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9 heures 9 heures 30. Franck Ferrand raconte sur Radio Classique. VENISE Aux abords de la place Saint-Marc, jour de la fin de l'hiver 1789, il y a beaucoup de monde. L'humeur est à la fête, à l'excitation. Et pour cause.

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Le tout nouveau doge, il s'appelle Lodovico Manning. Manning, nouveau doge, paraît hors de la magnifique basilique Saint-Marc. Vous imaginez la foule qui est là?

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Il est sur une sorte de grand trône porté sur des brancards. Il a revêtu les plus riches habits possibles. Il porte la corne ducale qui est le couvre chef des doges. Et les badauds les plus proches peuvent maintenant distinguer les yeux, toujours un petit peu inquiet de ce nouveau doge et son long nez et des traits mûrs. Il a 63 ans. Grâce au bras solides des porteurs, le doge va sillonner la place et on se presse d'autant plus autour de lui que de sa hauteur.

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Il est là à distribuer des piécettes au hasard des pièces qui finissent leur course dans des mains avides. Lúcia, le luxe raconte la scène dans Historia. Les porteurs avaient ordre d'aller très vite, sans doute pour limiter la générosité du nouveau doge, arrivé près de la paix à deux Etats. C'étaient des sequins d'or que le doge lançait. Mais c'est ce qui n'allait pas plus loin que les brancards tirés par les ouvriers de l'Arsenal. Ceux ci se précipitaient en effet pour les ramasser, jouant du bâton.

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Au besoin, précisons que cet argent, cet or en l'occurrence, vient de la poche du nouveau doge. Il en possède, il est vrai, des coffres bien remplis. Et ça vaut mieux parce que ces menues dépenses ne sont qu'un tout début Venise et la République des libéralités. Elle est connue pour ses fêtes et pendant les jours d'hiver. On s'y amuse on shide, on lit dans son IRIX, on s'exclame devant les gerbes d'artifice qui éclairent la nuit au dessus des palais.

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Pourtant, pourtant, derrière toute cette fête dans l'ombre, certains commencent à déjà renâclé. On n'est pas toujours ravis que ce nouveau doge ait pris la place. Certains jugent cet homme d'une famille pas assez illustre pour remplir son rôle. Il est le 120 ème doge de Venise. Songez donc, son clan ne serait pas vraiment vénitien. Lodovico ne serait qu'un frioulan. Il faut imaginer qu'on prononce ce terme là avec beaucoup de mépris. Sa famille n'a accédé au sommet de la Sérénissime qu'au 17ème siècle, et encore à coups d'arguments sonnants et trébuchants.

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Et puis, c'est vrai que lorsqu'on observe la personnalité du nouveau doge, on peut émettre un certain nombre de doutes. On pense qu'il n'a pas vraiment l'étoffe suffisante, qu'il n'aurait pas l'envie de représenter la cité vénitienne.

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On assure que lorsqu'il s'est vu désigné doge, des larmes auraient perlés au coin de ses paupières.

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Franck Ferrand s'y Radio-Classique, alors. Il faut dire que Venise n'est pas au mieux de sa forme en cette fin de 18e siècle. Quand on dit Venise n'est pas seulement la ville à l'époque, c'est toute une république. Bien entendu, ce sont toutes les possessions coloniales et marchandes de cette cité insulaire qui, certes, possède toujours ses palais, son cul, ses perspectives superbes et ses églises à couper le souffle. Mais tout cela parle évidemment bien plus du passé que de l'avenir.

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La Sérénissime, disons le, n'est plus cette immense puissance marchande qui, autrefois, dominait tout le monde méditerranéen et même au delà. Elle n'est plus cette grande puissance. Elle a été complètement surclassé par les nouveaux Etats nations, appuyés sur des peuples et des dynasties régnantes, avec des armées très fournie, avec une politique solide.

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Et les Etats, peu à peu, se sont emparés des marchés commerciaux à travers le monde entier. La Sérénissime, avec ses vieilles institutions, n'a pas été capable de suivre la population vénitienne et très, très peu nombreuse. En termes diplomatiques, Venise est devenue une sorte de nain revécu de très riches Zahabi. Elle est coincée entre les rivalités des Bourbons et celle des Habsbourg. Et puis, face à eux, que faire?

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Et bien que ce qu'ont fait les Vénitiens, que ceux qu'ils ont adopté pour l'essentiel, une réserve assez sage, peut être trop sage. Mais qui sait? Et si Lodovico Magnin contribuait à redonner du souffle à sa cité? Je vous ai parlé de ces faiblesses, réelles ou supposées. Faudrait peut être maintenant que je vous dise quelles sont ses qualités. D'abord, cet homme là est très instruit. Il est très expérimenté. Dites vous qu'avant de devenir doge, il s'est illustré notamment aux commandes de villes telles que Vérone et on a observé dans l'exercice des différentes fonctions dont il a eu la charge.

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Le côté consciencieux du personnage est probe. Pas sûr que tout ça change grand chose, nous dit Pierre Louis Lancel, qui a préparé cette émission. Le système politique lui laisse très peu de marge. Son rôle est surtout symbolique. Il défend des instances oligarchiques. Et puis, disons le, dans cette république. Grand chose qui fonctionne, Amable de Four nous dans un bel ouvrage, La République, la Venise des Doges, Amable de Four nous donne un exemple terrible de cette affaire.

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Dès avant la réunion en France des États généraux de 1789, nous d'ITIL Antonio Capello, l'ambassadeur vénitien, avait alerté la seigneurie sur le risque d'une explosion sociale et politique à Paris et sur le danger que représentait la politique d'isolement de la Sérénissime. Il concluait Je parcours des yeux toute l'Europe et je vois que notre République est le seul Etat qui soit sans rapport établi avec les autres. Ne pas avoir de prévoyance, c'est d'abandonner tout au hasard. La guerre est imminente.

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La Sûreté exige que nous fassions un système de politique raisonnée et analogue aux circonstances que nous imitons. Enfin, la prudence de nos ancêtres est bien, aussi stupéfiant que cela puisse paraître, nous dit nous. Cette dépêche ne fut pas transmise au Sénat, mais déposé dans la liasse des lettres communiquée et non lu.

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François Leleu au bois, accompagné par l'orchestre de chambre de Munich, interprétait ce Concerto pour Aubois de Domenico Cimarosa.

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Franck Ferrand, Si tu christiques. Quelques semaines seulement après l'accession de Lodovico Manning à ce poste éminent du doge de Venise, on appelle ça le Dougga. La France entre donc en révolution et presque chaque jour, à partir de 1089, évidemment, des nouvelles à peine croyable arrive au Palais des Doges la chute de la Bastille, la remise en cause des anciens privilèges, etc. Et il n'y a pas qu'à Venise. Pour toute l'Europe, c'est un véritable séisme.

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Seulement, face à tout cela, les autorités vénitiennes se montrent, comme d'habitude, trop prudentes et même assez passives. Ce n'est qu'à l'automne 1789 que la République de Venise, qui n'est pas très à l'aise avec les libertés politiques, semble réaliser que ce souffle révolutionnaire pourrait finir par menacer son propre système. Le système de l'oligarchie vénitienne, qui, par essence, est très inégalitaire les autorités, redoublait de surveillance vis à vis des étrangers et de certains Vénitiens soupçonnés d'idées libérales, nous dit encore Amable Dufour, nous renforcèrent la censure et interdire les réunions publiques dans cette cité parfaitement tempeh.

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Les inquisiteurs s'employaient à étoffer le moindre ferment. Subversif. On cherche des suspects à l'intérieur, à l'extérieur. Pour autant, on ne sort pas de la prudence habituelle de Venise. Et pourtant, à partir du printemps 92 de 1792, c'est la guerre qui éclate entre Paris et Vienne. Autrement dit, un certain nombre d'armées étrangères vont venir s'expliquer là, en Italie du Nord. Il serait sans doute nécessaire de ne pas trop rester esseulé. Pourquoi ne pas opter pour un des deux turbulents voisins, a priori.

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Venise devrait s'allier à Vienne. À l'Autriche, bien entendu. Mais non, elle se contente une fois de plus de ménager la chèvre et le chou, par exemple. D'un côté, elle va permettre un droit de passage à l'armée impériale autrichienne, droit de passage limité d'ailleurs. Mais en même temps, elle s'acharne à préserver avec Paris un lien qui plonge ses racines dans la nuit des temps. Or, vouloir contenter chacun, c'est risquer forcément d'irriter tout le monde.

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Et nous sommes bien placés, nous, à notre époque, pour le savoir. Les contradictions vénitiennes finissent par exploser au visage du doge et des grandes familles. La douce existence des élites vénitiennes doit finir par part pâtir de tout ce qui est en train de se passer dans cette Europe maintenant en feu et à sang. Il y a des avertissements qui résonnent. La France républicaine fait savoir qu'elle s'impatiente que le comte de Provence réside à Vérone, qui est une possession vénitienne, le comte de Provence qui d'ailleurs maintenant est devenu le roi Louis 18 depuis la mort de son neveu Louis 17 à la prison du Temple.

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La Sérénissime, soucieuse d'apaisement, plie. Le frère de Louis 16, est sommé de partir dès le printemps 96 pour vous dire que Venise a des raisons d'avoir peur puisque un certain nombre de soldats de l'armée française et impériale qui sont là, qui passent tout près d'elle. Et puis, il y a ce jeune général corse inarrêtables qui inflige un revers sur revers à ses ennemis.

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Vous connaissez son nom, bien sûr, Napoléon Bonaparte. À Venise, on continue distraitement à faire la fête tandis que les dirigeants palabrent, certains voudraient amplifier les moyens militaires, adopter une ligne diplomatique plus mordante.

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Mais ce qui l'emporte presque toujours, c'est la sacro sainte impartialité vénitienne. Et pourtant, Paris Vienne maintenant ne se gêne plus pour prendre leurs quartiers carrément sur le territoire de la République vénitienne, en Vénétie même. Et Bonaparte, qui d'abord a été assez aimable, se mette à durcir le ton. Venise, lance t il, serait complaisante avec les ennemis de la France révolutionnaire, dont les Impériaux.

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Ce qui n'est pas totalement faux. Vous semblez, vous comprenez bien que cette stratégie, cette irritation de la part de Bonaparte, est une stratégie, évidemment. Je cite de nouveau Amable Defourny Bonaparte, reconnaissant sa mauvaise foi, écrivit au Directoire Si votre projet est de tirer 5 ou 6 millions de Venise, je vous ai ménagé exprès. Cette espèce de rupture est incroyable. Si vous avez des intentions plus prononcées, je crois qu'il faudrait continuer ce sujet de breweries, contrairement aux engagements, nous dit Amable Defourny.

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l'Armée française, à l'instar de l'Autrichienne, ne faisait pas que traverser la terre ferme. Elle traitait la Vénétie en pays conquis, volait l'artillerie et les munitions des garnisons et s'emparait des fournitures. Ces soldats, ravageait les propriétés, molestée durement les habitants, violaient les femmes et profané les églises. Les maîtres de Venise devraient réagir maintenant. Bannon se contente de concentrer des contingents armés au cas où ça irait plus loin, on se demande ce qu'il leur faut. Or, ça donne des arguments à Bonaparte.

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Tout ça, bien entendu. Le général français fustige l'agressivité des Vénitiens, ce qui n'empêche pas ses hommes, en parallèle, de contribuer dès mars 97 à des insurrections dans toute la Vénétie. Insurrection contre le pouvoir du doge? Vous l'avez compris, la situation devient vraiment terrible. L'un des biographes récents du général, évidemment, Patrice Gueniffey, note que je cite Bonaparte pris la décision de renverser le gouvernement vénitien.

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Un dialogue de sourds s'établit. On offre à la Cité des Doges de rejoindre sa lutte victorieuse contre Vienne, la lutte victorieuse de Bonaparte et Venise. Pendant ce temps là, lui ne parle que de. Devrais je dire, ne parle que de paix. De fait, le ton monte tandis que Bonaparte doit partir. Il déclare que toute agression contre les troupes françaises en Vénétie recevrait la plus forte réponse. Une étincelle maintenant suffirait pour que tout dégénère. Or, voilà que des villages et des villes de Vénitiens sont maintenant le théâtre de rébellion contre ces Français dont l'attitude devient vraiment insupportable aux populations.

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Et tout ça, ce n'est qu'un début. Là, maintenant, c'est certain, Bonaparte ne va pas pouvoir feindre longtemps la cécité.

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Un extrait de la Symphonie vénitienne de Salieri, c'est le London Mozart Players qui était dirigé par Matthias Bamford. Franck Ferrand sur Radio Classique, le 15 avril 1797, On est le jour du Samedi saint. L'aide de camp de Bonaparte, le fringant Junot, peut admirer le décor de Venise. Pour tout vous dire, il n'est pas là pour faire du tourisme, évidemment. Il est porteur d'un message adressé au doge en personne lorsqu'il se présente aux autorités. Toutefois, on lui annonce qu'il devra attendre que Pâques soit passé pour être reçu.

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Geno et sidérer. Il s'offusque d'une manière qui n'appelle pas à la contradiction. Soit on va avancer la rencontre.

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Lucien Le Luc, nous dit Superb dans son magnifique uniforme des hussards de Bersani, le jeune Junot, à la prendre place à l'endroit qu'on lui avait réservé à la droite du doge qui s'était levé pour le recevoir. L'aide de camp debout, une feuille de papier à la main, commença la lecture de la lettre, scandant de sa belle voix mal les phrases mordantes dont Bonaparte avait le secret. La missive commence par un état des lieux d'une rudesse assez étonnante, en résumé.

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Bonaparte accuse Venise d'organiser une opposition violente contre le premier peuple de l'univers. Comprenez les Français, bien entendu. Et la missive de conclure Si vous ne vous empressez pas de dissoudre les attroupements, si vous le faites arrêter et consigner en mes mains les auteurs des assassinats. La guerre est déclarée. Le doge n'a guère que la déférence pour accueillir cet ultimatum. Junot sort de la pièce pour que les maîtres de la Sérénissime puissent débattre et encore une fois, ça va déboucher sur un résultat mou.

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Les émissaires vont aller réaffirmer leurs bons sentiments à Bonaparte et lui donner des explications. Junot, de son côté, ne tardera pas à faire au général français un portrait goguenard de ses patriciens complètement impossible de la Sérénissime, avec leur accoutrement traditionnel et surtout avec leurs tremblements et leurs hésitations face à la puissance française.

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Franck Ferrand s'y Radio-Classique des drames qui vont achever de déclencher l'incendie le 17 avril. Vérone occupée depuis novembre, Vérone se révolte contre les Français. On appelle ça les @PAG Véronèse le 20, un bateau français qui, comme l'écrit Jean-François le maire, nargue les forts du Lido. Ce bateau va essuyer le tonnerre de l'artillerie vénitienne. Bonaparte et Furry Bon, avant de connaître ce qui vient de se passer déjà, il avait lâché qu'il serait un Atila pour Venise. Ça promet.

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C'est dans ce contexte terrible que le doge essaie de faire ce qu'il peut. Il s'entretient avec un cercle limité. Il y a peut être une solution pour éviter un assaut brutal. Il s'agirait entre autres d'offrir à Bonaparte d'adopter des institutions plus conformes aux idées de sa jeune république. Pendant qu'on délibéré, nous dit Lucien Le Luc, quelques coups de canon se firent entendre au loin, provenant de ce que les Français étaient rares, s'était approché de fou ina sur les bords de la lagune.

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Là, le doge comprend ce que cela veut dire et, désespéré, il lance cette nuit nous ne serons pas en sécurité, même au fond de notre lit, le 1er mai. Lodovico Manin s'adresse au Grand Conseil. Son visage est ravagé de tristesse. Il parle de menaces de mort et de pillage. Il confirme qu'il faut répondre aux désirs du général français, même si cela signifie de laisser mourir les vieilles institutions. Les grandes familles vont devoir s'incliner. Le doge, après ça, dit on, se répartit cacher sa peine à l'écart.

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Les jours qui suivent sont tourmentés. On craint une révolte, tandis que les Français maintiennent la pression à distance et laissent tout simplement les choses évoluer. Et enfin, après des discussions pénibles et quelques arrestations, Venise remettent en cause ces fameuses grandes instances. Et le 12 mai, lors d'une séance pour le moins mouvementée, Lodovico Manning va lui même reux. Non, c'est à son pouvoir. Il n'est plus doge de Venise et la démarche est suivie d'effet. Après 1100 années, je dis bien mille cent années, Venise en a fini avec ses doges.

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Un autre pouvoir secret. Des désordres vont suivre, mais la ville est occupée très vite par les Français qui vont faire disparaître dans les flammes tous les insignes de l'ancien doge. Ils sauront aussi piocher parmi les œuvres d'art, vous savez. Et puis, il y a peut être pire encore lors du traité de Campo-Formio. On est là. En octobre 1797, la France offrira littéralement Venise sur un plateau à Vienne. Bonaparte avait d'abord songé à ne céder que les territoires et pas la cité.

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Mais finalement, on donne tout aux Autrichiens.

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Et le malchanceux Lodovico Magnin va survivre encore cinq ans à la fin de ce qui avait été son monde, son univers. Amable Defourny nous dit cinq ans souffrant jusqu'à sa mort d'une blessure morale inguérissable.

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Et voici notre Christian Morin Bonjour Christian, bonjour mon cher Francœur, vous parlez de Venise. Je vous ai encore croisé mardi soir sur RMC Stories et oui, vous étiez à Venise, mort à Venise, dans cette belle ville que vous nous faisiez découvrir comme vous le faites dans vos histoires à la radio ce matin. Est ce que vous êtes passé du côté de l'église Saint-Germain l'Auxerrois? Oui, mais j'ai Louvres. J'ai vu l'œuvre. Ce n'est pas tout à fait paques, mais j'ai vu le monumental déposés là par Rachid Qemu, que nous saluons, bien sûr.

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Bien sûr, cet œuf va, on va inaugurer sa présence. Apparemment, c'est le plus gros œuvre du monde en bronze qui est installée sur cette place qui sera inaugurée cet après midi. Et puis, on en profite, si vous le permettez, mon cher Francs, pour faire un clin d'œil à celle qui est la femme de Rachid Qemu, c'est à dire notre nom, notre rêve Ruggeri. Et voilà que j'embrasse avait en tous les cas cet après midi.

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Puis, dans la foulée de cette exposition, s'étoffe derrière le Louvre. Et il faut rappeler qu'il y a une exposition de sculptures et totems à la galerie Mazarine pour trois mois. Et puis ensuite, bien au 15, rue du Louvre.

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Cette fois, c'est bien qu'il y a encore un peu d'activités culturelles et l'inauguration dans cette ville quand même, non? Et heureusement. Mais ce n'est pas fini. Ça va, tout ça va s'arranger. Croisons les doigts, comme avait dit quelqu'un. Mais à propos de la guerre, c'était encore plus terrible. Il avait dit Nous vivions dans l'anxiété. Maintenant, nous vivons dans l'espoir, donc allons y vers une sortie. Je voulais dire simplement que cette offre sera ensuite installée pour sa place définitive dans le centre ville de Dreux, en Eure et Loir.

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Voilà qui en a fait l'acquisition. Donc bon, cet après midi. Si vous faites un tour à l'inauguration, ce conseil manque à midi. Rêve et bonne chance à Rachid Ki, que nous saluons également.