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Écoutez RMC. Les clubs français très vite travaille t il moins ou moins bien que nos voisins étrangers espagnols, italiens, allemand, anglais, par exemple? On poursuit le débat, messieurs, et on va entrer dans le vif du sujet avec des exemples, des exemples concrets, notamment du travail à l'entraînement avant de rentrer pareil état de manquements. Juste pour terminer sur Maxime L'obèse, donc, on mettait, on parlait avant la pub du comportement des joueurs. Un problème dépasser le cadre du foot.

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Il faut aussi dire que de l'autre côté du côté, justement, de la manière dont les clubs travaillent dans la manière, de la manière dont les clubs recrutent. Je pense que les clubs en Italie notamment ça ce qui a été chercher. Maxime L'obèse travaille mieux que 90% des clubs français dans la mesure où, quand le club va chercher Máximo, il voit bien qu'il est en situation d'échec à Marseille. Il ne joue pas, mais c'est un joueur qui a beaucoup de qualités.

[00:00:48]

Je sais que en France, on aime bien se moquer de lui parce qu'il y a eu des rumeurs un peu folle, qu'il envoyait au Barça, etc. Mais ça reste un bon joueur qui a du ballon et qui a certaines qualités. Moi, ce que je sais, c'est que quand il arrive à Sassuolo, l'entraineur, il a vu quasiment tous ces matchs. Il sait exactement où et comment il va le faire jouer avec qui. Avec Locatelli, cetteprovince.

[00:01:05]

Cette conversation voit sa petiteau on entre deux arbitres, un de ses anciens joueurs ou lui dit T'en penses quoi de Maxime L'obèse? Bah, ça serait pour le faire jouer en double pivot avec Locatelli, c'est à dire qu'il avait déjà une idée très claire de l'utilisation des joueurs. Et ça, je doute qu'en France, on ait cette même rigueur dans le choix des joueurs et cette même ouverture d'esprit d'aller chercher un joueur en situation d'échec et qui soit pas forcément le joueur physiquement pressé, comme ce qu'on disait.

[00:01:28]

C'est sûr que ça travaille différemment, tout simplement. C'est tout. Mais il y a des clubs, il y a des clubs en France qui travaillent bien et pour aller à tous, Kevin Amélioreraient qui ne sont pas des cités et on lui compter sur les doigts d'une main. Il faut bosser, il faut bosser quand ils sont rares à Lille et kempo, tard d'un match avec Nîmes, qui est un petit club et qui essaie de bien recruter. On l'a dit, Brasidas, Dall'Oglio, Tata.

[00:01:51]

Franchement, à Lorient, il essaye de faire des bonnes choses. Il a un bon entraîneur, il aurait quand même Pélissié les gars. On a un invité qui nous attend. Y'a des clubs lance c'est pas mal avt qui nous attend. Un attaquant franco angolais de La Spezia en série a promu en seria 5 matchs cette saison 2 buts. Balanes, Zola est avec nous. Salut, malaret!

[00:02:12]

Bien. Et tout va bon à jouer aujourd'hui contre l'Atalanta.

[00:02:20]

Très bien. Bon, vous avez fait match nul contre l'Atalanta 0 0, 13e place en séries pour un promu. Pour l'instant, tout va bien. Ça va?

[00:02:30]

Oui, on est content. Alors avant de rentrer dans le débat qu'on mène avec Fred Piquionne, Kevin Diaz et Jonatan, MacCarthy raconte son parcours.

[00:02:45]

Toi, tu étais formé en France à 3 ha ha!

[00:02:50]

Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Et après, en Italie, donc en amont.

[00:03:13]

Et c'est là qu'on leur a Codou parce qu'on parlait justement du changement de pays quand on est un footballeur. On passe de la France à l'étranger. Est ce que tu considères que quand tu quittes ton pays et que tu vas à l'étranger, tu es beaucoup plus, comme on dit? Focus concentré sur ce que tu fais au quotidien.

[00:03:32]

Pour ma part, je me disais quand et comment. Comment travailler autrement? Comment travaille beaucoup tactiquement? Comment, selon les cas? Comment? Voilà pour l'entraînement de beaucoup de réduit sur les palettes de l'euro à Cotonou.

[00:04:07]

C'est quoi le commence contre 0? Parce qu'il faut être extrêmement clair. Des gens qui nous écoutent savent pas ce que c'est.

[00:04:11]

Moi, je dis aux joueurs et qu'on crée des actions du gardien créées dans des circuits préférentiels en montant de l'arrière droit à l'attaque en profondeur peut varier.

[00:04:30]

Des mouvements sapprêtent. C'est des choses que tu as fait en France, où Gourcuff le 11 0 est la tactique de Christian Gourcuff le 4-4-2 à plat avec des plots situés à certains endroits. Et lorsque le ballon est dans tel côté, il y avait des déplacements à faire précis, tout simplement. Après, pour faire ça, il y a deux types d'entraîneurs en France. En France, il y a les entraîneurs qui, même sans citer de noms dont le sélectionneur par exemple, aiment avoir une assise défensive très solide et ensuite, laissent toute quasiment totale liberté aux attaquants et aux joueurs offensifs pour créer, pour se déplacer, voire même pour changer de position.

[00:05:07]

Y'a pas de souci, mais ça, pour ça, il faut avoir de la qualité individuelle. Et ensuite, avec les entraîneurs comme Gourcuff, comme Denoueix à Nantes. Bielsa qui aime bien les Hollandais aussi, et qui aime bien avoir des circuits préférentiels qui ont 3, 4, 5 schémas. Voilà le latéral qui va trouver l'avant centre pour une remise sur le numéro 10 qui lui va remettre pour l'ailier droit trois des circuits qui sont préférentiels. 1, 2, 3.

[00:05:30]

Quand l'équipe est en difficulté ou quand l'équipe est très à l'aise, tu sais que s'il y a des trucs sur lesquels tu vas retomber dans les combinaisons qui sont déjà presque préétablies, alors ça peut être. Il peut y avoir des changements. Je pense que c'est de ça que parler Mballa. Donc, le 11 contre 0, ça permet de travailler sans adversité pour justement bien rodé. Je sais que moi, quand mon latéral va monter avec le ballon autant qu'il faut que je fasse tel déplacement pour aider mon équipe, mon milieu de terrain, se libérer un ballon un peu plus large que tu sans toi.

[00:05:54]

Un niveau d'exigence plus élevé depuis que t'es arrivé en Italie ou pas, par rapport à ce que tu a connu en France, même chez les jeunes.

[00:06:02]

Travaille beaucoup plus uniquement parce qu'on entendait ce qu'il disait à l'heure.

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Parfois, on travaille un exercice pendant 45 minutes, une heure, le même exercice sur un plan, ça, ça n'arrive jamais en France.

[00:06:20]

Vraiment, on arrive en France en un an parce que Bielsa l'a fait. Bielsa le faisait pendant une heure et demie. C'est vraiment ça que je suis bloqué. Je vous lâche pas pendant une heure et. Les joueurs n'ont jamais connu ça. Mais en fait, on finit épuisé. N'en pouvais plus. D'ailleurs, je vous explique pourquoi. Parce que en France, après, on a des séances qui sont type et qui sont plutôt bien formés. C'est à dire que bon, aujourd'hui, la Fédération demande de faire un jeu sans relation en train.

[00:06:45]

C'est une situation, un exercice et tu finis par un jeu. Et la trame de la séance en France, elle est souvent là dessus. Après, il y a des entraîneurs qui peuvent devenir un peu. Mais si t'as un entraîneur vraiment dogmatique, comme c'est peut être pour désherber, comme disait Max l'obèse, comme Bielsa, comme Guardiola, comme Gourcuff, peut être comme Gourcuff, le gars a décidé dans sa séance de travail la sortie de balle tant que son équipe, elle a pas fait ce qu'il voulait.

[00:07:08]

Tu peux y rester pendant deux heures sur le même exercice. Quel genre de joueur dogmatique, ça arrive. Bon niveau d'anglais juste. C'est juste une question de deux instant, je dois dire. Ça me semble logique comme ça. Bientôt que les villes, après les Français vont te dire Oumy, non. Aujourd'hui, on est content. Attention, en France, la préparation physique est très poussée et les préparateurs physiques ont beaucoup d'importance, voire à mes goûts.

[00:07:32]

Trop d'importance. Et le préparateur physique en France? La grosse différence, il va te dire oui, mais attention. Parce que là, la charge de travail, on est sur 12h déjà. Ils ont fait beaucoup d'efforts. Le latéral et l'ailier ont fait beaucoup de sprint. Attention à l'éventuelle blessure du toit, mais ça, ça n'existe pas. Mais la réalité est passée. Mais quand dans ce que tu dis, ce que tu racontes, Kevin, qui a beaucoup plus d'intérêt à travailler comme nous, lui ou les petits Cappello, comme expliqué par thème, qui a passé une heure sur le même thème et bien verrouillé.

[00:08:00]

Ça, plutôt que de faire respecter un canevas qui me semble du bon Mballa. Une petite question ado par rapport à ce qu'on disait chez Nikos, j'ai pas vraiment compris, répond il vraiment. Peut être que la question était mal mal formulée, mais Escom, comment? Dans quel état d'esprit? Quand tu pas? Quand tu quittes la France? Quand tu crois que tu arrives au Portugal? Est ce que tu te dis est ce que ton état d'esprit a changé, que tu t'es dit peut être là?

[00:08:27]

Mais non. Faut vraiment que je mette au travail parce que je suis à l'étranger. Je n'ai plus mes repères. Toi, comment appréhender le changement de pays?

[00:08:34]

Empattements, mon changement d'état d'esprit quand les parce au Portugal, je n'étais pas proposé à un moment où je me disais je fais plus, je me voyais pas comme moi, je le voyais pas loin. Le club, l'environnement, tout ça n'a pas atteint le plus haut niveau. Au Portugal aussi.

[00:08:54]

Une fois arrivé là, vraiment plus intéressant, tu te disais pas comment ça a 3, tu te disais pas à trois n'était pas assez mature.

[00:09:10]

Ha ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! C'est intéressant.

[00:09:16]

Quand est ce que tu penses que tu aurais pu si TB était resté à 3, étant un peu plus sérieux? Est ce que tu penses que tu aurais pu faire carrière en Ligue1 ou est ce que tu penses que, justement, d'aller à l'étranger, ça a mis un coup de pied au cul parce que tu étais peut être immature, justement en restant en France et que tu serais pas un nouvel arrivant?

[00:09:31]

Les palais lambel déchanger. En fait, il n'était plus le même joueur qu'en France. Il n'avait pas la même motivation.

[00:09:38]

Tout a changé en France tu maintenant et ne pense pas ce que tu peux dire pour finir que c'est le fait de t'avoir, de t'avoir mis en difficulté et aussi de te dire peut être que 6 dirigée par Ici, en France, au Portugal, c'était compliqué. Si j'arrive pas en Italie, ça se trouve que j'y arriverai pas.

[00:09:59]

Je me suis jamais montre montre aux gens que tu sais plus pour défendre les palais. Merci beaucoup.

[00:10:10]

C'est intéressant, ton témoignage, le petit attaquant de La Spezia. C'est une belle histoire, continue un hublet la semaine dernière, avant la trêve internationale. Trouver des vannes, toujours rien essayer maintenant.

[00:10:23]

Et au dessus, on n'a pas le temps dans l'instant. La semaine dernière, justement, avec Yann Crochet, notre spécialiste seria.

[00:10:30]

Merci beaucoup. Mais bon, je vais Hakizimana, Marco. 32. C'est ce qui nous a appelé sur ce thème là. Marco, bonsoir et bienvenue dans le monde.

[00:10:40]

À croire que vous avez bien indiqué Winckel alors à coup de milliards, ça serait plus, en tout cas d'avoir Kevin et Jonathan. Parce que je ne veux pas parler d'un truc un petit peu le avant de faire Aventin. Dans les deux cas, il y a des enfers. Quand on parle de Marcelo Bielsa, de on parle de l'enfer. En fait, les joueurs peuvent avoir une identité à suivre. En France, on n'a pas des problèmes pour en parler.

[00:11:11]

J'ai trop connu. Après, j'ai travaillé à l'OM. Les Coptes jouent le jeu à la nantaise. Bien sûr, Coco Suaudeau joue vraiment Wingles. On parlait de joueurs qui travaillaient pas que je sache regarder comme après la Real Sociedad. Il a fait une équipe, Mátyás, qui était liquette. Ils vont faire jouer la Ligue des champions, arrêter après le Réal au Bernabéu, McShane et Galactique, peu importe le club de Liga. Quand vous avez parlé de Lorient, qui?

[00:11:44]

Mehdi Karoubi, mais rien changé. Dire que le seul bon exemple en Liga actuellement, quand on voit Dall'Oglio, il y a une identité de jeu. Les joueurs, il y a une grande affection. On l'a eu cet été.

[00:11:57]

Je ne sais pas si tu avais écouté au moment où il arrivait à Brest, il nous expliquait quel était son projet de jeu et justement, sa philosophie de jeu. Il nous avait donné une réponse très claire et c'est très rare, sans raison. Les entraîneurs en France qui, quand tu leur demande quelle est votre philosophie de jeu et votre vision du jeu, ils sont très rares. On ne peut plus compter sur les doigts d'une main. Moi, j'ai encensé Christophe Galtier installeur.

[00:12:15]

Mais Christophe Galtier est un pragmatique. C'est pas quelqu'un qui a vraiment une philosophie de jeu. Mais attention, je suis complètement d'accord avec Nicolas et Isabelle. Tu me connais, j'ai joué huit ans aux Pays-Bas. Je sais ce que tu veux dire pour les Pays-Bas, mais attention en France, comme disait Fred. On travaille beaucoup. Tu sors de la séance, traduisirent la Française des saignants. On travaille bien, mais on travaille bien, on travaille différemment, expliqué Laurent Wauquiez.

[00:12:43]

Après seraient devenus un canal de la séance. Je te l'ai expliqué, c'est à dire qu'en France, on insiste beaucoup sur l'aspect physique. Il faut que le jour soit prête physiquement. Il faut que je n'est pas juste un Marco. Il faut que le mec et la dalle. Il faut que les mecs et l'état d'esprit. Mais comment ça se traduit sur le terrain quand l'équipe est en difficulté? Moi, je vais te parler de ce que j'ai connu aux Pays-Bas.

[00:13:03]

T'as parlé des Pays-Bas. Aujourd'hui, je vais te dire ils n'ont pas tous la qualité. Mais aujourd'hui, quasiment tous les entraîneurs néerlandais essayent de mettre en place le jeu qui mettait en place Cruyff et Rinus Michels dans les années 70. Évoluer avec les qualités d'aujourd'hui. Mais comme tu dis, c'est une trame, le Barça. Partir de derrière et écarter les centraux existe ensuite le dimanche matin, en vétérante, tu le vois, c'est à dire que les gens, c'est dans leur ADN footballistique.

[00:13:30]

Donc ça, on peut pas le comparer. Mais pour ça, pourquoi? Parce que nous, en France, on insiste beaucoup sur les Jeux, les Jeux, Banide, le fractionné, le physique, le travail intégré, le travail dissocié. Il y a plein de mots savants pour que le joueur soit prêt la musculation. Mais en France, on ne fait pas de travail technique enseignant. En France, on part du principe que le contrôle passe, que l'orientation du corps.

[00:13:52]

Tout doit être acquis, mais ça ne l'est pas. Et on le voit ici au Barça. Tu fais des toros, tu fais des carrés, tu fais des trucs, contrôles, passes du droit du gauche jusqu'à n'importe quel âge. C'est parce que je pense que en France, sur ça, on se trompe. Un joueur professionnel peut progresser techniquement et on le voit dans les meilleurs championnats en ligue à Moscou.

[00:14:10]

Et après, il va bloquer le problème, surtout hors de la fédération. Mais quand tu parles de philosophie, de jeu, etc. Je me demande comment il a pu avoir la moindre carte mémoire. Comment se fait qu'en France, on ne trouve pas la porte sur les diplômes d'entraîneur à des gens qui ne viennent pas du milieu Billotte? La même formation qui n'apporte pas d'idées novatrices, qui n'ont aucun avis sur le fait que la vie, c'est que le jeu, c'est le résultat.

[00:14:51]

Mais le résultat, justement, assez. Excusez moi, mais la Thaïlande, la Thaïlande, Lyon, y'a pas que Lyon, la Thaïlande, tant mieux. Mais ça ne sert à rien de totalement la formation des entraîneurs, des joueurs. Ca n'a jamais fonctionné. Regardez et regardez. La France avait une équipe, joue 84 Lorho et 82 que l'entraîneur a suivi la Corée. C'est marrant parce que quand on parle de leur concours, pas comme par hasard, ils partent à l'étranger en trois mois d'adaptation.

[00:15:38]

Par ailleurs, il y a beaucoup déchets français à l'étranger qui ont marqué.

[00:15:43]

Marco, je te remercie, Marco. Attention, Marco a 19 ans. Discos d'une maturité étonnante. En plus, c'est par une très belle vie. Marco Moi, je voulais juste. Marco a totalement raison et je pense que sur, quand tu as parler, quand tu a parlé. Moi, je trouve qu'il a totalement raison. Quant à parler de philosophie de jeu, je pense qu'au bout d'un moment, j'en j'entends tout ce que je faisais. Kevin, Canfranc, son travail.

[00:16:04]

J'entends ce que tu dis, Fred aussi, mais je pense qu'au bout d'un moment, il faut se rendre compte d'une chose. C'est que Marco disait Il n'y a pas que les résultats. Ben oui, mais hier, comme les résultats, c'est ce qui permet de jauger. Et quand on voit les résultats de nos équipes en Coupe d'Europe, on est ridicule. Et à un moment, je pense que la France doit faire sa révolution, sa révolution philosophique en termes de philosophie qui regarde.

[00:16:21]

Bin regarde. En Italie, cette révolution a eu lieu tous les entraîneurs dont on vante les mérites de Zarbi, etc. Il y a eu une génération d'entraîneurs complète. Il n'y a pas deux arbitres, deux arbitres. C'est la même figure de proue, mais il n'y a plus de jeunes crochet nous en parler. Une dizaine dans des services mi qui sont catégorisés d'un petit entraîneur. Voilà la nouvelle passe d'entraîneurs qui sont très compétents. Et c'est la raison.

[00:16:42]

Sinon, tu marches des gars, des gars, des gars. Les gars, les gars. Les gars, je dis merci à Marco. Maintenant, tu nous rappelle vraiment Marco. Très pertinente. Ça va très vite dans Ajusteurs. Marco 10 go Kevin. Et après Fred, il va parler aussi. Qui doit redorer le blason du football français? Quand même. Mais moi, je ne veux pas redorer. Justement parce que j'allais dire à Jonatan où il a raison sur le fond, mais sur la forme, je vais te répondre ce que va te répondre.

[00:17:06]

5 75% des fans de foot en France et surtout 99,9 de tous les gens qui travaillent à la fédération. Ils vont te répondre une chose deux étoiles, monsieur les hôteliers. Eux, ça suffit. L'arbre qui cache la grande forêt parce que des joueurs étrangers on avec deux. Ou bien il les passeports, OK, mais pour aller manger des légumes frais dans un instant et Yohann Kroger sera avec nous pour nous éclairer également sur le travail en.