Attila, l’ultime campagne
Franck Ferrand raconte...- 1,385 views
- 28 Dec 2020
Surnommé « le Fléau de Dieu », Attila, chef des Huns, a semé la terreur dans tout l’Occident. Mais il va finir par trouver face à lui ce qu’il reste de l’Empire romain. Attila sera-t-il vaincu par Aetius ?
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9 heures 9 heures 30. Franck Ferrand raconte sur Radio Classique. Imaginez l'atmosphère effroyable qui règne dans Orléans, qui ne s'appelle pas encore Orléans. Au printemps 451, les nouvelles qui viennent du Nord sont terribles. Elles sont angoissantes puisqu'on dit qu'il est un alien. Le seul, le seul prononcé de leur nom fait peur. Les uns d'Attila qui viennent d'Asie centrale et qui sèment la violence dans toute la Gaule. Les uns sont annoncés. Ils ont déjà pillé et incendié Trèves, puis Metz.
Et maintenant, les voilà qui progressent à travers les coteaux champenois. Ils sont déjà passés par ce que nous appelons l'Ile de France. Difficile de savoir quel va être leur prochaine objectif. Est ce que ce sera Lutèce ou Sainte-Geneviève? Lutte pour empêcher les habitants de céder à la panique? Ou est ce que ce sera Orléans? Orléans, cité stratégique, passage sur la Loire et donc porte vers le sud de la Gaule? Il est évident que c'est la destination la plus probable et la cible la plus probable.
A cette période, l'Empire romain d'Occident d'Occident est vraiment, j'allais dire, daccident. Le terme est choisi parce que l'empire va mal, voire très mal. On est quelques décennies seulement avant la chute pure et simple de cet empire romain d'Occident. La Gaule, pour une bonne part, est tenu par des tribus germaniques qui sont plus ou moins solidement fédérées à Rome, et tout l'Orléanais, dominé par le chef des Alains, qui s'appelle San Gibon et qui semblait être prêt à un accommodement avec Attila.
Selon certaines sources, le vieil évêque d'Orléans, Aignan Mont-Saint-Aignan, n'est pas du tout de cet avis. Il entreprend même de toute urgence une traversée de la Gaule pour chercher le soutien d'une issue issue. C'est le plus important des généraux romains qui se trouva à Arles à l'époque. À son retour, Aignan aurait tenu des paroles fortes aux Orléanais pour qu'il tienne tête à Attila. Il ne faut pas qu'ils lui ouvrent leurs portes, leur d'ITIL, ditil.
Astuce va réunir, comme il l'a assuré à l'évêque, qu'il va réunir des forces suffisantes pour contrer l'offensive. Et ce qu'il faut, c'est tenir, tenir bon.
Je cite André Loyen dans une étude sur le prélat d'Orléans. Ces promesses qui, dans la bouche de Saint-Aignan, prirent vite la valeur d'une profession, contribuèrent à relever le courage des Orléanais. L'évêque fit prendre par ses ouailles toutes mesures utiles pour soutenir un siège de plusieurs semaines. À la fin du mois de mai, ce qui était redouté va arriver du haut des remparts d'Orléans. Les sentinelles voient Atila approcher. Les 1 qui mènent divers groupes de Germains avec eux sont nombreux.
Ils sont très nombreux et vite, ils se mettent en action. Leurs solides béliers s'écrasent contre les défenses de la cité, des coups de boutoir terribles. C'est une épreuve de force incroyable qui commence et les jours défilent et il devient clair Orléans va chuter.
Franck Ferrand, c'est raté, christique, et Orléans va bel et bien céder. Les troupes d'Attila commença à investir la cité tellement riche. Une catastrophe d'instincts, un pillage terrible. Bonne surprise, ce pillage a lieu avec moins de brutalité gratuite que ce que l'on aurait pu imaginer ou redouter. La chronologie des événements, l'exactitude des faits est difficile à établir, mais il semble que peu de temps après la chute d'Orléans, le 14 juin au petit matin, les armées de secours tant attendues et soudain fait irruption autour de la cité ligérienne un peu tard.
C'est comme la cavalerie, ça arrive trop tard. Qu'est ce que vous voulez? Il y a là aller les contingents. Une solide troupe franque, mais aussi n'est Vigot du roi Théodoric. C'est un déploiement impressionnant qui arrive pour contrer les uns. Et on peut dire que d'un seul coup, la peur change de camp. Je cite Michel Rouche, grand spécialiste du bas moyen du haut Moyen Âge. Surpris, les uns évacuèrent la ville en catastrophe, certains se noyer même dans la Loire qui sortait de son lit.
Attila préféra battre en retraite et abandonner le butin. Cette libération fut vécue comme un miracle la réalisation de la profession de Saint-Aignan. Attila repart donc à toute vitesse vers le Nord-Est, qui lui est plus familier. C'est une sorte de course poursuite à ce moment là, le 19 juin. Les uns et leurs alliés sont rattrapés par les Romains, déçus par tous les et par tous ses alliés. Théodoric et toutes ses troupes composite. Alors que l'obscurité enveloppe déjà la campagne champenoise, la nuit est en train de tomber.
Des échauffourées, des échauffourées hasardeuses, quasi aveugles, ont lieu en marge des deux masses humaines et enfin, le lendemain, les deux armées, bien visibles vont se faire face. Au milieu de la plaine un peu vallonnée des champs catta, l'onyx. Le nom est prononcé. On est près de trois ou Chalons. Ces champs catalog. Situer sur une carte. Évidemment, des chiffres variables sont avancés, mais il y a tout au plus 25 à 40 000 combattants dans chaque camp, ce qui, pour le 5ème siècle, n'en est pas moins énorme.
Pour Attila poura issus, cette confrontation inéluctable présente une dimension quasiment fratricide. Parce que ce qu'il faut vous dire, c'est que les deux hommes se connaissent très bien. Loin de l'idée qu'on se fait souvent d'un Attila barbare, même carrément bestial, vous savez étranger au monde civilisé qu'il est en train d'attaquer. En vérité, le chef des uns a une perception très précise de l'Empire romain. Ils connaissent par cœur et sus. Lui aussi sait parfaitement qui est son adversaire.
Je cite Jean Favier à ce propos Fils de nobles fev pardon, fils de noble famille, issu a passé une partie de sa jeunesse comme otage de haut rang à la cour de Rougie, là qui était donc l'oncle d'Attila. Et Attila a été son compagnon mieux que quiconque a issu. C'est ce que vaut l'empire unique avec un H. L'un des combats les plus terribles de l'Antiquité va pouvoir commencer entre deux ennemis féroces et qui se connaissent bien.
Ce matin, La bataille d un poème symphonique de Franz Liszt.
C'est l'Orchestre philharmonique de Berlin qu'il interprétait sous la baguette de Zoubida Mehta Franck Ferrand sur Radio Classique. Il faut vous figurais un peu Atila juste avant la bataille des champs catatonique.
Le chant. Beaucoup d'expérience, un auteur du 16e siècle. Nous le décrit, il nous dit que sa taille est courte, sa poitrine large, sa tête forte.
Il a encore de petits yeux, la barbe clairsemée, les cheveux grisonnants, le nez écrasé, le teint mat. Bon, c'est un chroniqueur pas tout à. Les chevaux fendent la plaine, imaginez les flèches qui percent les peaux, les armes qui s'écrase sur les torses et cisailles les membres. Jordanès écrira que selon certains témoignages, je cite un petit ruisseau de cette plaine s'enflamme tellement non d'eau de pluie, mais par le sang des mourants, qu'il se mua en torrent impétueux qui roulait du sang.
Les troupes d'Attila sont vite débordées par àl'issue et ses propres troupes, tout composite qu'elles puissent être quand même quand même.
On peut dire que le roi des Vigot va jouer un rôle terrible dans cette affaire puisqu'il meurt en pleine bataille Théodoric, ce qui fait que la chance pourrait bien changer de camp. Voilà qui pourrait semer le trouble parmi parmi les assaillants des uns. Les Vigot n'en restent pas moins mobilisés. Ils vont faire payer, au contraire, la perte tragique de leur chef à Attila, le chef défunt, et bientôt bousculé directement et après des heures d'un combat acharné.
C'est bien une défaite qui est en train pour lui de se dessiner et doit bientôt se replier. Il est condamné à faire ce qu'il aime le moins faire, c'est à dire se mettre en posture défensive. Le mythe de l'invincibilité des uns était maintenant brisé, nous dit Michel Rouche. Attila avait perdu une bataille en champ ouvert. Il était battu, mais non détruit. L'attitude d'issues étonne ici parce il pourrait écraser son ennemi. Bien sûr, Attila est très vulnérable à ce moment là.
Non, il le laisse partir avec des forces encore importantes. À tel point que Attila peut se payer le luxe d'aller, rend lever l'évêque de Troie Saint Loup pour s'en servir de caution, le temps de quitter la Gaule. Alors, évidemment, on s'est beaucoup posé de questions sur cette magnanimité du général romain de d'issues. Pourquoi est ce qu'il n'a pas écrasé Attila quand il le pouvait? On s'est demandé si ce n'était pas tout simplement une fleur qu'il faisait à son ancienne amie.
L'idée n'est pas sans séduction, mais elle est probablement trop romanesque. Voilà ce que nous dit plutôt le grand Jean Favier. Il a, lui, une théorie plus cynique, c'est que le plus grand péril qui menace l'Occident est à l'intérieur, c'est la désagrégation. C'est la rivalité des peuples.
À peine etablissez l'effondrement de l'unité romaine, ce qui maintient les peuples fédérés dans une certaine unité. C'est la peur du 1. Mieux vaut laisser un Asiatique de plus au delà du Rhin et maintenir les fédérés dans un état d'alerte qui garantisse la paix intérieure et la défense extérieure. Voyez l'intelligence extrême du grand Romain issu se dit qu'il vaut mieux ménager les uns si l'on veut qu'il continue de faire peur à tous ces peuples qui menaceraient, sinon de quitter l'Alliance romaine. Quoi qu'il en soit, Attila vient de subir un échec très lourd.
La question de l'avenir, bien sûr, se pose pour lui. Il a un avantage, c'est que c'est un nomade. Et il n'a pas de ne pas attacher Grand poney à un territoire fixe est un homme archi pragmatique. Si l'empire de Constantinople, à l'Ouest, paraît pour l'instant trop bien tenu, si la Gaule la échaudées, vous vous l'aurez compris, il lui reste une troisième voie. Il se dit qu'il pourrait peut être aller combattre dans la péninsule italique et d'ailleurs, il a un compte à régler avec l'empereur Valentinien 3.
Il n'y a pas si longtemps, la sœur du maître de Rome a médité un mariage avec lui et le chef s'est montré très intéressé. Il espérait obtenir par cette alliance la moitié du territoire romain d'Occident seulement.
Valentinien s'est opposé finalement au projet et il a refusé d'avoir Attila comme beau frère. En 452, cette histoire n'est pas forcément l'essentiel pour lui. Attila entend sans doute simplement profiter de la fragilité romaine pour retrouver une dynamique victorieuse, pour étancher sa soif de domination aussi.
Et puis, disons le, pour s'enrichir parce qu'il a besoin lui aussi de solidifier son emprise sur ses propres troupes. Celles ci sont entrées déjà au Nord-Est de l'Italie.
On est là en juin 452, campagne éclair qui doit mener les uns jusqu'à Rome. On a l'impression que Rome est là, presque à portée de main, que la campagne soit une campagne éclair ou pas. Il y a quand même une place forte qui va barrer la route. Moins de 50 kilomètres de l'actuelle Trieste, ville cité alléchante que prospère, elle aussi solidement défendue. Bien sûr, on entreprend un siège siège éprouvant, décourageant. Les semaines passent. Attila ne semble pas trouver la clé pour faire plier Aquilée.
Toutefois, il ne lâche pas prise. Et ça paie puisque après un été ou presqu'un été de harcèlement, la Ville finit par chuter. Les habitants qui déjà avaient été affectés par le siège, vont payer leur résistance au prix fort. Certains. Si je puis dire. Et le voilà qui. Pouvoir réunir contre lui, est ce qu'on va assister à la. On raconte à Rome, bien sûr, toutes les exactions des uns qui se trouvent là, juste au nord, et qui commencent à inquiéter tout le monde.
Après Aquilée, les hommes d'Attila mettent à sac toute une série de cités, devait ainsi de Lombardie. On a, on a gardé dans la région vénitienne, on a gardé le souvenir terrible de ces attaques des 1Les.
Les uns ont laissé, si vous voulez, une mémoire sangue sanguinaire. Or, ils ne vont pas être occupés éternellement dans la riche plaine du Pô. Et évidemment, alors l'empereur Valentinien 3 et les sénateurs romains se mettent en tête de trouver une issue diplomatique à la menace qu'ils encourent. L'idée s'impose de dépêcher à Attila un émissaire contre lequel il ne pourrait rien. Un émissaire qui pourrait l'impressionner, qui serait de taille à lui parler. L'émissaire en question? Ça va être le successeur de Saint-Pierre lui même.
Ça va être le pape Léon. Premier homme expérimenté qui se trouve sur le trône pontifical depuis déjà plus d'une décennie. Qui sait ce que défendre un point de vue veut dire qu'il est particulièrement doué pour le faire? Il faut vous le dire, il en a l'habitude avec toutes les querelles théologiques de l'époque. Vous imaginez bien. On est dans la constitution même du dogme catholique. Le concile de Chalcédoine vient juste d'avoir lieu et le pape Léon a été obligé au concile de Chalcédoine de se faire entendre.
Bien sûr, Léon accepte la mission qu'on lui confie et sa délégation quitte bientôt Rome.
Elle va traverser le Latium. Elle va entrer en Toscane, traverser la Toscane, puis l'actuelle Émilie-Romagne, pour atteindre le lieu de l'entrevue avec Attila. On est tout près d'une rivière. On est au nord du Pô.
Plus d'un millénaire après, le peintre Raphaël va faire de l'événement une fresque qui est sans doute une de ses œuvres les plus célèbres. Et puisqu'on sait, puisqu'on parle aujourd'hui, puisqu'on célèbre le 50ème anniversaire de la mort de Raphaël. Évidemment, je ne pouvais pas passer l'existence de cette grande fresque sous silence.
On y voit le pape Léon digne, plein d'autorité. Et puis, en face, Atila a littéralement subjugué. Il est à cheval, Atila, comme s'il était soufflé par la puissance de l'Église. Et c'est ce qu'a voulu montrer Raphaël. Bien entendu, avec les figures tutélaires de Saint-Pierre et Saint-Paul qui, littéralement, vole au dessus de la scène dans la vision qu'en a donnée Raphaël. Raphaël n'a pas fait œuvre d'historien puisque, en fait, la véritable scène est assez floue.
Elle va aboutir. Néanmoins, cette confrontation entre Attila et le pape et dans le film avec Antoni couine, on voit Attila tout en noir et le pape tout en blanc. Bien sûr que c'est très spectaculaire, tout ça.
Ça va aboutir à un compromis qui peut surprendre puisque qu'il se montre d'un seul coup beaucoup moins terrible, va accepter assez sagement de ne rien tenter contre Rome.
La thèse du prodige ecclésial qui appuiera l'œuvre de Raphaël est douteuse. L'aura de Léon, la pompe pontificale. Certes, on peut jouer un rôle, ne serait ce que parce qu'il a pu être honoré qu'on lui envoie directement le pape. Mais il semble en fait, comme l'écrit Michel Rouche, que le chef des études a un intérêt évident à négocier dans cette affaire.
Il ne pouvait pas aller très loin. Les troupes étaient éprouvées, elle était mal ravitaillés. Elle était à la merci d'épidémies, tandis qu'en parallèle, l'Empire byzantin avait lancé des attaques opportunes contre un certain nombre d'intérêts. Bref, Attila et ses troupes ne sont pas fâchés, d'une certaine manière, qu'on leur qu'on leur montre la porte de sortie. Ils vont pouvoir se retirer d'Italie en gardant la tête haute et en ces temps, clairement enrichis. Parce qu'il y a une négociation dans cette affaire.
Bien sûr, le chef nourrit déjà de nouvelles ambitions.
Franck Ferrand, c'est un raté christique christiques, a t il apparaît profiter de la saison froide pour mettre sur pied sa campagne suivante. Cette fois, il semble vouloir abattre ses foudres sur l'empire d'Orient. Il est vraisemblable que cela soit dans le but qu'il décide de contracter une nouvelle union matrimoniale qui serait tout à fait payante sur l'échiquier diplomatique. Les célébrations ne vont pas se passer comme prévu. Citons une dernière fois Michel Rouche. La fête des épousailles fut marquée par un somptueux banquet au cours duquel, contrairement à sa sobriété habituelle, Attila s'en livra à l'excès et s'endormit.
Je cite Abruti par le vin et le sommeil. C'est ce que nous dit un chroniqueur.
Un saignement, donner le prix. Et il sait toutefois le lendemain, comme une partie du jour était déjà passé. Les serviteurs royaux soupçonnent quelque malheur après avoir poussé des cris. Il enfonce les portes monumentales de la chambre et découvre Atila, mort sans blessure. On a beaucoup parlé de cette histoire, on s'est beaucoup posé de questions sur ce qui peut apparaître comme un crime. Après tout, peut être quelqu'un aurait il aidé Attila à passer de vie à trépas.
Il semble en fait que cet homme redouté à travers des régions entières et qui, tant de fois, n'avait trompé la mort sur les champs de bataille, que cet homme est bien disparu de la manière la plus bête qui soit, si je puis dire, sans panache ni violence. Victime d'un saignements de nez, noyé par son propre sang, celui qui avait tant fait couler le sang des autres.
Je crois que certains l'ont surnommé l'Atlas des ondes et pour tout vous dire, je me demande pourquoi c'est Christian Morabito comme John Bestiaires au temps où je passe les auditeurs. Robert plus cool, Atila, ça me rappelle un souvenir. Lorsque j'étais en sixième ou septième, le professeur avait dit Savez vous où a été enterré Atila des eaux du Rhin? C'est ce qu'on y en a écarté. Les zones où les insaturé et bon ordre Morain blindes et bien évidemment, déjà un peu Luger dans l'esprit.
Je lui dis je ne sais pas, je n'y étais pas. Et donc à la porte avec le livre d'histoire un encrier et un porte plume pour copier le cours de la journée. Et en partant, je fais mine de tenir le livre en même temps et avec l'encrier dessus, il me met une gifle. A l'époque, on pouvait callosités et l'encrier tombe et sauramps vers renverse sur le pantalon du professeur. 2 dimanche de. Oui, oui, ce sont des souvenirs merveilleux.
Oui, maintenant, c'est la vie d'Attila sur le bout des doigts. Exactement exactement.
C'est ce qui m'a permis de vous écouter davantage ce matin.