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RMC Info. Gilbert Brideau à réduire le record mondial? Pas totalement à. On lui reproche de ne pas avoir encore. C'était Diego Maradona Cleaver face aux Anglais. Celui qui célèbre. Vous avez déjà entendu Maradona est mort aujourd'hui à l'âge de 60 ans. Bien sûr, on va en parler longuement ce soir avec Daniel Riolo qui est là, mais jamais comme ce soir. Salut Daniel, les amis. Jérôme Rothen a également salué Robbe ou Saint-Lucien, bien sûr, salue M.

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Divergeons. Sorte? Alors, on va avoir pas mal d'invités ce soir. D'ici minuit, on aura Nestor Fabbri et tout à l'heure avec nous, il a joué une Coupe du monde avec Diego Maradona. C'était un vrai sport favori, exactement. Joueur de l'ancien joueur de Nantes Garamba Mauro Cetto. Hydrocution en Argentine et donc, évidemment, c'est plus intéressant d'aller voir ce qui se passe en Argentine ce soir. Concernant Maradona qu'ailleurs, on en parlera longuement avec vous.

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32H également, n'hésitez pas à nous appeler pour parler de Maradona sur le hashtag Grèbes studio sur le compte Instagram de l'acteur. Et puis la Ligue des champions, bien sûr. Là aussi, on en parlera longuement. Le Web? Pathétique ce soir, dans quelques instants au programme de La Horde, en regardant les drôles de dames pour parler à la fois de Ligue des champions et de Maradona. Bref, parle un peu mixers. Vous l'avez compris ce soir, notre acheteur entre cette actu très triste pour nous tous.

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Parce que Daniel Maradona, c'était un peu notre Graal, quoi, cette génération, c'est notre football. Un peu culte. C'est le mec qu'on aurait adoré avoir un jour dans l'aventure avec nous.

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C'est une sorte de symbole de ce qu'on a toujours défendu comme valeur dans la star depuis sa création. Ce qui m'a motivé au départ, c'était que c'était plus qu'un sport, le foot, et qu'on l'aime. Parce que ça n'est pas que ce mecs sur un terrain, que c'est des histoires d'hommes. C'est ce qu'on appelle par un terme synthétique la culture foot et c'est ce qui nous a toujours animés. C'est forcément une forme de nostalgie parce que tout supporteur et nostalgique avant d'être journaliste, on a été supporters, on a vibré avec les matchs de cette génération là parce qu'on a grandi dans les années 80.

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Et ce football là, je sais qu'il a été marquant. Et oui, c'est toute une époque qui s'en va ce soir et c'était un joueur à nous. Oui, c'est un joueur à nous parce qu'il incarnait la culture foot un peu tout à l'heure, j'étais sur le plateau avec un gars de So Foot Champion's Zone et c'est vrai que c'est un gars eux aussi. À tous ceux qui aiment le foot plus que pour 90 minutes sur un terrain et pour tout ce qu'il y a autour.

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Toutes ces histoires, les hommes qui sont des personnages de romans, des héros populaires et Maradona l'est complètement. Et donc, effectivement, on rêvait de la mort de l'histoire, mais c'était 400.000 dollars. L'interview était au tout début de la des neiges, comme celle au début de l'acteur. C'était fait défi ensemble. Là où leur but ultime, c'est qu'on est Maradona dans la star. Et quand vous avez appris le prix? Maintenant, on en fait négocier, mais on n'a même pas tenté d'en arriver.

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Donc faire venir René Girard. On savait pas que c'était payant. C'est le genre de truc, le rêve. Donc tu le dis. Mais en fait, on n'a même pas essayé de l'avoir. J'ai 100 000 euros ces deux mois de salaire de Jérôme Rothen ici, 100 000 000. Là, on aurait pu le faire. Il est parti trop tôt. On aurait pu le faire maintenant. Mais blague à part, c'est vrai que Daniel a résumé.

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Mais si je voulais rebondir là dessus parce qu'on a fait l'émission tout à l'heure. Pareil sur le foot dédié à Diego Armando Maradona, mais c'est vrai que c'est. C'est faux. On s'attendait plus ou on s'attendait, on s'attend jamais à perdre. On savait qu'il n'était pas bien, mais il était ça depuis des années qu'il n'était pas bien. À chaque fois, il reste lucide. Par moments, tu t'es attendais, tu dis ça vite, mais m'étais jamais préparé à ça.

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Et c'est vrai que c'est un coup de un coup de massue parce que on a tous été plus ou moins proche de lui. Surtout quand est amoureux du foot. Moi, il m'a donné envie de jouer au foot. C'est la génération Platini. Maradona, pour moi, j'ai été élevé comme ça avec eux. Avec ces deux joueurs là, j'ai deux maillots. C'était le maillot de l'Argentine numéro 10 et le maillot de Platini sur le même pied que jouait.

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On jouait avec en plus le fait d'être gaucher. Platini aurait dit un jour ce que fait Zidane avec un ballon Roten, c'est pas. Mais ce qui est sûr, c'est que oui, il a toujours eu des phrases comme ça qui ont marqué. De toute façon, c'est là qu'on fait. Il faut quand même réduire le mot légende qu'on met souvent en avant. C'est une légende, c'est une légende. C'est vrai que c'est lui qui, par contre, est une légende, une grande légende.

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Ce n'est pas une vraie ou une fausse, mais c'est une grande légende. Après, c'est toujours pareil. Chacun a son petit panthéon perso avec leur du miroir. Il n'y a pas lieu de mettre en évidence. En tout cas, chacun a son panthéon perso. C'est toujours agréable, mais on ne va pas se mentir. C'est à dire que si, du fait de votre numéro à vous, chacun y soit, on tombera à peu près sur les sur moi même, on a son panthéon perso avec les mecs.

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Le gars qui est supporteur, il a les gars de son club d'Afek par rapport à son nom. Mais je te parle de porter en personne le maillot du SCO. Le joueur, il est d'abord toujours dans leurs origines clubs. Toi, le mec, éventuellement de ton pays. Mais c'est normal que l'affect soit des bien qui se rendait encore en perdant. Et tel joueur doit. Mais au delà de ça, tu as les mecs qui transcendent. Et lui?

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Non seulement il transcende le foot, les équipes, les nations, tout. Et il va même au delà. Parce que pour moi, comme je l'ai répété toute la journée partout sur BFM, toutes les émissions qu'on a fait avec moi. Mais Dalie, il est l'autre sportif qui a transcendé son sport, qui a été au delà d'un sportif qui a fait qu'a été, comment dire? Politique, religieux, social, qui a parlé aux gens a été un héros populaire qui a été plus que son sport, et les deux d'ailleurs ont eu des problèmes dans leur vie, ont construit leur vie autrement.

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On était venu lui aussi construire sa vie. L'objet culte? Ils sont tombés, ils ont été au sommet, ils sont tombés. On les a détestés, on les a admirés parce que Maradona, pas tout le temps. Il était admiré. Mohamed Ali n'a pas été admis à un moment à des gens qui le critiquent en Angleterre. En effet, les émissions spéciales sont Maradona, ce soir là a une couleur. Attention à la réaction de linebacker. Il y a beaucoup de gens dedans, mais ils ont une histoire commune l'Angleterre par commune, quelque part avec lui dans la légende foot l'Angleterre.

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Mais mine de rien, dans la légende du foot. Pas que pour Maradona, puisqu'ils ont leur histoire à eux. Mais mine de rien, le fameux grand match, c'était eux. Donc oui, Maradona va au delà de tout ça. Et harragas, moi et moi, je parle d'un mec que j'ai détesté adolescent parce que j'aimais tellement Platini. Je l'ai racontée mille fois, celle que je n'aimais pas Maradona, parce que pour moi, il était là, la face obscure.

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C'était le gars qui était capable de faire des trucs dégueulasses. C'était lui et la légende, je l'ai. Je l'ai compris plus tard. Je l'ai compris d'abord en tournant la tête parce que je ne voulais pas revenir sur ce que je disais tout. Et puis, après 90 ans plus, vu ce qui fait contre l'Italie, ça me fait encore plus mal. Mais la légende, elle était, elle est là, elle est implacable et au bout d'un moment, elle s'impose à tout le monde.

[00:07:35]

Alors évidemment, ce soir, les hommages pleuvent de partout. On va en reparler d'ici, disciplinée, avec des invités. Je l'ai dit.