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[00:00:01]

Oui, mais oui, oui au courrier ou quoi carrelage, c'est devenu Cruikshank Hopscotch. A quoi vivre l'expérience de Berdugo s'il n'y a pas Escape? Oui, enfin du tout. Blêmes de Black Flag en noir en pleine classe Lakshmi Feathers. Votre pedigrees? Oui, facheux coréen Tombelaine, Les d'amour à coiffait, Tarawih, RMC, Torfou.

[00:00:31]

Gilbert bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla. C'était Diego Maradona Cleaver face aux Anglais, lui, le célèbre que vous avez déjà entendu dans l'affaire Maradona, est mort aujourd'hui à l'âge de 60 ans. Bien sûr, on va en parler longuement ce soir avec Daniel Riolo qui est là, mais jamais comme ce soir. Salut Daniel, les amis. Jérôme Rothen a également salué Robe ou Saint-Lucien. Bien sûr, Saliou M.

[00:01:26]

Divergeons, sorte. Alors, on va avoir pas mal d'invités ce soir. D'ici minuit, on aura Nestor Fabbri et tout à l'heure avec nous, il a joué une Coupe du monde avec Diego Maradona. C'était un vrai sport favori, exactement. L'ancien joueur de Nantes André Garamba, Mauro Cetto, hydrocution en Argentine et évidemment, c'est plus intéressant d'aller voir ce qui se passe en Argentine ce soir. Concernant Maradona qu'ailleurs, on en parlera longuement avec vous 32m également.

[00:01:50]

N'hésitez pas à nous appeler pour parler de Maradona sur le hashtag Grèbes studio sur le compte Instagram de l'acteur. Et puis la Ligue des champions, bien sûr. Là aussi, on en parlera longuement. Le Web? Pathétique. Ce soir, dans quelques instants, au de l'intérieur donnera également les drôles de dames pour parler à la fois de Ligue des champions et de Maradona. Bref, parle un peu mixers. Vous l'avez compris ce soir, notre acteurs, entre cette actu très triste pour nous tous dans lacheteur.

[00:02:13]

Parce que Maradona, c'était un peu notre Graal, quoi, cette génération, c'est notre football. Un peu culte. C'est le qu'on aurait adoré avoir un jour dans l'aventure avec nous.

[00:02:23]

C'est une sorte de symbole de ce qu'on a toujours défendu comme valeur dans la star depuis sa création. Ce qui m'a motivé au départ, c'était que c'était plus qu'un sport, le foot, et qu'on l'aime parce que ça n'est pas que 11 mecs sur un terrain, que c'est des histoires d'hommes. C'est ce qu'on appelle par un terme synthétique la culture foot et c'est ce qui nous a toujours animés. C'est forcément une forme de nostalgie parce que tout supporteur et nostalgique avant d'être journaliste, on a été supporters.

[00:02:50]

On a vibré avec les matchs de cette génération là parce qu'on a grandi dans les années 80. Et ce football là, Dieu sait qu'il a été marquant. Et oui, c'est toute une époque qui s'en va ce soir et c'était un joueur à nous. Oui, c'est un joueur à nous parce qu'il incarnait la culture foot un peu tout à l'heure, j'étais sur le plateau avec un gars de So Foot Championne Zone et c'est vrai que c'est un gars eux aussi.

[00:03:13]

A tous ceux qui aiment le foot plus que pour 90 minutes sur un terrain et pour tout ce qu'il y a autour. Toutes ces histoires, les hommes qui sont des personnages de romans, des héros populaires et Maradona l'est complètement. Et donc, effectivement, on rêvait de la mort, de la forme, mais c'était 400.000 dollars. L'interview était au tout début de la décennie, comme celle des débuts de l'acteur. C'était le défi ensemble. Leur but ultime, c'est qu'on est Maradona dans la.

[00:03:42]

Et quand vous avez appris le prix. Maintenant, qu'en fait, on en fait un résultat négocié. Mais on n'a même pas tenté. Aurait à faire venir René Girard. On savait pas que c'était payant, mais c'est le genre de truc. Oui, oui, c'est vrai que tu le dis, mais en fait, on n'a même pas essayé de l'avoir. Je m'inscris! Ces deux mois de salaire de gens Bretagne ici 100 000 000. Là, on aurait pu le faire.

[00:04:07]

Il est parti trop tôt. On aurait pu le faire maintenant. Mais blague à part, c'est vrai que Daniel a résumé. Mais si je voulais rebondir là dessus parce qu'on a fait l'émission tout à l'heure. Pareil sur le foot dédié à Diego Armando Maradona. Mais c'est vrai que c'est. C'est faux. On s'attendait plus ou on s'attendait, on s'attend jamais à perdre. On savait qu'il n'était pas bien, mais il était depuis des années qu'il n'était pas bien.

[00:04:33]

À chaque fois, il reste lucide. Par moments, tu t'es attendais, tu dis ça vite, mais m'étais jamais préparé à ça. Et c'est vrai que c'est un coup, un coup de massue parce que on a tous été plus ou moins proche de lui. Surtout quand tu es amoureux du foot. Moi, il m'a donné envie de jouer au foot. C'est la génération Platini. Maradona, pour moi, j'ai été élevé comme ça avec eux. Avec ces deux joueurs là, j'avais deux maillots.

[00:04:57]

C'était le maillot de l'Argentine numéro 10 et le maillot de Platini sur le même pied que je. On joue avec en plus le fait d'être gaucher. Platini aurait dit un jour ce que fait Zidane avec un ballon roten le fait qu'ils n'auront pas. Mais ce qui est sûr, c'est que oui, il a toujours eu des phrases comme ça qui ont marqué. De toute façon, c'est là qu'on fait. Il faut quand même réduire le mot légende qu'on met souvent en avant.

[00:05:25]

C'est une légende, c'est une légende. C'est vrai que c'est lui. Et lui, par contre, est une légende, une grande légende. Pas. Ce n'est pas une vraie ou une fausse, mais c'est une grande légende. Après, c'est toujours pareil. Chacun a son petit panthéon perso. Avec Lors du miroir, il y a 30 ans, il allait mettre en évidence. En tout cas, chacun son panthéon perso. C'est toujours agréable, mais on ne va pas se mentir.

[00:05:46]

C'est à dire que si tu de votre numéro à vous, chacun y soit, on tombera à peu près sur les meilleurs, sur moi même.

[00:05:53]

Jouer à son panthéon perso avec les mecs. Le gars qui est supporteur, il a les gars de son club d'Afek par rapport à son Je te parle de porter en personne le maillot du SCO sur le joueur, il est d'abord toujours dans leur origine club, toi, le mec, éventuellement de ton pays, mais c'est normal que l'affect soit débloqué, bien qu'il se rendait encore heureux en perdant et tel qu'il doit assumer. Au delà de ça, tu as les mecs qui transcendent.

[00:06:18]

Et lui. Non seulement il transcende le foot, les équipes, les nations, tous, et il va même au delà. Parce que pour moi, comme je l'ai répété toute la journée partout sur BFM, toutes les émissions qu'on a fait avec moi. Mais Dally, il est l'autre sportif qui a transcendé son sport, qui a été au delà d'un sportif qui a fait ca a été comment dire? Politique, religieux, social, qui a parlé aux gens a été un héros populaire qui a été plus que son sport, et les deux d'ailleurs ont eu des problèmes dans leur vie et ont construit leur vie autrement.

[00:06:53]

On était en lui aussi, sa vie, l'objet culte. Ils sont tombés. Ils ont été au sommet. Ils sont tombés. On les a détestés. On les a admirés parce que Maradona, pas tout le temps, et ils étaient admirés. Mohamed Ali n'a pas été admis à un moment à des gens qui l'equity en Angleterre. En effet, les émissions spéciales sur aragonaises ce soir là, attention à la réaction de linebacker. Il y a beaucoup de gens dedans, mais ils ont une histoire commune l'Angleterre par commune, quelque part avec lui dans la légende.

[00:07:21]

Toute l'Angleterre. Mine de rien dans la légende du foot. Pas que pour Maradona, parce qu'ils ont leur histoire à eux. Mais mine de rien, le fameux grand match, c'était eux. Donc oui, Maradona va au delà de tout ça. Et moi et moi, je parle d'un mec que j'ai détesté adolescent parce que j'aimais tellement Platini. Je l'ai racontée mille fois. C'est que je n'aimais pas Maradona parce que pour moi, il était là, la face obscure.

[00:07:44]

C'était le gars qui était capable de faire des trucs dégueulasses. C'était lui et la légende, je l'ai. Je l'ai compris plus tard. Je l'ai compris d'abord en tournant la tête parce que je ne voulais pas revenir sur ce que je disais tout. Et puis, après 90 ans plus, vu ce qui fait contre l'Italie, ça me fait encore plus mal. Mais la légende, elle est là, elle est implacable et au bout d'un moment, elle s'impose à tout le monde.

[00:08:05]

Alors évidemment, ce soir, les hommages pleuvent de partout. On va en reparler d'ici, disciplinée, avec des invités. Je l'ai dit, mais bon, il y a quand même des matchs à commenter ce soir et un club français qui jouait plus. Je ne sais pas s'il y a un lien. Enfin, il a été plus que pourri parce qu'ils se sont dit comme ça, on va laisser parler de Maradona tranquille. Voilà ce qu'a fait ce soir.

[00:08:25]

Ça suscite énormément de réactions aussi. Beaucoup de monde. 32 16 ans. Petit à petit. Récap des résultats ce soir, donc, Marseille perd 2 0 contre Porto. Pendant ce temps là, City gagne 1 0 à Giacosa. L'OM est évidemment éliminé pour la Ligue des champions, mais a encore une chance d'être troisième puisque l'on a zéro point à 3. Et il reste deux matchs, dont un match contre Olympiakos. C'est la finale à domicile. Ça va se jouer là où il faut prendre le goal average.

[00:08:50]

Attention, parce que derrière, on reçoit Porto Porto Alegre et ils peuvent tourner. Et Olympiakos à domicile pour au moins prendre un point contre Porto, c'est envisageable. Ca, ça fait quoi, city, Porto? A l'aller, je ne sais pas. Je récapitule le résultat, mais pas large, je crois. Non, mais il est quand même plus avantageux pour Olympiakos. Parce que l'OM va aller jouer à City. Remy, d'accord, sauve City.

[00:09:17]

Je crois que même les U19 de City peuvent battre Loeb, mais c'est surtout l'Olympiakos. Déjà, on parle comme si il allait gagner contre l'Olympiakos. Oui, bien sûr, mais moi, je suis plus proche. Prochain partir la semaine prochaine. Plus globalement, je crois que nous Ville-Basse Boisse, mais n'en n'a plus rien à cirer. Rien de rien. Je ne comprends plus YAB. Je sais pas quand cuisantes c'est arrivé. Il était titulaire obligatoire tellement le mec du Bayern joue plus.

[00:09:49]

Mais c'est surtout Gaillette direct. Il faut préserver cet équilibre jusqu'à ce moment là. Une équipe peut faire. Le premier but était important et on a subi avec beaucoup de malchance comme premier but à Porto. C'est vrai que c'est à ce moment là. Tout se passe pour cette équipe. Quand cette dynamique est tellement négative de choses comme ça, ça semble toujours tout de suite à ce moment là. On a fait le changements vite pour essayer de revenir sur le match avec l'entrée de Tim Carving à l'entrée Darío Puissance, mais Mainbourg sur le deuxième poteau, une faute en première.

[00:10:36]

C'est une faute évidente sur Amavi que l'arbitre de touche Bozonnet. Ça, c'est pas parce déjà, dans un premier temps, on a eu une chose pareille. J'avais dit le quatrième arbitre. De toute façon, la faute sur le pénalty parce qu on peut éviter ça. Dommage. Tout de suite, on a continué à batailler avec un bon état d'esprit. Bonne chance. Mais maintenant, c'est une compétition pour oublier sa première compétition.

[00:11:10]

À oublier pour nous dit. Ce n'est pas fini parce que bon, on n'a pas fait les 3 points par rapport à Maradona. Mais si j'avais fait 3 points, les 3 points à faire, j'aurais fait mauvais, mauvais, mauvais, mauvais sur toute la ligne. Les joueurs mauvais Villas-Boas et mauvais mauvaise communication. Parce que là, dernièrement, j'ai appris quand même que même l'Europa League en fait. Oui, ils en ont rien à Carus. Il y a eu des déclarations assez bizarre hier.

[00:11:37]

Comment Mikko? Quand tu prends une tarte comme ça en Ligue des champions, que tu que ton image, encore une fois, tu t'imagines qu'on est quand même. Heu. C'est pas eux qui l'ont vécu. Les joueurs ou même le staff et l'encadrement. Mais c'est la treizième défaite de suite de Marseille en Ligue des champions. Donc, c'est quand même incroyable de tenir ce discours là, qu'on est ridicule en Ligue des champions et que t'as une petite opportunité.

[00:12:03]

Je dis surtout que ce soir, si ce qui est le plus ridicule, c'est que ce soir là, Porto montre rien remarqué. Ben non. Mais si son ancien ténor en 6 matchs, si tu mets un tant soit peu d'envie, voilà une chose. Mais c'est vrai que tu peux y arriver quand toujours la même chose. C'est vrai que ces matchs à huis clos, c'est une tannée, c'est une belle illégale, donc c'est pour ça que j'en viens.

[00:12:24]

Tu ne peux pas toujours tomber, trouver ça comme excuse parce qu'en effet, c'est une excuse en termes de tempo, de match, de rythme, de trucs où là, le match n'est pas l impression que ça se jouait sur un petit rythme tranquille. Jamais un match de Ligue des champions se déroule comme ça. A ce rythme là, mais même à ce rythme là, Marseille n'arrive pas à être dangereux. C'est surtout ça. Il arrive pas à faire une bonne passe dans les milieux de terrain marseillais.

[00:12:47]

Encore une fois, je tombe, mais eux, c'est le socle d'une équipe, c'est les milieux de terrain. C'est comme la même chose avec le Paris Saint-Germain. Y'a un autre niveau, mais c'est la même chose. Dire qu'on va gagner, tu fois ce que fait dit, c'est aussi ridicule dans mes valeurs. OK, mais sans fin de match. Mais en première mi temps, quand Marseille ils ont, ils ont, ils peuvent jouer. Il n'y avait pas un gros pressing adverse, mais s'en sont Rongier, Camara.

[00:13:13]

Mais ces trois là, Camara et Camara, tout le monde me dira Camara. Fantastique Camara. Mais Camara a vu les parpaings qu'il envoyait aux attaquants. C'est même pas aux attaquants. C'est Hoarau. On touche 6 mètres, c'est pour, c'est pour le gardien directement des gars et on joue au football. Le football, c'est avec les pieds et au bout d'un moment, vous prenez, vous avez de la personnalité. Je veux bien qu'il y a un manque de confiance, qu'il faut absolument faire un résultat.

[00:13:38]

Et encore ça, tu le reculerons sans même pas, mais pour pas être ridicules, les mecs qui se prennent en main. Donc pour moi, ils sont mauvais, ils sont mauvais. Et en effet, là, et après, je donne la main à l'auditeur, comme disait Daniel d'Iyad. Un recrutement qui était Villas-Boas? Il prend cuisantes pour apporter cette touche technique talonnait qui l'a mis à la cave. Il lance le petit Henriquez. Là, Louis s'imbriquer.

[00:14:00]

Mais je sais Wissen Rickey. Alors jouer pareil, il faut être vigilant. Mais franchement, je vois aucune qualité, aucune qualité.

[00:14:08]

Brésilien, mais combien ils ont acheté? Ça avait été vendu comme ça au début. Alors après, peut être qu'il va mettre du temps et il faut faire attention avec le changement des jeunes. Mais il n'est pas rapide. Mais attends, mais il prend la barre. Il est pas rapide, il est pas, il n'est pas costaud sur ses appuis, il ne voit rien. Il contrôle le ballon, il baisse la tête, il avance. Et puis Brami.

[00:14:27]

Combien de bannières a pris une banane sur sensas? Écoute. Je pense que malheureusement, ça risque d'être très dur. Donc voilà, maintenant, je donne la main parce que j'en ai assez, dit Christophe.

[00:14:36]

32 16 Longoria. Salut Christophe!

[00:14:43]

Critiquer minots de 18 ans qui arrivent du Brésil. Ca fait que 40 minutes dans une équipe qui est pitoyable et sur quel chemin les gars, attendez un peu. Pour être honnête, c'est que des mecs comme Thauvin, qui porte un petit coup quand on veut le plus expérimentés, ont raison. C'est clair, c'est vrai. Non, mais allô quoi? Moi, je tombais pas Christophe. Je tombais pas tombé, pas sur lui. C'est vrai que c'est pour ça que je dis bien.

[00:15:12]

Il faut lui laisser le temps. Mais franchement, tu avais dit Voilà le taulier. Il a le droit de combler un peu les boules, mais on est d'accord avec ça. C'est vrai, ça se vend à la gueule depuis le début de saison. On est d'accord. Au bout d'un moment, je n'ai plus le temps de regarder les matchs. Eric, il a failli se plaindre pendant le match. Je ne voyais pas.

[00:15:32]

À l'époque, il y avait bien Doria aussi. Il fallait attendre et il a attendu que depuis le début de l'été, il avait dit qu'il était désolé. La seule action qui a été un peu dangereuse, lui qui était une talonnade et qui la donne à gerber pour faire un club qui peut au moins lui. Le seul décalage qu'on a fait tomber dans le match Thauvin par des grandes annonces. Oui, on fait parler. Il faut montrer de l'orgueil ou ton orgueil.

[00:15:58]

Là, elles ont les boules. Au bout d'un moment, il faut assumer. L'accès à l'OM droit au but qui avait marqué. D'un côté, il avait oublié d'autres Vlado et de l'autre côté, avait marqué. On veut voir des loups et des chèvres. Là, on n'a même pas vu des chèvres, des chevaux, vu le manque de respect envers nous. Car on est pas dans le stade de la radio grappin sur le joueur étoile Alvaro, qui était encore le mec, le combattant, toi qui est là à la mi temps, quand tu dois aller se marrer avec le gardien de Porto.

[00:16:26]

Là, je veux Lionel Charbonnier.

[00:16:27]

Il a pété un plomb quand il a newsun, a ajouté Il y a un manque de respect qui est total. Comment peut nous dire toute l'année? Oui, on se bat pour être la Ligue des champions, pour faire des affaires. A quoi au début? Vous avez parlé? Il faudrait gagner pour être troisième, mais pour faire quoi en Ligue Europa, on n'a pas le niveau Ligue des champions, on n'arrive jamais au niveau en Ligue Europa. On n'a pas non plus ne veulent pas y aller.

[00:16:50]

Pourquoi ils le disent, on ne veut pas y aller. l'Olympiakos est au dessus de nous. Porto, c'est quand même pas le même pour nous. L'occasion donnée pour dire la vérité. On peut être qu'ils n'ont pas de boule et qui ne respectent pas les points au stade et qu'on ne peut pas venir gueuler 435 euros d'amende. Aucun, ok, mais il faut respecter un peu plus de ce putain de d'emblèmes sur le maillot. Il y a une putain d'étoiles qu'on a gagné en 93.

[00:17:18]

Il y avait plus de temps comme Eric qu'aviez Basile Boli. Il y avait des joueurs qui avaient des boules. Tu m'as dit six fois, j'ai compté.

[00:17:27]

Non, mais bon. Après, c'est pas faux. Après, je suis sûr, comme tu dis, tu dis, ils ont oublié ce que c'était. Mais le fait que le stade soit rempli, l'ambiance, les sifflets, les trucs, oui, mais. Sauf que même dans une ambiance hostile comme ça, des fois, ça réveille et ça réveille les joueurs. Du moins, ils se bougent un peu plus. C'est vrai que le contexte là qu'on a entendu, mais ce n'est pas que mars que le match de Marseille.

[00:17:52]

Tous les autres matchs, on l'a vu hier. On n'est pas d'accord avec le Paris Saint-Germain. Je pense que le problème, c'est qu'en effet, quand tu joues trop sur l'état d'esprit, l'envie de te surpasser, de transcender, parce que ça D40. Ouais, mais je pense que je pense que sans supporteurs, ça s'est compliqué pour une équipe et on le voit partout. Même les grandes équipes, elles, ont du mal. Par contre, le parcours le soir, par exemple.

[00:18:14]

Ouais. Et par contre, ce qu'on voit plus, c'est la qualité technique parce que t'as un peu plus de temps, parce que le rythme aimé est là. En effet, ou je te rejoins, c'est que c'est ce que je disais, c'est que là, tu vois la faiblesse, la faiblesse du collectif, la faiblesse des joueurs individuellement. Et en effet, t'as raison. Je ne vais pas blâmer et insister sur Louis Saint-Riquier, même si je lui trouve pas de qualités.

[00:18:35]

Après, je peux me tromper, je ne suis pas la science infuse et il peut progresser et je lui souhaite. Mais par contre, les autres, les autres, ben t'as raison, Flo Thauvin, Flo, je l'aime beaucoup, mais j'adore parce que je l'aime, que c'est pas possible. C'est pas possible de faire un match aussi aussi neutre, voire invisible, comme ça. Ton équipe a besoin de toi? Je mettais les milieux de terrain parce que tu me disais il faut lui laisser le temps.

[00:18:58]

Rappelle toi alors Daniel. Ironiquement, parler de Doria, mais rappelle toi ce que tout le monde m'a mis dans la gueule. Quand j'ai parlé de 200 100 et de Rongier Rongier, on m'a dit Laisse lui le temps. Il arrive à Marseille via Nantes, les sultans, les sultans. Je laisse le temps. Il n'y a pas de problème. Ça fait plus d'un an qu'il est là. Bla bla, bla, bla, bla bla. Vous avez vu que vous avez vu que je me questionne?

[00:19:19]

Mais qu'est ce qu'il a fait pour pas jouer? Ouais, ouais, on se demande même Strootman. Je suis désolé, même si le mec, le fait que les genoux est compliqué ou quoi que ce soit. Je pense qu'au niveau hargneux, il faut dire qu'il est pas exceptionnel. C'est en tout cas intégré qui serait là. À ce rythme là, il peut jouer. Ah ben oui, du coup, oui, exactement. Merci, en tout cas.

[00:19:41]

On a bien compris ton message tourné vers l'avant ce soir. Concernant concernant dans quelques instants les retour, on va continuer l'analyse. Bon, c'est malheureux, mais dans le marasme de ce soir, il n'y a pas grand chose à dire de plus. C'était archi nul, mais bon, on. Peut même dire que c'est Timmons. Vous l'avez à moitié évoqué tout à l'heure. Je crois même que ça arrangerait, sortant de finir 4ème, d'être débarrassé rapidement.

[00:20:09]

La Coupe d'Europe pour jouer le championnat? Avoir un rythme plus light, championnat dans lequel ils sont étonnamment très bien placés. Deux matchs en plus en retard à jouer. Je ne sais pas si ils continueront à jouer des matchs en Ligue1 en cadrant un tir et on marque. Pour l'instant, c'est gagnant. Pour l'instant, ça marche. Pour le reste, oui, ça doit être assez triste pour les supporteurs de l'OM. Je répète pas tout ce que vous venez de dire, mais bien au niveau.

[00:20:36]

Franchement, les gens qui veulent qu'on analyse ce match ou qu'on dit, il n'y a rien à dire. En fait, quand tu dis qu'on assiste à un tel niveau que tu as l'Isan à ce point, mais qu'est ce que tu veux dire? Mais moi, je ne sais même pas ce que Glaz Boisse pourra dire. Après, je ne sais même pas comment les joueurs peuvent se regarder après dans le vestiaire entre eux. Mais en fait, on a fait quoi?

[00:20:56]

On a fait quoi? Mais même pas même trois passes. On n'arrive pas à faire même pas un mouvement porto en marchant. Moi, je regardais où on était là haut et y'avait Kevin. Je lui dis Kevin, mais Porto, tu les vois un peu plus. Simyo, c'est dans le temps. Je n'ai pas beaucoup vu. Je pense que l'OM peut quand même faire un nul et tous, ils vont faire nul. Comment on fait? Et on est dit qu'il faisait 3 passes.

[00:21:16]

Porto, c'était fini, c'était fini. Tu voyais que s'il voulait vraiment accélérer le rythme, on aurait en horreur. On aurait pris 3 ou 4 ce soir. C'est ça qui disait c'est dur. C'est incroyable, ça reviens et j'en reviens pas. La plupart des messages qu'on reçoit, en tout cas, mettent en avant ce fameux chiffre de 13 défaites et 13 défaites de suite. C'est un record en en Ligue des champions, personne n'avait fait une aussi longue série.

[00:21:37]

Et donc. Le mettent en lumière, ce chiffre là, et aussi le rôle et la place de la Bourse. Le dernier buteur de Marseille en Ligue des champions insiste toujours, c'est à dire qu'il y a sept ans, je prends ça. Ça fait flipper tout de suite Maradona et Loeb. Au programme de la demande de la Marine. Et puis, je le rappelle, en dehors des invités en direct d'Argentine d'ici minuit a tout de suite Maradona.

[00:22:05]

Oui, oui, Maradona. Il a mis la main, n'a pas vu d'un très bon au beurre noir, c'est évident, mais est clair comme de l'eau de roche qu'on va le revoir. L'opérateur? Il est évident. Il n'y a que l'on peut lever la peur pour ne pas l'avoir vu. Y aurait il que l'Argentine, sur ce but non valable, mène 1 0, but marqué 20 points par Maradona?

[00:22:44]

C'est juste que Digesteurs fish chips Rouïba. Vous entendez ça? Life is life. Vous vous dites avoir le diktat de la poésie. En fait, c'est le célèbre échauffe les souvenirs de Maradona, de Maradona. Je ne suis pas de la génération 1. Vous allez sur YouTube, vous vous tapez échauffements Maradona et vous allez voir affectionnant maitrises. Ben oui, je l'ai posté sur Twitter. Là, il n'y avait pas besoin de faire des allers retours, mais la maîtrise du ballon.

[00:23:18]

C'était une demi finale de Coupe d'Europe contre le Bayern. Décompression totale quand tu ne fais pas les choses pour Pinturault depuis des jours, il l'a CDV. Il jongle au rythme de la musique. Et puis, en fait, c'est le spectacle. Quand tu vois les mecs qui courent à côté de son équipe, il n'a strictement rien à faire. Problème de s'échauffer les oreilles et jouer avec le ballon et un chewing gum à la bouche. Si Thauvin aujourd'hui faisait ça avant un match ou paillette, qu'est ce qu'on dirait?

[00:23:43]

On n'ira pas les. Je suis pas ce genre de le réparer. Maradona, bien sûr. On prend de la hauteur. On en reparle dans quelques instants. On aura Nestor Fabbri, Mauro Cetto, qui lui a promis d'être là dans quelques minutes pour conclure sur le web, et son match cataclysmique du soir avec Sony au 32 16. Bonsoir. Ça lui dit ça? Je pense que vous allez mieux comment, sinon en visitant le centre de référence Sony Croquette ou Sony, quand hon!

[00:24:12]

Un personnage légendaire, celui ci n'était pas sans le sou! Se associés aux audiences de la grande époque.

[00:24:21]

Il a trois postes, trois de devant. Je ne peux pas te dire bonjour à tout le monde. Daniel détestées en tant que joueur. Makoko consultant, c'est la bombe. C'est gentil, même meilleur que meilleure recrue de tétanie. Gentil Paul-Fort à l'Olympique de l'EFT à Strasbourg, dans une salle aventureuse, exigeante.

[00:24:47]

C'était sans doute judicieux de faire une dépense tout de suite dépité de forfait. Même pas de la haine, de la colère et de la haine. Quand on est devenu une petite équipe de l'OM, que le nom manquait. Vous vous rendez compte qu'un début de match un peu? Charbonniaud Pas 21 matchs l'année dernière. Ces matchs à la cour m'indiffère contre Toulouse, contre Angers ou ont 0/0 le dernier match avant le confinement contre Hamming. Complet à la maison. Parce que j'ai rêvé d'être parterre d'étoiles de mer.

[00:25:20]

On les a fait ses matchs, emprunte un tutu à la gauche quadribande, quelques piques. On arrive un peu. Non seulement on n'est pas au stade, il faut l'encaisser, mais en plus, on passe pour des pitres aux yeux de l'Europe fait tourner pour toute l'Europe. Au début de match, j'étais content, car gamin qui avait de la combativité, on allait au stade d'une petite équipe Dinamo Zagreb, Slovan Liberec ou ébouriffants. Les équipes, comme chaque décomptent qu'on est comme Auxerre il y a dix ans.

[00:25:50]

On est loin. Ça veut dire que Rennes, hier, a été moins ridicule que nous l'année dernière, encore moins ridicule que nous. Maintenant qu'on a fait tous le même constat de déliquescence, là, tout ce qu'il faut faire, il faut, il faut, il faut gérer Glaz Boisse, ce n'est pas prendre un mec.

[00:26:04]

Bourg-Saint-Andéol 35 non qualifié, les joueurs. Tu ne vas pas pleurer, mais autrement pour mettre les pieds dans le plat. Ton collègue, aujourd'hui, quand tu ne pourras pas tomber, ça fait des mois et des mois qu'il est super bien parce que c'est tombé sur le toit du monde. T'as raison, mais t'as raison, mais tant mieux. Non, mais tu as raison. La plupart du temps. Octuplés des tout, il marque tout, mais jamais le recruteur quand je vois rouler.

[00:26:33]

Salut pour les fins concrètes, mais à long terme, tu peux, on ne peut pas être moi et toi.

[00:26:38]

Tu vois, je sais pas que ça me fait plaisir. Bien sûr que je préféré. Vu les relations que j'ai avec lui, je préférerais qu'il soit bon. Malheureusement, ici, il faut reconnaitre des fois Geimer. Peut être plus de forme que certains, je reconnais, mais mais. Mais encore ce soir, tu attends qu'il soit au niveau lui joue, il joue, il joue beaucoup et moi, je l'ai. Je l'ai vu dernièrement. Je lui ai dit je lui ai dit les Belges en Champion's League, plus que les matchs de Ligue 1, il faut que tu te mette au niveau et qu'il faut le ballon.

[00:27:06]

Il faut, il faut. Après Flo, il a. Il a des grosses qualités de finition. Il a montré. Il marque autant de buts, même si certains vont dire en Ligue1, c'est facile, mais il faut quand même les marquer à l'Olympique de Marseille. Ça, il faut lui reconnaître ses qualités de finisseur. Après, il a toujours eu ce progrès à faire et il le fait pas. C'est de de servir ses attaquants parce que quand es un attaquant de côté, voire milieu de terrain, parce que là, l'OM joue tellement pas le ballon que par moments, c'est plus un milieu qu'un attaquant.

[00:27:36]

Et ben là, il faut avoir la qualité pour servir les numéro 9 qui a devant lui souvent non. On fracasse Benedetto parce qu'il n'a pas de ballon, mais il est aussi responsable. Et là, c'était un coup de folie.

[00:27:46]

A quoi ça va tout seul? Ouais, ouais. Ouais, seul exactement.

[00:27:50]

Mais c'est trop peu. Et lui, je suis d'accord.

[00:27:54]

Sauf qu'on retient depuis 3 4 mois. On retient le raté de tomber Coco et le raté Bénéteau en 4 matchs retient. C'est vrai, c'est vrai. Mais après le match, on était content.

[00:28:04]

Tu ne veux pas que les mecs, après tout, on parle des joueurs. Là, on parle de Thauvin, qui est un joueur important. Et tout ça. Mais mais. Et si tu fais un mélange de tout, je pense que le mal est tellement profond. C'est la plaie d'une mère.

[00:28:22]

Il faut tourner la page n'a pas jugé bon de lancer ce projet.

[00:28:29]

Corchia ou tous les joueurs qui sont Kitona. L'accoucheur, Paris. Quand tu veux un grand coup de balai en saltos, un grand coup de balai, les 500 reçus reçues avec chacun un droit d'accueil. Depuis quand je suis monté?

[00:28:48]

Je suis d'accord avec toi. C'est pour ça qu'il y cherchant à recruter. Ils n'ont pas les gros moyens.

[00:28:52]

C'est toujours des moyens pour les accueillir. On a fait de la merde avec ta t'as raison? Prolongez pas comme pour le compte rendu. Le mec défend, il se fait insulter dans les vestiaires parce qu'il est con, le mec, les professionnels. Non, non, mais je suis.

[00:29:08]

Ce que je veux dire, c'est que malgré le problème Sony, le problème quand tu parles de direction, c'est quand tu parles des habitants de Pékin en 2008.

[00:29:24]

Étatsunien, pas plus que Paris, Lyon ou Paris. Mais on peut reconnaître quelque chose que si on avait un côté cool comme chez eux. La campagne qu'on a fait cette année est la dernière qu'on a fait, on n'aurait jamais pu les faire en tête. On n'avait jamais pu les faire jouer dans cet état de forme, devenir après des six mois de vacances, on ne peut pas venir gros.

[00:29:49]

On aurait jamais pu le faire ça aussi, à la limite qui soit mentalement un patron ou un patron s'en tout seul. Glasgow A est tout seul. Il encaisse tout. On a entendu le président, vous. On obtient des communiqués à la Cour des comptes et les gens pour des cons, tout ça a le mérite de répondre franchement, même quand tu nous prend pour des cons avec le sourire. Pour décorer le but, lui répond le plus solide.

[00:30:28]

On fait le même constat que toi. Globalement, il y a quand même. Il y a quand même un souci plus large. C'est que ça arrive trop souvent. Calum Sur les 10 dernières années, on a eu la bonne période où on retrouve la fierté. On retrouve un club qui donne envie à ses supporteurs et à peine un an après, il faut tourner la page. Il faut tout remettre en cause, ces périodes là qui sont insupportables au fond, parce que, comme je le dis, on a oublié.

[00:30:58]

Pourtant, c'était pas des années lumières. C'était juste il y a 2 ans. En 2018, l'OM fait finale de l'Europa League, ce qui n'est pas rien pour Français faire des finales de Coupe d'Europe. Ce n'est pas vrai qu'en 2018, ça arrive. La continuité n'existe jamais. Là, c'est la façon dont est dirigé ce club. Moi, à la limite, aujourd'hui, ouais. On peut parler des joueurs, bien sûr. C'est le problème de fond.

[00:31:22]

Les recrutements ces dernières années, c'est pas possible. Toute la mascarade autour du grand attaquant. Tout ce qu'on a entendu, les mecs qui viennent, qui sont pas bons, alors que pendant ce temps là, tu vois des clubs en France avec deux fois moins de moyens qui arrivent à avoir des attaquants. Tu dis le mec qui l'a l'Arch. Sa place à l'OM, c'est ça? En fait, l'OM aujourd'hui a un actionnaire qui a disparu. Un patron, ma courte.

[00:31:44]

On ne sait pas où aller. On ne sait pas ce qu'il veut. On sait pas où il veut emmener l'OM. Qu'est ce qu'il veut faire avec ce club? Est ce qu'il a mis tout l'argent qu'il avait dedans et qu'il ne voudra plus en mettre? Si c'est ça, c'est triste. Parce que si c'est ça, ben ça veut dire que tu vas vivre avec, avec l'argent, que tu vas à savoir la billetterie quand les gens pourront revenir au stade.

[00:32:03]

Les droits télé quand le diffuseur voudra aller payer. Et il faudra faire avec, mais faire avec peu. Ça veut dire qu'il faut des gens compétents. L'OM a le plus mauvais président de son histoire en ce moment. Il faut déjà commencer par ça. Il faut que l'actionnaire se rende compte de ça. Les directeurs sportifs Zubizarreta On s'est aperçu que au delà du fait qu'ils soient espagnols et qu'ils devaient faire venir des pépites espagnoles, je me souviens avoir entendu ça.

[00:32:29]

Personne est venu, en a pris un nouveau Longoria. On se demande aussi si haro sur la pépite espagnole dormait. Y'a des mecs qui doivent venir encore. Longoria, il vient d'arriver et il faut lui laisser un temps. Mais en attendant, en attendant derrière, ils ont. Ils ont prolongé paillettes avec son fameux contrat bidonné, son fameux lissages et salsa. C'est pas rien. T'es d'accord avec Mouanda, mais ça, c'est le choix du président. C'est que ce boulet, de toute façon, il devait se traîner derrière le prêt.

[00:32:56]

Il y a trop de boulets à l'OM. Il n'y a pas que Payet en boulet, mais un paquet des boulets. Mais c'est surtout des mecs. Vous l'avez écoute, allez au complet, ça, c'est ça. En concluant, on va parler de Maradona dans quelques instants. Et pour conclure, conclure comme tu dis le boulet à gros salaire Epita, le boulet de deux joueurs moyens que t'as dans l'effectif. Et ça, ses joueurs moyens, je peux te dire que tu vas te les choper.

[00:33:21]

Tu vas te les garder un bout de temps parce que les clubs ne vont pas se les arracher. Et là, tous les milieux de terrain et les joueurs en devenir ou l'équipe de France n'était pas loin, soit disant je peux te dire que je ne sais pas ce qu'ils vont en faire. Parce qu'avec ces joueurs là, c'est sûr que l'Olympique de Marseille pourra jamais existé sur la scène européenne et à commencer par l'Europa League. Je ne parle même pas de la Ligue des champions.

[00:33:42]

Quelques instants spécial Maradona jusqu'à minuit avec la vente de l'âme et avec vous, bien sûr, au 32. On l'a souvent entendu le but de 86 contre l'Angleterre.

[00:33:50]

Rappelez vous du but de 94 contre la Grèce, le. Pour commencer sous peu. En aucun cas vigeur est vu par la caméra, il est contrôlé positif. Il vient tout de suite dans l'acteur réalisateur Foots Super Wigwam. Il y a un ac dc, c'est la main de Dieu Maradonna. Celle qui chantait la fameuse chanson placardée en quelque sorte nous rejoint celui Fallot tricot crochet rejoint de Ioane. Bonsoir, messieurs les gars, on va dire un beau match, mais on va d'abord parler de la déflagration.

[00:35:18]

D'abord Maradonna, dans nos pays respectifs, il est passé par l'Espagne. Fred n'a pas été très long. Ça n'a pas été un grand succès. A été surtout le malheur pour lui. C'est à dire que depuis le début de la cocaïne aussi, il a tout connu en Espagne. Il arrive en 80 1 4, 82 81 et 82 84. Il a Barcelone. C'est sa première expérience en Europe et en travaillant peu sur le dossier. En arrivant ici, j'ai découvert une chose que j'avais totalement oublié, c'est qu'il a été absent lors de la première saison à cause d'une hépatite.

[00:35:53]

Il était absent pendant trois mois. Sa première saison se souvient alors. Tout le monde se souvient. L'année d'après l'agression du Goicoechea sur leurs arrières, on annonçait 6 mois, six mois d'arrêt. Il est revenu au bout de trois mois et demi. J'ai de couper Fred parce qu'on a en ligne avec Thomas aussitôt qu'on connaît bien en France. Joueur argentin, bien sûr, qui a joué à Nantes, qui a joué à Toulouse, notamment. Un passage à Lille, bien sûr, et qui est en direct avec Toulouse.

[00:36:23]

Bonsoir Boro. Pourquoi vous êtes vous êtes en Argentine? Ça doit être terrible. Actuellement, quel est le quelle est l'ambiance? Mais l'ambiance a énormément d'atouts et la Ville a fini par y croire encore. Mais personne n'a suivi. Il y a une tristesse dans tout le pays et que toute l'Argentine se sent solide.

[00:37:01]

Et on a vu des images ici en France, des Mabit devant l'endroit où il habitait. Ce n'est pas uniquement les fans de foot, bien sûr. Oui, oui, tout le monde on ne parle que de ça dans les médias depuis samedi. Il y a une crise que tout le monde qui n'aime pas le qui n'ont pas l'habitude de suivre. Ils sont aussi concernés par cette nouvelle réflexion. Tout le pays. Et à aucun moment, on ne connaissait l'Argentine à travers lui.

[00:37:41]

Tout le monde est très, très touché à la fin de sa vie.

[00:37:44]

C'était quand même. C'était quand même dur quand on le voyait, on avait du mal, a du mal à se déplacer. Parfois, on avait l'impression que c'était un peu pathétique. Les Argentins sont toujours restés hier. Il y a toujours une côte d'amour, même dans les phrases qui est le côté noir de Maradona. Malgré ça, il était quand même né. On a toujours gardé une image et non pas plus claire Van Carvi. La majorité des campagnes et c'est comme ça qu'on va se retrouver avec lui.

[00:38:22]

Et pour moi, cumulerait. Personne ne les avait pas éclaté. Donc moi, personnellement, je regarde les images qu'ils avaient conclu dans leur colère et que la majorité des campagnes. Et c'est comme ça qu'on va se retrouver avec lui. Et pour moi, cumulerait. Personne ne les ont éclaté pour mon père, donc moi, je regarde les images avec bonheur pour leur et que la majorité des campagnes et c'est comme ça qu'on va sûrement gouverner avec lui au printemps et au mois de juillet comme personne.

[00:39:17]

Mais on n'avait pas éclaté, qu'on repère. Je regarde les images qu'il avait conclu pour leur conduire. Bien sûr que la majorité ne pas campagne et c'est comme ça qu'on parle sûrement.

[00:39:38]

Si on pouvait lire élus aussitôt que vous l'avez croisé rencontré, on n'avait pas éclaté. Comment faire? Personnellement, je regarde les images qu'ils avaient conclu. Leur colère. Vous m'entendez? La majorité retient tout. Nous, on retient tout de Diego, son souvenir et lui sachant comment une personne.

[00:40:09]

Mais je crois qu'il a un problème parce que ça part en boucle. On va essayer de retaper en disant Mauro Cetto, qui a vu Robin au revoir à Toulouse aussi. Il avait du mal à descendre sur mes centres, mais sinon ça, vous m'entendez dans la tourner avec lui?

[00:40:33]

Bon, on peut rêver. Tu te fais appel à l'international est un peu comme le téléphone. Ça repasse en boucle. On peut dire ça aussi, c'est rigolo. Juste pour revenir sur l'Espagne, il y a un truc terrible, c'est la baston générale en finale de la Coupe du Roi, sous les yeux à l'époque du roi qui était là à pousser là où c'est. Comptabilisons au passage. S'il y a des clauses, c'est lui qui faisait aboyer toutes les retrouvailles.

[00:41:05]

Bref, c'est incroyable ces terribles images. Des images qu'on en a marre de voir à la télé parce qu'elle n'est pas en Liga où c'était L'Oréal, et ensuite protégé parce qu'ils avaient moins de caméras, les arbitres. Mais on sait d'où. La Liga n'a rien à voir avec ce qu'on voit aujourd'hui. Ce n'était pas la Liga, c'était une Liga, avait d'ailleurs tes amis du Réal Camacho? Oui, bien sûr. D'ailleurs, sur YouTube, on peut trouver des séquences du match juste avant la bagarre.

[00:41:35]

Et c'est vrai que tu vois ce qu'il prend dans ce match. Bah oui, n'avait pas de tableau parce qu'il se fait avoir a tout le match, ce qui n'est pas Ibra. Ce qui était ça, c'est pas l'année où ils sont gorgones au début, car c'est pas comme les bagarres de maintenant. Tu dis la tête des d'écouter des trucs sérieux. Coup de génie, Maradona, siglo les choses aussi. Et c'est marrant. Devenu un mec qui l'a reconnu, c'est à Barcelone qu'il a commencé à sortir.

[00:41:59]

Il a commencé à fréquenter la nuit et qu'il est devenu accro à la drogue. Et après, il y a des gens qu'on a. C'est aussi bien. Après ses 15 mois de suspension ou Beyoglu, il joue, il joue tout le temps sur sous infiltration à cause d'une douleur à un genou. Et il vient parce que c'est minoteries, l'entraîneur de Séville. Et si un jour, dans un match Maradona, il faut que je sorte Jamala à la mi temps, ils font des piqûres d'anti inflammatoires.

[00:42:29]

Donc dans le genou, ça devient rapide. Ce qui parait plus bas, c'est vraiment ce qui est dingue, c'est que Maradona, d'un pays hispanique qui parle espagnol, aurait du faire une carrière magnifique en Espagne. Finalement, ça a été le pire de pour lui. Et il parada mon petit Yohann, tranquille avec nous. Tout à l'heure de Laurenti, c'était était sur. Sur RMC, le président de Naples. Il envisage d'essayer de faire rebaptiser le stade San Paolo stade Diego Maradona dans le stade San Paolo Maradona.

[00:43:01]

Les deux. Des marches ont déjà été commencées ce soir avec le maire de Naples. Evidemment, ça va aller très vite parce qu'il y a consensus autour de cette idée là. Mais à Naples, en fait, c'est très simple à expliquer. Comment vous dire? C'est le saint patron de la ville centre, Gennaro, mais c'est autant la ville de San Gennaro que la ville de Diego Maradona. C'est comme le pape à Rome et Francesco Totti. C'est la même chose si on est au delà du sport, on est au delà de deux des trophées qu'il a ramené.

[00:43:27]

Parce que rappelez vous quand même que Naples à deux coups, Dethy, ils n'en ont que deux de la Coupe de l'UEFA. Et on en a qu'une. C'est sous Maradona, c'est avec Maradona. C'est lui qui arrive en premier pour faire le tri au Magica, ensuite avec Jordano et Caprica. Enfin, voilà, c'est lui qui a amené évidemment le sport, le football, les trophées. Mais au delà de ça, c'est le symbole de Naples pauvre qui souffre face à l'Italie du Nord.

[00:43:52]

C'est la petite, la petite rebellion napolitaine, face aux grands clubs du Nord, face à la fédération, à la ligue, etc. Il était très bien dans ce contexte là. Un contexte un peu flou, justement, sur ce sujet napolitain. Le documentaire qui était sur Netflix à Canal, a diffusé il y a quelques semaines de ça. À la base était sur Netflix avec une carte disponible sur Netflix.

[00:44:17]

On a dans ce documentaire, on a encore appris des trucs sur mon arrivée, notamment avec des images qu'on soupçonnait l'histoire de son fils. Il a reconnu qu'il était dans le déni total de toute la ligne observée junior avec laquelle il a fait un boulot avec la meilleure copine de sa sœur, qui était la mère de la mère de l'enfant qui aujourd'hui un adulte avec une quarantaine balais Go junior raconte tout 80. Ça, oui, il y a une trentaine d'années.

[00:44:44]

Et puis, les rapport à la mafia aussi. Les écoutes de la police Wiggo Tahkout, qui arrive au milieu des conversations. Quoi qu'on fasse, il faut pendant l'époque napolitaine, il faut revoir ce doc. Voilà exactement. C'est un vrai doc à conseiller parce que ça montre toute la folie qui avait la folie positive. Et ensuite, comment ça s'est transformé d'une folie positive en le chemin qui lui a 24 ans, appart avec les volets fermés, game store baissés dans le noir.

[00:45:09]

Mais il faut, il faut revoir ça. Il faut voir le film de Cousteau avec ça. Quand même qu'un réalisateur de cette trempe, Place s'intéresse à un joueur de foot. Déjà, ça veut dire quelque chose. Oui, il faut voir. Il faut voir même la série Netflix sur son aventure au Mexique. C'est extraordinaire, même si on a la chance. Il faut aller à Naples pour comprendre l'empreinte de Mara et il faut voir dans cette série.

[00:45:30]

Ça a beau savoir qu'il l'est il, il faut voir tous ces docs. Toutes ces choses, puisqu'il avait Cerdon dans le coeur des joueurs.

[00:45:39]

Il avait une vidéo qui Valdano? Oui, ce soir là à la télé, un commentateur à la télé espagnole et il commentait Il était à Milan pour faire Oréal pour Movistar et pour Wismar. Bagua, qui est présentatrice de l'émission en duplex. Je lui dois, je suis pas recopiée, nous jouons au mythique. Et comment? L'ombre de la peinture et et de mon action à Valdano. Et un moment, il parle une minute, lui dit alors quel souvenir tu gardes de lui?

[00:46:13]

Je me souviens surtout de sourire et là, il commença à se rendre. Il ne peut pas continuer. Et donc là, pendant une minute à l'antenne, la caméra sur Valdano qui ne peut plus parler. Et Suzanna, dit on te rappellera, tu va te laisser un peu là. Parce que voilà, enfin moi, je vais d'anecdote de Valdano avec Maradona. Valdano, un compte gratuit, c'est le fameux but contre l'Angleterre où il traverse tout le bruit et il me dit j'arrive, j'arrive à la mi temps et je félicite Diego pour son but.

[00:46:46]

Et Diego me dit mes regrets. T'étais où? Mais moi, je veux te chercher. T'as jamais réussi à se démarquer. Donc, je vais continuer à rester avec tous les gars. Reviens dans quelques instants, on sera avec Nestor Fabbri. On espère une bonne inizan, cette fois avec l'Argentine, a tout de suite pour reparler de Maradona.

[00:47:03]

RMC Torfou Gilbert Brisebois, rapporteur Jean Daniel Riolo et là où ça? IETF à. Les supporteurs de Naples capuchons argentin. MARADONNA Quand même trois jours de deuil national en France, par exemple, on apprend la mort de Jacques Chirac. Pour le deuil national le plus récent, c'était un jour, trois jours pour un footballeur. On peut être certains des personnages les plus emblématiques de l'histoire de ce pays. C'est n'importe quoi. Bon bah, c'est comme ça. C'est comme ça, l'Argentine en l'occurrence.

[00:47:41]

Je vous rejoins. Salut Julien. Salut Gilbert! Salut à tous et pour le père également. Salut Polo! Bonsoir mon cher Gilbert, bonsoir tout le monde. Y'a un truc qui m'intéresse.

[00:47:49]

Julien en Angleterre, évidemment, la main de Dieu, bah, c'est la main du diable. Et puis les Anglais et les anglo saxons. Les règles, les règles. Évidemment, ça reste un pur scandale. Est ce qu'il y a eu des breaking news, des heures d'émissions spéciales comme on a eu en France et dans beaucoup de pays du monde ce soir en Angleterre? Oui, il y a eu une grosse réaction, forcément. Mais comme tu l'as dit, c'est forcément un petit peu aussi plus sensible à cause de ces quarts de finale de 86, à cause de la main de Dieu, comme tu l'as dit.

[00:48:16]

D'ailleurs, si tu lis la nécrologie, l'ALECA du Daily Express Travel, il y a donc une très, très, très, très joli, effectivement.

[00:48:23]

Mais si tu lis la nécrologie dans le Daily Telegraph, par exemple de demain, dès le premier paragraphe, ils te disent quand même que Maradona était un tricheur, un menteur et complètement égocentrique. Dès le premier paragraphe, donc, si tu veux ça, ça te place un petit peu quand même. L'idéologie et la place de Maradona ici dans sa vie. Parce que là, il a triché ou menti? Bien sûr, mais là, c'est quand même assez, assez, assez brutal dans le premier paragraphe, quand tu parles quand même, peut être du plus grand joueur de l'histoire de ce sport.

[00:48:47]

Mais c'est pareil pour les Anglais. Beaucoup n'ont pas pardonné, paraderont jamais cette main. Le fait qu'il en ait joué après aussi. Toutes ces réactions et toutes ces phrases un petit peu à ce propos là. Même si effectivement, quatre années plus tard, il y a le but du siècle, le plus beau but de l'histoire de la Coupe du monde. C'est donc un sentiment partagé, je pense les Anglais. Mais c'est vrai que cette nécrologie là du Daily Telegraph elle parle aussi beaucoup aux Anglais, en tout cas à cette génération là ont 40 50 ans aujourd'hui en France aussi.

[00:49:13]

Quand tu, quand tu parles de Maradona. Jean-Michel Larqué va te dire aussi que c'était un tricheur, un menteur, un personnage qui. Polo. Y a t il le moindre petit point commun entre Maradona et l'Allemagne?

[00:49:27]

Oui, parce qu'ils ont été et ils se sont opposés. J'ai envie de dire que c'est un homme qui s'est opposé. Immunisation la finale 90 avec 286, 86 et 90. Une fois en 86, l'Argentine et Maradona bat l'Allemagne en 90. La nation se venge de Maradona. Il faut se rappeler ce que disait Franz Beckenbauer, sélectionneur à l'époque, qui, disait on, a coulé l'Argentine au poteaux, c'est à dire que c'est très violent les rapports qu'il y avait.

[00:49:51]

Mais tout ça, si tu veux, c'est l'histoire. Mais ce qui est impressionnant ce soir, je pensais pas que ce serait comme ça. Vous savez que dans les années 80, quand Maradona était à Naples, où il y avait beaucoup d'Allemands qui étaient dans le temps, qui jouaient en seria, et en fait, il y a une émotion des joueurs que je n'ai jamais vu de ma vie, que ce soit Guido Burbage qui était défenseur central à l'époque 90, que ce soit Tony Martin qui était un label qu'un joueur n'introduit, on assiste qui ont joué contre lui et tout ce qui Guido dans le poète Valdes.

[00:50:23]

Si tu veux, c'est assez, c'est lui. C'est lui qui avait un front de 12 mètres la tête. Ce n'est pas maintenant. C'est un peu un peu trop. Se plaindre comme ça avec les gros frais médicaux pour vos activités en Allemagne, est considéré comme le plus grand défenseur de tous les temps. C'est surtout le fait qu'il est fait pour les deux ont été odieux pendant 4 ans pendant toute la rencontre et il se dit on s'est arraché parce qu'on n'avait pas fait de cadeaux pendant toute la rencontre.

[00:50:47]

Vous savez que cette rencontre s'est jouée à pas grand chose et ils étaient tous les deux aussi ensemble pour les tests, sans faire de jeu de mots. Pour les tests antidopage après la rencontre, vous voyez Maradona complètement défait. Ce que représentait cette défaite et tout ça, il était ému. Il ne s'en remet pas. En fait, il avait ce soir sur Sky, évidemment, qu'il vivait les matchs de Ligue des champions. Lothar Matthäus, qui était aussi lui, vous le savez, le Ballon d'Or 90 et qui a joué contre Maradona, qui était défait aussi.

[00:51:10]

Comme si. Si tu veux. C'était une chape de plomb qui s'est abattue sur cette génération allemande. Et il avait un opposant entre guillemets au niveau de la sélection, c'était l'Argentine, mais c'était surtout Maradona. Il y a un très beau titre, alors je pense qu'on l'a peut être fait un peu dans tous les pays. Mais comme c'est Bild qui l'a fait, ce jeu, je le donne parce que s'ils sont rarement bons sur le titre, tu disais que maintenant, il est dans les mains de Dieu et je trouve que c'est assez impressionnant à Kicker, qui a juste fait un type, tu dis au paradis et ça s'arrête là.

[00:51:37]

C'est à dire que l'impact de Maradona. Et là, je rejoins ce qu'a dit Daniel. Je ne voulais pas faire de politique ce soir, mais Maradona dépasse largement le cadre du football. Pas la politique. Il y a eu pas mal de dopage politique ce soir.

[00:51:50]

Non, mais c'est normal. De tous bords étant Grangeon qui a salué le transfert d'armes.

[00:51:56]

Non, non, mais ça, c'est pas tout à fait vrai. Parce que jusqu'à preuve du contraire, le péronisme n'etait pas forcément courriériste, était très réaliste. Maradona, moi, je l'ai vu, dit Copa America. Faire les JO avec Chavez. Mais en 2008, c'était surtout un match d'ouverture, mais sa légende aussi. Il détestait évidemment les Etats-Unis, où il il avait insulté les Bush. Rappelez vous, c'était un vrai chef. Il était un péroniste.

[00:52:19]

Ça ne l'empêchait pas. Fidel Castro, etc. Il faisait partie de ce que l'on appelait ce qu'on appelle toujours d'une façon extrêmement péjorative en Europe des mouvements populistes en Amérique latine. Ce mot est presque un gros mot en Europe. Alors là, c'est vrai, on est en ligne avec Nestor Fabbri, qui est avec nous dans l'affaire. Bonsoir. Bonsoir Nestor, bonsoir! Ancien joueur emblématique de Nordin près de 160 matches joués avec le FC Nantes, vous avez bien connu Diego puisque vous avez fait une Coupe du monde avec lui, la Coupe du monde 90.

[00:52:58]

Quel est le principal souvenir que vous gardez de lui? Nestor. C'était un pays dont le taux de chômage ne parlons pas tous les soirs au moment de son entrée. Il fallait scolaire est pour le moins. Il y a beaucoup de souliers. On compris aussi. On avait détruit petit match parce qu'on a de la peine. Pour le moment, je ne comprends pas ce qu'il faudrait.

[00:53:40]

Vous avez du mal à prendre conscience de ce qui se passe. Oyez, oyez, oyez, oyez, oyez! N'est pas très bon. Il y a aussi les pays équipés.

[00:54:22]

Si vous l'avez été sur le terrain avec lui à plusieurs reprises, Nestor, aujourd'hui, vous diriez que c'était le même si vous deviez décider. Bonjour, voila vous qui avez joué avec lui, vous diriez quoi? Oui, comment fait on en a profité pour ma génération. On a côtoyé avec lui et lui seul qui allait devenir comment? Comment? Mais bon, on était pris en est avec nous.

[00:55:12]

A votre avis, que va t il se passer en Argentine dans les jours qui viennent? Elle accepte de refaire la même histoire de téléphone, ça répète ce qu'il a déjà dit.

[00:55:33]

Malheureusement, les liaisons lArgentine sont un peu est encore, je crois.

[00:55:38]

J'espère ne pas me tromper, mais je crois encore dans un conflit de mots assez durs. La situation est pas terrible et pourtant, ce soir, énormément de gens qui vont se réunir. On découvre des choses encore plus graves. Mais oui, ils vont rendre hommage malgré les dispositifs qui veulent ouvrir les stades.

[00:55:56]

J'ai vu ça. Il y avait un match de Boca Juniors prévu cette nuit en Copa Libertadores. S'il a été annulé. Voilà une petite info en plus. Ville-Basse Bouveresse, en conférence de presse, a demandé à ce que la FIFA retire le numéro 17. Mais de toutes les équipes, oui, c'est un peu exagéré que chaque équipe à des légendes. En numéro 10, je désire lui enlever le numéro pour un univers là, franchement, iodure. Problème pour le dire.

[00:56:20]

Maintenant, de là à faire ça que l'Argentine et éventuellement le fassent, ça, ça va pas part, effectivement. Mais maintenant, on a tous nos numéro 10. Oui, Zizou, on a toujours Paulo et Julie avec nous avait préparé plein de petits extraits. Il y a un extrémement qui m'a frappé et c'est une archive un peu lointaine. On va l'écouter. C'est le petit frère de Diego Maradona qui est interrogé. Il a 7 ans à l'époque et c'est son petit frère.

[00:56:46]

Et ils ont 9 ans d'écart. Et on les. Diego a 16 ans. Comment aider au gouvernement? Comment se distraire vendeur? Comment font ils dans ces domaines? Radieux et son meilleur ami? Moi, j'y suis joueur, j'en joue, je joue le rôle et d'en. Ils sont aussi si c'est impossible, parce que c'est un Martien sans grand frère et Maradona et s'appelle Hugo Maradona. C'est le petit frère. Et voilà ce qu'il disait de son grand frère.

[00:57:27]

Ça serait parfait. Il avait 7 ans seulement à ce moment là. Il savait déjà que son frère avait un destin tout tracé. Bon, il est de retour. Bon, les gars, on aura bien parlé d'un terrain pas génial. Victoire importante de se qualifier. Mais là bas, on joue les joueurs du Bayern pas loin. Faudra un bon tirage en 8ème pour espérer être en quarts, mais il n'y a pas eu de transition. Attention, Daniel Van SantéLa.

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On termine là dessus pour aller. Merci à tous. Merci! Pour cette affaire un peu spéciale, mais bien triste, ce soir en sera la trace deux heures après l'Europa League. Salut Fred, Julien et tous les autres. Demain soir.