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[00:00:02]

Speicher Koyo Houmt a servi Chauvé Endings. Pour vous écouter, RMC, en réalité, je pars à l'étranger.

[00:00:37]

Je voudrais souhaiter la bienvenue à Bruno Ben Videau. Ça va bientôt voir. Bonjour la maison Patinés place Torfou Stéphane. Bonsoir à tous, Lofteur est là jusqu'à une heure du matin et exceptionnellement ce soir, after en direct. Bien sur, après la finale de la Ligue des champions et la défaite du Paris Saint-Germain 1 0, la star l'émission Tout le monde du football pense tout bas avec parce que c'est la Ligue des champions. Casting exceptionnel ce soir. Daniel Riolo est évidemment.

[00:01:09]

Daniel. Bonsoir, bonsoir les amis. Lionel Charbonnier, là également. Salut Lionel. Bonsoir à tous les messieurs ce soir, à l'instar de bénéficier d'un prêt sans option d'achat pour une soirée, il est là et on est heureux de retrouver Louisfert landaise dans la jouissance de vous rejoindre. Content de participer à cette fabuleuse émission que vous aimez tous les deux? Quand j'entends, il me semble que je vous capte. J'entends la voix du mois de juillet et Gilbert qui s'attaque à Daniel.

[00:01:42]

Il y a du répondant, c'est de la qualité et de la connaissance. D'ailleurs, c'est pas mal pour moi. On m'a dit que t'écouter l'after pour savoir ce qu'il fallait que tu utilises le lendemain sur beIN Sports? Non, quand même pas. On n'ira pas jusqu'à là. A chacun son savoir et sa connaissance et son expérience. Mon cher emphatiques. Un peu plus tard, il perd également, bien sûr, pour donner la version allemande de cette soirée.

[00:02:07]

On attend les réactions, il y en a deja et des images prestige. Alors essayez toujours avec tous les envois, notamment des joueurs qui étaient en pleurs sur le banc de touche Jallow et qui a été immédiatement réconforté par Icardi qui, lui, n'a pas participé à cette rencontre. Il y a également un marketings prostré à la zone technique, à côté du coach, Thomas Restaura, qui, lui, n'a pas bougé sur sa glacière. Et pour cause, avec ses béquilles, Choupo-Moting, qui aura cru dans les dernières minutes pour pouvoir réaliser le coup du quart de finale.

[00:02:40]

Voilà des joueurs qui ont du mal à digérer ce qui s'est passé. Ils ont du mal à digérer le fait de passer si près, si près. Battus 1 0 par le Bayern Munich, CCAVM réalise un parcours extraordinaire 11 matchs en Ligue des champions, 11 victoires, c'est tout simplement un record. Et le Paris Saint-Germain, qui pourra espérer décrocher cette Ligue des champions? Et ils vont la voir passer devant eux puisque ce sont les joueurs du Bayern Munich qui vont la recevoir pour la sixième fois pour ce club.

[00:03:11]

Et on va attendre, bien évidemment, que tout se mette en place pour la remise du trophée. Mais beaucoup de déception, beaucoup de regrets de la part des joueurs et notamment de l'OM. Neymar, qui a peut être beaucoup de choses à se reprocher ce soir. Les trois points, c'est la tradition dans la trois points, le débat, bien. Surtout que c'est parti. L'important, l'important, c'est d'être parfois l'essentiel pour l'essentiel. Qu'est ce que tu retiens principalement ce soir?

[00:03:36]

La supériorité du Bayern. Déjà, pour commencer, parce qu'il n'y a pas grand chose à dire sur le résultat final de ce match, il faut reconnaître que cette équipe est bien plus au point. Le deuxième point après, on va parler des individualités. Le Bayern est plus fort tactiquement, physiquement et même les individualités. Moi, je disais ils étaient meilleurs à peu près à tous les postes. On m'a répliqué les individualités du PSG, ne serait ce qu'un Hayeur dans les buts, est un monstre, mais des monstres dans toutes les lignes et les points.

[00:04:06]

Concernant le PSG, c'est une énorme déception, mais une déception qu'il faut relativiser. Parce que quand tu ne fais pas ce qu'il faut, quand tactiquement, t'es pas au point, quand on est entraîneur, on ne met pas en place un schéma tactique et te fait jouer comme une petite équipe. Et enfin, les individualités. Quand ton seul schéma tactique, c'est de jouer sur Neymar Mapper, tu ne vas pas bien loin. Surtout que les deux stars qui sont quand même venues au PSG pour ça, c'est peut être dur.

[00:04:29]

Ce que je voulais dire, mais elles n'ont pas le droit de rater une finale. Elles n'ont pas le droit de rater une finale. C'est des joueurs qui sont des transferts colossaux, des salaires astronomiques. Tu n'as pas le droit de rater ta finale, tu n'as pas le droit. On va y revenir. Bien sûr, il est aussi individuel des deux stars. Lionel 3.1 Toi, écoute moi. Mon premier point, ça sera. Pour moi, la meilleure équipe l'a l'emporter ce soir.

[00:04:50]

Dans tous les, dans tous les sens du terme. Sur son championnat. Sur tout ce qu'elle a fait toute la saison. Et en plus sur ce match a été maîtrisé de A à Z. Mon deuxième point, c'est un peu un peu comme Daniel, les individualités. Ce soir, j'avais adoré les individualités du PSG qui s'étaient mis au service de l'équipe et notamment lors de cette demi finale. J'ai trouvé encore plus rayonnante comme ça ce soir. Ce n'était pas le cas et mon troisième point, c'est un petit peu Balleux.

[00:05:21]

L'expérience? Comment? Comment faire sortir Neymar de son match? Comment le traitement qu'ils lui ont réservé, c'était jamais les mêmes qui faisaient la faute sur lui. Ils ont commencé à le titiller. Il lui veut répondre en montrant leur permettant des coups, mais en gardant la balle, en faisant son trou, son son. Son truc individuel en dit Regarde, regarde ce que je vais te mettre derrière le petit pont, le grand pont, le truc et les matchs.

[00:05:43]

Et là, il sort de son match parce qu il joue pour l'équipe, il joue pour lui et c'est fini. Individualité, on va y revenir, on va parler de l'avenir de Thouret, Tiago Silva. Voir les réactions. Louise, tu es d'accord avec Lionel et Daniel sur l'équipe la plus forte a gagné ce soir. La plus forte a dégainé parce qu'elle a su, dès le départ d'entrée, faire une bonne lecture. Tu sais, on lecture sur son adversaire, sur l'adversaire.

[00:06:11]

Comment doit on empêcher que l'on puisse, rapport aux deux adviser été consultés? Daniel avec Lionel NBP Néma. Ils ont su mettre en place dans un 4-4-2 remarquable, avec un jeu de qualité sur les côtés qui misch ni abri d'un côté, droit de l'autre côté. On avait le duo, dévissent avec beaucoup plus de dossiers.

[00:06:38]

Coman, le buteur, ça va être assez incroyable, mais Sanfaçon, extraordinaire, vraiment extraordinaire. Vancoppenolle Un peu de tristesse pour Paris. Enfin un parcours extraordinaire. J'ai toujours été trompeur, avait pourtant bien 100% professionnel de mentalité quand ça fait mal au coeur. Aujourd'hui, voilà, c'est pas gagné, mais il faut respecter ce que Paris a fait. On a sanctionné que le Bayern avait toute la maîtrise de ce match. On avait pioché. Je pense que ça a été très dommage de donner beaucoup de pression après le décompte.

[00:07:20]

On savait que ça allait être dangereux, mais voilà, on a gagné. On n'a pas pris de but aujourd'hui, mais c'est plus important. On a senti aussi un peu plus d'expérience avec la manière. Avec des joueurs aussi expérimentés dans le camp français. Ça a pu faire la différence dans cette rencontre. C'est un petit détail qui peut jouer après. Il n'y a pas que ça dans la rencontre. Paris a fait un super match. On a fait un super match.

[00:07:43]

C'était une belle finale.

[00:07:45]

On est vraiment des héros de la soirée et c'est quand même là dessus. Homme du match, tu te fais planter en plus par un mec que tu as formé. C'est terrible. C'est quelqu'un que tu as fourni, quelqu'un que tu as laissé partir libre. Ça veut dire que y'a rien eu sur ce garçon. On y a pas cru. On n'a pas insisté pour peut être le prêter pour le récupérer. C'est un garçon qui a montré les qualités que l'on sait qu'il a et on est content aussi pour lui.

[00:08:20]

Parce qu'il faut aussi savoir que Kinsley est quand même passé par des moments difficiles, très délicats, difficiles, par des blessures, qu'il a eu le mental pour revenir et marquer ce but et faire gagner son équipe. Mais on ne va pas lui reprocher et il a fait ce qu'il avait à faire avec le Bayern.

[00:08:40]

Tiens, Nicolas Paul aussi est avec nous à Lisbonne, avec les supporteurs déçus, mais malgré tout, ils vont aller sur les joueurs à leur hôtel à Lisbonne. Nicolas, bonsoir. Bien sûr. Bien sûr, tu imagines que tous les bars de Lisbonne se sont un petit peu vidés. Énormément de tristesse. Je suis avec Nicolas. Bon, on a vu des larmes dans les yeux de certains supporteurs parisiens. Il est dur à encaisser. C'est là, mais le PSG est tombé sur plus fort, tombé sur plus fort.

[00:09:03]

Alors je suis d'accord, en tout cas au niveau de l'expérience, parce que ça s'est joué vraiment ce soir de l'expérience. Ils ont été plus réalistes. Ils ont eu 2 3 occaz. Ils ont été au fond là où le PSG, ce soir avait cinq ou six occasions, vraiment très franche et n'a pas su mettre au fond. C'est ce qui fait la différence et l'expérience à un moment en finale. Ligue des champions sont deux, très, très grands clubs.

[00:09:20]

Y'a pas à rougir du parcours cette saison. On gagne le trophée en Ligue des champions. Il n'y a rien non plus. Oui, une victoire en finale Ligue des champions, je suis d'accord, mais c'est la première. L'expérience, ça s'acquiert. Bah, ce soir, ça va servir à tout un groupe d'expérience commune pour tout le monde. Si on prolonge Mbacké et Neymar, tout le monde sera content. Est ce que Nicolas, vous allez quand même accueillir les joueurs à leur hôtel?

[00:09:39]

Vous allez les les les attendre pour les féliciter de ce parcours où la déception est trop grande. Mais c'est la moindre des choses. C'est la moins les choses qu'ils ont fait. Une saison exceptionnelle. Personne en début de saison n'aurait parié sur une finale Ligue des champions. Je sais qu'à Paris, et certainement à travers le monde, il y a plein de supporters qui sont mécontents. Ils sont en larmes, qui veulent brûler le maillot. Et tout, je peux les comprendre, bien sûr, mais prenons un peu de recul.

[00:10:01]

Rendez vous compte du parcours qu'on fait cette saison, c'est exceptionnel. On va ranger les larmes. On va aller vers ce soir, mais dès demain, on repart au diapason. On est au boulot. Le club, c'est meilleur salaire. C'est expérience de fou ce soir. L'année prochaine, ça sera encore mieux. Il y a beaucoup de déception, mais en tout cas, les supporteurs parisiens seront là pour accueillir les joueurs à leur hôtel et on pense quand même qu'il y aura un très, très fort soutien des supporteurs du PSG qui seront présents.

[00:10:27]

Merci quand votre soirée va très vite. Nicola Sirkis en dessert la palme de la tournée des bars à Lisbonne, puisque il l'a fait pendant plusieurs jours avec brio. Turcomans, Daniel Yodel voulait rajouter un truc fait.

[00:10:42]

Il fait un très bon match. Son lien avec le PSG, pour moi, n'a rien à voir. Voilà, ce genre de choses arrive au moment où il part. De toute façon, il n'est pas au niveau pour intégrer l'équipe. Il met du temps à arriver à cet apogée parce que d'abord, il y a eu la Juve, où il s'est imposé non plus, et au Bayern, il a pris le temps et n'a pas tout de suite été titulaire.

[00:11:00]

Ça fait longtemps cette histoire. C'est vieux, c'est vieux, c'est vieux. Alors ok, là, ce soir, on en parle. Oui, c'est symbolique tout de même. On était quand même producteur. Flic? Oui, mais au moment où, au moment où il n'y a pas, il n'y a pas de place. Aujourd'hui, tu es sanctionné par qui? En tant que supporteur? En tant que joueur du Paris-Saint-Germain? C'est sanctionné par un de tes anciens.

[00:11:19]

Un coup aurait pu avoir avec toi un peu le garder parce que j'ai eu des commentaires des gens qui m'ont parlé. Ils m'ont raconté un peu l'histoire de Comanav après. Oui, c'est pas. C'est pas la clé du c'est, mais c'est plus que quelques temps, commente de son côté. Mais ça, oui, c'est anecdotique. Signé, c'est une histoire. C'est une histoire dans une histoire. Mais c'est là, je ne sais même pas s'il est dans l'équipe.

[00:11:39]

Le plus important, c'est l'identité de et j'ai dit qu'il n'y a pas parce que la vérité, c'est que dans le 4-3-3, kaling tourelles cinéma ce soir, il n'est même pas titulaire. Un match, un vrai problème. Match disais que la Ville choisi la clairière parce qu'il s'était avec. Il n'a pas non plus au titulaire dans les matchs précédents avec le Bayern. Il est remplaçant. Il a choisi un peu de blessé. Elle est là, la clé du match.

[00:12:04]

Je pense que c'est il faut reconnaitre. A plus que d'avoir d'avoir titularisé ce soir Kingsley Coman sur le côté droit. Titularisée part par hasard. Il a aussi analysé l'adversaire. Et s'il y avait un point faible quand même du côté du PSG, important qui était à souligner depuis le début, c'était Guerbert. Et en mettant Coman à la place de Perisic quand même, tu pouvais t'attendent à ce que Carrère prenne un bouillon alors que les Parisiens s'en vont récupérer Lorber Derrien de vaincus dans cette semaine.

[00:12:37]

Maintenant, il faut parler du match. Il faut se demander pourquoi tu es dominé à ce point tactiquement, physiquement et tu te retrouves à faire un match ou tu te comporte comme un petit. Et où, finalement, si tu veux faire un match comme ça, comme un petit, parce que l'autre est plus fort, plus costaud, plus en place. Et en fait, tu es obligé de marquer tes premières occaz si tu marques pas tes premières occaz pour en gros mené 1 0.

[00:13:02]

Un peu comme l'a fait Lyon l'autre soir qu'il est plus 11 15. C'est le Bayern. C'est le Bayern qui domine le Bayern d'entrer dans les 15 premières minutes. Ils sont sur toi, mais il t'empêche de terminer le jeu. Oui, mais eux, ils arrivent avec une idée claire de ce qu'ils ont un plan de jeu. Ils ont eu 2 après récupéré. Eux, ils font, ils font leur match. Et quand ils ressortent le ballon, eux, de derrière, ça ressort proprement et ça trouve des ballons gagnés.

[00:13:24]

Si tu veux gagner contre une équipe qui impose plus de 60 de possession, qui fait 2 fois plus de passes que toi, bah ça veut dire que tu a très peu de place sur ce très peu de place. C'était pas efficace, Taymor sur ce genre de geste. La grosse différence? Daniel Attentionnel. Mais est ce que quand tu t'appelles le PSG, que tous ces joueurs là, tu dois disputer une finale en te comportant de cette façon? La question, mais c'était la même contre contre, contre l'Atalanta.

[00:13:50]

Un peu mieux. Contre Leipzig. Mais elle est où ton identité? Qu'est ce que tu veux faire? En fait, tu veux aller. En fait, tu vois, tu veux aller faire un match. Je ne sais pas, moi, France-Belgique de l'année de la Coupe du monde, OK, mais dans ces cas là. Mais toi, qu'on fait comme Lyon, mais toi, à 5 derrière. Et puis on tente le coup, tente le braquage.

[00:14:06]

Mais ça a déboulé. C'est pas ça qu'il voulait, Jeanie, alors je sais que tu ne sais pas ce qu'il veut. Le problème, c'est qu'il a le cul entre deux chaises. C'est quelque chose. Est ce que l'on peut pas faire? Est ce que j'essaye d'attendre? Est ce qu'ils ont voulu jouer ou ils ont voulu jouer au PSG? Le problème, le problème, c'est qu'au ou ils ont voulu viser les Anglais, mais ils ne peuvent pas jouer avec trois milieux de terrain qui sont sur la même voie.

[00:14:30]

Entre vouloir le faire et puis le faire mal, c'est quand même différent, mais ils ont essayé. Mais c'est la grosse différence entre le PSG ce soir et le Bayern de Munich qui, lui, le fait. Tout le temps se bloque. Oh oui, on voit que le Bloc, il est vraiment les Y en le fondamental. Ben voilà, il est là le souci. Le souci, c'est qu'à Paris, dans le championnat, on ne les voit pas souvent très souvent joué haut et a contrario, quand ils veulent faire leur identité, aller ailleurs.

[00:14:58]

En tout cas, là, ils ont voulu changer un petit peu leur identité. Parce que c'est pas l'identité de Paris de jouer deux précédents comme fait en championnat. Je parle de presser haut, comme l'a fait aujourd'hui. Tu vois l'organisation, tu vois les automatismes, le pressing. Paris a essayé de le faire, mais c'était fait les uns après les autres. Les joueurs venaient. Espérons enquillé comme ça. Il, il avait 3 mètres de retard. Du côté du Bayern, c'est bien organisé.

[00:15:23]

Le Bloc est très organisé. On l'a largement commenté dans la largeur des yeux. Il y avait un espace entre les milieux et les attaquants que t'as jamais cessé. L'expérience ne faisait que descendre. Oui, mais c'était mon expérience aussi. Un championnat qui n'a pas fait mieux. Il n'y a pas de milieu réellement relayeur, L'OM, qui pouvait faire des passes et qui en a fait d'ailleurs. Comme d'habitude, il a été bon, c'est paradait. Mais Farès, à la limite, c'est lui qui devrait jouer presque devant la défense.

[00:15:47]

Allez Remi, gagner le jeu Layat sur ses verrines. Le président de l'UEFA qui vient de récupérer la Coupe et qui va la remettre à Manuel Neuer ailleurs, voilà qui devait donc le trophée dans les mains d'Emmanuel. Combien de victoire en Ligue des champions? La sixième en France? Le club du Bayern 2e. Pour le gardien de but, oui, après 2013. Et bien voilà, tout simplement les meilleurs qui se sont imposés ce soir avec beaucoup plus d'expérience et encore une fois, avec une saison remarquable.

[00:16:23]

Un triplé historique comme en 2013 avec 11 victoires en 11 matches de Ligue des champions, ça n'avait jamais été réalisé dans l'histoire de la Ligue des champions. Certes, la formule modifiée avec un seul quart de finale, une seule demi finale pour aller jusqu'à la finale. Bien évidemment. Formule inédite. Mais voilà, le Bayern Munich s'impose, triomphant face au Paris Saint-Germain grâce à un but du Titi parisien Kingsley Coman. Le PSG restera donc la 41ème équipe à découvrir une finale de la Coupe d'Europe, des clubs champions de la Ligue des champions et les sept dernières équipes ayant atteint la finale.

[00:16:57]

Les novices n'ont malheureusement jamais gagné. Ça a été le cas pour Tottenham la saison passée. Donc voilà, l'histoire se répète. Et le PSG, espérons se servir de ce paradis. C'était la première fois qu'ils avaient gagné Dortmund depuis 97. Cette cuisine nordia très bien depuis. C'était effectivement les novices qui tombaient en finale. Puis un petit mot sur un public qui a complètement modifié cette équipe entraînée par Cobac quand il a pris cette formation pour réaliser une saison simplement extraordinaire avec une série d'invincibilité de 29 matchs.

[00:17:31]

Et il devient la sixième personne à disputer une finale comme joueur et comme entraîneur puisqu'il avait participé à la finale de 87 avec le Bayern, tout surpris par le directeur du commerce.

[00:17:53]

On doit réfléchir, on a fait quelque chose très, très important. On a construit quelque chose d'important pour le club, pour le club, pour nos supporters. Maintenant, il y a pas des paroles pour personne, mais je pense qu'on va Peltzer Séguy. On a fait les gros, on a construit l'échange qui on a fait un sablé. Pour moi, c'est difficile ce soir. C'est difficile de dormir. C'est difficile de parler. Jusqu'à demain, on va.

[00:18:42]

On va essayer de revenir ici. On a fait quelque chose, résume Jordanne. On va faire. La se sent bien au combat. Qu'est ce qu'il a manqué ce soir? Techniquement, qu'est ce qu'il a manqué à Paris? On a créé beaucoup d'occasions. On a créé plus d'occasions qu'eux. Je pense. Cette masse d'eau laisse finale si deux marques pas. La réserve m'a beaucoup des qualités. On l'a créé il y a trois, quatre ans, samedi à peine parce que Pascal Magdalénien, ça, c'est un entassée très, très important pour nous.

[00:19:33]

On a créé 5 6. C'est une marque, pas beaucoup de qualité et encore une. On a construit quelque chose, c'est important. On ne fait pas. On ne peut pas mettre à la poubelle. On doit rester ensemble, mais on doit quand même samedi au Relais pour la prochaine version.

[00:19:59]

Alors oui, le retour sur Terre pour le PSG, ce sera dix jours en lien. lUQAM prochain? Oui, tout de suite, c'est plus pareil. Un sacré retour sur terre. Oui, c'est comme ça, c'est la vie. Beaucoup de réactions en parlant de départ. Pappé On me dit C'est Olivier qui me dit ça sur le soleil, dit Mapper. Les mœurs n'ont plus marqué. Depuis quand? Aucun but encaissé, aucun but en et aucun but en finale.

[00:20:22]

On reviendra sur leur départ. Il a réussi les matches et mapper quand il rentre contre l'Atalanta, il est très important là, sur la finale. Les deux sont je ne suis pas en demande, même pas. Tu vois Brillet du début à la fin, mais battait à une opératif. Tu veux dire, Bafé a une vraie occase. Il doit faire exhorbitants. Il aurait été meilleur en première mi temps, les deux qu'en deuxième mi temps et en première mi temps.

[00:20:46]

Ils ont eu des situations. Ablaye Amette, ça fera le. Elle est écrasée, c'est faiblards. Lui doit être décisif. Après Neymar, c'est un peu, c'est un peu perdu. Alors, on peut toujours me dire où il n'est pas aidé. Oui. Et après, il faut trouver, il faut. Il va falloir trouver un schéma tactique à cette équipe. A un moment, on a cru que c'était 4-4-2. C'était 4 devant une pointe Bapès Di Maria.

[00:21:08]

Neymar est de milieu, sauf qu'on ne savait pas quelles étaient les deux milieux parce qu'on savait jamais quoi faire de Verratti. Bon, après son arrivée, les gros matchs et les gros matchs, un peu plus de sécurité, tu mets un milieu de plus. T'enlève l'avant centre Icardi. T'en profites parce que comme il ne mettait pas de but, tu dis bon pour moi, ça se verra pas trop. Toi, en fait, impose pas. Tu subis un peu, tout rale.

[00:21:27]

C'est un petit peu, ça s'en défend un peu. Cardi, il finit pas le match, il rentre pas parce que tu mets Choupo-Moting. Parce que comme il a été sauveur une fois, tu joues un peu sur la confiance. Oui, mais bon, c'est comme une Icardi a été cherché qui gardie pour remplacer carénées. Et alors, qu'est ce que tu fais l'année prochaine? J'en démarre à 3 devant, donc que je ne fais jamais jouer n'avait pas joué.

[00:21:46]

Y'a un problème, va falloir trouver quelque chose. La dernière journée de championnat de France, toi, tu vas faire tais toi, mais t'es cardiaque qu'après, on passe en Ligue des champions. C'est quoi la derniere occase de Choupo-Moting Displays de côté pour aller chercher son talon? Excusez moi, j'aurais bien aimé voir écrit dans la même situation, mais c'est shopbot m'essayer. Il l'aurait fait une fois. C'est déjà énorme. Il ne va pas se transformer. Il va pas se transformer en joueur fantastique d'un coup.

[00:22:10]

Il l'a fait une fois. Le truc, c'est bon. Je ne suis pas chez moi. Je suis pas un grand fan de 10 Picardie. J'espère que ça va durer. Il va durer toute cette année. Comment? Ouais, j'espère me tromper. Bien sûr. Heureusement. Mais là, dur sur démarrer Papé. T'es d'accord avec lui. Et le lien, oui, oui, oui. Bien sûr que dans des matchs comme ça, on attend de ces stars là qu'elles soient déterminantes, alors elles peuvent passer.

[00:22:38]

Que ce soit l'un ou l'autre, ils peuvent passer à côté du match, mais t'attends sur la moindre occasion en finale ou demi finale ou la moindre occasion. Tu dois la mettre et c'est là que le mec, il est important. C'est là qu'il passe dans une autre dimension. Je dirais presque planétaire quand ici, il fait rien du match et il en a une ou une moitié d'une épitopes. Marquer un but et il sauve le match. Il sauve l'équipe et tout ça, ça, c'est assez.

[00:23:04]

C'est une autre dimension. Mais je pense qu'ils vont aussi se nourrir. En tout cas, IBP va aussi se nourrir de ça. Ce que disait Evra, il avait raison. Tout n'est pas foutu à la poubelle. Tout n'est pas à remettre en question. Ils ont fait quand même quelque chose de bien, recourrait là quand même. Voilà exactement. Mais ils doivent se servir de ça. Mais est ce que tu vas continuer avec cet entraîneur là? C'est une vraie casse toi.

[00:23:26]

Tu as l'entraîneur qui, depuis l'arrivée des Qataris, c'est celui qui a le mieux réussi. Aujourd'hui, on peut dire que oui, mais moi, je me trompe. Je me méfie de tout changer. Daniel, si tu changes tout, ça veut dire tu passes à une autre ère, ça arrive à un moment, c'est un moment, un moment. Va falloir quand même qu'il décide ce qu'il veut faire faire à cette équipe, quand même. On comprend pas ce qu'il fait faire à l'équipe.

[00:23:48]

Ouais. Et là, il est risqué. Dans le cas où quand tu pars, il l'a dit. Mais tu vois, tu vas en finale, ok, mais d'abord, tu t'en sors une fois avec Mihrab. Donc on dit que l'état d'esprit est bon. OK, à recréer l'état d'esprit. Ça, c'est très bien, mais en fait, on ne sait pas vraiment facile dans l'équipe. Et le schéma tactique, c'est quand même beaucoup donnent le ballon à Neymar et on voit ce qui se passe.

[00:24:05]

Je pense que ça ne peut pas être là. Ça ne peut pas tout le temps être comme ça. Je pense que tout Raul a voulu s'identifier. Je le disais il y a pas longtemps en voyant son match face à Leipzig. Quand tu prends ses trois garçons que sont Di Maria, qui est un excellent passeur, c'est plus un passeur qu'un buteur. Tannées, marque et peut être aussi un passeur qui peut être aussi un. Plus efficacement, je crois que ce soir, il a recommencé avec son système, avec ses trois milieux et ses trois attaquants.

[00:24:28]

Il considère comme étant Di Maria MBP et Démat les trois sur la même ligne. Il veut faire un peu comme Jörgen Club avec ses trois attaquants que sont Firmino avec Sadio Mané et Sala toi C3 et son milieu qui travaille brut. Tu sais, le milieu de terrain de Liverpool, le milieu de terrain qui travaille, qui récupère un pas dans la qualité technique, mais l'ancien de Monaco, Fabinho qui est là et les deux autres qui compensent les montées les moins bien que ce soit complètement organisé comme ça, mais a tant travaillé depuis Lomba.

[00:24:58]

Le jeu de transition, il faut donner les ballons et c'est pour cela qu'il faut peut être le laisser qu'il aille dans cette direction là. Peut être qu'il a trouvé son système. Peut être, tu as raison. Peut être une sentinelle qui soit autre que Marquinhos. Parce que Marquinhos son, c'est que Tiago va partir. Il faut faire renouveler Marquinhos qui recule et qui ne devient pas trop dans cette défense. Après trouver cette sentinelle alors que le pressing est à mon avis, il va falloir qu'il court plus mal copier les centuriates ce soir quand ton équipe dubaïote pour ressortir.

[00:25:25]

Tu cherches, tu vois. Alcantara est à trouver parce qu'ils ont joué avec un 4-4-2, mais ils ont que deux milieux de terrain le Bayern le laisser un peu trop jouer Coolscan? Oui, mais ils sont très loin de lui. Ils ne l'ont pas su faire le même pressing que eux. Ils ont fait plus habito de ton équipe, de ton milieu Dendérah d'échauffer. Et voilà, c'était ludique, Tourane. Il a raté son match, il n'a pas raté.

[00:25:45]

Il est en train de penser avec un système avec lequel il peut éventuellement dans un futur, arrive au bistrot et un procès s'est mal préparé. Tu prends si tu prends un Marquinhos, on sent que bon, tu poto une fois de temps en temps compensé. Garder un garçon qui a cette qualité dans l'intelligence, dans le placement et dans la récupération. Et toi, dans Question athlétiques, athlétique. Après, pour relancer, c'est peut être pas face au jeu, ça peut le faire, mais au jeu, peut être un peu plus en difficulté.

[00:26:11]

Marquinhos après faut, il sera la stagnation athlétique. Attendez les Lyonnais et ensuite la dimension athlétique dans le football d'aujourd'hui. Attention, parce que Liverpool, champion d'Europe l'année dernière, a l'impression d'avoir au delà de la tactique. La technique, c'était c'était monstrueux. Ce jour là, le Bayern et le Bayern dans tous les sens. Moi, on peut me dire je joue super bien et c'est vrai, c'est huilé. Il y a des mecs techniques qui savent tout l'hiver, physiquement et surtout physiquement.

[00:26:36]

Il écrase les. Je suis surpris que tu sais par qui. Alors les autres lumières qui me surprend dans un registre, dans ce, avec les vendeuses des deux Muller? Le voir courir, compenser, revenir, travailler le moins. Tu sais, quand tu vois le but du Bayern sur le centre, c'est quand même toujours du Bayern dans la surface de réparation des 4 à chaque fois, orientla une action sur 4/5. Quand ils ont envie de se projeter, qu'on les voit.

[00:26:59]

Alors qu'aujourd'hui aujourd'hui, environ 25, non seulement ils sont 4/5 dans la surface de réparation, mais en plus, ils sont 20 mètres. C'est à dire que si la l'action est avortée, ils sont tout de suite le 2ème rideau qui est là pour gagner le ballon. Ça, c'est la grosse aussi et la grosse différence qu'on appelle le Bloc. La grosse différence avec le PSG. Quand les trois ont perdu la balle derrière le milieu, il est beaucoup trop loin.

[00:27:24]

Après, ce que je voulais dire à Daniel, c'est que qu'est ce qu'on aurait dit si jamais? Parce qu'à la base, Toura était parti pour jouer dans un 4-4-2? Ensuite, il s'est aperçu avec les blessures, les matchs en hêtraie qu'il était obligé de faire un 4-3-3. Et ce 4-3-3, il marche. Ce soir, si jamais avec le retour de tout le monde, il remet un 4-4-2, on dit mais putain, et tu perd le match pareil parce que de toute façon, tu aurais pu perdre tout pareil avec un 4-4-2.

[00:27:49]

On aurait dit mais comment ça se fait? Qui change? Il y avait un 4-3-3 qui marchait bien, Hiromi, un 4-4-2. Qu'est ce qui fait? On comprend rien. Là, il est resté dans le jeu. Dortmund et ils sont en 4-4-2 après rechanges. C'est ça, c'est pas. Mais là, il laissent entrer quelque chose qui marchait soir. Des certitudes, parce que le problème, le problème qui a aussi canta quand tu n'as pas d'expérience, c'est que tu vas faire une finale de Coupe d'Europe.

[00:28:14]

Il faut que les joueurs aient des certitudes et la seule certitude qu'ils avaient, c'était à jouer avec cette même équipe. Parce que tu vas en sécurité quand tu mets la paire par rapport à ça que quand on accueille Dimítrios 32 16. Bien sûr, vous êtes tous les bienvenus au 30 de ans jusqu'à une heure du matin NDLR ce soir. Dimitry bonsoir. Bonsoir Dimitri, bonsoir, je te pose la même question, car oui, c'est ce que Tourenne a raté son match.

[00:28:41]

Justement, je voulais venir voir. Je ne comprends pas qu'il fasse sortir par Édesse. Je ne comprends pas qu'il fasse rentrer Choupo-Moting autant Icardi et ça va bien, je comprendre. Comment passer ses journées de coaching? On a l'impression qu'il mise un peu sur le surnaturel. Tiens, Choupo-Moting, il a été mon héros. Je vais le remettre. Oui, c'est des trucs un peu comme ça, un coic. En fait, mes tripes, il maîtrise plus grand chose.

[00:29:09]

C'est un peu comme si c'était dit. Un peu comme nous. Tu vois comme nous, mais nous, on n'est pas un peu bon, mais ça va peut être tourner. C'est peut être pour nous, c'était Hamadan. Toi, tu ne dois pas être comme toi, tu vas te faire promoting en demi finale et c'est Choupo-Moting qui te fait passer. Et là, tu dis je n'ai pas compris comment il a fait, mais c'est passé et on dit oui, mais on dit bravo tout rol.

[00:29:30]

Une fois à chaque match, chaque match, c'est pas possible.

[00:29:37]

On ne peut pas jouer avec la balle. Le bluff au poker, c'est en fait trop. Tu plantin exactement comment tu peux pas jouer la finale? Tu finis par perdre beaucoup de sous après le.

[00:29:46]

J'ai l'impression qu'il jouait au poker menteur.

[00:29:53]

Mais il y a plein de trucs dont il peut se servir. Oui, c'est positif dans l'ensemble. Oui, est aller en finale où il a cassé un peu ce fameux plafond de verre. Là où tu avais toujours l'impression que tu cassé la tête dessus. Mais moi, je joue trop Frias. Il n'y a pas eu assez quoi. Tu peux la perdre la finale, mais en ayant comme ça aussi peut tenter peu fait. Alors OK, y'a des occasions.

[00:30:15]

C'est vrai qu'il y a des occasions. Tu peux pas y arriver. Les Okaz, elles viennent. Elles viennent pas au terme d'un processus de jeu ou quoi? Moi, je ne sais pas si le PSG son. Son rôle, c'est de jouer comme ça. La contre attaque de cette façon, si tu, si tu le fais façon Klopp. Liverpool est arrivé à Paris. Il n'y a rien à Thierry. C'est travailler, travailler, travailler plus longtemps.

[00:30:39]

Et il y a des joueurs exprès pour ça. Tu vas arriver là, n'arrivait pas dans le milieu. Il n'y avait pas de liant dans le milieu. Bricoler ton milieu parce que parce que tu as un état d'esprit. Marquinhos, c'est redevenaient 6 alors que dans le fameux match contre Dortmund, il avait reculé. Et puis là, tu le remets. Et puis, en fait, on a l'impression que ce sont les événements qui dictent un peu ta compo et que toi, tu n'agit pas.

[00:31:01]

C'est que quand on regarde un peu Lloris, quand tu regardes la profondeur de banc des.

[00:31:13]

Mais pourquoi vous dites ça? Parce que tu ne sais pas ce que c'est que par rapport à ça? Ce cas, Marquinhos. Depuis que tout Raul est arrivé assez souvent, il passait pas toujours. Mais de là, il a une impression de m'étant là qui donne une sécurité pour que les autres puissent s'exprimer devant un peu plus. Tu sais? Allez y avec Marquinhos et c'est comme si tu jouais 1 3. Mais tant pis. Ta sentinelle, c'est Marquinhos.

[00:31:42]

C'est un défenseur central qui joue dans ce milieu de terrain. Il peut reculer un peu, tu peux le mettre, mais après, c'est de trouver la bonne solution, la bonne solution. Tu as été chercher Gueye cherché par Édesse, t'as recruté dans le milieu de terrain, plus Verratti qui est là. Tu sais sans plus les éléments. Et après, il faut essayer de trouver. On un plus? Je te rappelle, mais c'est vrai. Mais au final, au final, on n'a jamais compris comment était le milieu du PSG.

[00:32:07]

2. Quel joueur? C'est quoi la hiérarchie au milieu aujourd'hui? C'est quoi la hierarchie? Pas parce que les 2 et les 2 qui viennent tout le temps, c'est particulier. Verratti? Mais non, non. On en a eu la preuve de ce que je dis depuis des mois que Verratti n'est plus titulaire. Dans ce cas là, il n'avait pas envie de jouer, il pouvait jouer. Si vraiment il est titulaire. Exactement, quand même. Papé joue exactement comme il jouait.

[00:32:33]

Moi, je vous dis depuis des mois, il a perdu sa place de titulaire avec lui en écoutant en direct.

[00:32:41]

Crise ou pas? On avait beaucoup de choses dans cette saison. On avait fait Noël. On a perdu 1 0, 2 3 buts de cette finale très serrée. Sur match, on a vendu la Vénales à s'élancer. C'est pas facile, mais bon, on est très fier, très fier de mes joueurs quand même. On a fait une grande saison, on a fait grand, on essaie Berson de penser, on voit la finale, on a fait vénales, on était très proches, mais on gagnait.

[00:33:16]

On avait tout gagné. Mais c'est la faute, Volvo excepté. On va travailler la saison prochaine aussi. La Ligue des champions français, c'est notre objectif, est très, très proche de gagner aujourd'hui. Ce soir, on croit plus. Avant, on va gagner, mais on veut gagner la Ligue des champions. Vous avez conscience que cet effectif, quand même a créé quelque chose ensemble? Quelque chose de grand? Le joueur maintenant, je veux t'en sortir la tête haute.

[00:33:51]

Vraiment qui? Le joueur est vraiment quelque chose ensemble, ensemble? Pas facile. On a joué comme Graham O'Brien, de très bon dossier, Brian, mais on a pas joué contre l'équipe. Pas forte. Par ailleurs, c'est un des meilleures équipes du monde. On a joué, on a perdu un seul but 1 0, mais c'est la faute. Comment faire pour être meilleur? Comment faire pour l'année prochaine, par exemple? La gagner? On a besoin de petits détails.

[00:34:27]

Je pense qu'on à rêver là bas. On a la première fois, on a la vénales onze fois la finale de bronze. On est vraiment très, très beau. On a besoin de détails. On va rêver, on veut gagner. Vous avez un mot pour Thomas Sorano, votre entraîneur qui a amené votre équipe en finale? Qui est qui a un grand entraîneur? Il vous a plu cette saison, surtout au vu de ce match. On a fait vraiment.

[00:34:55]

On avait cette saison quand j'étais grande saison. On a rêvé une finale. On a gagné quatre trophées. C'est pas mal, je pense, mais c'est normal. On est triste et déçu. Tout le monde est déçu, mais on n'oublie pas aussi. On a fait beaucoup de choses positives. Un mot sur les supporters? Un dernier mot sur les supporters muselet à Paris. Notre rêve? J'ai des élèves vraiment très pauvres. Retour à Paris, mais je te promets.

[00:35:28]

On va retourner avec les copains un jour. On va travailler ensemble, j'espère. Vous êtes très fier de nous. De la joie. Pas facile à rêver. Ça fait rêver. Si on vous fait tout pour gagner ce trophée, c'est beaucoup. Il apparaît pendu autour du cou de Mohamed, donc avoir entendu parler du cas dans quelques instants. L'acteur est là jusqu'à une heure du matin. Ce soir, exceptionnellement évidemment, avec Daniel Riolo avec les Charbonniers.

[00:36:02]

Avec lui, c'est encore pendant quelques minutes qui a clôturé son prêt, sans option d'achat. Quelques quelques instants avec de la tension. Oui, pourquoi pas comme ça? D'accord. Pas tout de suite. Le PSG a perdu la finale de la Ligue des champions face au Bayern victoire 1 0 des comme l'after foot spécial finale de la Ligue des champions. Grégoire. Jusqu'à lundi matin, d'After, bien sûr, avait gagné Orioli avec Louisfert Drèze. Ce soir, il nous a gentiment prêté pour les remercier encore et avec Lionel Charbonnier, alors qu'on revoit l'action du but suisse.

[00:36:41]

Et là, on revient encore. Pas du placement. Ça aussi, c'est sur un centre des défenseurs, Crans-Montana, qui reste un peu plus d'ailleurs, qui couvre tout le monde, qui couvre tout le monde. Et puis les battures, logiquement, en première mi temps. Tu te souviens, il avait remis cette équipe ni abris de l'autre côté. Il aurait eu. Il l'avait remis en jeu. Il ne s'était jamais aligné avec eux, avec les trois autres défenseurs.

[00:37:03]

Lacen, déjà, les duels. Tu sais rien. Tu sais, on dit qu'il est mieux. Il a été battu et battu et surpris par comem dans son dos. Regarde Paris, il court même pas 100 km. À la fin, le stade de la distance parcourue, c'est pas assez. Bye bye bye. OK, mais c'est passé. Ça suffit parce qu'ils ont pas parce qu'ils s'adaptent. C'est eux qui mettent la pression et c'est eux qui font jeu.

[00:37:28]

Quand on a parlé, on est quand même assez surprenante. La possession a quand même 61% du destin du pays. Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Avec une animation autour de la pelouse, ils courent plus, ils ont la possession qui font plus de participants. J'imagine qu'au milieu de terrain, ils sont en supériorité numérique. Les Parisiens sont trois milieux entre deux milieux que Muller, c'est pas ça.

[00:37:47]

Un joueur qui revient beaucoup défendre reparlera en plus, un joueur offensif qui est beaucoup plus proche de les bandeaux. Ce qui ne fait pas les trois milieux, c'est que Tiago, qui te casse des lignes par des passes avec son compère au de terrain, que j'adore ça. Comment tu dis Coray? Ca aurait ca n'arrivera pas. Ils sont 4/5 dans une surface, dans un ballon. C'est pour te dire c'est que la supériorité numérique? Normalement, le PSG là, au milieu de terrain.

[00:38:15]

Mais ils arrivent pas. Ils n'ont pas su comment aller chercher, comment les presser, comment les faire douter. Car sur le but quand même très, très, très, très, très mal placé, il fait un pas en avant.

[00:38:26]

Il met tout mon argent.

[00:38:27]

Ton bastos, c'est en direct, cet fait rimer cette aventure, même si ça. C'était un match, c'était un combat vraiment à côté. Je ne sais pas si on peut observer au télé, mais à côté de cette terrain là, on doit dire qu'on a donné tout ce qu'on a. On a laissé. Notre coeur est vraiment sur le terrain et on peut attendre ça dans une finale. Plus. On ne peut pas contrôler les résultats. J'ai eu l'impression que le premier but va peut être des idées cette match là.

[00:39:07]

C'était comme ça. C'était en but. Différence entre deux équipes super fort et je suis fier. Parce que les manières, la mentalité. Comment on a joué? Comment on a joué les derniers matchs, les dernières semaines. Ça, c'est tout ce qu'on peut demander comme entraîneur. Oui, je suis déçu. C'est clair, mais pas trop. Pas trop. C'est un super super proche dans quelques moments comme ça. Thomas. Qu'est ce qu'il a manqué à Paris sur le terrain ce soir face au Bayern?

[00:39:43]

Pour moi, le premier but, on a eu des occasions et ils ont fait le premier but. Pour moi, je suis convaincu. Si on fait les premiers buts, on gagne en 0 le même match. On a été surpris par la faiblesse offensive. On n'a pas reconnu Nivard. On n'a pas reconnu Papé. Comment vous expliquez le manque d'efficacité ou plusieurs actions pour le PSG? Le PSG a fait douter le Bayern, pourtant. Oui, on a eu des phases où ils ont douté.

[00:40:08]

On a eu des phases très, très fort. On a eu des phases où c'était nécessaire de souffler, de souffler. Oui, c'était clair avant. On a manqué l'efficacité, efficacité, ces moments. C'est tout ce qu'on peut quand on peut. Oui, on veut qu'ils aient un aîné. Ils marquent toujours, mais on ne peut pas demander à tous. Je dois dire que je suis née là. Elle a fait encore un match avec une capacité incroyable.

[00:40:40]

Elle a vraiment vraiment démontré sa capacité. Son mentalité. Et beaucoup, c'est difficile. Il a eu une grande blessure, un grand blessé. Elle a manqué beaucoup, beaucoup d'entraînement. C'était, c'était un miracle. Elle est avec nous maintenant. Et voilà, comme je, des centaines de petits petits détails. Pour moi, les mêmes matches, ce temps et le boulot absolument possible. On sent que le PSG touche au but. Thomas, on sent que ça approche.

[00:41:12]

Oui. Qu'est ce qui manque? Le dernier détail? Comment l'améliorer? Comment le travailler selon vous maintenant? Comment? Comment? On sent que le PSG est tout proche de toucher cette chapelle. Si oui, qu'est ce qui manque comme détails? Vous parlez de détails. Qu'est ce qui manque à Paris? Aujourd'hui, c'est toi, dit Daniel, dédaigneusement, les déniaiser man les dernières semaines, on a, on a montré tous ces est nécessaire pour gagner tous les titres.

[00:41:37]

Pour moi, on doit accepter dans les foot en jouant un match où la chance joue un grand jeu. Et c'est comme ça. C'est pesamment Lépante répété, c'est sans des phases. On gagne plus de confiance avec un premier but et sans elle en sans beaucoup la chance dans les derniers matchs, ce n'était pas nécessaire pour tourner un match avec un 0 0. Et voilà, ça, c'était le défi pour nous. Je lui ai donné cette question à eux.

[00:42:11]

On a eu des occasions, on a pas manqué, mais on ne peut pas dire maintenant, c'est les fois déclinants, c'est s'entêtait. Taille des petits petits détails. C'était un final avec un résultat 0 contre des équipes de clubs plus plus forts en Europe, plus forts parce qu'elles sont les plus grandes équipes. Et on doit voir si on veut continuer cette route là. Si on veut garder cette recette, c'est cette qualité. On doit aussi encore avoir un grand, un gros recadrés pour pousser des joueurs combattrait.

[00:42:47]

C'est le meilleur des mondes quand vous serez l'entraîneur du PSG la saison prochaine. Thomas touche chaque contrat. Je ne sais pas d'autre chose. Merci beaucoup, Thomas Martial.

[00:42:57]

Oui, j'ai été surpris d'avoir de bons. Pourtant, c'est assez logique de lui poser juste deux, trois choses avant qu'on revienne sur des faits d'arbitrage rapides. Il y a eu de la chance qu'on a pas eu. Quand tu recollent le bal, je suis Diabo. C'est ça la chance. Ça se joue à des détails. Est ce que c'est vraiment des détails qui ont fait tourner le match ce soir? Je ne suis pas convaincu et il vit sur le premier but.

[00:43:20]

On gagne ça, ça peut éventuellement jouer. Moi, je se dire oui, mais il faut quand même rendre hommage à son adversaire. Il a eu des situations pour une mi temps face au Bayern. Deux ou trois situations intéressantes. La meilleure intervalles de l'année, quand même. C'est la meilleure de l'année. On peut quand même ne reconnaissait pas la chance qui fait gagner le Bayern. Et on peut reconnaître que l'adversaire qui était le Bayern ce soir, a su mettre tous les ingrédients, tous les éléments pour aller chercher cette victoire.

[00:43:45]

Pressing, récupération, intensité n'a rien volé. On ne peut pas cotoie le but qu'ils mettent. Ils ne sont pas, y'en a pas un seul dans la surface de réparation. Ils sont trois à quatre pour essayer de mettre un but. Après, voilà, c'est un point mi temps.

[00:43:57]

Je pense qu'ils ont peut être laissé passer après le fait qu'on dise probablement que Hyères est dans le top 3 des joueurs du soir. Pour le Bayern, ça montre aussi qu'il a eu besoin de s'illustrer, qu'il a eu besoin d'être bon et que les Parisiens. Il faut aussi le dire. Parce que moi, ce que je sais, ce dont je parle quand je critique les Parisiens, c'est sur le plan de jeu, de façon plus globale. Mais après, effectivement, les occaz, elles ont existé.

[00:44:25]

Quand on regarde un peu calmement, résumé les Machover. Oui, oui, oui, c'est vrai qu'il a fait un arrêt et il a fait deux, trois arrêts qui sont en fait, ils l'ont fait en début de match décisif sous les ombres. Si tu dis si tu dis les trois meilleurs joueurs du Bayern, tu vas citer. Donc ça veut dire que Paris a existé malgré tout. Mais je pense qu'il y avait matière à exister. Plus c'est autrement et pas comme ça.

[00:44:52]

Parakou, on va continuer le jeu. Ça, ça me chagrine un peu plus. On a le temps et on a le temps de vous accueillir tous 32. J'attends juste qu'on revienne sur deux ou trois faits de jeu avec Bruno Derrien, notre arbitre qui est là. Bonsoir, bonsoir Gilbert. Bonsoir à tous! Bruno a souvent arbitré les équipes de Lewis. T'as pas arbitré les joueurs? Non? Non. Parce que moi, j'ai quand j'arrivais arbitrée, moi.

[00:45:17]

Mais les équipes dirigées par Louis, arbitré parce que Louise a été entraîneur du PSG. Étant Parisien, j'arbitre jamais le PSG. Il a entraîné en Espagne. Oui, c'est pour ça que je l'ai retrouvé à Cannes. À Cannes? Peut être Timken, peut être à Canongate. Tous nos matchs. Par contre, je ne vois pas le rapport avec l'arbitrage. Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha!

[00:45:42]

Pas besoin du coup de main d'aller voir. La barre n'existait pas. Grande gueule arbitré de variété. C'est pas mal dans un match comme les vétérans, dans la nature, c'est pas comme ça. Quand je vois une fois se retrouver sur le terrain, tu charlety et je jouais et m'a dit c'est pas possible, je n'ai jamais vu quelqu'un parler autant que toi. On dirait Jean-Michel Larqué, un que je vois Verratti a perdre parce qu'il a encore fait ce soir Verratti envers l'arbitre.

[00:46:19]

Même quand ça ne concerne pas lui, je viens de voir Louise geworden. Cet avis a parler aux arbitres. Louise. Comme j'avais des problèmes avec les pieds avec, je parle avec la bouche, alors ça embête pas Louis. C'était très au dessus de Verrati. Mais bon. Tu parles de mémoire, tu parles du joueur. Il a eu un peu plus de technique que moi, comme il n'empêche que globalement, oui, presque globalement, comme Schweinfurt.

[00:46:42]

Entre l'apport de l'un, l'apport de l'autre dans une équipe. Pardonne moi, je me trompe pas, j'accepte malheureusement que tu acceptes encore quand tu te fais des compliments. C'est vrai que ça devrait aider Bruno Bon. Il y a eu deux actions litigieux. Alors la première, est ce qu'il y a pénalty pour le Bayern? Enfin, un mi temps, c'est quand il est retenu le caractère Ayari et Homan et retenu par récurant littéraire, c'est Coman qui est retenu par.

[00:47:05]

Oui, il le tient par l'épaule droite. Alors le fait qu'il exhalant ça, je suis peut être pas tant que ça, non? Un petit peu, l'Amaytois qui exagère, tu crois? Mais j'ai quand j'y vois Dali qui siffle pas parce qu'il exagère, mais à vitesse réelle. Je me suis dit il va siffler pénalty quand c'est la réflexion que je me suis fait. Et notamment après, je me suis inférences entre le haut du corps et le bas du corps.

[00:47:26]

C'est donc la même chose. C'est la même chose. On est d'accord. Si n'a pas le choix qui touche le bas du corps. Et si tu as parlé dans la surface de réparation, il doit siffler. Oui, pour moi, il y a pénalty après un autre temps. Là, il y a un problème. C'est Clue, l'arbitre central. Il dit Bon, y'a pas péno, mais là, l'évêque de l'avoir. Et ils font quoi?

[00:47:44]

Parce que ça veut dire que le mec de l'avoir devant l'écran eadie avec l'image Cappello. Ben là, il est incompétent, le type devant l'écran. Je ne sais pas s'il voit parce qu'il faut qu'il arrête jeu, mais arrêter le match à tout moment, des arbitres se trompent. Ce qui laisse donc une nouvelle fois la barre. Sauf qu'il est d'accord avec l'arbitre, son collègue, en disant qu'on a pris la décision, lui qui partage la décision de son collègue malgré tout simplement.

[00:48:09]

Et après, il y a la même situation en seconde mi temps. Là, à vitesse réelle, c'est difficile de voir la faute de Kimi sur MBP. Mais quand on revoit une liste à cent pour cent, quand on revoit les ralentis, qui Misch marche sur le pied sans aucun contact sur le talon, je crois. Il y a donc un contact dans la surface de réparation et là aussi, j'aurais pu avoir un péno des deux côtés. Voilà tout à fait ton dernier truc.

[00:48:31]

Reprise des Riera. C'est zouloue, je crois. Et comme ça, le ballon touche son bras et son record de jours de paille. On a sifflé péno pour la même chose. Ouais, je suis d'accord. Oui, cocue de paille, peut être. Et peut être un petit mouvement du bras vers l'extérieur. Ouais, mais là encore, il a entièrement raison. Pour moi, c'est pas pénalty. Enfin, il y a une jurisprudence. Non, y'a pas de jurisprudence, y'a pas pareil, ça a été une interprétation.

[00:49:01]

Plus c'est un arbitre italien qui siffle dès que ça touche Cabaye, surtout pas comme ça. Pour la petite histoire, les Italiens sont bien persuadés. Fastnet, le quatrième arbitre, tellement le patron des joueurs habitués des arbitres face à l'Italie. Rosetti, c'est le quatrième arbitre à diriger le Frolinat, qui dirigeait non partie à la FIFA. C'est Rosetti, maintenant le patron, et c'était le quatrième arbitre. Ce soir, il dirigeait la filiale Harbi, la nouvelle formule de 92 93.

[00:49:25]

Et vous avez du piquant arbitre français dans une finale? On se le demande, monsieur Darien, 1986. Et comment Spithill et d'inoubliables Gautreau sous l'ancienne formule, c'était Barcelone, c'est Mattarella. Victoire de Oribe. Cette finale était assurément qu'abritera avec Doukkala, car ils étaient tous les peineraient. 1986 Sous l'ancienne formule Lionel, tu disais non. Je voulais juste demander à Bruno. Pourquoi? Parce que c'est un fait, ça? Oui, il n'y a pas de souci.

[00:49:52]

Mais pourquoi laisse son ordi temps? J'ai l'impression que c'est à la fois le français, la France. Ils sont pour rien. Ce soir, il y avait une équipe française en finale. Ils ne voulaient pas y être. La dernière fois, ils n'avaient pas envoyé la même pas Fadell Haite en Europa Turpin. Turpin aurait dû arbitrer un match de Ligue 1 cocardiers. Un quart de finale, je crois que ça aurait été bon. Bah voilà. Ou alors, c'est pas du lobbying aussi, comme les Italiens qui dirige l'arbitrage de la FIFA?

[00:50:19]

C'est plus facile à voir dans les instances, probablement. En tout cas, il y a bien des raisons. On peut aussi se dire qu'on est pas assez bons et que ça se voit en championnat tous les weekends et pas suffisamment dans les instances. J'ai déjà entendu ce discours avec Louise Vulgus va se charger. Je pensais, je pensais qu'on pesais avec de Noël dans le projet. On était fort dans le projet, jouant les arbitres aussi. Dans le projet de loi, sans nul doute.

[00:50:43]

On a un président de la Licra énormément dans le football français, mais à l'international, que dalle. Bizarre. Et pourtant, dans La Tribune qui donne Noël au monde, que Noël était là, c'était des jours pour. Si Bruno est passé de Ground Zero, rien donner un instant de retour avec encore un petit quart d'heure de Louise et ensuite on continuera à Fred. Piquionne nous rejoindra tout à l'heure. 32 ans, supporteur du PSG, évidemment, pour continuer l'analyse de ce match.

[00:51:09]

Se poser la question de la suite pour le Paris Saint-Germain, qui perd ce soir en finale. Vu le. Le fait que les joueurs soient les meilleurs joueurs des trois meilleures années dans le groupe a trois joueurs importants soit partis. Ils avaient besoin d'entraîner une nouvelle équipe. Ouais, mais bon, je ne veux pas revenir sur ce qui s'est passé avant jusqu'à minuit la Starfox Superboy. Redirigent archidiocèse avec Babel dans le sacrifice, dans cette complicité, dans cette danse, cette solidarité sur le terrain, comme on en fait depuis le début de la saison.

[00:52:01]

Là, maintenant, c'est le moment de revenir dans nos habitudes. À Paris, c'est déjà la prochaine saison. Qu'est ce qu'on peut faire de mieux faire dans les prochaines bonum dans les prochains objectifs? Pour ma part, je n'ai pas retrouvé le PSG en deuxième période. On a vu un bon PSG plutôt correct en première et en deuxième période. Le Bayern qui avait totalement la maîtrise. Comment vous expliquez cette différence de visage de Paris? C'est une finale.

[00:52:33]

Il y a beaucoup de tension. Je pense. Ils ont joué avec leurs armes. Nous, on a joué avec nos armes. C'était une équipe qui a la possession. C'est une équipe qui a bien contrôlé le match. C'est une équipe qui attaque et joue vraiment très, très haut. Nous, on a essayé de prendre ce ballon, de couper le ballon et jouer avec nos armes. Nos attaquants et essayer de trouver nos attaquants le plus vite possible pour faire mal à cette équipe de Bavière.

[00:53:00]

On a réussi. On n'a pas réussi à concrétiser ça en but. On a eu des occasions dans une finale. On a très peu des occasions. Il faut les concrétiser. On a Paris aussi. Je pense que l'équipe de barrières peut être créée aussi sur le voit. Ils ont peut être le contrôle d'un match, mais ils ont clairement bien défendu, mais ils ont marqué le but qui était différente de ce match. Quand on a fait de la compétition du PSG avec des buts à tous les matchs, quand on a Di Maria Pappé Neymar dans son équipe, ça doit être extrêmement frustrant et rageant de ne pas mettre un but ce soir.

[00:53:39]

Moi, je pense qu'il ne faut pas, il ne faut pas te mettre dans l'endosser, non en équipe. Nous, on sait que tout le monde essaie de faire de son mieux. Je pense que tout le monde va revenir à la maison et penser qu'est ce qu'on peut faire de mieux? C'est difficile parce que à chaque fois on après le match, il ne faut pas avoir de regrets. Il faut tout donner et c'est ça qu'on essaie de faire.

[00:54:02]

Mais je pense que tout le monde peut faire un peu mieux. Mais ce n'est pas la faute de nos attaquants parce qu'ils ont pas marqué en équipe. Tout le monde a des responsabilités. Merci beaucoup. Merci d'avenues après cette défaite.

[00:54:16]

C'est beaucoup plus direct de Lisbonne. Tiens, on a. Qui sont avec? Comment s'appelle Michael? Michael, qui porte depuis un petit moment, qui patiente, qui nous écoute avec attention? Michael, bonsoir. Tout le monde, incidemment, patientait visuel avec plaisir à écouter.

[00:54:39]

Par où commencer? Je suis dévasté. Comme beaucoup de supporteurs parisiens. Vous pouvez l'imaginer fier de l'équipe, fier de ce qu'il a montré pendant toute cette épopée européenne. Maintenant, j'ai quelques petits, quelques petites critiques. Peut être que Louise pourra certainement répondre. Moi, je ne comprends pas. Avec tout l'amour que je porte quand même pour ton aide. Je ne comprends pas la gestion du cas Icardi. Premièrement, quand on remplace la le remplaçant, le remplacement de Choupo-Moting.

[00:55:13]

Je pense que Icardi aurait quand même pu faire beaucoup mieux que Choupo-Moting ces dernières minutes après. Juste pour revenir sur les critiques que vous avez envers Kéré. Moi, je pense que ce n'est pas l'unique fautif. Je pense que Tiago Silva est fautif sur son but, sur le but.

[00:55:31]

Je pense qu'il est n'incrimine pas parce qu'ils sont lents et plutôt Cléré. Il reste au centre un peu qui les aurait mis dans Emis comme un enjeu.

[00:55:41]

Ouais, mais je pense qu'au départ au départ de l'action, pour l'avoir bien bien revu, je pense que Tiago Silva est mal placé au départ de l'action. Au départ du centre, il couvre personne. Il est loin. Il est trop loin par rapport à l'avant. Je crois qu'il Coray, qui est derrière. Il couvre personne. Et on trouve Péreire qui se retrouve avec deux joueurs à prendre après des faits de jeu. Et bon, voilà, ça fait mal.

[00:56:03]

Mais bon, encore une fois, c'est une finale. Les joueurs ont un club jeune. Il faut qu'on capitalise sur surses sur cette finale. Il faut qu'on revienne l'année prochaine avec, j'espère, un latéral droit aussi, un vrai latéral droit professionnel du poste. Parce que ça a montré une chose, c'est que c'est qu'on est faible quand même sur ce poste depuis très longtemps et qu'aujourd'hui, on paye cash. Je pense quand on voit Kimi, quand on voit la qualité des défenseurs latéraux, quoi.

[00:56:29]

C'est ce qui fait la différence aujourd'hui. Mais bon, je suis fier. Voila, je suis fier et je pense que tous les supporters parisiens aujourd'hui doivent être fiers de ce qu'on a montré aujourd'hui et de ce qu'on a montré pendant cette épopée européenne. Mais bon, ça fait mal, ça fait mal quand même. Bon résultat, car dans lesquels sont sont interdits.

[00:56:50]

C'est Kindi, je pense. Pas souhaité. On a voulu signe au Paris Saint-Germain et en le faisant signer, qu'on était hors de lui expliquer pourquoi pas entre ces deux matchs. On a mis 61 millions de reçus, soit maintenant qu'il est en question.

[00:57:10]

Si tu continue à jouer en 4-3-3 en remplaçant 510.000, c'est bien. Mais c'est vrai qu'il doit y avoir certainement une déception du côté des Karni parce qu ils pensait rentrer. Si tu démarre pas comme Icardi, tâtonné, testé sur ce numéro en maintenant, c'est le choix du l'entraineur qui décide.

[00:57:25]

Moi, je sais pas, mais toi, tu peux comment tu peux te dire que tu vas devoir gérer l'année prochaine, voir les prochains jours. Même un in, un Icardi quand même, qui va être. Ha ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Long! Mais je n'arrive pas à comprendre qu'on puisse faire confiance. Choupo-Moting, pas merveilleux. Bravo! Mais on ne va pas m'enlever quand même que la qualité, ce que tu t'en remets au truc de la confiance, est gagnée.

[00:57:56]

Alors, il te l'a dit dans le championnat, il n'y aura pas de problème pour remettre un 4-4-2. Tu de remettre les 4 alterner sans arrêt comme ça tout le monde de la gestion. Mais tu sais, c'est comme on aurait pu aussi gérer le Cathcart réunit une fois Cavani, il faut Icardi, Toine, Turn Over 3 Turn over. Chacun son tour et chacun pense, chacun envie. Chacun fait les efforts. Tu sais pour jouer. Et puis, quand tu reviens en championnat, tu va remettre tes 4 4 devant, tu mettras avec NBP, Di Maria et Unimat et après, tu mets ton milieu de terrain à Verratti ou avec Parrainez, soit écrira.

[00:58:31]

Il faudra le faire parce que c'est je pense, qu'ils sont suffisamment importantes.

[00:58:36]

Tu te ballader, ça va aider leur égo, mais celui qui est attaqué par. Tu dis je pense qu'effectivement, après la l'incertain, ça, c'est un truc bon, je pense que plus faut faut dégoutée que Fillon ce soir. Ouais.

[00:58:53]

Ecoutez, je suis dégoûté quand il a envie d'avoir envie de.

[00:58:58]

J'ai envie de tout déchirer. Je suis d'accord avec vous.

[00:59:02]

On a envie de se tuer quand on est bien placé, car aujourd'hui, je ne vais pas remuer le couteau dans la plaie. Bon, là, j'ai quelques tweets sous les yeux. Je vous en livre deux, Dimitri Payet. Une histoire, un club, une ville à jamais. Les premiers. Sa chambre, évidemment. Pardon, mais alors, le plus drôle dans le chambrage, c'est Brandao qui vient de Twitter? Ah bon? C'est quand même l'installant qui a popularisé le fameux J'ai pas touché.

[00:59:28]

C'est un peu Vendargues qui tweete. Ouais, ils ont pas touché les premiers, dit Brandao. Un petit truc pour la petite histoire, quand même.

[00:59:40]

Un truc qui fout les boules, c'est que j'arrête la malédiction de l'ancien Parisien qui marque le Paris contre Paris. Incroyable. Incroyable que Paris-Saint-Germain quand même. Coman est un joueur formé au club à qui on a pas eu tellement de fois, tellement tellement de choix contre deux pas avec tellement de joueurs qu'on allait partir. C'est toujours la malédiction du Barça.

[01:00:02]

Ça tire toujours quand c'est contre son club, ça, tout le monde en fait. C'est vrai? Non, mais des handicapés, quand on doit avoir un mandat?

[01:00:10]

Bah oui, je doute en tant. Juste parce que je dois intervenir dans le milieu. J'espère que vous allez bien quand les gens du milieu arrivent, tu pourras intervenir trois kilos. Bah, écoute, moi, tu vois, je suis là aussi, donc tout va bien. Parfait. Allo Michael? À toi et bonne soirée.

[01:00:35]

Il nous reste deux petites minutes de Louis. Après, Louise s'en va. En tout cas, c'est bien le tweet de monsieur. Comme il va jouer la Ligue des champions l'année prochaine, on sera très intéressé de voir sa performance dans une compétition de ce niveau et jusqu'où il pourra emmener Marseille en Ligue des champions. C'est intéressant. Ce sera intéressant à suivre exactement là aussi. Vous voyez aussi André-Pierre Gignac qui a chambré Bon après ça, c'est de bonne guerre.

[01:00:55]

C'est le foot, il faut l'accepter. Selon lui, le placardent le pouvoir contre la tutelle incarnée par le PSG était sur le banc la finale de Coupe des contenus des clubs et cela ne sont pas plus de succès.

[01:01:11]

Je ne me sens pas touché parce que tu es quand tu regardes le match. Tu peux rendre hommage à ton adversaire. Il faut être lucide. Il faut était trop fort. On a fait une analyse. C'est qu'on pouvait mettre. Le PSG a eu des occasions. Il a eu des situations pour marquer, pour peut être de marquer, même les premiers. Mais c'était dans des situations de contre pas, dans des situations où domine la domination et la possession, la récupération, le pressing un peu au banc.

[01:01:39]

Après, tu tombes pas cette équipe du Bayern? Je dis chapeau. Pourquoi? Parce que pour moi, le Bayern représente quelque chose. C'est une réussite. Depuis X années, et en terme de travail dans l'organisation sportive, ce club encore Rummenigge veut encore Oliver Kahn qui sera président. Ce sont des anciens et pour moi, c'est tout. Ne cherchons pas plus loin. On voit que ce club, même à la formation, même chez les grands, ça marche et ça travaille.

[01:02:04]

C'est un exemple à tous ces présidents. Qu'avez vous, tous ces fonds d'investissement qui veulent des clubs? Voilà le bon exemple. Il sait comment gagner dans le football. Bah voilà, c'est le Bayern. Il était un collier. C'était la comète qui sort. Sixième, sixième, ce n'est pas rien. Il y a du travail derrière tout ça. Donc ça fait six ans qu'il que dans ce schéma là, non. Avec à la tête ces hommes qui travaillent et qui font du bon travail sportif, il est réglé à temps.

[01:02:31]

Si c'est le top? Oui, merci les revenus. Merci de m'avoir. Ça m'a dit tu étais bien avec un mince espoir. Ça, ça demande du travail. Quand on a formé celui là, vous l'avez formé. Tu sais pas, toi, qu'il a formé. C'est derrière, hein? Non? Bon, bonjour ça. Bourgeois, il a grandi depuis 5 ans, donc ça va bien.

[01:02:57]

Merci Louis. Donc, tu te les gardes du corps, tu seras avec lui. Il a 50 textos par Arthur qui arrête de dire ses conneries chaque un truc. Quand tu commences à s'attaquer un peu à l'information, j'interviens. Je veux pas ce que j'ai vécu. J'aurais dû amener avec moi. Tu sais, je vais pas passé petit bourgeois du côté de Saint-Denis pour des petits tournois de 5 5. Ils sont magnifiques, ces enfants, hier que j'ai eu l'occasion de côtoyer, de passer des journées passées.

[01:03:29]

Une heure, j'ai passé 3 heures parce qu'ils ont l'amour. Et puis, en plus, ce sont des supporters, c'est pas les, c'est la façon dans les clubs les traitent. l'Américaine, qui a passé un petit moment avec elle, n'a pas compris qu'en fait, c'était l'éclate. La façon dont ils ont fait Tyson font la promotion et la façon dont ils les transforme en marche. Exactement de la marchandise. Aujourd'hui, c'est un combat. C'est maintenant que tu comptes.

[01:03:55]

Incroyable quand tu parles de l'information. Et je te dis assez souvent pour avoir une politique de formation qui est défaillante. Déjà, la réglementation tu, c'est une réglementation pour que les instances, les joueurs travaillent bientôt quelques instants juste après le journal de minuit pour rejoindre le grand gagnant de la soirée, comme on l'avait dit dès le début. Dès le début, on l'avait dit, c'est l'année du Bayern. C'est vrai que dès le début, on avait senti que Cabaye était favori.

[01:04:29]

Allez dans quelques instants. Bien sûr, on revient. Évaluations à suivre d'autres réactions. Supporteurs parisiens, vous, 30 de 16 heures jusqu'à une heure du matin et exceptionnellement ce soir 20 heures, RMC Info. Cette finale de la Ligue des champions. Le temps, c'est qu'on n'a pas le temps n'a pas de temps pour le temps. Le temps ne s'arrête pas là. Je n'aurai pas le temps et continu, arrêté le temps de ma montre, mais pas le temps.

[01:04:52]

Le temps n'a pas de temps, il faut du temps. Jusqu'à minuit, on en est là, bien sûr, jusqu'à minuit. Maintenant, il est minuit cinq, jusqu'à une heure du matin. On est à la fête continue après la finale de la Ligue des champions. Daniel Riolo, Lionel Charbonnier, bien sûr. Endurants Lyonnais et 20heures avec moi, toujours prêt à bientôt rejoint. Bonsoir mon cher Gilbert. Bonsoir Bologna mollo. J'ai pas joué, mais je n'ai pas joué sur un coup franc en faveur fanfaronné 2 secondes.

[01:05:33]

Ça va pas? Non. Je suis même dans un état de légère colère. Ah bon? Pourquoi? Parce que si j'étais, le patron du PSG a beaucoup de choses que je pourrais envisager de changer. En colère à Paris, Willy. N'accordons le français par rapport aux Bayern. Non, non. Il y a des choses à dire, mais le Bayern a fait ce qu'il faut faire au 21ème siècle. Ils ont imposé leur jeu et il faut aller de l'avant.

[01:06:00]

Le Bayern a fait ce qu'il faut. Il y a eu une première mi temps relativement équilibrée et la seconde mi temps. Moi, je suis désolé. Il n'y a pas photo quand même. Petite photo, mais pas grand chose. Il faudrait vraiment un photomaton en photomaton et un photomaton en deuxième mi temps. Ils se sont fait manger les Parisiens. Franchement, le blog Moi, ce qui m'a impressionné encore ce soir, c'est SGBC. Voilà, ils font la même chose en championnat.

[01:06:26]

C'est ça, Appolo, un tel qu'on les a vu jouer là en bloc, que ce soit bloc au bloc médian ou bloc bas. Le Bayern y joue aussi. Ils sont capables de jouer comme ça en championnat et là, ils n'ont fait qu'une répétition de ce qu'ils font tous les dimanches. Donc, c'est plus facile. Ils prennent le PSG plus compliqué, ils prennent vachement moins de risques lorsque tu offres ouvre le score. Évidemment, devant, il faut un peu de la gestion aussi, mais il faut continuer à jouer quand même.

[01:06:58]

Ils sont allés chercher haut. La grosse différence. Moi, ce que ce que j'ai vu ce soir par rapport au PSG, c'est que, par exemple, lorsque le PSG essayer de faire un pressing qui n'a rien à voir du tout avec celui que peut faire le Bayern, c'est que le Bayern s'en sortait toujours avec. Ils ont alterné jeu court et jeux long transversales à l'opposé. Le PSG n'a jamais été capable de faire ça. Et ça, c'est aussi culturel.

[01:07:26]

Daniel a raison. Ça fait partie d'une identité de jeu. Lorsque et souvent quand on a vu le PSG perdre en championnat de France, souvent son équipe est allé les chercher. L'équipe adverse est allé les chercher très, très haut. Le PG et ses couleurs, ça se ferait en sorte que tu peux te retrouver à prendre une dose. Oui, Louis XIII, Taji iOS. Ah ben, ça fait ça! Qui est ce qui les a abattu?

[01:07:52]

Tu regardes tous ceux qui les ont battus. Ils ont empêché en fin de compte aujourd'hui les armes, gérer les milieux, de relancer. C'est fini. D'accord. Mais encore aujourd'hui aujourd'hui, tu gagnes, tu gagnes de quelle façon? Sans prendre de risques. Moi, je ne connais pas. Je ne connais pas d'équipe qui n'est pas prête à assumer un risque. C'est le cas du Bayern. Quand on parle de la profondeur des 40 mètres derrière l'ordo et l'autre façon de gagner, notamment sur les matchs secs comme ça, c'est en gros, on va dire les Bleus à la Coupe du monde.

[01:08:22]

C'est un énorme bloc défensif, des lignes et des lignes serrées et tu comptes sur une action individuelle, chose que je n'en avais jamais, le PSG. Le problème du PSG, c'est de vouloir la première formule et finalement, parfois, de tenter la deuxième. En gros, la formule que Lyon a tenté, on va dire, on va dire celle de Deschamps, c'est la Formule 2 de Lyon. Et eux, ils sont un peu entre les deux.

[01:08:46]

Ils savent pas trop quoi faire et ils savent pas s'ils doivent imposer leur patte, si ils doivent subir quoi faire et essayer. Daniel, tu vois, c'est pas qu'ils savent pas. Ils ont essayé, mais ils ont pas pu parce qu'ils sont tombés face à un bloc qui, qui a l'habitude, qui est rompu à ce genre, de ce genre de choses et en le comportement, etc. Regarde le match contre Bergame. Voilà, il faut aller contre contre Bergame.

[01:09:10]

Ils ont subi, ils ont subi le jeu lyonnais et pourtant, c'est une équipe plus faible. Ils ont subi le jeu pareil et Lipszyc a raté son match sur les 20 minutes où ils ont réussi à bousculer le PSG. Ça n'a pas duré longtemps, mais néanmoins, c'est en allant les chercher ou en les bousculant qu'ils l'ont un peu fait. Et il y a un truc quand même que je veux dire. Mais Counselor, organisé avec le bloc de Perkin, bien organisé de leur fierté, beaucoup mieux d'orgueil que le pressing du PSG.

[01:09:40]

Moi, ce que je reproche, c'est ce que je te dis, c'est que c'est pas organisé ce que fait le PSG. Oui, mais c'est différent d'un point de vue. Si le PSG en finale, c'est pas vraiment. On ne sait pas vraiment quel est le plan qu'ils veulent, qu'ils veulent, qu'ils veulent mettre en place. Et ensuite, il y a vraiment quelque chose que moi, je note et que je dis de plus en plus, je le constate s'il y a un enseignement, notamment dans la Ligue des champions.

[01:10:05]

Mais quelque part, même si on remonte à la Coupe du monde parce que l'équipe de France à également avait également cette capacité là, la dimension physique athlétique dans le foot devient de plus en plus importante. Mais après, quand il demandaient si tu veux, mais c'est de plus en plus capital. Je dis, évidemment, mais après tout, la tactique, les conneries des bons joueurs à l'idée de Panon individualisé, l'avènement des barrages dans des environnements, l'hébétude, la il va donner.

[01:10:34]

Il a doublé de volume, mais c'est correct, car il a triplé la dimension physique. Mais moi, c'est le principal enseignement du foot moderne. C'est ta capacité à reproduire des courses, les fameux printemps, les fameux sprints à capacité à presser. Est ce que tu décris? Et les mecs sont les Allemands? Les Lubeck du Bayern, c'est des baraques? Oui, vraiment. Maria Di Maria, elle allait au contact, il allait au contact. Que ce soit de dévisage là, mais ça parle du temps.

[01:11:00]

Ce n'est pas le muscle qui fait la diff. Mais bien sûr que c'est bien. Alors que si on veut rester debout, il était ilétait Funcom, Di Maria au contact, ça ne va pas ou quoi? Moi, je te dis que c'est pas. C'est pas le fait de faire de la muscu, des grosses épaules. Tu te fais un beau jour de capacité à courir. Athlétique, c'est tout. Et c'est aussi là la densité physique. Di Maria, il allait se frapper sur dévissent sur les joueurs, mais on voyait qu'il était bon.

[01:11:26]

On aurait eu, on aurait dit un poussin quand il cognait dedans. Tu prends les milieux de terrain du PSG et Riera. Je sais qu'il est vaillant. Il allait y aller. Il y allait plus tard, mais souvent, il se faisait bousculer parce qu'il n'est pas assez. Il n'était pas assez costaud. Cette dimension, elle est là. Et Neymar, quand il n'est pas soutenu par toute l'équipe. Mais t'as vu le nombre de cartons qu'il a pris?

[01:11:44]

Neymar, il a pris des gros cartons. Ben ouais, mais je te dis un moment dans ton équipe, il faut aussi qu'il y ait de la masse. Je suis désolé de dire ça, moi qui adore le foot technique. Mais il y a en fait qu'il y a un triple niveau au niveau technique et le physique devient absolument capital au sein de la moyenne. Maintenant, c'est à dire moi, les trois, tu passes plus, si t'as pas les 3, tu vas nulle part, tu vas pas le alléger pour rien.

[01:12:09]

Dans les deux poids, ça manque de poids encore physiquement. Il y a plusieurs choses. Moi, je trouve ce soir que le Bayern, évidemment, a imposé une identité de jeu qui est la sienne. Celle de passer par les ailes, c'est d'avoir un énorme travail de Thomas Müller. C'est d'avoir un énorme pressing au milieu de terrain. Lorsqu'un joueur, tout le monde doive, lorsqu'un joueur se blesse, se blesse comme ça. C'est la dimension physique.

[01:12:30]

Ça vaut capable de faire cela grand de soir Maidan. Mais moi, c'est pas ce qu'on reproche au PSG ce soir. Florent HPG, mais moi pas ce soir. Je le vois ce soir. Ouais, je le vois de moins de 2 ans. Et pourquoi est ce que je dis ça? Depuis deux ans, parce qu'il y a un entraîneur que moi j'adore par rapport à ce qu'il m'a montré en Allemagne et que je ne vois rien de plus qu'il devrait savoir, ce n'est pas moi.

[01:12:53]

En fait, quand on parle de Neymar Zimbabwé, ça me fait penser à ce que disait Marcel Desailly à l'Euro 2000. De toute façon, le football de demain, c'est de la balle à Henry et tu fais de la balle à Anelka et ils vont marquer si on est en 2020. Je ne suis pas persuadé que soit comme ça. Ça n'a pas été l'évolution de pas, pas d'évolution. Et moi, je vois ce soir une équipe unie et même y compris, j'ai envie de voir les analyses médiatiques ou on cherche les faiblesses des autres.

[01:13:14]

Mais on ne va pas assez dans le dos, dans le dos, ont lancé des enfants. Bien sûr, mais il n'y a pas que ça. C'est rien que ça. Tu peux pas et tu ne veux pas que ton truc en disant tiens, tu vas verticalité très vite dans le temps, en pensant forcément que les mecs, ses détracteurs, n'avaient pas du tout en plus plu aussi vite. Ce n'est pas aussi gagné et c'est ce que je voulais dire, Appolo.

[01:13:31]

Moi, ce que je reproche au PSG et tu le dis, l'OL, leur grosse faculté, leur grosse force au Bayern, c'est de passer par les ailes. Alors pourquoi aujourd'hui, tu ne bloque pas les ailes sciemment? Si je n'avais pas compris, les empêche justement de développer leur jeu. Ça fait 10 ans, ça n'a pas 10 ans. Ça fait 10 ans que ça a commencé par Bonga. C'est la génération Robben Ribéry. Pour simplifier. Et aujourd'hui, on continue.

[01:13:59]

Mais en plus, ils ont une capacité au milieu de terrain à passer par Thomas Müller. On l'a pas vu, le passeur ce soir, ça peut basculer d'un cran. Ils sont 106, ils sont 56 sur le but. Faut pas l'oublier. Quand, quand, quand? Quand le PSG a récupéré de ballons par l'action collective. Mais oui, c'est une fabuleuse action collective. Moi, ce qui me perturbe ce soir, c'est que je ne vois que des individualités techniques.

[01:14:25]

Je dirais même dans certains cas, supérieure à celle du Bayern, mais dans l'expression collective de cette équipe. Moi, je suis désolé, je bois d'accord et ça, ça me rassure. C'est vrai, les grandes équipes, les grands clubs, les grandes équipes marquent leur marque de leur empreinte une période. Elles sont là pour montrer notre style de jeu. Si on fait l'histoire du foot après, tu peux gagner de façon canule, voire même sans style.

[01:14:48]

Mais quand tu te buts contre une équipe, le Bayern, franchement, ça, on est. On est dans une décennie où s'enfoncera. Ils sont là tout le temps. Et quand ils perdent ça, ça s'est joué à rien. On joue toutefois contre le réal. C'est toujours des matchs extrêmement tendu. Quand ils perdent, ils ont jamais été dépassés par personne. Si l'année de l'année contre le Barça en 2015 à la radio sur la décennie, c'est une équipe majeure, alors ça passionne Christophe et les supporteurs du Bayern.

[01:15:17]

Christophe, bonsoir. Comment de temps en temps? Très bien.

[01:15:23]

Ça va coûter cher. On est forcément comptable de la victoire. Ce sera bon.

[01:15:30]

Est ce que tu as vu ton Bayern TEB? Qui?

[01:15:34]

Qu'est ce que tu peux te dire après cette victoire, alors qu'il faut remettre en contexte boursier et forcément, avec les conditions actuelles, le niveau au niveau mondial est déjà. La presse ne va pas éclater en me disant que la Ligue des champions aussi parce qu'il n'y a pas de match retour. Il n'y a pas de supporters pour l'instant, mais tout le monde sait qu'il y a une compétition dans laquelle tu veux.

[01:16:11]

Mais moi, je suis d'accord avec vous. Je que La Presse Paris après le match qu'a fait le Bayern ce soir? Moi, je suis très content. On a eu chaud dans le dernier carré, des occasions assez importantes, mais le Bayern a fait son boulot. Il est monstrueux dans les cages italiennes d'inventivité.

[01:16:36]

Sini gagne sa place, absolument l'un des meilleurs en arrière.

[01:16:42]

Il a totalement pense qu'un jour, peut être football devrait être un jour. On m'a donné une anecdote sur ce soir.

[01:16:53]

Oui, oui, Louis Saha, qui était là et qui était avec nous. Tu sais bien regarder comment se détendait, mais c'est pas possible. C'est peut tourner la tête de l'attaquant, mais si fait ça, je ne peux pas marquer. C'est assez impressionnant. Comment Louis réagissait aux techniques de nouvelles joueurs pour arrêter des buts, alors? C'est vrai qu'il a eu un moment où il est moins en forme parce qu'il a été placé sur une civière. Ça fait 10 ans qu'on le voit derrière.

[01:17:21]

C'est fou, ce gardien. Ce gardien est absolument fou. C'est un des plus grands de faire une évaluation parisienne dans quelques minutes. Mais les meilleurs joueurs bavarois ce soir, les gars.

[01:17:33]

Oublions d'ailleurs que l'équipe qui en fait partie au milieu de terrain Kingsley Coman, est allemande, même s'il a fini bien. Trop impersonnel? Mais alors, il a parcouru après, c'est un peu moins bien. Il faut voir aussi l'opposition en face. Après. Mais après, tu travailles au milieu, toi? Exactement. En fait, tu tires peut être un petit peu moins les individualités du Bayern ce soir, comme a pu le faire dans les matchs précédents.

[01:18:06]

Il y a un bruit. C'est déjà quelque part le signe que le PSG a pas non plus été complètement mauvais et complètement dépassé. Mais quand tu peux pas tirer trop l'individualité, bah, tu t'aperçois qu'il reste le bloc collectif qui reste la force collective de cette équipe et un ensemble toujours très cohérent. Il va quand il veut et où il va avant qu'il aille vers l'avant. Qui va, comme on dit, sait où il va, il va vers le but adverse.

[01:18:30]

Ça, tu peux, tu peux prendre tous les contres que tu veux. C'est une philosophie de jeu et c'est celle qui sera qui s'imposera de toute façon au 21ème siècle parce qu'on veut du spectacle. Donc, de toute façon, c'est ça qui va se passer. C'est pas, c'est pas l'Inter qui va arriver. C'est pas un bloc défensif monstrueux avec un look à coup devant. C'est pas ça le football de demain. Après, j'attends. Des champions du monde l'ont été comme ça.

[01:18:49]

Oui, je sais. Mais ça, toi, mais tu as dit fort justement, c'est peut être la dernière, la dernière forteresse de ce style de jeu qui fait que les joueurs nationaux sont un peu à peu sur un match sec. Sanctionné? Oui, oui, c'est un truc qui peut encore fonctionner, même si Gator. N'oublions pas que les Bleus avaient une réussite absolument folle sur cette Coupe du monde, mais globalement, en tout cas dans le foot de club, c'est une certitude.

[01:19:12]

C'est pas du tout. C'est pas du tout la voie à prendre comme évaluation parisienne dans quelques instants, à se poser la question de l'avenir de tout Rennes. Bien sûr, on va entendre Tiago Silva également d'ici minuit, le 32 16 et touver alors on parlera pas de Ligue 1 ce soir, on le fera demain devant un adversaire de trois heures. On verra sur quoi faire la lumière sur le week end. C'est vrai que ça a joué. Oui, il faut qu'on revienne quand même sur le match et j'ai oublié de recadrer les spectateurs.

[01:19:38]

Galimatias a commenté la victoire. Tu? C'est vrai. Strasbourg, premier match, première défaite. Il y avait une grosse bourde. C'était oui, ça fait plaisir. Ricanement, ça me fait rire. Quand Strasbourg perd, je sais pas pourquoi on pensait que vous étiez un peu alliers qui avait déjà Bantoustan. Il n'est pas brillant, en fait, pour toutes les équipes de la Ruhr qui l'intéressent. Pour lui, c'est la vraie Allemagne. Là, je vais être très clair.

[01:20:12]

Je l'avais vu. La Bavière, c'est pas pour lui. Je déteste amoureusement le FC Bayern. Intéressant sorte d'admiration. Il une sorte d'amoureux. l'Allemand moyen, quoi que tu détestes le Bayern bêtabloquants. Tu viens de faire la culture de la culture allemande et justement, celle des classes moyennes. Oui, c'est ce qui fait leur richesse. Reste avec eux puisque finalement tu n'es pas moyen, alors Frith a tout de suite à l'affaire, faut à la finale de la Ligue des champions.

[01:20:50]

Jusqu'à minuit, jusqu'à 2 heures du matin, les réflexes de minuit. Du coup, c'était à 20 minutes la nuit. C'était inutile chez les fonctionnaires. Il est minuit 22. Journée juste bien. C'est incroyable, ce Polo qui, avec Lionel Charbonnier, dit également Daniel Riolo, qui sait qui sait qu'il est là. D'où la petite surprise. A minuit 22, Fred Piquionne qui sort de boîte de nuit. Daniel, t'as toujours un truc à dire, je sors de toi.

[01:21:22]

Et pour les deux, il sort pas de boîte. Il sort de BFM TV. Il est temps que je me retrouve tout seul dans un studio. Oui, puisque nous nous sommes d'extérieurs, ça fait plaisir de temps en 13h. Ah bah, ça me fait plaisir d'avoir aussi mon Daniel. Bon, OK, deux autour d'elle, d'analyse à toi Duval, ça oui. Une belle grosse désillusion. Moi, j'avais pronostiqué un trio d'enfer et le trio et m'a mis dedans dès le début du match puisque les deux, ils ont eu pas mal d'occasions.

[01:21:55]

Mais voilà, j'étais vraiment dégoûté par rapport à la prestation de ce Paris Saint-Germain. Et puis surtout, le manque de solutions de tourelle, puisque on a vu que finalement, ils ont été complets. Ils lui en particulier a été complètement transparents au niveau de ses changements, de son changement tactique et même de ses changements au niveau des joueurs.

[01:22:16]

D'ailleurs, on peut poser la question ce soir. Quel avenir pour toi, les gars? Il faut changer. Ou encore leur contrat. Moi, je suis le président, je changerai. Moi aussi, je te dis je suis discret sur mon l'insurgé et je serai je souris. Je me suis trompé. Je vais chercher Pochettino, qui est un homme libre du carré du PSG, qui aimerait venir et qui, je pense, peut apporter une autre dimension. Mais attention, c'est toujours la même histoire.

[01:22:46]

Parce que, rappelons nous, quand Emry vient, on pense et il vient avec l'idée qu'il va mettre quelque chose en place qui ressemble à ce qui se fait dans le foot moderne, sert énormément d'intensité et on l'a vu très peu. Quand tout revient, c'est la même chose. Il y a cette idée. Pressing contre pressing du fameux football Bundesliga qu'on voit chez Klopp, qu'on voit chez Nagai. l'Espagne fait des entrainements et on a du mal parce qu'il ne s'accommode pas.

[01:23:13]

Il arrive pas, comment dire, à coordonner les joueurs qu'il a avec son idée de jeu. Et à l'arrivée, il propose quelque chose qu'on a du mal à analyser. On comprend pas réellement ce que sont ces choix pour les joueurs. Tout n'est pas faux, Lionel. Donc maintenant, prendre Pochettino. Pourquoi pas? A priori, comme ça, vu de l'extérieur. Très bonne idée. Mais il va falloir qu'il s'impose. Va falloir qu'il s'impose. Il y a eu une nouveauté cette année au PSG qu'on n'avait pas.

[01:23:39]

C'était déjà le groupe uni. On en a parlé beaucoup et c'est déjà la base. C'est le minimum. On a l'impression. Pour le PSG, c'était déjà énorme de l'avoir. Par rapport aux années précédentes, donc, tu as eu l'unité et tu as eu l'impression que les Stars s'étaient mis au service du collectif. Très bien. C'est un premier pas difficulté. Ça va être l'entraineur qui s'impose à tout le monde. Ça peut être une difficulté. Justement, tu peux perdre ton groupe à partir du moment où tu arrives.

[01:24:03]

Après un buzz, un truc qui veulent pas est un peu un truc. Voilà ta peau, ce qui n'a pas Khebri. Ben, les gars, les gars, allez, c'est la difficulté. Vous avez oublié quelque chose, les gars? Il y a à peine 2 jours, il y a le plus grand attaquant français qui a fait une interview en disant que Torelli, c'est le meilleur. Vous pensez vraiment qu'aujourd'hui, ils vont le virer? C'était juste après, c'était l'avant veille d'une finale de la région.

[01:24:28]

Oui, mais quand même. Il ne dirais pas la même chose les bosses, les bosses, les bosses, sans parler quand même. Et comme, à mon avis, il fait partie quand même du sport d'hiver des juste. À mon avis, aujourd'hui, Torrens n'est pas menacé, les gars. Non, non, non. C'est là que la question était Qu'est ce que tu ferais? Serait d'après ce que tu dis? Il va rester en Suisse.

[01:24:47]

Moi, je suis. Je comprends ce que dit Daniel sur l'unité. Moi, une telle que je n'ai pas aimé. Ce soir, je n'ai vu celui qui a fait le pressing en attaque. Il n'y a qu'une marque qui l'a fait. Les autres ne l'ont pas fait. Et quand celui qui est sorti un peu comme le capitaine de route de cette équipe, en tout cas pendant tout ça. Je vous dis, mais quand même, par rapport à mon statut, je suis pas forcément plus de faire tous les efforts qu'on me demande et que les autres ne le font pas.

[01:25:14]

Je ne suis pas persuadé que Démare a envie de recommencer une saison supplémentaire l'année prochaine. Moi, c'est ce soir. J'ai été très frappé par ça. Je vois pas Di Maria, je ne l'ai pas vu. Même les il y à l'assemblée. Il n'a rien en retour, les Nouvian et moi. Et Di Maria a donné l'impression de quelqu'un de léger, physiquement léger. Il a jamais fait le pressing. Di Maria, jamais rien. Moi, c'est aussi un changement par rapport à leur statut Néma.

[01:25:40]

Par rapport au statut de Neymar, le mec, c'est le seul fait comprendre depuis les matchs de chaque joueur, à chaque fois qu'il fait le pressing, c'est axial Neymar. Donc oui, c'est déjà plus difficile pour lui, sachant que en plus, sur les côtés, les mecs, ils le font pas. Moi, je ne crois pas un truc. Après le truc que tu joues 109. Tu fais un SAVAK, tu joue sans avant centre avec le faux 9.

[01:26:05]

Tes 3 devant, c'est pas c'est, c'est pas des fous. Du pressing, ça va, mais à un moment, à très haut niveau, ça ne peut pas fonctionner. Ça, ça regarde la montre, ça ne peut pas fonctionner. L'étreindre les 3, trois 3 devant tu OK, tu vois que ça fonctionne pas à un moment donné, mais change, justement. Mais faire entrer, faire rentrer Cardis. Mais tu m'aimes Myocardite? Tu comptes plus dessus, tu fais rentrer Choupo-Moting.

[01:26:25]

On est en désaccord. Il faut Icardi, c'est Icardi. Il va pas t'amener ça non plus. Celui qu'apportait ça, c'était Cavani de façon consistait en maintenant, tu sens ton système Daniell, alors on a parlé de ça juste avant que tu arrives frais. J'ai pas vu qu'on refuse le débat. En revanche, l'évaluation que je lis, que j'aimerais qu'on démarre après quelques quelques tweet qu'on reçoit, Benjamin, qui le dit au Cardigans 70 millions, ne joue pas la demi finale, ne joue pas la finale et il va peut être retrouver son poids de forme.

[01:26:53]

Et en plus, il va se relancer contre Rennes et Angers. Super, ça ferait une belle jambe si, dit Benjamin. Tout elle dégage. Qui le dit? Boboto, elle dégage. Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ben oui, il y a pas mal d'anti twal qui s'expriment ce soir parce qu'il y a une défaite? Oui, pas ça. Faut pas tout non plus remettre en cause.

[01:27:18]

Il y a eu des bonnes choses. Bien sûr. Oui, le problème, c'est que je n'arrive pas à savoir les bonnes choses. Ben voilà, il y a eu en demi finale. Ce y a eu en quarts de finale. Oui, mais après, tu joues pas et c'est pas passé. Je vois pas en quoi saisissais, mais c'était tout. C'est un tout. C'était un chef d'orchestre aussi. On a vu une équipe qui jouait et qui a des individualités super fortes et tout qui n'avait pas de chef d'orchestre et qui s'est perdu.

[01:27:47]

Le Barça s'est perdu et s'est promené. Alépé Et j'ai Canio qui lui dis donc, vous voulez virer le coach alors que le mec a fait la meilleure saison du PSG 4 titres et une finale de Ligue des champions? Le parcours en Ligue des champions? En tout cas, à partir des huitièmes de finale, il ne faut pas l'oublier dans le jeu. Le latin Bergamo. Moi, on m'a dit Bah, c'est formidable, on a couture, on a la chance avec nous.

[01:28:07]

On a égalisé les arrêts de jeu et tout ça pour ça. Bon, avec tout le respect que j'ai pour Bergame, Bergame aurait dû passer à la moulinette, comme si je suis passé à la moulinette depuis un moment. Et moi, j'en reviens toujours. Je n'ai pas de temps de jeu, j'ai pas de choses comme ça puisqu'on a entendu ce qui était tout le temps mis en avant. C'était on a un état d'esprit, on est une famille, on est unis, on est ceci on attend.

[01:28:28]

Un entraineur ne peut pas servir qu'à ça et en plus, ça va servir qu'à ça. J'ai cru comprendre dans ces déclarations arrivent à le faire. C'est beaucoup quand même avec les Lyonnais, il faut, mais je pense qu'il faut être encore plus exigeant. Ben Ali a raison ce soir. Sky Italia, par l'intermédiaire du célèbre Diberder, l'un des enjeux de ce genre d'équipe. Dès qu'il y a un truc que tout le monde le prend pour argent comptant.

[01:28:49]

Bref, si tu fais le bilan après, c'est pas tout le temps. C'est pour ça que je disais ça, ça tombe tout le temps. Faut qu'il dise ce soir que tout sera sur le départ. Remplacé par Allegri. Et parce qu'en fait, Léonardo va tout faire pour aller gris. Bordeaux ne veut plus Thorel et il n'a pas choisi ces derniers temps, a même dit que il ne ferait pas long feu au PSG s'il n'avait pas le pouvoir qu'on lui avait promis.

[01:29:16]

Donc, est ce que suite à cette finale maintenant, il va mettre la pression sur la IFI pour lui dire Ecoute, je suis le directeur sportif, je suis le patron du sportif ou non? Si oui, monsieur Tourvel, je prends un autre, je préfèrerais Pochettino lui, comme il est lié avec Category, parce qu'en plus, ils ont des liens, je crois un peu perso. Oui, il va vouloir. C'est sûr que Leonardo va vouloir.

[01:29:39]

C'est sûr, il ne veut pas Tourane. Évaluation parisienne. Fred, comment tu juges? J'ai un peu parlé, mais du coup, j'aimerais avoir ton avis aussi. Comment tu juges les matchs de Neymar et Pappé?

[01:29:51]

Très, très, très moyen. Très moyen. Malgré des occasions qu'ils ont, ils auraient dû. Ils auraient pu marquer en deuxième mi temps. J'ai trouvé Neymar, même avis. J'ai même l'impression que je ne savais pas ce qu'il avait fait sur le terrain. Il perdait tous les ballons à chaque contrôle. Il allait en plus vers l'avant et il est totalement convaincu qu'il allait mettre des examens, prendre le trio, exactement. IEM Bapès Bapès, il a raté sa fini, sa finale aussi.

[01:30:20]

Il a eu la frappe. Fred frappe sur la passe en retrait, mais de toute molle, il doit marquer, mais il doit marquer. Il est tout seul à la peine au point de pénalty. Il doit même fermer les yeux et frapper fort. Je ne sais pas. Il doit faire quelque chose. Oui, même toi, Rennes, en sortant du Platinium tu l'auras. Missels est battu. Tu le sais. Et. Non, mais normal, mais sans Sansan, sans rigoler.

[01:30:45]

Normalement, tu en première mi temps. Paris doit mener au score même si elle potos, même si les ventes de ce qu'il fait met le poteau. Mais normalement, Paris a les occasions les plus franches et doit mener au score. Di Maria, qui met une frappe pied droit au dessus, qui est bien encadré et doit cadrer celle là au moins au moins cadrer, et celle d'un pappé. Normalement, il doit la mettre au fond. Donc oui, le PSG devait devait au moins mener sur cette première mi temps.

[01:31:10]

Il est 2. Si tu mets, c'est pas pareil derrière. Ouais, mais moi, je suis d'accord avec tout ça. Tu vois comment tu vois, je suis d'accord, tu as dans son analyse qui disait que la première équipe qui marquait allait gagner le match. Je suis parfaitement d'accord avec lui. Je pense que le scol. Ce soir là, la Coupe aurait changé de crémerie. Parce que franchement, si le PSG concrétise sa première mi temps 1 0 derrière le Bayern, un t'oublie le penalty, oublié le poteau de Thevenoud.

[01:31:50]

Alors il y a 2 pénalty parce qu'il y a 2 aplatissement, mais c'est en deuxième mi temps. Fagon refait le match comme ça sur l'évaluation il y a deux jours. Il faut qu'on parle au plus haut. Pour l'instant, Thiago Silva, parce qu'on va l'écouter dans quelques minutes. Un truc a été enregistré par la feuille de match tout à l'heure et c'était son dernier. C'est pour ça que je veux qu'on en parle un peu plus, sans plus en longueur.

[01:32:14]

Le milieu de terrain pareil desservira Marquinhos. Qu'est ce que vous mangez? Ils se sont fait manger par deux joueurs. Par deux joueurs, ils se sont fait manger les trois Tiago et les temps. Il est temps et pendant tout le match, il a trottiner Tiago, Tiago Alcantara. Il était trop viséo, donc il le laisser tranquille organiser le jeu. Oui, il a organisé un allègement. C'était extraordinaire, la facilité qu'il avait un pied droit, pied gauche, changement d'aile et contrôle orienté, orientations du jeu.

[01:32:43]

Il leur aura tout fait à lui, tout seul, pratiquement. En fait, on aimerait avoir un jour comme ça, c'est clair. Moi, c'est ce que je suis censé l'avoir, le joueur. Sauf que c'est tout. Reste à voir le faire comme ça. Ouais, ouais. Normalement, Verratti, c'est comme ça. Oui, c'est la voir. Moi, je pense que les gens ont beaucoup plus envie d'aller vers eux, qu'il est plus simple de faire que Verratti.

[01:33:07]

Daniel Ah merci Fred. Beaucoup plus, ça soit une touche de balle. C'est ce que je te dis, c'est ce que ça fait. Des mois que je me tue à raconter ça et qu'on ne veut pas entendre que c'est un problème pour moi. Il a perdu sa place de titulaire au match retour contre Dortmund. Ça s'est confirmé ce soir. Tu parles de Verratti, il est ici et si tu veux bien aller, qu'on me dise non, il n'a pas complètement perdu sa place, mais il est au moins entré dans une rotation alors qu'avant, il était installé.

[01:33:30]

Moi, je dis que ce milieu de terrain, il faut le repenser complètement, que si le PSG veut gagner la Ligue des champions, ça passera par un milieu de terrain totalement repensé avec d'autres joueurs parce que j'aime beaucoup par Édesse. Mais c'est pas non plus un monstre paradait. Ça, c'est un très bon joueur. Mais on est pas en train de parler, de parler de la philosophie des grands défenseurs. On y est pas un pays qui n'a pas un énorme volume de jeu, mais alors il fait des belles passes, mais que c'est un gars vaillance, un mec qui qui fait ce qui avec ses possibilités.

[01:34:04]

Au mieux, la même chose pour Errera qui, à mon avis, est un bon remplaçant, un joueur de la rotation, un mec intelligent qui est utile dans le vestiaire, qui est utile partout pour sa bonne mentalité. Là, les choses vont changer. Qui ne voit pas forcément Wiki? Tiago Silva s'en va avec Guignol, tu devrais repasser en milieu, t'as plus de milieu de terrain, donc il faut rajouter un petit Verratti à Verratti, l'accueil qui va l'aider à jouer ou Verratti si c'est fini.

[01:34:28]

Riaillé il a joué dans le foot moderne et n'a pas voulu jouer, n'a rien almatoise. Année, on verra ce que tu viens de dire toi même qui joue pas assez simple, mais ça, ça, c'est clair. Mais tu vas acheter qui a l'oreille? Qui en vouloir construire? On l'a vu ce soir, il n'a pas signé à Liverpool. Déjà, Tiago Qantara il est sur les tablettes de Liverpool, il va signer l'hiver prochain sur les tablettes.

[01:34:52]

Il Sandaga milieu de terrain à repenser de A à Z. Mais oui, de A à Z. Au PSG, tu dois tout.

[01:34:58]

Un Thiago Motta, tu le retrouvera pas comme ça aujourd'hui. Le joueur comme Thiago Alcantara, justement, tu t il coûte très cher aujourd'hui. Si tu veux aller le chercher dans un club, y'a pas ça.

[01:35:11]

Le PSG a besoin de deux milieux et pourtant, il va y en avoir au club, mais deux milieux et un arrière droit. Mais ça, ça revient. Ça revient aussi à remettre en cause toute la politique de starification des dernières années du PSG. Parce que quand tu mets tant d'argent sur Neymar, non plus testé, vont rester. Oui, ce que je veux, c'est ça le foot à la poubelle. Bon, c'est pas ça que je dis.

[01:35:32]

Non, je dis tu le fait d'avoir mis énormément d'argent sur ces deux personnes des budgets, ils sont pas non plus comme on veut la, mais assez, assez, assez. Le même raisonnement en prenant Cristiano Ronaldo pour finalement en Ligue des champions, se retrouver face à des blogs où il a plus la forme d'avant pour être le sauveur tout seul. Et en plus, quand il était petit sauveur tout seul, il n'était pas vraiment parce que le Réal est une équipe monstrueuse.

[01:35:56]

Vous avez une densité partout où les milieux de terrain étaient forts, l'équipe était à son service CTCC. C'était énorme. On ne peut pas dire que Ronaldo gagner et gagner tout seul. Mais regarde le Barça qui s'en est remis à Messi après 2015 ou 2015. Il a encore une équipe fantastique, et notamment au milieu de terrain au Barça, derrière les autres équipes derrière, on a starisation à mort. Le foot avec Messi, Ronaldo, qui sont des extraterrestres.

[01:36:19]

Regarde réellement dans les détails comment ça se passait et regarde les deux derniers vainqueurs de Ligue des champions. Il des stars dans les deux derniers vainqueurs au Bayern, au Bayern ou à Liverpool. C'est ce que je dis tout le temps. Ce sont des stars qui se mettent au service du collectif. Ça, l'Asala. C'est une star du foot, Lestat. Mais moi, je te parle de star. C'est le transfert à plus de 150 salaires. Les admis, Domi, c'est pas top, c'est du bidon, c'est le top 3.

[01:36:43]

Le machin. Messi, Ronaldo. On fait varier la vision du foot, mais on oublie que oui, c'était des joueurs absolument extra terrestres, mais ils étaient quand même dans des équipes qui étaient fantastiques, réellement fantastiques. Mais s'il a des enfants qui gagnent la Ligue des champions, c'est 2015. Regarde l'équipe avec laquelle il joue et Ronaldo quand il gagne au Réal? Oui, oui, oui, il est absolument fabuleux. Oui, mais son équipe derrière?

[01:37:08]

C'est fou quoi, tu tu peux, Isabey? Navas? S'il avait un Sergio Ramos, c'est Marcelo qui avait l'impression qu'il volait sur le terrain. Crows, Modric sont des milieux de terrain fantastiques. Casimiro. Quant à la boutique, elle est tenue par un socle comme ça. C'est bon. Après, si Ronaldo il défend pas tu, mais après, il va s'exprimer entouré de tous côtés. C'est vrai que c'est toujours le futur de leur poule avec PSG.

[01:37:32]

Ou lorsque vient me dire Daniel, je ne parle même pas, évidemment. Ronaldo, quand Firmino, il n'était pas d'Hoffenheim, personne ne connaît. On connait un petit peu comme ça. C'est pas mauvais, mais ça, Sadio Mané Mané, ça, ça vient bien, c'est mal. C'est Bale, donc le mec, le grand, le grand bâtisseur, le beau architecte. C'est dur comme Klopp qui a son truc. C'est ça, c'est l'enseignement de la ligue, déjà.

[01:37:57]

Oui, ça, c'est ça qu'il faut retenir. C'est pas quand a face à Arturo 32. Salut Arthurs. Bonsoir à tous, bonsoir a tous tabulaires.

[01:38:07]

D Un peu dans l'après, donc concernant concernant le PSG, toi, qu'est ce que tu? Qu'est ce que tu penses de tout ça? Déjà, pour toi, il faut changer de coach.

[01:38:16]

Pour moi, j'avais déjà bien avant le début du tournoi, continuer à moins d'une victoire, pu sauver pour continuer avec l'emprise sur Sherbrooke depuis maintenant plusieurs mois. Il le collectif, et ce, malgré les joueurs qu'il avait entre les mains, mais beaucoup trop remis aux individualités de Neymar. Pour moi, on ne peut pas continuer comme ça et surtout, il ne l'a pas. Il n'a pas vraiment le respect du vestiaire qui devrait avoir. Et de toute façon, avec cette équipe comme elle est là, je comprends pas que l'année prochaine, tu te retrouves aussi haut.

[01:38:54]

Je ne suis pas convaincu que tu ailles encore en finale si t'as pas les renforts nécessaires au milieu et si t'as pas un entraineur qui impose un véritable style. Daniel avait oublié son Fred t'oublie sur les côtés aussi. Les latéraux, vraiment, c'est s'arrêteraient. Attention, bien sûr, à droite, à droite, il faut un latéral droit de compétition pour faire en sorte cas de Thomas Stocman. On lui reproche en Allemagne de ne pas savoir gagner des gros matchs encore ce soir, ne pas savoir sortir systématiquement.

[01:39:29]

Il arrive parfois que je n'y arrive pas. Tout est relatif, évidemment. Mais de faire considérer encore une fois Thomas Stovall comme un des grands coachs européens. Je pense que ça va être ça. C'est une occasion ratée.

[01:39:44]

As tu en?

[01:39:46]

Oui, pour moi pour l'année prochaine. L'entraineur, j'aimerais bien que ce soit l'égoïste. Déjà parce que le Hollandais le connaissent bien et que c'est quelqu'un qui, je pense. Le respect du vestiaire et qui est plus prompt à manager des stars alors que j'aime aussi beaucoup d'eau, fait hydroxyde en tant qu'entraîneur. A été de former un collectif. Et dans une équipe qui est à la base, je n'avais pas grand chose à proclamer sur ce compte là. L'effectif est déjà assez conséquent et je pense pas que ce n'est pas le salut que l'on a eu avant même que je sois allégorique.

[01:40:26]

Fait le seul entraineur libre qui pourrait faire l'affaire. Et puis surtout, un arrière droit puisque Latil au club. J'aimerais bien Ricardo Pereira de lecteur. Oui, je pense aussi un moment où c'est fatal. Il était sur les tablettes, c'est fatal.

[01:40:45]

De toute manière, il partira pas cette année. À part si vraiment de l'argent. Mais Nice a de quoi le tenir, en tout cas.

[01:40:52]

J'avais pensé aussi à Kimi, mais il vient de signer Linker Arthurs. Merci à toi. Merci, bonsoir. On est de retour et on entendra Thiago Silva qui doit jouer son dernier match avec le PSG. Le PSG, on n'a pas vu les larmes de Thiago Silva depuis celle de départ, d'ailleurs. On va l'entendre dans quelques instants, donc, pour finir cette soirée. Évidemment, la star est là encore pendant un petit quart d'heure. En tout, en 43 ans et jusqu'à une heure du matin, c'est la défaite du PSG.

[01:41:28]

C'est la finale de la Ligue des champions. Ils sont là Daniel Riolo, Lionel Charbonnier, Frédéric Pic, Paulo, bras de fer avec nous tous, avec quelques réactions encore. Raymond Domenech fait plutôt le tour de débat. Il a raté son rendez vous. Petit de trop débordé pendant qu'il n'est pas dans le match et qu'il n'est pas là. C'est mort. Voilà un peu la réalité. Je vous signale également que Hollande n'a pas de reporters sur place.

[01:42:00]

Son plus grosse revanche, c'est la fête sur le Vieux-Port, à Marseille. Ouais, c'est là faire la fête. La défaite d'un autre, quand tu n'as pas l'occasion de la faire pour toi même. Voilà donc, après les victoires, le maillot porté par portée. Porter tout ça, tu pourrais continuer parce que il y a bientôt un Brest Marseille. Je dis pas de bêtises. Il y a aussi interdiction de port. Maintenant, c'est fréquent ce genre de confusion fréquent d'ailleurs.

[01:42:28]

Mais on n'en parlait pas autant que les couleurs de poisson dans la hiérarchie de la bêtise. Justement, il n'y a pas en faire.

[01:42:35]

Alors, Thiago Silva, les gars, on va écouter quelques minutes. C'est la dernière interview à priori de Thiago Silva au Paris Saint-Germain. La fin d'une époque comme il arrive en 2012? Si je dis pas de bêtises, c'est une des premières grandes recrues de l'ère qatarie. Quand il est arrivé, il venait un peu à reculons parce qu'il ne voulait pas quitter Milan. Finalement, il est venu. Et puis après, il veut plus quitter le PSG. Voilà huit ans, c'est pas rien.

[01:43:02]

On écoute Thiago Silva. Interview enregistrée il y a quelques minutes avec l'abbé de Poissy, qui lui pose des questions.

[01:43:08]

Santiago Tiago, on aurait aimé vous retrouver avec le sourire. Aimez vous retrouver la coupe dans les mains? On imagine que ça va être une soirée très dure pour vous. Oui, sûr, c'est normal, c'est normal. La déception est là, mais. Il faut continuer, il faut lever la tête. On a vu arriver en finale tout le monde qui a l'opportunité d'arriver là. Comment accepter de céder pour nos petits détails? La première période, on a eu deux ou trois occasions d'ouvrir le score.

[01:43:46]

On. On a pas fait et après on était. On était poignée pour ce centre au deuxième poteau. On en a parlé beaucoup. Ça sent. Tous les matchs 25, 26 centres par match. On savait que c'était cette qualité là. Mais bon, c'est le petit détail qui fait toujours la différence aujourd'hui. C'était ça. La déception est grande, mais il faut voir, sinon il faut élever la tête. Malheureusement pour moi, c'était c'était le dernier match.

[01:44:21]

C'est encore pire pour moi, mais je suis très fier de cette équipe là. La famille a créé cette année, c'était c'était quelque chose et le respect entre nous, c'est incroyable. Cette année, les choses a marché très, très bien, sauf ce match là. Mais comme l'a dit bien le président, il faut il faut continuer parce qu'on a les bons choses à passer aussi. C'est pas moi comme mon joueur, mais peut être après, vous venez ce pas faire quelque chose avec le club.

[01:45:01]

Mais je suis très fier. C'est plate, trop. Ça fait neuf ans maintenant que vous êtes au PSG. Neuf années que je vous suis. Vous avez été un très grand joueur du PSG, l'un des joueurs préférés de tous les supporteurs parisiens. C'était votre dernier match. Qu'est ce que vous avez à dire à tous ces supporters? Non merci, merci à tous. Pour votre soutien, c'était incroyable. Le respect, c'est ça la chose qui, pour moi la plus importante avec vous, c'était toujours aussi sympa avec moi, avec beaucoup de respect.

[01:45:43]

Merci et excuse moi les supporter. Désolé pour cette tristesse, sa déception d'aujourd'hui. Mais cette clubber là, il va y avoir beaucoup encore progresser. Encore l'opportunité de gagner cette Ligue des champions, j'espère, est là le futur fort prêt pour revenir à quelque chose. Parce que ma reconnaissance pour cette Coupe, c'était incroyable tout ce que le Culver a fait pour moi. Le président, mais c'est à l'émir pour la confiance. Mais malheureusement pour moi, c'était le dernier match.

[01:46:26]

Vous n'avez pas gagné un ce soir avec Paris. Qu'est ce qui manque à Paris pour enfin la gagner? Est ce que tu arrives à la gagner très bientôt, selon vous? Oui, je pense. Et je pense. Surtout parce que cette année, on a fait toutes les bonnes saisons. On a commencé bien plus, mais congédiées, tout est là. C'est le petit détail qui a décidé le match aujourd'hui. La déception est énorme. Tristesse qui est juste qu'il jouer, qui casse dans cette section, mon sentiment là.

[01:47:00]

Mais je pense que bientôt le lot Paris va arriver encore en finale, mais il va y avoir plus de chances pour remporter le championnat. J'ai avancé que le président Nasser Al-Khelaifi vous adore, vous apprécie beaucoup. Vous venez Busard que vous espériez pourquoi pas revenir bientôt dans ce club? Ça serait pour faire quoi? Vous pensez à quoi? Qu'est ce que vous avez envie de faire maintenant? Non, je sais pas. Je pense encore à jouer. 3 4 En quoi j'ai envie de me préparer pour jouer la Coupe du monde au papa?

[01:47:39]

On va voir comment ça va se passer quand mon corps va réagir. Tout ça à bientôt 36 ans. Mais il faut se préparer pour ça. Le président a beaucoup de respect pour moi et moi aussi. C'était c'était énorme et travaille avec moi. Je ne sais pas. J'ai dit parce que j'adore cette couleur là. Peut être que j'ai voir OVNI a fait quoi exactement? C'est pas ca. Le plus important, c'est le respect. J'ai eu deux présidents de club là bas.

[01:48:13]

C'est beaucoup. Ciao Marcello!

[01:48:16]

Thiago Silva, qui fait ses adieux au PSG, est quand même un gars qui a compté dans l'histoire du club. Incontestablement, oui. Oui, bien sûr. Cette question posée, on est déjà tous répondu à cette question. Effectivement, il a compté, il a compté au club. Maintenant, il a été critiqué aussi dans des matches où il était critiquable. Mais je pense que sur l'ensemble de sa carrière au PSG, c'est un grand monsieur et un grand capitaine.

[01:48:42]

Bon, maintenant, vous avez fait des appels d'offres, appels d'offres, Tirepied de tournoi, les joueurs qui passent leur temps à s'excuser, je n'en peux plus. J'en peux plus qu'on ne pas assez à manger. Excuse moi, c'est comme ça, car c'est quelqu'un qui est très attachant. Mais son caractère n'est pas assez fort pour le très haut niveau. Oui, c'est quelqu'un de attachante, est obligé de bien l'aimer, même si ce soir, on peut considérer qu'il fait un bon match.

[01:49:14]

Soir de la défaite, la défense centrale et pas moi. Tu vois, tu vois, je te vois pour moi, à part dans une pub, pour moi qui paie. Mais il a plus de personnalité, plus de caractère, alors que c'est un gamin qui, les plus jeunes, n'est pas ce que ça. Dans ses interventions, je pense qu'il sera plus tranchante. C'est pour ça, non? Tu veux dire quand tu parles? Ouais, mais ce qui n'engage pas ce que tu vas quand je parle de moi, tu vois.

[01:49:35]

Je pense que la charnière. Moi, je veux cette charnière depuis longtemps. Marquinhos, Skip MB Ça donne beaucoup plus de personnalité à l'équipe, beaucoup plus de personnalité et le côté tranchant. Alors oui, tu vas me dire ouais, mais le mec qui intervient proprement, ça vaut quand le mec intervient de façon tranchante. Ouais, peut être. Mais en même temps, moi, je trouve que ce que ça dégage comme impression fait peur. Exactement. Ben voilà, tu hatt.

[01:50:01]

Finalement, tu m'as compris parce qu il faut un défenseur. Ça doit avoir du caractère, soit de montrer à l'autre qu'il est méchant, qu'il est parfois Sergio Ramos. Il n'est pas toujours super honnête dans ses interventions. C'est une garde, seule envie. Mais je ne parle même pas de ça. Je ne parle même pas de ça. Je ne parle même pas de ça. Parfois, il n'y a pas désincarnation des fois. Et des fois, il passe un peu.

[01:50:23]

Mais c'est un défenseur qui, s'il est aujourd'hui l'un des meilleurs au monde, c'est parce qu'il fait un peu peur. Bandaï, qui fait peur aussi. Alors il fait peur pour autre chose parce qu'il a une grosse masse. C'est parce que physiquement, c'est un monstre. Ramos aussi fait peur parce qu il met des coups en plus d'être bon, tout ça. Je précise en plus d'être bon. Tiago Silva, il est juste bon, il a pas, il n'a pas autre chose que toi.

[01:50:46]

Il a pas tort. Je sais pas si on parle de qui est Lini. Bonucci a leur sommet. C'est une charnière, foutait les jetons parce que Kyling, il a sa tronche de. Ouais, ouais, mais défenseur central, c'est ça. Il est presque trop propre. C'est un défenseur chaussant. Et Marquinhos qui pmb, c'est déjà au dessus. Et encore Marquinhos. Je pense qu'il dit il va falloir qu'il apprenne à vous mettre des petites savates de temps en temps.

[01:51:09]

C'est là aussi. Va falloir qu'il fasse ce choix. D'accord avec Fred. Vous allez jouer au foot, vous? Merde, quoi que vous admettez vous les défenseurs, il faut qu'il soit comme ça. Un peu aussi. Moi, je le pense. Je pense gêner les défenseurs comme ça. Oui, aux yeux, Brunie est très sympa. Oui, ça y était. C'est quoi? Yonnel, charnière charnière.

[01:51:34]

Quand vous perdez contre Dortmund, Franck Garratt a versla et c'était Franck Silvestre. C'est gentil de le dire, non? Mais oui, bien sûr, mais parce que je pense qu'une équipe aussi, une belle équipe n'est pas faite que de stars. Il faut savoir les mecs, à savoir des machines qui sont capables de détruire le jeu adverse, de faire peur, comme tu dis, Daniel, que ce soit bon à des postes stratégiques, bien évidemment, en numéro 6.

[01:52:12]

C'est là, je pense. Le même profil n'empêche pas de payer trop, rien. Trop de joueurs. Il y a 3 joueurs en chaussons au PSG. Pareil au milieu. Quand c'est arrivé qu'il a commencé à mettre deux, trois coups et qu'il a commencé à aller choper les mecs qui voulaient toucher Neymar, on a tous trouvé ça formidable. Bien sûr, c'est formidable, mais on aurait dû l'avoir avant. Justement, l'une des plus belles choses de ce soir, c'est les 3 4 coups au bon moment qui a mis le Bayern, qui a mis le PSG annulaires.

[01:52:37]

Mais Müller? Vous avez vu comment il a joué Muylaert? Bah oui, c'est une gaffe. Oui, c'est comme ça. C'est ça, le. Ils font à 80 mètres du but adverse et 30 secondes après, il est en train d'aider aussi d'autres formes de savate qui essayent. Danloy, une petite claque, un peu coup de salope, alors qu'on conclu les gars, il nous reste. Il nous reste 3 minutes par la déclaration de Solférino qui a dit qu'il adorait cette formule du Fadell Height et que, du coup, il allait réfléchir à l'UEFA ce qu'il allait faire avec les diffuseurs?

[01:53:13]

Est ce que la gueule, les gros, il va aller convaincrait les diffuseurs et les gros clubs? J'attends de voir comment il va les convaincre, surtout que ça signifierait une unité de temps comme il l'avait annoncé. Il aura, il l'aura jamais dans le calendrier habituel, mais il pourrait dire gillibert jean le mois de mai. Mais les mecs, ils ont le championnat à jouer tout en fait. Il a alors le faire après le championnat. Il a balancé sa Coupe du monde de Commenteront.

[01:53:34]

C'est mort en même temps les diffuseurs. Et ils ne vont pas être contents. Sauf que ça fait moins quand ils veulent leur feuilleton et veulent leur aller retour. Et les gros clubs se dire. Un match que je peux me faire niquer par une équipe moins forte, par leur. FIFA, qui est très intéressant au 21ème siècle, c'est qu'en fait, s'il décide de changer quelque chose alors qu'on est dans une logique de toujours plus au niveau des matchs, on a la machine qui va encore arriver pour les équipes.

[01:53:55]

Il y a toujours quelque chose que je ne comprends pas. Pourquoi tu me parles d'une compétition? Je ne l'ai pas, mais moi, je ne connais un seul homme sur terre qui la comprend, c'est Nicolas. Et de ce côté là, ça ferait beaucoup moins de matchs, etc. Donc, ça veut dire moins d'Auzay. Dans le cas où se mettra en place, ça veut dire modo, c'est évidemment, les d'oseille n'existent pas dans le football.

[01:54:17]

Il est sûr que quand on le voit en seconde période, mais ne nous enlève pas les matchs aller retour, c'est à dire c'est comme ça. Il sortait de table. Bah, c'est pas ici. Il sortait d'un cocktail. Petit et bon petit, Lionel, ta ta mémoire est défaillante parce que t'as ta défense. Ce jour là, face à Dortmund avec les Goma, Goma, Alain, Goma, Alain investirent Cariboo West atterris.

[01:54:45]

Il faudrait un Tribolet, voire même faire quelque chose s'il n'avait pas de pied destructeur en l'air. Ceci dit, TT content de l'avoir dans ton équipe, valait mieux. Au début, j'ai le droit de lancer une petite question pour vous débat des prochains jours. Est ce que vous pensez vraiment que Paris a prouvé que le fait que Paris soit en finale de Ligue des champions face à un vrai progrès? Moi, c'est une question mineure. J'ai peur, je te propose de la garder pour demain soir.

[01:55:19]

Bologne est allé trop loin, cette question. Paulo, moi, je te réponds que je serai pas là demain. On ne perd jamais. Soit on gagne, soit on apprend. C'est une bonne réponse, on en reparlera demain. Elle est très intelligente. Cette dernière petite info mercato. Personnalité. Il ne peut y avoir d'échec pour celui qui continue la lutte. Voilà les gars qui étaient là dessus à condition de leur ambition de vouloir à Fred aprèsla épaulé aux platines Holiste.

[01:55:54]

Je te rassure, ça t'étonne pas que je connaissais un peu t'en passé là. Ça m'étonne pas parce que c'est encore des gens qui ont été parlé. Vous voyez peut être de temps en temps, ça se trouve même pas. C'est pas moi. En plus, c'est pas moi. J'ai des photos. Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Toujours. Il parait que c'était le vendredi 22. Menteur supplémentaire. Dernière info mercato.

[01:56:20]

Je la place vite fait. Gabriel Arsenal s'est fait 30 millions pour Lille. Alberto s'est bien vendu par Lille. Chapeau les artistes, c'est fini. Merci à vous, les gars. Demain soir, demain soir, after de 3 heures avec Daniel. Merci Fred. Merci Lionel, auscultées avec cette pub. Cela ne donne rien qui résume assez bien ce que pensaient les gens parisiens après le match, quand même.

[01:56:50]

Honnêtement, demain soir 21h dans la bonne nuit à tous. RMC et la Ligue des champions.