à la bergère cette Germania que figureront bien entendu tous les trophées récupérés dans les différentes capitales occidentales, et notamment à Paris. En échange, si je puis dire. Hitler qui reste très fidèle. Vous le voyez à la. A l'idée napoléonienne. Hitler décide de renvoyer les cendres de Glons du fils de Napoléon 1er les cendres de Napoléon 2 à Paris le 15 décembre 1940, c'est à dire le jour même du centenaire du retour des cendres de Napoléon 1er sous Louis-Philippe.

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Ce n'est pas un hasard. Bien sûr, les Allemands l'ont fait exprès. Les Parisiens ironisent. Vous savez, à propos des réquisitions. Ils nous prennent le charbon, distillent et ils nous rendent les cendres.

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l'Orchestre symphonique de Londres, sous la direction de Sir Adrian Bolt, interprété quelques mesures de cette musique de la transformation du Parsifal de Wagner.

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Franck Ferrand sur Radio Classique. Évidemment, lorsque les Alliés vont se rapprocher de Berlin en 1944, et puis surtout après 1945. Les Allemands sont obligés de mettre à l'abri un certain nombre des objets qu'ils avaient prévu de réunir et d'exposer dans leur triomphale Germania. On va évacuer de Berlin le fameux trésor de guerre des Invalides. On voit très bien tout ça dans le documentaire. Il y a une partie qui est installée dans les tours, dans des tours C.A. D'autres des tours de défense contre l'aviation, d'autres dans des châteaux en dehors de Berlin.

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Le butin des Invalides, dispersés dans des caches où les Américains, au moment de la libération, vont finir par les retrouver pour retrouver tous ces objets.

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C'est un joueur qui avait créé. Vous savez, ces unités spéciales qu'on appellera qu'on surnommera les Monuments Men, dont j'ai eu l'occasion de parler pas mal déjà à la radio et dont George Clooney a fait un film il y a. Et c'est là la figure nouvelle et passionnante que nous propose le documentaire d'Isabelle Chandrika, une figure très intéressante qui se fait jour à ce moment là. Elle est secrétaire de la commission de récupération artistique en France et elle s'appelle Rose Valland.

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Mademoiselle Valland est un phénomène. Si je puis dire, elle a suivi pendant toute l'occupation de façon très précise, en se documentant, en récupérant toutes les fiches administratives possibles. Elle a suivi le sort des différents objets. Elle sait où sont les objets que la liste laurait avait rapatriés en Allemagne et c'est le colonel Blanc qui va l'envoyer avec un certain nombre d'autres émissaires pour retrouver, pour récupérer les trophées des Invalides, notamment. On récupérera l'armure de François 1er et tout le reste.

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Rose Valland va mettre en relation et c'est une grande partie de son travail. Les Américains et les Français, elle va coordonner. Elle va orienter les recherches et coordonner le travail de tous ces gens. C'est un outil, c'est un phénomène. Cette demoiselle a beaucoup des canons qui avaient été envoyés en Allemagne, ont dû être fondus, donc cela, on ne les retrouvera pas. Bien entendu, les Russes, par ailleurs, ont récupéré pas mal d'objets qui sont partis presque, qui ont pris la route de Moscou.

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Et d'ailleurs, on verra Rose Valland se rendre jusqu'en l'U.R.S.S. Pour suivre un certain nombre des objets. Dites vous que la mission blanc, comme on l'appelle avec Rose Valland et avec quelques autres, à récupérer, à retrouver sur les deux mille objets qui étaient partis, qui étaient partis en Allemagne, un bon millier d'objets, notamment tous les objets du 16ème siècle dont j'ai pas eu tellement l'occasion de vous parler, les armes, une grande partie des pistolets, etc.

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Les drapeaux, eux, n'ont pas été retrouvés. Pour l'essentiel, bien entendu. Il manquait 70 canons. Quant aux wagons de retombe, on savait qu'ils avaient été expédiés dans une forêt de Thuringe où il a fini par part brûler. Mais l'essentiel, si je puis dire, est rentré à Paris, et notamment la batterie triomphale qui, en 1946, retrouvera sa place devant les Invalides.

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Franck Ferrand sur Radio Classique. Et c'est bien sûr aux Invalides que le 5 mai prochain se tiendra, comme tous les ans, la messe en souvenir de Napoléon. J'ai eu plusieurs fois l'occasion d'assister à cette cérémonie dans le passé. Il faut dire que c'est très spectaculaire, d'autant plus qu'on mobilise pour l'occasion un détachement de la Garde républicaine, bel exemple de magnanimité de la République au profit de la gloire de la France. Bien sûr, cette année, la messe du 5 mai va revêtir un lustre très particulier.

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Le président de la République a fait savoir qu'il serait présent. On peut dire que le monde aura les yeux rivés sur le dôme, ce dôme merveilleusement dessiné par Hardouin-Mansart. Qu'est ce qu'on célèbrera ou qui célébrera t on plus exactement? Le vieux souverain déchu amère de Sainte-Hélène? L'ogre, comme l'appelaient les Anglais qui avaient fait trembler l'Europe. Ou le grand stratège de Wagram, d'Hello, l'empereur sacré à Notre Dame, le premier consul ou consul à vie qui avait refondé la France au lendemain du cyclone révolutionnaire et qui avait d'ailleurs permis de conserver les grands acquis de la révolution.

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Ou bien le putschiste des 18 et 19 brumaire, ou encore le général victorieux d'Egypte et d'Italie, où ce général Vendémiaire, que détestait tant les royalistes qui le lui ont d'ailleurs fait payer à plusieurs reprises et qui avait été avant de devenir le général Vendémiaire, était détenu à Antibes pour avoir été trop proche de Robespierre. Ou encore lélève de Brienne, le jeune Corse pré romantique. Le noublions d'Ajaccio aux idées, un temps nationaliste et proche de Paoli Bossuyt. Un peu tout cela.

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Sans doute que l'on célébrera même mieux que tout cela. C'est une page extraordinaire, une page extrait extraordinairement forte de l'histoire de France. Un chapitre. Malgré un certain nombre de zones d'ombre, ce qu'on célébrera tous ensemble le 5 mai, c'est d'une certaine façon un grand frisson partagé. À propos de Frisson. Le moment est venu de retrouver notre Christian Morin Bonjour Christian, ne dites pas que je suis réfrigérante. Au contraire, elle nous connaît. Un frisson de plaisir et d'amitié.

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Comment allez vous? Mon cher Franck, mais très bien coté en ce premier jour de la semaine. Il vaut mieux aller bien. Alors je n'aurai qu'un mot pour Napoléon ce matin. Chapeau! Et ensuite, vous êtes sur un soir. On va revenir sur ce que vous avez déjà évoqué lors de cette émission. C'est ce trésor de guerre de Napoléon à retrouver, bien sûr, sur cette chaîne dans laquelle je dois dire honnêtement, je me plonge assez souvent sur la chaîne Histoire.

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Toute l'histoire qui le canal 121 pour ceux qui sont branchés sur Orange. Parce qu'après, c'est très compliqué. 121 le trésor de guerre de Napoléon. Ce qui est amusant, c'est que à 20 heures 20h40, tout à fait. Ce qui est amusant, c'est que parallèlement, sur Arte, vous avez comment voler un million de dollars. Les Allemands avaient peut être trouvé la solution, en quelque sorte. Merci mon cher Fendt à demain matin pour un autre sujet que vous développerez avec le talent que nous connaissons et qui entraîne, je dois dire, chez certains, certains d'entre nous et bien certains frissons historiques chaque matin passé.

[00:21:57]

Une bonne.