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Jusqu'à Sandalettes, je vais vous raconter aujourd'hui une histoire absolument unique et ce faisant, d'ailleurs, je vais tenir une promesse. Un jour, il y a bien longtemps, Ivan Levaï, que vous connaissez peut être cette journaliste historique d'Europe1, me tend un livre et me dit Lisa, ça sort de chez un petit éditeur. Personne ne va le voir passer. C'est Simone Veil qui me l'a donnée. Elle m'a dit de le faire tourner autour de moi, alors je ne te demande qu'une chose tu le lis et tu le fais passer à quelqu'un et se livre le témoin imprévu.

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C'est un livre de JO Vache blatte, dont je vais vous raconter l'histoire aujourd'hui. Et je confesse à Ivan Levaï que j'ai gardé ce livre pour moi comme un talisman. Je l'ai prêté, mais j'ai toujours veillé à le récupérer. Et aujourd'hui, je vais tenir enfin ma promesse. Je vais vous le faire passer. Georges Blatt est un jeune juif polonais de 15 ans qui est déporté en août 44 à Auschwitz-Birkenau, où il vit une expérience absolument unique.

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Il entre dans la chambre à gaz du crématorium numéro 4 et il en ressort vivant et pendant 50 ans, de peur de ne pas être cru. Il n'a jamais raconté son histoire à personne. Voici donc cette histoire absolument exceptionnelle. La réalisation est signée Céline.

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Christophe Hondelatte. Je suis certain qu'il se trouvera des gens pour dire vous êtes sûrs, vous êtes sûrs que ce jour, Vasse Black n'a pas tout inventé. Il n'a rien dit pendant des décennies à personne, même pas à sa femme. Et là, il raconte qu'il est rescapé de la chambre à gaz. Et vous le croyez? Oui, et ça n'est pas que je le crois, c'est que je suis certain que son histoire est vraie avant de tout raconter.

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Il faut lever cette hypothèse. C'est essentiel et c'est fascinant. Le jour où on a sorti le petit JO de la chambre à gaz de Birkenau à une poignée de secondes de la mort, on n'a pas sorti que lui. On a sorti cinquante trois personnes et joue beaucoup plus tard, on a retrouvé deux Jacques, qui est ensuite aller s'installer en Australie, et Hermann Goldberg, qui a poursuivi sa vie en Israël. Il raconte la même histoire, la même MM.

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Il n'y a aucun doute quant à l'histoire que j'aurais pu raconter, mais cette histoire ne commence pas à Auschwitz-Birkenau. Elle commence en Pologne, oui, mais elle loge une grande ville industrielle du centre du pays qui, avant la guerre, est sans doute la plus grande ville juive de Pologne. Les vaches blatte sont Dawlat, du quartier Balbus. Le père y a un atelier, une forge qu'il emploie quinze ouvriers et c'est lui qui a sorti les deux candélabres dorés de la grande synagogue de l'Aude.

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Nous sommes en janvier 1939 et aujourd'hui, c'est l'anniversaire du petit Jos. Il a 9 ans. Sa mère a préparé un Tulane et elle l'a donné à cuire au boulanger en se disant C'est peut être la dernière fête de famille avant longtemps, car en janvier 1939, tout le monde à l'auge a compris que la guerre est là. On ne parle que de ça dans les journaux. Alors le soir de l'anniversaire du petit Jos, le seul sujet de conversation à table, c'est Qu'est ce qu'on fait?

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On reste ou on part? Le père de Jos a un avis très tranché. On reste, on reste. Partiront en Israël un jour peut être. Je nous le souhaite, mais en pratique, là, aujourd'hui, c'est impossible. Ça n'existe pas. C'est un rêve, c'est un songe. Je sais qu'il y en a qui veulent aller chez les Soviétiques, qu'il y aille. Mais je ne crois pas que les Juifs soient les bienvenus chez les communistes.

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Je ne pense pas qu'ils les laisseront vivre selon la Torah. Alors, on reste, on reste. On verra bien. Le 3 septembre 1939, le petit Jos est réveillé en pleine nuit par du vacarme dans la rue avec son père et son petit frère Jonatan. Ils se mettent à la fenêtre. C'est l'armée polonaise qui bat en retraite. Des soldats épuisés, hagards, piteux, qui fuient devant l'avancée des Allemands. Regarde en allemand, le premier soldat allemand entre dans le quartier Baluch.

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Un éclaireur sur un side car et derrière des chars, des automitrailleuses, toute une armée s'installe à Lochs et là commencent les pillages. Les soldats entrent dans les magasins juifs en priorité et ils prennent tôt tout.

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Et se repose chez les vaches Blatt. La question de partir, à laquelle le père Jos fait une réponse désarmante. Ils n'oseront pas prendre mes machines, elles sont anglaises. Et en attendant, il devient de plus en plus difficile de trouver quelque chose à manger. Ils ont tout emporté.

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Fin novembre, les Allemands mettent le feu à quatre synagogues. On ne peut rien sauver, même pas les rouleaux sacrés. En décembre, on annonce que les juifs doivent porter deux brassards jaunes. Même les enfants qui n'ont plus le droit de voyager ni de sortir la nuit, ni de se promener en groupe. Et un bruit court dans le quartier de Bannu.

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Il paraît qu'ils veulent recenser les juifs. Ils veulent nous mettre tous ensemble. Tous les juifs dans le même quartier. Temps contre. C'est là que va commencer l'enfer pour le petit JO, dans ce ghetto que les nazis s'apprêtent à construire. Le ghetto de lochs est instauré par les Allemands le 8 février 1940 et tous les Juifs de Lodz doivent rejoindre la vieille ville et le quartier Bannu maintenant et toujours les voir arriver sous la neige qui tire des sortes de traîneaux avec leurs meubles dessus.

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C'est d'ailleurs lui qui est un petit futé, s'est fabriqué un traîneau et il propose ses services en échange d'une petite pièce. Après, on demande aux Juifs de construire eux mêmes la palissade qui doit fermer le ghetto et de poser les barbelés. Et quand c'est fini? Interdiction de sortir. Le premier qui sort est abattu. La conséquence de tout ça, c'est qu'assez vite, il n'y a plus rien à manger et là, que fait le petit duo 9 ans avec son frère Jonathan?

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Il se faufile sous les barbelés et il va voir les Polonais. Vous n'auriez pas de la nourriture à vendre? On n'a plus rien dedans et il repasse dans l'autre sens avec des pommes de terre, un peu de pain, un petit paquet de graisse. C'est très risqué et parfois, il fait ça deux fois par jour.

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Les semaines passent les mois et le père de JO tombe malade et sa mère aussi. Et le gamin se retrouve avec la lourde responsabilité de nourrir toute sa famille. A 10 ans, il continue de temps en temps de passer sous les barbelés, mais c'est de plus en plus risqué. Les gamins se font tuer, alors il se débrouille. Il finit toujours par trouver un peu de lait de chèvre à 9 ou de.

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Mais surtout, maintenant, il travaille à ça, c'est une idée du juif qui dirige le ghetto rhumes COFCO et rendre les juifs du ghetto de l'auge indispensable aux Allemands. Et donc, il leur a proposé de travailler gratuitement en échange de nourriture. Et c'est comme ça. Kodjo, qui a maintenant 11 ans, se retrouve à faire de la gravure sur métal pour les Allemands. Le ghetto devient un gigantesque camp de travail. On les fabrique de tout. Des boutons, des insignes d'uniformes pour la Wehrmacht, des pièces d'artillerie, des bottes et même des robes.

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Mais à partir de là se met en place un autre plan tous ceux qui ne peuvent pas travailler. Les trop vieux, les trop jeunes, les malades doivent être déportés vers des camps.

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On est flou sur ce qu'ils vont devenir. On va les réinstaller dès lors, que va devenir le père de JO? Il est trop malade pour travailler. JO n'aura pas à se poser la question longtemps, car un matin, on retrouve le père mort dans son lit à l'âge de 38 ans. Cimetière de BALLU. Jau, qui récite Lokadi. Le voilà chef de famille. A 11 ans. En 1942, les Allemands se mettent à réclamer des juifs pour la déportation, pour la réinstallation toujours plus de Juifs.

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Il nous faut 20.000. Nous voulons tous ceux qui ne travaillent pas. Il nous faut famile. Jusqu'ici, JO a réussi à planquer son petit frère Henry, mais jusqu'à quand? Il a 9 ans et demi. Il est trop jeune pour travailler. Il doit donc être déporté en décembre 1942. Ses longues idoles et sa femme et ses trois enfants, qui sont les premiers de la famille à partir Jourova jusqu'à la gare. Pour leur dire au revoir, le tonton se penche à son oreille.

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Je sais pas où nous allons. Je ne sais pas si nous reviendrons, mais quelqu'un de notre famille doit rester en vie pour témoigner. Fait tout ce que tu peux toujours. Tout ce que tu peux.

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En juillet, les Allemands réclament tous les enfants de moins de dix ans et donc un jour, on vient chercher Henri ou le petit Rivaz Blatt.

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Je n'en sais rien. Ça fait des mois qu'il a disparu. C'est faux. On l'a vu aujourd'hui dans la cour de l'immeuble. On le trouvera. Et la fois d'après, il le trouve planqué dans la cave dans son livre Je vous raconte, ma mère a lavé Henri dans le baquet à lessive. Elle l'a habillé de ses beaux vêtements de Chabad. Ils se sont embrassés. Il y avait une charrette en bas avec d'autres petits enfants qui ne pleuraient pas.

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Je n'ai jamais revu mon frère. J'ai su, après la guerre qu'ils avaient abouti à Chełmno, à 70 km où ils avaient été gazés dans un camion sans conducteur.

[00:11:59]

Gadins, veille Kader. La maman de Theo meurt en août 1943, probablement d'un cancer, et Tejo se retrouve dans l'appartement familial sous la responsabilité de sa tante, avec son frère Jonathan et sa sœur Esther, trois enfants, programmée tous les trois pour partir à leur tour.

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Gagas Bayi degrade.

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Gadin Belgaïd.

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Partir de l'été 43. Le matin, on trouve des cadavres dans les rues, de l'auge d'oseille. De là, un peu plus chaque jour. On dirait des squelettes. Les gens crèvent de faim. Ils travaillent toujours autant, mais les rations baissent tous les jours. C'est la famine. Le matin du 11 août 44, je rentre chez lui avec quelques carottes et deux ou trois feuilles de chou. L'appartement est vide. Sa tente, sa petite sœur et son petit frère ont été arrêtés.

[00:13:08]

Il est tout seul. A 14 ans, il est tout seul, seul dans un ghetto qui se vide tous les jours. Et à un moment, je rejoins le point de rassemblement et il monte dans le train.

[00:13:32]

Quand la porte du train s'ouvre. Il est midi dehors, le ciel est bleu et ça s'agite. Oh! Saute du wagon, il va prendre son sac avec les photos de ses parents et de ses frères et soeurs qui l'ont emporté. C'est tout à l'intérieur. Vous viendrez les chercher plus tard. Bon, et là, des déportés en pyjama rayé viennent discrètement passer des messages. Vous êtes à Birkenau, c'est près là, Auschwitz, en Silésie. Quel âge?

[00:14:11]

J'ai 15 ans. Tu diras tant A17. Des miradors, des chiens à ce moment là, je pense que c'est un camp de regroupement pour les travailleurs. Il n'a aucune idée de ce qui l'attend et il se retrouve face à un SS, un officier avec une cravache à la main. Il saura plus tard que c'est Joseph Menguellet, le médecin chef du camp. Les gens défilent devant lui et du bout de sa cravache, il est à gauche pour la mort ou à droite pour le camp.

[00:14:48]

Les camps de jour passent devant lui. Il indique la droite. Ils vont se revoir tous les deux plus tard. Et d'Io avance dans le camp et il voit les grandes cheminées, il sent l'odeur de chair brûlée. Sans comprendre les barbelés, les gens derrière très maigre, et il retrouve un copain du ghetto de Lodz, MOSFET Mosher. Je suis content de te voir et ceux qui viennent d'arriver demandent. Vous savez comment je peux savoir où est ma femme?

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Elle s'appelle Fella et mon fils s'appelle Yankel. Ils sont arrivés il y a quelques semaines. C'est Moché qui lui explique en montrant des yeux La cheminée n'est pas bleu. Ils sont déjà là au.

[00:15:48]

JO est installé dans le bloc 4 du camp, eux et le lendemain, transférés au bloc 12. Le premier défi, c'est de manger. Pour survivre, il faut manger et manger plus que la ration quotidienne composée d'un ersatz de café le matin, d'une soupe ou flottent quelques légumes à midi et d'un morceau de pain et parfois d'un peu de larmes le soir, comme dans le ghetto. JO se bat tous les jours pour avoir double ration.

[00:16:19]

Et puis, il y a la pelle qui dure des heures dans le froid, accompagnée d'humiliations. Un jour, on lui demande de crier Non, les juifs, nous avons voulu la guerre plus fort. Non, les juifs, nous avons voulu la guerre, vous l'avez. Vous êtes content? Mais le grand défi pour JO, comme pour tous les déportés, c'est d'échapper aux sélections SS qui s'avancent dans le Bloc, qui dit. Toi, toi et toi.

[00:16:53]

Ne pas en faire partie, se faire tout petit. Devenir transparent. Quinze jours après son arrivée dans le camp, tous se retrouve avec les autres sur la place d'appel du camp, les SS ont placé une planche entre deux poteaux. Tout ce qu'il a franchi sans se baisser partiront pour la chambre à gaz. José, qui détromper? Même sur la pointe des pieds, il n'atteindra pas la planche. Un kapo lui dit attaché, va se cacher là bas, il lui désignant Phocée, une sorte d'égout puant d'où il reste planqué jusqu'à la nuit.

[00:17:38]

Dans les semaines qui suivent, plusieurs fois, il est sélectionné par les SS pour la chambre à gaz et à chaque fois, il réussit à s'enfuir. Et puis, un jour d'octobre, Joe ignore la date exacte. On les rassemble sur la place d'appel. Les SS sont là avec leurs chiens. L'officier a l'air ivre mort, parlant de sac. Cette fois, impossible de s'enfuir. Un garçon près de JO décide de jouer le tout pour le tout.

[00:18:08]

Il bondit vers la clôture des arbres. Il est abattu et les voilà partis, tous les autres vers le crématoire numéro 4. On les aligne dans la cour. DSRP Yavo Vineet. Et notez bien l'endroit où vous avez posé vos vêtements, vous allez prendre une douche. Pourquoi manque t il? Et là, dans une bousculade, les SS les poussent tous vers une petite porte.

[00:18:44]

Des enfants sanglote. D'autres disent la prière des morts. Jésus, qui est arrivé dans la cour parmi les premiers, rentre dans la chambre à gaz. Parmi les derniers, la porte étanche se referme et d'un coup, la lumière s'éteint. Douce a l'impression de commencer à suffoquer. Depuis qu'il est à Birkenau, on lui a dit Il faut respirer un grand coup pour mourir tout de suite. Mais comme tous les autres, il retient sa respiration. Et puis soudain, soudain, la porte s'ouvre.

[00:19:18]

Un homme hurle à l'extérieur et quelques secondes plus tard, JO se retrouve dans la cour avec une cinquantaine de déportés. Ce qui était le plus près de la porte? La porte qui maintenant se referme jour. Et tous ceux qui l'entourent viennent d'échapper à la chambre à gaz. Râblé, Yéro. Pourquoi? Pourquoi? Est ce que JO et les autres ont été épargnés? Il va le comprendre quelques jours plus tard. L'homme qui a hurlé à l'extérieur, c'était Joseph Menguellet.

[00:19:54]

La sélection s'était faite dans son dos. Or, il voulait superviser toutes les sélections et c'est pour cela qu'il a fait sortir 50 personnes pour faire acte d'autorité. On dit qu'il a giflé l'officier qui avait fait fi de son pouvoir. Sur les 53 déportés épargnés par Menguellet, la plupart seront gazés dans les jours qui suivent. Mais pas de JO, parce que dans les jours qui suivent, il parvient à se faire enrôler pour du travail à l'extérieur du camp.

[00:20:25]

Loin d'un Auschwitz, dans le nord de l'Allemagne, près d'Hambourg, il survivra jusqu'à l'arrivée des Américains. Et là, les Américains qui l'ont pris en affection, c'est un gamin de 15 ans tout de même? Lui demande. Qu'est ce que tu vas faire? Tu vas retourner en Pologne. Tu veux aller où? Tu peux venir en Amérique avec nous. Ouais, mais au même moment, d'Io rencontre deux Françaises, deux sœurs, Georgette et Madeleine, et elles aussi se prennent d'affection pour lui.

[00:21:09]

Viens avec nous. Viens, on rentre en France.

[00:21:25]

Et voilà comment Djo, le petit Polonais, arrive à Paris en mai 1945, à l'hôtel Lutétia, au milieu de tous les survivants. Il est adopté par des juifs polonais, Lech Kaczynski. Il apprend la couture. Il travaille. Il apprend le français, ce qui lui arrive de parler de ce qui s'est passé. Non? Qui le croit? Personne. Personne ne croirait que son histoire. Alors, il se tait. Et en 1948, il s'engage pour aller combattre en Israël.

[00:22:10]

Ses parents adoptifs essayent de le dissuader pour tuer le dernier match Blatt. Tu ne peux pas aller te faire tuer là bas.

[00:22:26]

Il y va pourtant et il se bat. Il est blessé deux fois et après vingt mois passés à faire la guerre en Israël, il rentre en France. Il se marie en France avec Rachel. Ils ont trois filles Claudine, Chantal et Nathalie. Et pendant 50 ans, il ne trouve pas les mots pour leur dire ce qu'il a vécu. D'abord, il y en a beaucoup parlé, mais nous, quand on a pris la peine de tester Comment t'as fait pour le solives, comment a sorti et il était mal dans notre peau quand on me posait des questions comme ça.

[00:23:07]

Beaucoup de gens ne voulaient plus rien dire pour comprenette parce qu'il se senti un peu coupable. Comment lui a survécu à sauver des vies? Bon, alors donc ça, c'était la première. Il en voulait pas. Et la seconde raison, c'était en voulait construire quelque chose. La vie, elle continuait. Donc on voulait construire. Donc on mettait tout quand il faut, construit pour fonder des foyers, fonder une famille. Moi, personnellement, proposer un projet, rien dit à mes petits enfants.

[00:23:41]

Ils savent tout. Pourquoi pas les enfants? Pourquoi avez vous noté une génération?

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Parce que c'était comme ça, parce que je veux dire quelque chose. Moi, personnellement, je suis malté. J'aime pas des gaspillages. Un exemple? J'aime pas qu'on les gaspille, même pour la nourriture. Je n'aime pas le gaspillage. Et mes enfants, quand ils mangent pas. J'ai dit faut pas faire ça à la longue, mais les enfants et répandez. Ah oui, je sais, tu dis oui, toi, t'es un total. Geneste n'a pas eu ça pour ça.

[00:24:08]

Comprenez, il y avait il y a 20 ans, voulait pas le dire. Et la raison était là parce que nos enfants nous disaient T'as fait ça Palisades? Et ça continue comme ça. Donc on voulait pas parler. Des centaines d'histoires disponibles sur vos plateformes d'écoute et sur Europe1.fr.