Transcribe your podcast
[00:00:03]

Épisode bonus avec mon glaçures, j'ai nommé Mathieu Stéphanie du podcast Génération Do It Yourself s'enquit Ma vie de podcast n'aurait peut être pas pris le même virage s'il n'avait pas été dans les parages. Cela fait plus de deux ans maintenant qu'on se suit, qu'on se conseil, qu'on partage nos doutes, nos questionnements, mais aussi notre enthousiasme pour ce média dont nous avons essayé de dessiner les lignes entouré de toute une tribu, d'autres podcaster plein d'énergie. Aujourd'hui, on a décidé de lancer la masterclass Entreprendre un podcast pour vous accompagner dans votre propre aventure.

[00:00:35]

Elle est accessible à un super tarif de lancement jusqu'au 27 novembre. Et si vous avez un projet de podcast en tête, croyez moi, elle va vous faire gagner du temps dans cet épisode. Retrouvez pour vous parler de l'origine de ce projet et vous allez comprendre que si vous décidez de suivre cette master class, ce sera peut être juste un hobby. Mais faites gaffe parce que ça peut aussi changer votre vie.

[00:00:58]

C'est parti, tu peux le refaire. C'est parti. Allez, c'est parti en vol, c'est Cosa Nostra avec Clémentine Garet. J'adore. Depuis le temps qu'on peut faire, qu'on a jamais enregistré, qu'on enregistre en parallèle. C'est l'occasion. Alors on est sur ton podcast et sur les tiens, ça glisse, stérilisent. Voilà, voilà. Génération d'étincelle dans la vie. Chebli.

[00:01:22]

Bienvenue chez BLESSES. Je vais te faire faire le jingle. S'abstenaient plus chaleureux. Talençais, ton chrono! Parce que tu as peur qu'on parte en bas, parce qu'on est beaucoup trop bavard. Donc il vaut mieux des petites garde fous pour être clair, concis et efficaces. Parce que l'objet de cet épisode spécial, c'est de raconter un peu les coulisses et la genèse de ce projet, de cette masterclass qu'on a, qu'on a fait ensemble, de nos podcasts aussi et de nos pas de caste.

[00:01:56]

Ceci est un bonus qui est diffusé sur nos deux podcasts. Voilà exactement cool. Je te laisse un petit cadeau.

[00:02:05]

OK, alors moi, j'aimerais bien que tu te présente parce que je pense que certaines de mes auditrice te connaissent, mais pas toutes. Et voilà pour celles qui sont curieuses de se lancer dans un projet comme ça qui sommeille en elles. Je pense que ton podcast est plus plus intéressant et plus nourrissant. Donc, je te laisse te présenter à moi dans ta Castan, dit on dit. J'ai dit je vais demander ton nom, prénom, ton âge, d'où tu viens.

[00:02:41]

Est ce que tu fais dans la vie? De qui est composé ta famille, s'il te plaît? Mathieu Je viens, ça fait beaucoup de questions. Déjà, je note plus tard tu as dit mes auditrices, donc on va y revenir.

[00:02:55]

Je suis Matthieu Stéphanie de 41 ans. Je sais d'où je viens, d'où je viens. Tu habites tu à Paris 17e arrondissement, juste à côté d'ici? Tu fais quoi? Je fais quoi dans la vie? Je suis un heureux mari. Magnifique femme, Lucie, qui est une fidèle auditrice, l'heureux papa de trois enfants, Louise, Élie et Jules, que j'aime de tout mon coeur. C'est bien connu. Suis un calages. Déjà deux enfants 8, 5 et 3 et je suis entrepreneur avant tout.

[00:03:35]

Ma passion depuis très longtemps. J'aime créer des projets, lancer de nouvelles choses, un peu aventurier. Cette aventure m'a mené à un podcast. Je suis désormais podcaster. Avec ce podcast de Génération Culture Self, un autre dont parle je trouve, qui s'appelle la martingale sur les finances perso. Mon idée, c'est vraiment de faire ma thèse, pas de moi, mais qu'on est la moyenne des personnes qu'on fréquente. Et donc, je veux aller fréquenter des artistes, des sportifs, des entrepreneurs pour augmenter ma moyenne et celle de mes auditeurs.

[00:04:10]

Donc voilà, je suis un espèce d'énorme scam. Je triche complètement, je prends la. Tu l'excuse d'avoir plein d'auditeurs pour essayer de rencontrer des gens, qu'on fait des truc de ouf! Et pour eux, c'est la meilleure.

[00:04:27]

Voilà donc le secret, c'est à moi. Donc moi, je suis plus simple. Tu vois, je vais dire. Le problème, c'est que ça ouvre une porte qui peut être très large et très profonde. Je te propose, ma chère Clémentine, de te présenter. Moi, je suis Clémentine Galey.

[00:04:46]

J'ai, je suis plus vieille que toi.

[00:04:48]

T'es pas obligé. Tu sais, moi, je m'a dit Tu ne dois pas demander aux femmes t'es pas obligé de me suicider, mais j'assume. Je viens d'avoir 42 ans.

[00:04:56]

Je suis donc je pas cru à des gens si gentils, mais pas du tout.

[00:05:05]

Je pensais qu'ils étaient beaucoup plus jeunes que maintenant. J'ai pas longtemps et donc je suis podcaster. C'est un nouveau métier, un nouveau plus si nouveau que ça. À force de dire que c'est nouveau, ça va faire quand même presque 3 ans que j'ai fait ça. J'ai démarré, j'avais un autre métier. En parallèle, j'étais directrice de casting en télé pendant un an. J'ai fait ça pendant des années. J'ai toute ma carrière. En fait, je l'ai faite dans le cinéma et la télévision est mon dernier poste.

[00:05:32]

Là, c'était directrice de casting chez TF1 Production.

[00:05:36]

Des petites chaînes locales pour des castet, des candidats pour des émissions de télé. Et puis, le podcast est rentré dans ma vie il y a deux ans et demi, il y a presque trois ans maintenant. Voilà donc, j'ai lancé Blastocyste, un podcast sur la maternité avec. La grossesse et l'accouchement sans filtre. Mon objectif était vraiment de délier les langues, de lever des tabous et de libérer la parole autour de ces sujets de grossesse et d'accouchement qui sont là, qui sont de facto qui sont un univers.

[00:06:15]

Encore là, ça va mieux, ça va mieux depuis trois ans. Mais tu vois, c'est vrai qu'on a eu un gros boom de libération de la parole depuis quelques années et j'espère, je pense en toute modestie, y avoir un petit peu contribué. C'est ma plus grande fierté aujourd'hui. Des tas de débats, oui, en effet, sur justement les violences. J'ai mis des guillemets d'ailleurs, mais je sais pas. Mais d'ailleurs, je crois que pas les violences obstétricales.

[00:06:42]

Bien sûr, il y a une grosse pétition là, qu'on a lancée pour de meilleures conditions de travail des sages femmes et une pétition qui a été lancée par un grand sage femme. Formidable Fabra, ça, ce qui est du tout ni angoissant.

[00:06:59]

Toutes les personnes vous diront là la manière dont on en parle. On pourrait dire ça. Toutes les personnes qui en parlent autour de moi adorent parce que c'est aussi inspirant. Ça raconte des belles histoires, des histoires émouvantes, bien sûr, vécues absolument.

[00:07:10]

Moi, j'ai jamais voulu faire quelque chose, ni ni. Je n'ai jamais voulu être donneuse de leçons ou dramatique ou flippante. Le but n'est pas de décourager les femmes de procréer, loin de là. Au contraire, l'idée, c'est de les informer et qu'elles, en étant le mieux informés possible, elles soient éclairées et qu'elles aient qu'elles arrivent le jour de leur accouchement, si tu veux, en sachant ce qui va se passer des auditrices.

[00:07:39]

Voilà donc un peu plus tôt pour les femmes.

[00:07:42]

Voilà, c'est pour ça que j'ai dit auditrices pour que 98% de mon audience et composée de femmes plutôt pour une grosse majorité écrasante dont je suis très heureuse.

[00:07:56]

On est comme une espèce de grande armée, de guerrières.

[00:08:03]

Je n'ai pas peur, Albert Mathieu. Ça se passe très bien. Tout cela se fait avec le sourire. La bienveillance, c'est beaucoup d'énergie, beaucoup d'enthousiasme.

[00:08:13]

Cette image que j'ai dans la tête de cette armée de guerrier, de ce qui va m'arriver. Je pèse sur une armée de guérilla qui va au contraire accueillir à bras ouverts. Et voilà. Il se passe quelque chose de fou, ce podcast, depuis depuis trois ans.

[00:08:30]

C'est d'ailleurs un sujet tabou, mais c'est d'ailleurs le sujet de la master class dont on va parler là. Son. On ne veut pas en faire une. C'est pas l'idée de faire une grosse promo là. C'est juste d'expliquer pourquoi on a fait ça peut être. Tout le monde peut faire. Beaucoup de gens autour de nous peut faire. Et voilà. Vous avez sans doute tous des gens autour de vous qui ont envie de créer du contenu, de faire en sorte une chose le media audio et podcast.

[00:08:51]

Vraiment intéressant. Si je dois me mettre dans la peau de C. Moi, je suis plutôt à 60. J'ai quand même pas mal de femmes qui écoutent Générations futures, seules plutôt 65% d'hommes. C'est quand même plutôt des hommes et j'ai plus d'hommes que de femmes. Pour plein de raisons que je pourrais expliquer. On y reviendra éventuellement, mais il est vraiment destiné à tout le monde. C'est très clair et certains de mes meilleurs épisodes, voire mes meilleurs épisodes, en tout cas au monde d'écoute, sont des épisodes avec des femmes évidemment plus intelligentes.

[00:09:26]

Mais je ne veux pas offenser non plus les invités masculins.

[00:09:30]

Mais attention, les mecs sont les bienvenus aussi sur Bly. C'est d'ailleurs qu'ils écoutent. Ben moi, j'adore. Parce que quand je rencontre des couples, notamment dernièrement quand je faisais des signatures pour mon livre, j'ai sorti un livre il y a quelques mois, qui s'appelle qui s'appelle Bistouris. Voilà le livre décomplexé sur la grossesse et l'accouchement. Et en fait, pas mal de nanas venaient avec leur mec et ils me disaient Mais moi, j'adore. J'écoute un peu d'enfants comme ça qu'on manana écoute et j'ai appris plein de trucs.

[00:10:02]

Et ça m'a permis d'être beaucoup mieux équipée, de savoir plein de choses que je n'aurai pas, que je ne serai pas allé chercher. En fait, parce que j'avais pas envie de lire des bouquins, ça me soulet. Et alors que là, en écoutant Cabezas d'une oreille avec leur nana, ça rentrait les infos. Et donc, tu vois, et c'est aussi potentiellement ouvert à une audience masculine de deux épisodes.

[00:10:28]

Je ne vais pas me donner pour écouter, faire ce qu'on peut écouter ou pas surprise, mais je vois très bien ce que c'est, mais je vois très bien quel épisode peut être commandé, mais je ne me souviens plus des numéros.

[00:10:41]

C'est pour ça que j'en ai quand même 100, 107, 708 aujourd'hui. Mais en fait, j'ai interviewé un papa plutôt au début de l'année, Jean-Philippe, qui était fantastique à un père de quatre.

[00:10:57]

Vraiment hyper impliqué dans sa paternité et voilà donc le quatrième enfant, qui était une petite fille, qui est une petite fille, a été grande préma et donc il m'a raconté tout le branle bas de combat, le tsunami émotionnel et familial que l'arrivée de ce dernier enfant avait provoqué dans sa famille et dans son couple. Et comment il avait été copilote.

[00:11:20]

D'ailleurs, l'épisode s'appelle Profession copilote et j'avais adoré avoir le point de vue de ce papa qui me racontait tout d'un coup l'autre le contrechamp de ce que j'ai l'habitude d'avoir à mon micro et pas mal de temps en temps voir ce contrechamp. Mais c'est vrai que ce n'est pas ce que j'ai choisi et je n'ai pas choisi de mettre les hommes à l'honneur. J'avoue, j'ai choisi de mettre les femmes à l'honneur. Donc, c'est vrai que la plupart de mes invités, la majorité, la grande majorité, sont des femmes.

[00:11:51]

Je te retrouverai si l'on me tracert dans les notes. Absolument. Sont là, très bien. Écoute moi, j'ai retrouvé l'épisode que je peux te recommander. Oui, c'est ça. J'en ai un ou deux, mais l'épisode des épisodes, qui a vraiment, est un tournant avec une femme en l'occurrence pour Générations futures, ça le fait vraiment. D'un des plus partagés, c'est l'épisode numéro 40 avec Catherine, pendant que la fondatrice de Tartinez, je l'avais écoutée.

[00:12:20]

Il était fantastique. Ça fait 40 numéro 40. Trop bien. J'ai eu Carole, juge de Joong des couches. Ouais, top, vraiment top. Très long, chasseur de ma petite beauté. Histoire, tu vois ce truc? Ouais, ouais, abattant toutes l'Unis. Même si j'en ai même racheté plusieurs. Au fait, c'est génial, invention.

[00:12:48]

Et un épisode sur ma chance. Je cherche aussi le nom, mais avec Philippe, Gaby dit que trop, trop, trop bien. Comment avoir de la chance? Voilà, voilà propos pour accéder. Ou récemment avec une aviatrice? Oui, à voir dirigé la Patrouille de France qui s'appelle Virginie Guyot. Un épisode vraiment top. Mais en fait. Et après, on passe à Edgar Grospiron la semaine dernière.

[00:13:15]

Darniche, la voilà avec qui j'ai échangé des textos. Mais tous les épisodes, même si ça peut paraître un peu nichts. Etc. L'idée, c'est quand même vraiment de d'inspirer ma mère. Tu vois, ma mère était infirmière. Je ne peux pas dire de ma mère, d'ailleurs, mais elle m'a dit Je vais me faire des conseils, sinon. Mais elle me dit Tu veux Philippe de la chevalerie pépère, mais tu vois super épisode. Mais tu connais pas Henry qui est récent, c'est toi, mais moi, je trouve pas sa niche du tout.

[00:13:46]

Je trouve ça. Je trouve que c'est un booster de projets. Je trouve que oui, c'est comme tu dis, c'est hyper inspirant.

[00:13:54]

C'est vrai que c'est long, mais je sais que c'est un parti pris que tu adébayor. On en a souvent discuté parce que moi, je monte mes épisodes, contrairement à toi. Mais c'est vrai que régulièrement, quand j'écoute des épisodes, je me dis et à la fois ce côté brute, en fait, sans aucune coupe, avec tout ce que ça comporte d'hésitations, de bafouiller. Et encore, tu en fais très peu, mais quand même, sur deux heures d'entretiens, forcément que rien ne peut pas être nickel.

[00:14:24]

Ça fait son petit charme.

[00:14:26]

Mais tu rentre dans le vif du sujet sur cette formation, sur les podcasts et qui s'appelle entreprendre un podcast qu'on a fait. Ce qu'il y a eu beaucoup de débats entre nous, on en parle. La différence et moi. Là dessus, je travaille énormément sur lauthenticité. Toi aussi, je sais que tu ne vas pas changer, mais de temps en temps, je vais l'écouter poser des questions. Quand je réécoute un podcast, je me dis Mais maturer vue, ça me rend ouf!

[00:14:51]

Tu vois, je me dis mais c'est pas possible. En fait, je pourrais la couper, je pourrais limite la refaire. Et puis me remettre réinstallations. Tu vois, il y en a a qu'ils le font. Mais en fait, je trouve que. Dont moi, j'écoute des podcasts qui sont je les écoute. Tu vois un de mes épisodes préférés, Everts Podcast confondus. Il dure quatre heures, quarante cinq minutes. Un Américain fantastique et une histoire incroyable.

[00:15:17]

Et si duré pas 4h40. Bien, j'aurais adoré qu'un dixième, un quart de ce qu'ils ont fait. Mais je les écoute comme des romans. C'est ça 7 minutes par ci, 15 minutes par là. Je vais courir, je fais de la route, etc. Ou juste au lieu de téléphoner quand je cuisine.

[00:15:34]

Ouais, c'est comme si tu mettais un marque page dans un livre et que tu reprenait la Wii qui était arrêté. Mais moi, tu vois, j'ai constaté depuis le début, je fais en sorte que mes épisodes durent pas tellement plus d'une heure, vraiment une heure, une heure, dix maximum. Et il n'y a pas très longtemps, je me suis enregistré. Moi, c'était l'épisode 100. Et voilà, depuis le début, j'ai botté en touche pour ne pas raconter mon histoire et je me suis dit l'épisode s'en allait quand je me lance et durer deux heures.

[00:16:04]

Cet épisode, j'étais en culpa. Je Cybermétrie, c'est beaucoup trop long. Les nanas décrochaient, tu vas bien.

[00:16:12]

En fait, suite à cet épisode là, j'ai eu plein de retours qui me disant ahlala, mais c'est bien deux heures. On aurait pu en écouter, même encore plus. Et en fait, voilà quand t'es quand t'es capté, captivé par un récit, peu importe la longueur.

[00:16:30]

Finalement, moi, j'accepte même qui est ce que j'appelle. J'aime pas l'image. Excuse moi, mais un peu le ventre mou dans un épisode, c'est te dire ouais, ouais. Même si, à 15 minutes, j'ai enregistré avec Sébastien de Lafond, fondateur de Meilleur agent, un épisode. Lui, c'est un ancien financier. Je pense plutôt d'origine bourgeoise, un peu très maîtrisée. Et l'épisode doit dure deux heures et demie, la dernière demi heure. Elle est merveilleuse, mais la dernière demi heure, elle est merveilleuse parce que j'ai eu le temps avant de faire tout ça.

[00:17:02]

En fait, tu peux te dire finalement, j'aurais pu couper avant. Mais moi, je pense que lauthenticité lamanière. Mon contrat de confiance avec mes auditeurs, c'est aussi de leur rendre le contenu. Ce qui voit aussi pourquoi, à la fin, on accouche. Excuse moi l'image de cette dernière demi heure qui est super, très authentique, où il se livrait énormément. Et beaucoup de gens me le disent encore. Six mois après quoi cette dernière demi heure?

[00:17:29]

Parce qu'en fait, bien, on a eu pris le temps sur deux heures d'arriver d'arrivée, de comprendre, de voir qu'il est, de voir qu'il était chez Goldman Sachs, de voir qu'il avait fait la job. A quoi là?

[00:17:40]

Tu vois, Talençais, il te balance le truc et c'est trop bien. C'est trop beau et c'est la beauté de ce qu'on fait, je crois. En tout cas, je ne sais pas toi. Moi, je suis en train de me vanter. C'est plus nous podcaster de ce média, de ce qu'on peut faire et se permettre de faire ce qu'on est. Pas sur un format 52 minutes comme en radio, tel jour télé, etc. Moi, ce que j'adore et je crois que c'est ce qu'on a essayé de mettre en avant dans cette master class.

[00:18:03]

C'est. On peut faire ce qu'on veut, mais c'est la liberté d'en sortir 8 par semaine. Bien sûr, c'est ça qui est génial.

[00:18:11]

Et justement, pour revenir un peu à l'historique face à l'histoire de cette master class. C'est vrai que cette liberté, finalement, je pense que les gens en manquent cruellement aujourd'hui dans leur métier. En tout cas de plus en plus. Et puis, en plus, on est dans une époque aujourd'hui où on a de plus en plus envie de slashers. Quoi donc de slashers?

[00:18:34]

Pas de se lâcher un slashers, de faire plusieurs métiers.

[00:18:37]

On peut faire plus et de se lâcher aussi et de soulager les démarches.

[00:18:42]

Mais en tout cas, c'est vrai que c'est vraiment un sentiment. Ce sentiment de liberté, je l'ai mis à je l'ai embrassé pleinement. Quand je me suis lancé dans le pas de cas, ça a été comme une bouffée d'oxygène. Incroyable, tu vois.

[00:18:56]

Et c'est probablement là ton succès. Je l'ai pas dit, à quel point tu fais encore plus d'écoute que moi et j'en fais quand même pas mal. Tu vois, lors de 50%+1, moi, je suis 400.000 écoutes par mois, à peu près autant fait plutôt 6 000. Qui j'adore la radio. En clair, je suis un fan enrichi en radio. J'adore ce qui est produit sur France-Inter, chez Radio France en particulier, mais aussi ailleurs chez Lagardère, RTL, etc.

[00:19:23]

Il y a quand même des super trucs, mais qui va? Personne avait un slot d'une heure et demie ou deux heures sur la femme ou des voix sur des entrepreneurs comme moi, etc. Et on fait des podcasts, je pense à Vox. C'est ça qui fait ces trucs très sexe érotiques que tu ne peux pas forcément faire décemment en radio. Je ne suis pas sûr. Et donc, en fait, c'est un terrain de jeu énorme, formidable.

[00:19:52]

Et c'est là où voilà. Moi, je pense que c'était une des raisons de base de notre master class. C'est que pour moi, il y avait. Je pense qu'on avait partagé ça. On m'en a parlé, mais de raisons. C'est un que l'on met sur un média sur lequel nous, on s'éclate et on a envie de partager et de nous demander aussi beaucoup de choses. Et je l'ai déjà dit. Mais moi, j'avais l'impression de passer 20 minutes avec quelqu'un, lui dit de donner tout ce que je pouvais donner en 20 minutes.

[00:20:17]

Mais ce n'est qu'un quart du et 20 minutes, c'est impossible. Ah ben déjà, moi, j'aimerais bien qu'on en reparle de nos débuts, de notre rencontre et de comment on en est venu, si ça va. Justement, ce projet de master class que entre le moment où on s'est rencontré. Souviens toi à la première édition du Paris 4 Festival, il y a deux ans.

[00:20:44]

Ton podcast était encore jeune et il avait 6 mois.

[00:20:49]

Il avait 6 mois exactement. Ça faisait déjà pas mal d'écoute. Oui, oui, en fait, c'est quoi? C'est là, en fait, au pas de ce festival, que j'ai pris conscience de mes chiffres. Parce que moi fait, je pense, ça a fait cet effet là. Mais moi, j'ai côtoyé pas du tout de podcaster Fingers. C'est comme si je rencontrais ma tribu.

[00:21:12]

Tu vois, quand je suis arrivé à la Gaîté lyrique, j'ai vu tout ce monde, tous ces gens qui grouillaient, qui, qui, qui discuter ensemble, qui écoutaient des live, des master. Justement, en live, c'était des conférences, des machins et je me suis dit Mon Dieu, mais j'ai trouvé. Mais mes pairs. Tu vois que ça faisait six mois que même plus presque 8 mois que je bossais toute seule dans mon coin, sur mon canapé, jusqu'à 2 heures du mat, tu.

[00:21:41]

Ça a fait cet effet là tout d'un coup.

[00:21:44]

La Gaîté lyrique, c'était sa centralisateurs. En fait, tous les gens qui faisaient comme nous.

[00:21:49]

Alors chez moi, je dirais que sur la partie des chiffres, je connaissais déjà un peu parce que je t'avais des éléments de comparaison. Personne ne parlera une nouvelle écoute un petit peu. Je savais que j'avais moi déjà un assez bon podcast, mais qui était loin de ce que c'est aujourd'hui. Mais en l'occurrence, en revanche, sur l'ensemble, ça a été un point de départ de beaucoup de rencontres avec Pauline Grisoni, avec Adrien Garcia, qui sont tous les deux dans sa classe, avec Gabriel Confiturier et tous ces gens qui sont rentrés dans ce fameux gang débutant peu.

[00:22:22]

C'était en parallèle, juste avant. Après, c'était après.

[00:22:24]

Après, il faut savoir qu'on a monté un gang avec la pratique de Greg Pouly, notamment la Cité. Mais l'idée était pas à l'origine un compte WhatsApp directement ou un gros. Et effectivement, suite à ces rencontres, on s'est tous un peu rencontrés au Paris Palace.

[00:22:45]

Et après, on a décidé justement de mettre toutes nos connaissances en commun pour un peu écrire les lignes de ce nouveau média.

[00:22:55]

Et ce qui est intéressant, c'est qu'il y a beaucoup de ces podcasts qu'on beaucoup grossi depuis qu'on parle de la leçon. On parle quand on parle de vlan, on parle évidemment entreprendre dans la mode et je peux en citer un million d'autres. Vous m'excuserez si vous écoutez que je ne vous ai pas cité maintenant. Ce qui est marrant, c'est que je crois que maintenant, il y a des groupes de potes casteurs finalement de nouvelle génération qui se créent aussi en parallèle.

[00:23:18]

Bah ouais, certainement très bien. Oui, mais voilà, en tout cas, on a compris pas mal de choses. On a quand même un peu creusé des sillons. Je dirais dégagé. En tout cas, nous, notre terrain, parce que c'était l'inconnue totale des plateformes. La techno, tout ça est très, très différent, le matos, etc. Et moi, ce que j'ai toujours apprécié, c'était cette bienveillance entre potes, casteurs déchange, etc.

[00:23:46]

J'essaye autant que possible de Je souffre parce que je me suis de temps en temps, j'ai plus de temps et je dois choisir un peu des choses la famille, le travail, etc. Etc. Mais toujours d'être en tout cas bienveillant. Si ce n'est donner un max de temps. Mais ça a été un peu oui. Aussi, cette histoire de se dire comment on peut redonner tout ça. Dans un format avec plein de choses, je sais que je suis comme je te disais en venant, je suis comme moi hyper fier de ce qu'on a fait là dessus parce que j'avais un peu.

[00:24:19]

Pas peur, mais tu dis nous masterclasses, on n'a jamais fait.

[00:24:25]

Tout est nouveau dans nos vies et à la fin, on a quand même beaucoup travaillé depuis quelques mois et il y a des choix à faire. Et moi, j'avais un peu la peur du jugement que nous, on enregistre. Là, ça fait 2 3 jours que s'est lancé. Moi, j'ai eu mes premières personnes, deux femmes d'ailleurs, qui m'ont fait des retours et qui m'ont dit Tshombé Chambily. J'avais regardé toute la masterclasses et voilà.

[00:24:54]

Un moment, on m'avait dit ce que ça durera. Trois heures et demie que 5 heures, c'est trop long. Et voilà, une fois moi, j'avais peur que 3N soit trop con parce qu'il y a quand même beaucoup de choses à dire. Finalement, c'est 5 heures. Je trouve ça très bien. En plus des tas de PDF, de bonus, de trucs, il y a de quoi faire quand même.

[00:25:09]

Ouais, mais moi aussi j'ai eu des retours récemment. Ça m'a aussi fait tellement plaisir. Des nanas qui me disaient c'est génial, ça m'a donné le coup de boost qui manquait au lancement de ce projet. Merci, merci. Bon, et tant mieux. Ça veut dire que l'objectif est atteint. Mat Se faire dire que voilà ce qu'on voulait faire a atteint sa cible. Et tant mieux parce que c'est le fruit de toutes ces années de dexploration, en fait de ce territoire.

[00:25:42]

Podcast qu'on a pas mal déblayés à 4 ans, je trouvé le message le beau fondatrice de métier rare qui ont déjà dit Voilà, je viens de terminer la formation.

[00:25:54]

Mon podcast était associatif, est déjà bien lancé 48 épisodes. J'ai picorer parmi les nombreux modules. J'ai trouvé de bonnes idées que j'ai aussitôt appliqué. C'est dans le concret et très bien produit. Là, c'est le cas quand même, parce que je vous dis pas ça pour, je ne dis pas ça pour juste vous le vendre. C'est juste que moi, j'avais ce stress de dire on fait ce truc et à la forme, on a un truc est OK, mais pas fou.

[00:26:16]

Et pour l'instant, en tout cas, l'autre témoignage, c'est Delphine Zanelli qui m'envoie ça, qui me dit Bonjour Mathieu, je viens de terminer la master class et voulais te dire que Clémentine, je ne sais pas combien je l'ai trouvé à la fois très pro et très généreuse. C'est important. J'ai appris encore plein de choses et surtout, elle m'a donné un coup de boost alors que je relance mon podcast dynamisante. Authentique, simple, pro. Je vais forcément leur recommander de faire un petit post listing dessus ce week end.

[00:26:43]

Sympa, mais pour moi, c'est bien parce qu'à un moment, j'ai un meilleur pote qui m'a dit Mais tu vas pas, Nico, je te balance, mais tu ne vas pas tout donner. C'est un peu il avait une balle dans le pied si on m'a dit ça. Bien sûr que si. Déjà déjà, je trouve qu'on travaille avec Placebo. Romain, on vous embrasse, mais c'est en aérateur. C'est aussi un business, donc voilà. Mais ça, ça demande de la prod, du temps pour faire les choses.

[00:27:13]

Bien ça, ça demande vraiment du travail. Voilà. Donc on ne va pas devant vous vous proposer vendre un demi produit. Ce serait malhonnête, d'une part, et d'autre part, je crois qu'on partage ça et je te laisse parler parce que je pense que ton timar va dire tu parles trop.

[00:27:28]

Mais c'est que, en fait, je pense fondamentalement qu'on n'est qu'au début de l'aventure et de la croissance de ce média podcast que nous on fait. Bah, on est déjà bien placé dans cette pyramide. Donc, si la pyramide grossit, on devrait monter avec, sauf si on fait de la merde. Et donc ça, au moins, on va nous botter le cul à faire toujours des bons comptes, toujours plus de contenu. Et puis ça va nous créer des relations avec vous.

[00:27:52]

Écoutez ce podcast, allez faire pour certains sites, cette formation et donc au final, je pense que vous serez gagnant. Je serai gagnant, tu seras gagnante.

[00:28:03]

C'est vertueux. Tout le monde ne vit pas dans un monde de Bisounours, mais on se tire Vergés, on se tire vers le haut.

[00:28:10]

C'est vraiment ça, l'idée. Et d'ailleurs pour reparler des débuts. C'est vrai que c'est ça qui a été fait, moi qui m'a vachement touché. En fait, très vite, c'est de voir ton implication, celle de Greg Grégori. Puis et puis. Et puis l'énergie qui se dégageait des réunions qu'on faisait parce que pour vous, sachez donc, on s'est un peu retrouvé à plusieurs chez toi, beaucoup ici, dans tes bureaux. T'as été, c'est vrai, un espèce d'incubateur khamsa, de discussions et d'échanges.

[00:28:40]

Et on a même on y a plein de potes. Au moins 10 podcasts commençai sur Wiki Matthäus ici. Voilà plein d'autres qui viennent tourner de temps en temps. Mais moi, je suis hyper fier de ça.

[00:28:51]

Parce qu'en fait, c'était tu vois, c'était déjà présent pour toi dès le départ. Cette envie d'accompagner, cette envie. Ce que tu n'étais pas obligé. Honnêtement, tu aurais pu faire ça dans ton coin tout seul. Mais ce que j'ai trouvé, ma formidable, c'est justement cette émulation collective qu'on a eue tous comme ça pour, pour s'entraider, se donner des tuyaux. Je me suis retrouvé dans ta salle de réunion, disait alors t'en es où? À combien découter alors la régie pub?

[00:29:17]

A ton avis, comment je dois faire par rapport à. C'est vrai, c'était vrai, mais tu connais coup de pouce qui, mis bout à bout, fait qu'on a fait exister au mieux nos projets au final.

[00:29:29]

À part certains épiphénomènes dont je ne veux même pas parler, tu vois, tout ça est tellement vertueux. Adrien Garcia ou 10/15 épisode qui dit dans un épisode de quelques épisodes Mes auditeurs, me semble trop sympa. Adrien, il parle de toi machin en disant Bah oui, grâce à Matthieu, Stéphanie et tout ce qu'il a partagé en ligne sur le matériel podcast, j'ai pu me lancer c'est hyper sympa. J'ai comment Pauline Grisoni, qui m'invite, qui fait, etc.

[00:29:57]

Et voilà. Et puis, il y a la forme. Qu'est ce qu'on fait? Les habitudes surclassent. On parle de ici maintenant et tout ça, en fait, on ne le fait pas. C'est quand même des super podcasts qui se font, c'est vrai.

[00:30:09]

Ils sont tellement écoutés qu'on ne peut pas dire le contraire. Bien sûr, référons dans la mode ce que fait Adrien Pauline, son contenu allégé, etc.

[00:30:17]

Qui a lancé sans cela le paquet sur l'art d'échouer.

[00:30:21]

Et à la fin, il parle de nous. On parle de nous, c'est gratuit.

[00:30:27]

Le média, le podcast est un média gratuit, c'est ça. Et c'est ça qui est fort. Alors nous, on a appris à réussir à en vivre par la suite. Mais c'est vrai qu'à la base, quand j'ai lancé Bliss, tu veux la perspective de faire du business avec était bien loin derrière. Pas du tout arrivé tout de suite. Et c'est ça qui est fort aussi dans cette aventure. Podcast Je pense que tout ça et tout ce qui s'est passé dans notre groupe et c'est aussi pour ça qu'on a fait cette masterclass ensemble.

[00:31:00]

C'est qu'il y a une vraie envie de partage, de partage et du partage n'est naissent des projets. Et c'est cette générosité collective qui fait qu'aujourd'hui, on a réussi à définir les lignes d'un business qui est très clair et qui fonctionne ou sur lequel les marques ont compris l'intérêt qu'elles avaient à faire.

[00:31:28]

Des heureux, une reviennent.

[00:31:31]

Exactement. Mais je pense que si tu vends en faisant ça et en partageant cette master class avec ces groupes, en faisant tout ça, on évite aussi que ce soit le Far West. Je veux dire, moi, quand je vois les podcasts américains, alors on peut se dire que j'écoute plein, que c'est américain. On peut dire que ça va venir un jour comme ça, mais j'espère pas trop. T'as 8 minutes de pré roll, t'as un Midol, imposs, troll.

[00:31:52]

Bon, les Américains sont plus aptes à écouter de la pub, une tolérance beaucoup plus importante que nous.

[00:31:56]

Mais pour ceux celles et ceux qui n'ont pas encore regardé la master class, le pré roll et tout ce qui est rolla après vol, Midol passera. C'est la pub. En fait, c'est les annonceurs, le sponsoring, Cancon. Mais nous, sur nos episodes, exactement.

[00:32:12]

Et nous, on explique un peu tout ça dans la master class, mais aussi ceux avec qui on échange. Faut pas faire ça n'importe comment. On peut apporter beaucoup plus à une marque, juste dire Vache Armored, Intermarché, Séchan, mais boom, boom, boom du moment. En fait, on peut, on peut dire moi, j'adore telle marque, mais mes partenaires, c'est que des marques que j'adore, mais aussi parce que c'est même indispensable à quelque chose.

[00:32:34]

Et c'est très honnête. Mais si tu fais une master class, tu dis à tout le monde. C'est le Far West vendu pas cher à des marques, mais laissez les faire. Des sponsors comme c'est fait depuis très longtemps radio, des pages de pub, etc. Je pense qu'on va tout casser, en fait. Moi, je n'ai pas intérêt. Toi, t'as pas intérêt. Ceux qui écoutent, qui veulent se lancer n'ont pas intérêt. Vaut mieux faire.

[00:32:53]

C'est ça la vertu de ce que je propose et c'est pour ça que c'était important de définir des règles et d'être tous raccord sur nos envies et notre vision. Et en fait, ce qu'on a essayé de transmettre dans cette master class là tous les deux, c'est tout ce qu'on a récolté de ces réunions, de cette discussion, de ces brainstorm de de nous aussi, les écoles qu'on a pu faire avec des régies publicitaires, avec des annonceurs. Parce qu'au début, c'est pas facile d'avoir des discours clair et cohérent sur ton produit, de te vendre Diabaly.

[00:33:31]

Mais en fait, oui, je me lance, je lance mon podcast sur ce sujet et je pense que rien ne s'est passé. Voilà donc on a essayé de condenser tout ce qu'on avait appris, en fait.

[00:33:43]

Et j'espère que A et Glasgow servira, je crois.

[00:33:50]

On fait tout ou bien la qualité. Là, je trouve qu'on a un peu l'air d'être adala. Il y a un peu trop de Brachay.

[00:33:56]

On fait la remarque, j'avoue, mais c'est rigolo.

[00:34:05]

Mais une question qu'on m'a posé, je ne sais pas. On n'a pas prévu cette question, mais on a rien prévu.

[00:34:15]

Le podcast Fermo a changé notre vie. Toi, moi. Genre Big Time. Genre Gerba. On a attendu, c'est juste moi. J'ai l'impression que c'est un don du ciel, une bénédiction, croyant, mais je ne sais pas d'où ça sort, mais en tout cas, c'est n'importe quoi. J'espère que ça va durer. Ce que j'aime bien comme ça, mais je n'y a pas de raison.

[00:34:36]

Est ce que c'est trop tard pour rentrer? On pourrait se dire qu'il y a beaucoup de gens qui se pose cette question parce qu'il y a encore de la place. Ouais, ce qui est encore de la place. Est ce que tu puisses tu te lances maintenant que tu entreprendre un podcast et que tu dis je me lancer? Est ce que ce que tu peux changer ta vie comme on l'a fait sans faire de fausses promesses? Tu vois, je ne veux pas faire ce truc de YouTube et je vais y viens faire podcast tubes célèbres comme Clémentine et Belle ont plus de valeur de 20 35 ans alors que ton écoute.

[00:35:14]

Moi, je pense que persuader.

[00:35:18]

Merci. Je suis persuadé qu'il y a encore de la place. Je pars du principe qu'il y a vraiment de la place pour tout le monde. Moi, tout est une question d'angle, de ton et de valeurs et de personnalité. Je veux dire regarde le média télévision, par exemple, le média télévision. Si un compte Masterchef est sorti, tout le monde s'était dit là. Bon bah, on arrête de faire des émissions de cuisine. Stop! Le créneau est déjà pris.

[00:35:46]

Ça sert à rien de se lancer derrière et rien ne se serait passé. Tu vois le genre et est en permanence réinventé.

[00:35:54]

On va jusqu'à prévenir celui qui essaye de prévoir qui va nous fumer. Mais pourtant, tout compte fait, gaffe à toi.

[00:36:02]

Mais bon, pas celle qui lance un podcast demain en disant que c'est le premier podcast sur la maternité sans filtre.

[00:36:09]

Je serai en mesure de lui dire pas pardon, mais tu n'est pas là, peut être pas la première. Après, tu a le droit de faire évidemment un cas sur l'internet sans fil, même si ça me fout les boules. Ben voilà. Après tout, pourquoi pas? Si elle a une autre approche, si elle a un autre angle? Si elle a d'autres typologies d'invités et un autre ton 17ans, pourquoi?

[00:36:31]

Et peut être qu'elle s'adresse à une autre voie, une autre à d'autres profils auditrices. Mais il faut, il faut tenter. Et puis, nous ne sait pas si on sera là encore dans 10 ans. Peut être peut être qu'on va décliner nos projets. Peut être que je ne sais pas à toi. Est ce que tu as réfléchi à ça?

[00:36:46]

Est ce que tu comptes faire ça pendant encore que les dinosaures écoutent?

[00:36:53]

Tu vois, moi, j'écoute, j'écoute pas trouve. Très prolifique, un peu boum quand même, de temps en temps, mais un peu de castor américain. Rogen qui fait ça très longtemps. Coutadeur? Ouais, moi, mes inspirations, c'est Tim Ferri. Clairement, Augan. J'aime ça, Ghariani, archevêque, etc. Et. En écoutant des podcasts en anglais, c'est progresse aussi un alpha troisième estimant que les générations futures s'affaiblissait beaucoup mieux, mais il en est à 1500 épisodes.

[00:37:26]

Oui, s'éclate toujours. Et voilà, il faut juste savoir se renouveler.

[00:37:31]

C'est ça, pas s'asseoir sur ses lauriers et tester de nouvelles choses, de nouveaux types d'invités. Et voilà. Mais à la fin, il se retrouve avec Elon Musk pendant trois heures. Ah ouais, voilà. Donc, c'est pas moi, je te vois, j'ai tellement de chance d'avoir. Tu vois, je ne sais pas. Moi, mon objectif, c'est Zizou. Ouais, ouais, c'est peut être un Bernard Tapie. Ça serait fun aussi. Tu vois des gens voir comment ils ont?

[00:38:01]

Oui, mais c'est ça que les a dans la République. Tu vois peut être Sarko, Hollande, c'est fun, on en parle, mais tu vois avec. Donc, tu vois, je ne peux pas m'arrêter, c'est inépuisable, tu sais trop bien. Semaine après, semaine après semaine, je me dis Mais quelle chance j'ai d'être là!

[00:38:18]

Tu vois, donc, mais je pense que tu vois. Dans les formats, il y a du plus long, du plus court, du plus fun, du plus vulgaire, du moins vulgaire, du très pro de proue, du super juif, super catho, super musulman. J'en sais rien. Il peut y avoir en fait des podcasts pour le chirurgien orthopédiste. Et en fait, en fait, c'est tellement tellement niche aussi assez facile à produire. Potentiellement, si tu postes rationalisent, fais toi, tu vas voir des mamans les unes après les autres, après les autres.

[00:38:52]

Bon bah, tu peux le faire dans plein de domaines. Et en fait, si je veux dire, c'est pas facile ce qu'on fait, ça demande du temps, du travail, etc. L'investissement de l'investissement. Mais si tu le fais, tu le fais, tu le fais bien. En fait, je reprends sur ce chirurgien orthopédiste si tu peux voir le chirurgien orthopédiste après chirurgien orthopédiste après excès qui fekter là dedans. T'es passionné par ça. À chaque épisode, tu auras des trucs super bien, mais bien des opérations qui sont assez mal.

[00:39:20]

Bien. Comment? Pourquoi? Des nouvelles manières? Des nouvelles techniques? Le type qui a fait un stage à Stanford, à San Diego? Je ne sais pas où tu vois, mais en fait, c'est inépuisable. A partir du moment que tu creuse le sillon d'une passion, c'est comme si je t'avais dit. Finalement, on me pose la question. Je me disais moi, j'étais très, très tôt sur Instagram en 2012 2011. J'en sais rien.

[00:39:39]

En 2007, sur Twitter, je ne sais pas, mais c'est comme si je t'avais dit en 2015 dans Mais Instagram, j'aurais pu te le dire, en l'occurrence comme je suis, mais c'est mort. Tu vois alors que finalement, toi, on compte un statut créé en 2010.

[00:39:52]

En 2013, le glisses Stories An Pardon, Blisko, Bliss Théorisent 2018 cartonne. Il y a plein de monde et potentiellement des marques qui veulent bosser avec un statut, une chaîne YouTube zibeline. Voilà l'armée, la voix, l'armée 000.

[00:40:10]

Mais voilà, tu vois. Oui, oui, non, ça, évidemment. Et d'ailleurs, on n'a pas fait cette master class en se disant que le marché était saturé non loin de là.

[00:40:22]

Clairement, c'est au contraire pour ce contrat. Pour que les gens fassent bien, tu vois et et du coup, puissent progresser et aller vite parce qu'en fait, on leur fait quand même gagner du temps.

[00:40:36]

Normalement, oui, on condensées où normalement l'idée? La manière dont on s'est fait. Ça doit aussi rendre hommage à Romain là dessus, puisqu'il a dû nous convaincre de dire c'est vrai, c'est vrai, mais il avait raison, c'est didacticiels.

[00:40:50]

Et pas parce qu'à l'origine, on voulait avec Clem faire une sorte d'échange comme ça. On ne peut pas à la rage parce que c'était préparé, mais se dire bon, on va faire comme si non, en fait, c'est face caméra, c'est de se dire OK, c'est vraiment cool, c'est comme un cours particuliers.

[00:41:02]

Ouais, ça fait 5 heures de cours particuliers avec les choses Axione, mais normalement, à la fin du cours particuliers si vous me suivez les étapes. Vous avez un peu de Cascais là, tout de suite. Enfin, et c'est l'objectif. Parce que moi, lennemi que j'ai beaucoup de gens, que je vois pas comment je fais un peu de. Six mois après une design, je suis toujours un peu en train de réfléchir. Non, do it, tu vois Bazzi?

[00:41:24]

C'est complètement possible. C'est complètement perfectible. Tu vois le grand patron de l'inutile qui disait le fondateur rwandophones. Qui dit cycle le jour où tu sors un produit estime qu'il est prêt. Ça veut dire que tu le lancé trop tard. Ça, c'est vraiment une mode de pensée très start up. Mais c'est exactement ça. Moi, mon premier podcasting, il est cool. J'avais Arbona. J'ai une bonne menor, mais il est pourri.

[00:41:46]

C'est pas grand, mais bien sûr, mais aussi quand je réécoute mes premiers épisodes, même un, c'est pas grave, mais il est perfectible.

[00:41:55]

Tu vois, bien sûr, mais c'est ça qui fait le charme de ce média. Il n'y a pas de jugement de valeur. Cavin Il pourrait y avoir justement sur la télé, il y en a probablement. So what? Tu sais, quand il y a probablement des nanas qui écoutent bistouris, ce se disent mais qu'elles bouffonne, celle là, c'est sûr et très bien. Va écouter une autre ou un autre. Va chez Matthieu, Stéphanie?

[00:42:17]

C'est vrai, mais il y a de la place pour tout le monde. Et effectivement, c'est une question d'affinités avec le boss. Beaucoup. Enfin, nous savons que cette master class est dédiée au podcast conversationnel et conversationnels. Ça veut bien dire. Ce que ça veut dire, c'est que c'est une conversation entre deux personnes. Donc évidemment, tu peux par des affinités avec tout le monde. Tu vas accrocher, tu vas attacher à des incarnons. Et ça, c'est tout le secret aussi.

[00:42:46]

Ça vient pas comme ça. Il faut travailler sa voix et son ton. Peut être trouver des guillemets, mais ça, on en parle vachement, la master class. Fidéliser son audience, c'est important. Et voilà. Donc, encore une fois, comme il y a plein de programmes télé pleins de films de cinéma qui sortent sur des sujets identiques, mais c'est une question de traitement, de traitement de concepts.

[00:43:08]

J'ai adoré. Je crois que tu en avais parlé, mais j'ai vu. Je ne crois pas que j'en parle dans la master class parce que là, c'est un peu pointu, pointu. Mais j'avais vu des Allemands, je crois. C'était au Salon de Paris. Pas de question Stival, mais un salon de la radio, je crois.

[00:43:23]

Et. Et en fait, il me disait il y a peu Qu'est ce qui cartonne en Allemagne? Il m'avait sorti plusieurs concepts, mais il y en avait un qui était en fait au début de l'épisode. On choisit un mot, le mot peut être du bitume ou aspire en fleurs les fleurs.

[00:43:42]

Et à partir du moment où, au moment où dans l'épisode était en train de parler, tu veux sortir le mot fleurs? Eh bien, le podcast s'arrête donc.

[00:43:52]

En fait, il y a des moments où ils choisissent un mot qui est un peu plus commun. Comme je ne sais pas, moi, tu vois, podcast l'invité au bout de 40 secondes dans ce podcast. Bon, ça, ça fini, tu vois. Il y a donc des épisodes qui durent 40 minutes 40 secondes et d'autres qui durent 8 heures.

[00:44:06]

Tu vois si tu rigoles et en fait, tu vois, tu arrêtes. Quand tu prends des trucs complètement pété du casque, tu vois des gens totalement créatifs derrière moi. J'ai écouté des épisodes. Pour moi, ça marque mon histoire du podcast de Anouck Péry. J'ai un truc les gants blancs. Ouais, les comble de délicatesse du gourou. Délicatement les épisodes.

[00:44:28]

Ce truc, je l'ai recommandé à chaque fois.

[00:44:30]

Les gens se disent les fous furieux de me recommander cet épisode extraordinaire, extraordinaire. Elle a fait des trucs sur les maisons montées. Mais tu vois, il y avait des épisodes. Je crois qu'ils ont un peu arrêté. Il y avait des trucs, un truc qui s'appelait. Je le retrouve community manager. Je recommandé une fois dans mon podcast, il y a 2 3 ans. Je crois qu'ils ont raté, mais ils faisaient par exemple les plateaux cistes.

[00:44:54]

C'est les gens qui pensent que la terre est plate sur les plateau qui fait dure une heure où les materno, tu veux te parler des maternelles, tu vois ce que c'est ou pas? C'est les mamans folles, furieuses, mais vraiment, qui font du maternage de maternage proximal.

[00:45:08]

Et l'épisode est juste fou de mecs qui parlent donc du coup à une version vraiment très Yonah. Allez, un dernier recommandé là dessus, qui était dans les platines? Les maternelles et les Disney fans. Les Disney fans et les gens qui vont dans les parcs Disney dans le monde entier pourront juste aller un jour. Il y a 4 mecs qui sont abondants, tels Bootsy, qui connaissent les passages secrets dans les trucs. T'écoutes ce machin, c'est fou et tu vois, on n'aura jamais ça sur l'ovni.

[00:45:31]

Ouais, et ça, c'est du concept très créatif.

[00:45:35]

Et oui, comme quoi c'est encore une fois, il y a encore plein de choses à faire. Il y a 3 podcast qui cartonne sur Walking Dead. 3. Ah oui, des fans de la série Walking Dead. Ca arrive, je crois. Le monétisé au moins un qui cartonne puisque les autres. Mais tu peux te mettre dans le sillage d'une série qui entonnaient une tendance, une tendance à faire peu de cas, semaine après semaine. Le débriefe d'une série du Web.

[00:46:08]

Ou comment s'appelle Koh-Lanta? Ah ouais, ouais. Ouais, ouais, Dhaffane.

[00:46:13]

Ben oui, il donne plein d'idées là où il s'est trouvé dans deux mois, il pas de 15 débriefe de Blein cette génération multi-enseignes.

[00:46:21]

Non, le débrief de Koh-Lanta? Oui, je sais.

[00:46:24]

Mais on se dit tiens, où est ce qu'il a eu cette idée pour son 15 15? Le mec ne perd pas le nord découpé, découpé en 20 pour cent.

[00:46:35]

Non, mais bon, un coup, en tout cas, on verra bien ce que ça donne. S'il y a plein de petits bébés de notre master class, dans ce cas, c'est ce que je peux souhaiter de mieux vous souhaiter de mieux de vous. C'était mieux, évidemment, mais ça voudrait dire que nous, on a atteint l'objectif de transmission qui était le nôtre. Parce que franchement, pour raconter la petite histoire, on sait, on sait. On a eu cette idée pendant le dernier confinement du mois de mars avril, période où les gens étaient bloqués chez eux.

[00:47:06]

Et oui, il y a eu y plein d'envie de créer et de lancer des podcasts. On a eu plein de messages chacun de notre côté et on sait un jour au téléphone, c'est très bien t'ai dit qu'est ce que je fais? Comment je fais pour répondre à ces gens?

[00:47:19]

Est ce que tu connais un site où il y a un truc karaoké, où tout est regroupé et toutes les infos sont coupées? Et tu m'as dit maintenant, ça n'existe pas sur la boite.

[00:47:28]

À ce moment là, je faisais la promo de fin d'une autre master class. Romain, justement, et qui me disait Tu devrais faire un truc. Moi, je me suis dit Attends, justement, on a deux audiences qui sont très différentes. On a deux potes qui sont très différents et finalement, en cumulant les deux, on va réussir à faire un truc beaucoup plus, notamment visible d'une part, mais aussi riche et complémentaire. Et ça s'est fait finalement assez naturellement.

[00:47:57]

Mais ce qui est cool, c'est qu'en fait, on a eu cette idée pendant de nombreuses années avec l'implication de nos. Ah oui, Nazaré respectives. Mais c'est marrant parce que finalement, on a eu cette idée pendant le premier confinement. La master class sort pendant le deuxième confinement. Donc c'est cool, tant mieux. Ça veut dire que les gens ont normalement encore du temps chez eux pour se pencher sur ces nouveaux projets.

[00:48:19]

Et c'est là où c'est intéressant parce que je pense qu'on me ressortie cette master class. Le confinement n'aurait pas du tout fait toute la partie sur les enregistrements à distance. Là, on m'a trouvé un moyen d'enregistrer en physique, mais on était à deux doigts de le faire à distance et c'est hyper simple. Maintenant, tu peux faire des podcasts de super qualité s'il fait attention et que tu fais bien les choses. Et on l'explique avec des bons logiciels, avec des faits.

[00:48:43]

En fait, on a tellement appris pendant ces périodes et je pense que le média audio là dessus est une des choses importantes. Je pense dans l'audio dont on ne se rend pas bien compte, c'est que c'est un. Déjà, c'est un médium qu'on utilise depuis qu'on a 3 4 ans. On s'est tous parlés, on ne sait pas tout faire de la vidéo, on ne sait pas tous écrire des articles et des beaux textes, beaux postes et a priori, on sait tous plus ou moins parler.

[00:49:10]

On peut s'améliorer. Il y a des gens qui sont plus timides. Il y a des gens, mais en fait, je crois qu'il y en a vraiment pour tout le monde. Et le média audio est nettement moins concurrencé. Ce que je veux dire, c'est qu'en fait, aujourd'hui, on passe nos vies devant les écrans, ce qui est un peu pénible. C'est trop d'ailleurs. D'où le succès de l'Unis, etc, etc. Tout le monde le sait.

[00:49:29]

En revanche, il y a plein d'activités sur lesquelles on pourrait, alors on écoute de la musique quand on court, on fait du vélo quand on fait du ménage, quand on fait la cuisine, quand on fait ça, tu vois. Mais en fait, en audio, il y a nettement moins de médias de niche, comme on trouve une proposition de niche, comme on en trouve sur YouTube, comme on en trouve dans des forums ou dans des blogs.

[00:49:50]

D'où cet univers d'opportunités qui reste à saisir Saint-Jory et de manière. Je vais dire assez simple, c'est dire que oui, c'est dur, seulement du travail et du temps et de l'investissement, c'est pas c'est pas gagné. C'est pas faux, faut le faire. Il faut faire beaucoup d'épisodes. Et voilà.

[00:50:07]

Mais à la fin, de manière assez simple, on peut lancer un podcast vite et progresser. Voilà un champ des possibles de ouf! Qu'est ce qu'on voulait rajouter d'autre? Est ce qu'on a fait le tour de la question? Même si on pourrait en parler des gens dont on parle des heures après leur classe? Je crois qu'on a fait un bon tour. Moi, je pense que en tout cas, que ce soit pour les gens qui écoutent cet épisode qui arrive à la fin, cette envie, mais aussi autour de vous.

[00:50:44]

Vous avez des gens qui ont envie. C'est un beau cadeau de Noël. Ouais, c'est vrai. Et ça, c'est très accessible. Activable, en tout cas. Moi, je parle en toute sincérité. J'y arrive, je ne vais pas le couper. Je sais que Klemm tout donné. Je sais que moi, j'ai tout donné pendant un temps. Pardon, vraiment tout. C'est à dire que là, l'autre jour que j'ai enregistré le dernier truc qu'on a enregistré séparément, les Loum.

[00:51:11]

Ouais, je me suis dit Tu vois, j'étais devant mon ordi avec tous mes onglets ouverts, de tous les logiciels que j'utilise quotidiennement. J'étais là quand même, Vista.

[00:51:21]

J'ai vraiment mis tout, tout raconter, tous les secrets de fabrication. Non seulement il y a des vidéos, donc Fazekas, on est en cours particulier, mais il y a aussi cette infiltration dans nos ordinateurs. En tout cas, dans le mien, je ne sais pas si je ne sais pas si a fait pareil, mais oui, ou vous allez voir comment ça se passe concrètement, sur quoi on travaille et comment on fait.

[00:51:50]

On fait tout, tous les process, en fait, pour sortir d'un podcast nommé clairement.

[00:51:55]

Voilà donc en tout cas ce que j'allais dire qu'on y aille l'intégralité de ce qu'on sait. On oublie beaucoup d'autres, mais je ne crois pas honnêtement, je crois vraiment pas et et voilà. Je ne crois pas qu'il y ait potentiellement mieux, en tout cas là, tout de suite qu'on parle.

[00:52:14]

Et pour ce qu'on appelle dans les start up les investisseurs, notamment ce qu'on appelle le FOMO, tu sais ce que c'est le FOMO fear of mécénats forte où tu vas.

[00:52:28]

Alors voilà, j'apprends entre le philosophe Messengers la peur de manquer, bon technique de succès que nous avons rajouté Romain. Voilà, il faut. Il faut proposer dans ces formations, dans les premiers jours, une grosse grosse discount. Et je crois que l'on n'aura jamais a priori, ce qui nous a dit un discours aussi important que jusqu'au 27 novembre. Je fais louer mon marchand de tapis, je déteste ça.

[00:52:54]

Mais bon, à la fois. L'intérêt, c'est que ça coûtait le moins cher aux gens. Donc s'ils veulent que ça leur coûte le moins cher possible, c'est maintenant. Et je voulais juste reprendre quelques petites questions que j'ai reçues en MP sur Instagram. Il y en a une assez mignonne qui dit qu'on a accès à vie à la formation une fois qu'on l'a acheté. Oui et donc oui, la réponse est oui.

[00:53:17]

Combien de temps dure cinq heures. Ça, on l'a dit. Le prix de lancement, donc, c'est 250 euros au lieu de 390 €19.

[00:53:26]

Voilà donc, voilà que ça peut paraître une somme. Mais finalement, si tu ramène ça au même instant qu'on fait gagner.

[00:53:35]

Soyons clair, c'est une somme, je veux dire, c'est une somme après. J'ai plusieurs personnes. J'attends d'ailleurs le débriefe, mais j'ai plusieurs personnes qui m'ont dit qu'ils avaient pour la première fois déboursé cette somme. Je suis droit dans mes bottes quand je dis que c'est un O'Brother. Il n'y a pas de réflexion. City il une petite envie de lancer un podcast? Il n'y a pas de sujet, cette somme, il faut l'investir. Je veux dire la dépenser, mais non, faut l'investir parce que vraiment, c'est un investissement.

[00:54:07]

Moi, j'ai un business dans lequel on vend ce qu'on appelle des jours et des jours. Home, c'est 700 euros jusqu'à 1500, 2000, 3000, 4000 euros les Sougères.

[00:54:19]

Et là, on vend 250 euros en une demi journée. Donc voilà. Et en l'occurrence, vous pouvez le réutiliser à utiliser et on explique comment monétiser comme on l'a fait au début. Mais allait Héricourt et en fait.

[00:54:36]

En fait, on a fait la formation que nous aurions aimé avoir quand on s'est lancé et tout simplement. Voilà donc Banou. On l'avait pas parce que à l'époque, la France n'était pas du tout adepte des podcasts comme elle l'est aujourd'hui à l'époque. Enfin, moi, quand je disais que je lançais un paquet, on me disait un pote, quoi!

[00:54:56]

On est encore à un tiers de ce que, en terme d'audience, pour dire qu'il y a de la marge, je crois que c'est entre un tiers et un peu moins de la moitié, en tout cas du nombre d'audience aux Etats-Unis, en proportion de la population. Comme quoi tu vois, le chemin est encore long, mais c'est vrai que déjà, en 3 ans, on a fait un bond monumental. Aujourd'hui, le podcast est une vraie industrie, est un vrai média, très riche, qui s'enrichit de jour en jour.

[00:55:21]

Voilà de nouveau de nouveaux concepts. Et franchement, si on peut donner ce que nous, on n'a pas eu, eh bien tant mieux.

[00:55:32]

Tant mieux. Non, mais moi, personnellement, j'adore essuyer les plâtres, donc ça ne me dérange pas.

[00:55:38]

J'ai adoré me faire maquiller vers ce moment, mais c'était de fun. On s'est bien marrer à faire ça aussi.

[00:55:43]

C'était n'enrichit même de nous peut être déblayer le terrain. Mais ça nous a plu. En tout cas, moi, j'en garde de très bons souvenirs. C'était chouette balade d'explorer tout ça. On n'avait pas l'information, mais vous, aujourd'hui, vous l'avez. Et voilà. Et on espère vraiment, sincèrement que ça va vous aider.

[00:56:04]

Venez à Santa Barbara avec vos amis qui venaient chez vous pour finir.

[00:56:12]

Moi, je dirai quand même que c'est important. Ça fait partie des choses qu'on dit. Il faut faire une bonne promo. Abonnez vous à Bli. Oui, vous soyez un homme ou une femme. Vous, vous, vos mamans, vos soeurs, vos besoins, vos amis abolissent de force sur leur téléphone. Vous prenez, écoute en écoute en 2. Écoutez ce qu'on a recommandé. Dites à leur maître dans tout ça. Mais vous vous voyez donner une chance aux podcaster.

[00:56:37]

Et voilà des conseils qu'on donne un MIFO comme un média peu viral, qu'on va utiliser souvent un ou d'autres, des newsletters, des choses comme ça. Mais en revanche, quand on donne la chance, vous donnez que ça vous plaît? Généralement, c'est très addictif aussi. Donc bon, allez y! Et abonnez vous à Générationnelles Tercel.

[00:56:56]

Écoutez la voix suave de Mathieu pendant des heures qui a laissé envoûter et vous faire découvrir des profils vraiment passionnants. En tout cas, moi, j'ai découvert des personnalités que je n'aurais jamais découverts ailleurs. Donc, voilà un truc que je vis.

[00:57:14]

Tu vois ma vie. Ma voix suave, etc. Moi, je veux dire et je bafouille. Et je me Masha. Mais vous allez vite. Si vous vous lancez dans le podcast, vous avez un truc que je n'avais pas complètement perçu. C'est un travail qui est public. Normalement, je fais du boulot, j'ai mes clients, je fais des structures, je n'ai pas un boulot public. Si je mets un peu de la merde. Et là, il est public.

[00:57:33]

Mais ma maman m'écoute. On ne va pas quand j'entends une dispute. Mais bon, ça, c'était bien plus sympa. Qu'est ce que machin? Etc. Mais tes parents écoutent?

[00:57:44]

Bien sûr, ma maman, surtout ma maman, m'écoute. Mes sœurs m'écoute. Mon père l'a écoutée un peu au début. Ouais, je crois qu'il a lâché l'affaire. Mais oui, c'est sûr. Et on est dans les oreilles de tout le monde. C'est ça qui est merveilleux. Ne faut pas trop y penser non plus. Sinon, ça peut être un peu paralysant, mais réalisé après, on arrête.

[00:58:07]

Mais un jour, j'étais au Parc des Princes. Et puis je regarde. En fait, c'est la taille de chaque épisode. Moi, je voyais tout le monde et je me disais maintenant, je sais plus, je suis Stade de France, toi et plus encore. Et donc, du coup, tu te dis attends, à chaque épisode, il y a tous ces gens écoutent la crise.

[00:58:30]

Il faut dire ça tout d'un coup. Voir les audiences autrement. Bon, écoute, en tout cas, merci pour ce délicieux moment. Merci.

[00:58:46]

Ben voilà, on a fait une super master class. Éclatez vous aussi, vous y allez si vous n'allez pas parler autour de vous. Et puis abonnez vous et vous vous embrassaient.

[00:58:56]

On vous embrasse et on se retrouve bientôt dans nos podcasts respectifs. Là, c'était une fusion inédite et on va retourner chacun dans un micro.

[00:59:08]

On se retrouve dans leur épisode. Et puis merci jeudi pour Clem. Pour moi, Beitenou. Écouter parce qu'on a dit tout à l'heure qu'on avait de la chance et qu'on vivait un rêve éveillé. Mais c'est parce que semaine après semaine, on a des auditrices, des auditeurs et que moi, ça me afat.

[00:59:25]

Sans eux, on serait pas grand chose. Merci, merci. Merci, merci, merci.

[00:59:33]

Tu as fait les pas de son job de merde des. Pincemin. En stand by. Forme. Vie Bragon sans.