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9 heures 9 heures 30. Franck Ferrand raconte sur Radio Classique. Difficile d'imaginer la confusion qui règne en France au début du mois de septembre 1870. Les armées impériales de Napoléon 3 viennent de subir une immense défaite contre les Prussiens. Vous savez, ça a été Sedan. Le pays est maintenant proche de l'invasion. Et pendant ce temps, à Paris, un gouvernement dont le gouvernement de défense nationale est en train d'essayer de prendre le relais de cet empire vaincu, de cet empire qui s'était écroulé.

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Et c'est dans ce contexte que, dès le 5 septembre, à Bruxelles, un homme de 68 ans, un homme qui a été proscrit depuis près de deux décennies, s'apprête à rentrer d'exil. Il n'a pas perdu de temps. Cet homme, vous avez bien compris qu'il s'agit de Victor Hugo, Hugo, l'ennemi acharné de Napoléon 3, Hugo, véritable légende des lettres et, si j'ose, le jeu de mots, déjà légende du siècle. Il faut l'imaginer place de la monnaie illegaux, sa silhouette un peu alourdie, avec des traits vieillis, peu marqués, magnifiquement burinés du reste, avec les cheveux et la barbe tout blancs.

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Il est midi, il se prépare pour le départ, pour rentrer en France, pour rentrer chez lui. Et là, il y a un Français, un inconnu, qui l'interpelle. Monsieur, lui dit il. On me dit que vous êtes Victor Hugo. Oui, soyez assez bon pour m'éclairer. Je voudrais savoir s'il est prudent d'aller à Paris en ce moment et Hugo lui dit avec un peu de solennité Ça ne fait pas de mal. C'est très imprudent, monsieur.

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Mais il faut y aller.

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Deux heures et demie plus tard, l'écrivain est dans le train. Il a autour de lui ses proches et déjà défile la campagne. D'abord la campagne belge et puis la campagne française. Les sentiments se bousculent dans l'esprit d'Hugo. Il a tellement attendu ce retour. Et voilà qu'on approche de Paris, sa banlieue. On entre dans Paris et un peu après 9 heures et demie du soir, le train ralentit le long d'un quai, pleins de vapeurs de la guerre de la gare du Nord.

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Vous la voyez, cette vapeur partout? Vous entendez le son aigu du freinage et puis l'arrêt complet du train. Les badauds sont là. Ils sont venus innombrables. Ils se sont massés partout dans la gare du Nord. Et le voilà, le grand homme qui déclenche un immense vacarme. Des hourras dans Choses vues. Victor Hugo raconte un accueil indescriptible. J'ai parlé quatre fois, une fois du balcon d'un café, trois fois de ma calèche, en me séparant de cette foule toujours grossi.

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J'ai dit au peuple vous me payer en une heure vingt ans d'exil, on chantait La Marseillaise et le chant du départ, on criait Vive Victor Hugo! A chaque instant, on entendait dans la foule les vers extraits des Châtiments. J'ai donné plus de dix mille poignées de main. Imaginez l'émotion dans cette foule qui accueille Victor Hugo chez Victor Hugo lui même. Des émotions un peu plus contrastée. D'abord, il y a l'excitation de ce retour attendu. Il y a la volonté d'essayer de reprendre un peu part aux affaires et chez ceux qui sont là et qui l'accueillent.

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La gratitude envers celui qui a été lopposant avec un O majuscule à Napoléon 3, c'est un géant qui est en train de rentrer. Puis c'est sans doute. C'est sans doute un homme politique. Victor Hugo poursuit son récit. On voulait me mener à l'hôtel de ville. J'ai crié Non, citoyens, je ne suis pas venu ébranler le gouvernement provisoire de la République. Je suis venu l'appuyer de ce point de vue. Victor Hugo, c'est à peu près ce qu'il veut.

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La nuit est très avancée. Quand, enfin, il va finir par pouvoir s'allonger dans un lit, qu'il profite bien de son repos. Victor Hugo. Parce que dès le lendemain, les fatigues de la politique vont lui être réservées. L'écrivain, vous l'avez compris, est un repère. C'est peut être même le seul repère dans une heure où les repères font vraiment défaut partout.

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Son passé lui confère une dimension. Son génie lui donne aussi beaucoup d'autorité. Les politiques veulent tous le rencontrer, le voir, le convaincre. On vient lui proposer de participer à un triumvirat, un gouvernement à trois avec Ledru-Rollin et le Cher. Il va décliner cette proposition dans les jours et dans les semaines et dans les mois qui vont suivre. Les offres de ce genre vont se répéter. Hugo n'y résiste pas totalement.

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Il est assez sensible, évidemment, aux propositions qu'on lui fait. On ne sait pas exactement quand, ni on ne sait pas à quel point il a hésité à sauter le pas. Le grand biographe de Victor Hugo, vous le savez, c'est Alain Decaux. Et voilà ce qu'il nous dit. Victor Hugo a failli céder un passage. Des carnets soigneusement occultés par les premiers éditeurs en apporte la preuve. Dictature sous la plume d'Hugo. Dictature? J'en porterai la peine.

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Si j'échoue, je m'en punirait en m'exiler à jamais. Si je réussis, la dictature est un crime. Le bonheur d'un crime de lapsus. Ce crime, je l'aurais commis, je me ferais justice et sauver la République.

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Je déclare que je sortirai de France pour ne plus rentrer en attendant un faitla. Victor Hugo a refusé toutes les offres, va repousser toutes les propositions qui vont dans ce sens. Il adopte une position parfaitement décidée position d'équilibre. D'un côté, il fait toutes sortes de dons. Il est au milieu de ces Parisiens qui refusent de plier face à la pression prussienne. Il publie un appel aux Allemands, texte adressé aux frères ennemis qui se conclut par ces mots Sous vos bombes et vos mitraille.

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La muraille de Paris se défendra. Quant à moi, vieillard, j'y serai sans armes.

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Il me convient d'être avec les peuples qui meurent. Je vous plains d'être avec les rois qui tuent.

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Et puis de l'autre côté, en même temps, si je puis dire, quand, par exemple, un élu américain le consulte pour une démarche qu'il veut tenter auprès des Prussiens, eh bien Hugo lui suggère d'en parler à la personne concernée du gouvernement provisoire. Pendant ce temps, comme on pouvait le redouter, la situation devient critique. Les Prussiens n'ont pas été émus, disons le, par l'appel de Victor Hugo. Ils sont là, ils sont toujours plus près.

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Je cite André Castelot. Le 18 septembre, l'encerclement est total. On met le feu au bois entourant la ville. Les villages de la banlieue sont évacués tandis que les soldats de métier entrent en contact avec l'ennemi. Les 300 000 fusils vont veiller aux Remparts. On peut dire que Paris maintenant est cerné, complètement cerné et qu'avec la Ville de Paris, ce qui est cerné, c'est Victor Hugo lui même, son monument de chair et d'encre.

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L'ouverture des franchises d'Hector Berlioz. l'Orchestre symphonique de Montréal était sous la baguette de Charles Dutoit. Franck Ferrand sur Radio Classique. Pour Paris, le plus dur commence le siège signifie que les provisions vont être désormais compter. On s'enfonce dans l'automne avec des températures qui ne cessent de descendre. La capitale est fébrile et les troubles menacent. On a d'ailleurs repoussé les élections le 7 octobre. C'est le fameux départ en ballon de Gambetta, épisode bien connu Gambetta. Autre figure du gouvernement provisoire qui réussit à fuir Paris par les airs pour s'en aller.

[00:08:50]

Organisé depuis Tours, depuis la province, le sursaut militaire face aux ennemis Victor Hugo assiste à la scène. Tout à coup, le ballon jaune est enlevé avec trois hommes, dont Gambetta, écrit il. Puis le ballon blanc avec trois hommes aussi, dont un agitait un drapeau tricolore. Au dessus du ballon de Gambetta, pendait une flamme tricolore. On a crié Vive la République! Mais dans Paris, au fil des semaines, des bruits courent. On dit que le gouvernement provisoire serait prêt à négocier avec Bismarck au détriment de la France.

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Le 31 octobre, c'est toute une foule qui vient se masser face à l'hôtel de ville pour en appeler au combat pour vouloir continuer le combat.

[00:09:31]

Et bientôt avec la pluie. Avec l'appui des gardes nationaux, ces milices d'arrondissement. La foule va prendre le contrôle du bâtiment de l'hôtel de ville et un certain nombre d'insurgés ont bien l'intention de remplacer le gouvernement. Et là, Hugo n'est pas d'accord. Je refuse de m'associer à eux, écrit il. De toute façon, dès la nuit suivante, le général Trochu, qui est à la tête du pouvoir républicain, intervient avec la vigueur souhaitée et les révoltés vont devoir renoncer quelques jours plus tard pour eux.

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Pour un temps, devrais je dire. Vous comprenez que la commune est déjà un peu dans l'air. Quelques jours plus tard, un vote va confirmer le soutien au gouvernement provisoire et des élections municipales ont lieu.

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Parallèlement, de rudes combats se poursuivent tout autour de Paris. Hugo va rendre visite à un certain nombre de blessés qu'on a installés, notamment dans un théâtre. C'est toujours chose vu la date du 12 novembre. En entrant, j'ai dit aux blessés Vous voyez un envieux. Je ne désire plus rien sur la terre qu'une de vos blessures. Je vous salue, enfant de la France. Fils préféré de la République, élu qui souffrait pour la patrie, il semblait très ému.

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J'ai pris la main de tous. Un m'a tendu son poignet mutilé, un n'avait plus donné. Les mauvaises nouvelles militaires s'accumulent. Certes, il y a des éclaircies, comme la reprise de Dijon le 24 novembre. Mais disons le, les Prussiens sont là, solide, puissant. Aucun des coups de boutoir, cependant, qu'ils vont asséner contre les murs de Paris n'est véritablement concluant. Et à l'intérieur? À l'intérieur, les Parisiens souffrent.

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Ils tiennent bon, néanmoins, avec une espèce de sentiment de résistance qui ne fait que s'accroître avec le temps. Pendant ce temps, ils passent et les inévitables fléaux des sièges commencent à se faire sentir. La ville subit un froid terrible. On descend à moins 14 moins 15 degrés Celsius. On peine à chauffer les intérieurs, on brûle tout ce qu'on peut trouver et on peine surtout à remplir les estomacs. Vous connaissez? On a raconté ça tellement souvent. On se nourrit de chats, de chiens, on transforme les chevaux en saucisson et les rats en pâtée.

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Hugo, de son côté, expérimente l'antilope et même l'éléphant qui, jusqu'alors, étaient les malheureux hôtes du Jardin des plantes. Il y a ces bombardements prussiens qui viennent s'ajouter à tout cela et qui pèse sur le moral des gens à partir de décembre. C'est terrifiant, d'ailleurs. Léon Arakan, qui écrit sous la Troisième République, nous dit Il y a eu d'atroces épisodes. Un obus perçant le toit de l'école Saint-Nicolas des Frères éclata en plein dortoir et cinq enfants furent tués.

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Du coup, il faut bien vivre néanmoins, dans ce Paris assiégé, dans ce Paris souffrant. Hugo, au delà de toutes ses activités, illustre cette nécessité de se raccrocher à ses habitudes. Vous me voyez venir, y compris les habitudes les plus intimes, de vous dire que Juliette Drouet est un petit peu âgée. Maintenant, elle est à ses côtés, mais ça n'empêche pas l'écrivain. Pendant ces dures mois, d'aller trouver quelques moments pour revoir d'autres femmes, je cite encore Alain Decaux.

[00:12:37]

Les carnets enregistrent des adresses mystérieuses, sans doute utiles. 5, rue Frochot, au fond de la cour ou au sixième, ou 60, rue Saint-Laurent, au troisième. La porte du fond? Beaucoup de noms de comédiennes venus le visiter à l'occasion des lectures publiques des Châtiments. Parmi elles, une certaine Sarah Bernard. Vous voyez que la vie se maintient en dépit des rigueurs du temps. Mais combien de jours encore cette situation va t elle pouvoir pouvoir durer?

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Quelques mesures du final animées de la Symphonie en si bémol d'Ernest Chausson, c'est Marek Yanofsky qui dirigeait l'Orchestre de la Suisse romande.

[00:14:02]

Franck Ferrand sur Radio Classique. Le 18 janvier, il va y avoir 150 ans, lundi prochain, dans la galerie des glaces du château de Versailles, l'Empire allemand est proclamé. Terrible symbole. Et pendant ce temps, les Parisiens, comme dans d'autres villes ou citadelle assiégée, il faut penser à Belfort, à Bitche, etc. Dont les Parisiens tiennent, tiennent bon. Le gouvernement, lui, aurait plutôt tendance à flancher. Et à Paris, beaucoup craignent l'annonce de ce qu'il verrait comme une trahison.

[00:14:33]

Les épreuves du siège exacerbent les tensions et font naître toutes sortes de tentatives. Le 22 janvier, nouveau trouble réprimée dans le sang, Hugo écrit J'en reviens. Il y a eu une attaque simultanée des deux côtés. J'ai dit à des combattants qui me consultaient je ne reconnais pour Français que les fusils qui sont tournés du côté des Prussiens. Or, le 28 janvier, c'est la grande déception pour tout le monde, pour l'écrivain, mais pour les autres, c'est l'annonce de cet armistice qui vient d'être conclu.

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Paris capitule. Une assemblée va devoir être élue pour entériner la paix. Et c'est donc une nouvelle page qui est à écrire. Après le vote du 8 février, Hugo apprend qu'il a été élu député. Ces votes spontanés cinq jours après, le voici en route pour Bordeaux, où l'assemblée s'installe. Dans un premier temps, on est au Grand-Théâtre de Bordeaux et de cette chambre dominée par les monarchistes exaspère l'écrivain. L'écrivain est une des grandes figures de la gauche minoritaire.

[00:15:33]

Hugo, il représente assez bien, d'ailleurs, le vote des Parisiens, très en contraste avec celui des autres de toutes les provinces de France. Il va faire résonner sa voix illustre dans la nouvelle assemblée avec Soline Sonet. Pardon, avec solennité, avec détermination. Il appelle, je cite, à étudier le procès des Prussiens comme Rome a étudié le procédé punique se fortifier, s'affermir, se régénérer, redevenir la grande France, la France de 17 192, la France de l'idée et la France de l'épée.

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Ovation. Bien entendu, partout. Mais comme le montre Alain Decaux, ce triomphe est passager. Car le 8 mars, une polémique autour de l'élection de Garibaldi a dégénéré et Hugo est pris à partie, ce qu'il désole. Il va devoir couper court puisque c'est ainsi, il renonce sur le champ à son mandat. Il faut dire qu'il y pensait presque depuis le début.

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Mais ce constat d'échec est placé au second plan parce qu'il y a un autre événement le 13 mars, alors que Hugo attend Charles, son fils, dans une brasserie. On vient de lui annoncer que Charles ne viendra pas parce que Charles vient d'être victime d'une crise fatale dans un dans un fiacre. Il avait seulement 44 ans. Le 18 mars, Hugo et son clan, si je puis dire, sont de retour à Paris. Et les voici devant cette fosse du cimetière du Père-Lachaise où l'on va enterrer Charles Hugo.

[00:16:57]

Note On a jeté des fleurs sur le tombeau. La foule m'entourait. On me prenait les mains comme ce peuple, mais comme je l'aime, je suis brisée. L'écrivain doit aller à Bruxelles pour régler les affaires de son fils. Il n'est plus là pour voir l'insurrection qui est née d'ailleurs, cette insurrection à Montmartre, le même jour que les funérailles de Charles. Il ne va pas assister Hugo au second siège que va devoir affronter la ville et cette fois, siège par le pouvoir légal autour d'Adolphe Thiers, contre les révoltés, les insurgés de la commune.

[00:17:30]

Cela n'empêche pas le grand écrivain de suivre les événements à distance. Il comprend les langues de tous ces gens, nous dit Alain Decaux. Il comprend la rancœur de combattant qui persiste à penser qu'on leur a dérobé une possible victoire. Il comprend l'immense refus de Paris devant cette assemblée monarchiste qui, de Bordeaux, s'est transportée à Versailles en peur et surtout en haine de la capitale. Il comprend, parce que rien n'est feint, de l'amour qu'il voue à ces hommes et ces femmes.

[00:17:59]

Il comprend, mais il n'approuve pas. En résumé, Victor Hugo a critiqué l'attitude des deux camps opposés dans ce nouveau siège. Et voilà qu'à la fin du mois de mai, les autorités officielles du pays républicaines reprennent Paris avec une violence aveugle. C'est la semaine sanglante. Vous avez? Les tirs fusent. Des milliers de personnes s'effondrent dans les rues, sur les barricades. La répression est sans nuance cette semaine sanglante. On peut dire qu'elle révulse Hugo aussi, quand le gouvernement belge refuse d'accueillir les communards en fuite.

[00:18:31]

Hugo s'insurge publiquement et cette prise de position lui vaut des protestations en pleine nuit, sous ses fenêtres à Bruxelles, la foule est là, qu'il menace, jettent des pierres contre la façade, cassent des carreaux. Un autre jour, de jeunes élégants viennent lever le sifflet. Enfin, la décision du pouvoir belge tombe. On lui demande de sortir du pays.

[00:18:53]

Pour Hugo, c'est déjà un nouvel exil, car il ne se sentirait pas en sécurité en France, donc il choisit d'aller au Luxembourg de tous les évènements depuis son premier retour d'exil. Il tirera un nouveau recueil poétique qui s'appelle, Vous le savez, l'année terrible. Mais la France ne tardera pas à revoir la silhouette tellement connue de Victor Hugo. La République, maintenant, a besoin d'un garant, d'un soutien. En vérité, elle a besoin d'un père et ça, c'est un rôle taillé pour lui.

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Merci à Pierre-Louis Lancel et bonjour à notre Christian Morin, bonjour Christian. Bonjour mon cher Franck. Comment allez vous ce matin? N'a pas écouté vous aussi, visiblement. Je rappelle à nos auditeurs que hier, on pouvait vous voir en figure, si j'ose dire dans Le Parisien. Et maintenant, on va avoir l'image sur ces news et le son sur Radio Classique tous les jours. C'est très agréable de vous retrouver ainsi puisque vous parlez de Victor Hugo, mon cher Franck.

[00:20:00]

Tout à l'heure dans notre programme avant Deezer, programme concocté comme chaque jour par notre cher Francis Razel. Mais oui, on va écouter Édouard Lalo et figurez vous que j'ai découvert en préparant cette émission que la loi avait composé six petites mélodies sur des poèmes de Victor Hugo. Vous évoquez ce matin. Voilà. Merci Totor. Juliette, tu totor de Juliette? Oui, ça, c'est un peu plus pour l'intimité. Elle était moins publique. Mais enfin, quelle belle histoire!

[00:20:28]

Malgré tout, tout au long de cette carrière extraordinaire et exceptionnelle. Merci Franck. Bonne journée et à demain matin, bonne journée. C'était votre programme avec Línea Santé, vos masques de protection.